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(19/12/2007 16:19:33)

La virtualisation se heurte à la résistance passive des éditeurs

Si elle permet d'optimiser les ressources matérielles et, éventuellement, d'apporter une sécurisation en cas de panne, la virtualisation rajoute aussi une couche de complexité. Elle s'affirme en particulier lorsque l'on s'intéresse aux applications. En effet, dans les écueils à éviter, nombreux sont ceux qui dénoncent l'attitude des éditeurs et la part de responsabilité qu'ils veulent bien assumer. La présence d'un hyperviseur est l'excuse idéale pour se défausser sur les autres d'un bogue. Le dernier exemple en date est celui d'Oracle. Mécontent de voir VMware prendre de l'envergure, le spécialiste des SGBD n'a pas hésité à affirmer qu'il ne garantissait pas le fonctionnement de ses logiciels dans un environnement virtualisé par VMware. Microsoft a annoncé fin novembre un support sur Windows Server ouvert à tous les hyperviseurs, mais en se gardant bien d'entrer dans les détails. On sait pourtant bien que c'est là que se cache le diable. Ce n'est que la semaine dernière que SAP a annoncé qu'il allait supporter ses applications sous Windows et Linux au dessus de VMware. Il semblerait bien que l'ensemble des fournisseurs soit surpris de la vitesse à laquelle s'étend le succès de la virtualisation. Désormais, IDC parle d'un taux de croissance annuelle de 27% jusqu'à 2011. Dans ce contexte, c'est le manque de compétence qui freine les processus d'adaptation et d'adoption. Couplé avec le jeu de poker menteur de tous les fournisseurs, cela contribue à ralentir la diffusion de la virtualisation dans les datacenters. Manquerait plus que les utilisateurs gagnent aussi en autonomie. (...)

(19/12/2007 11:42:50)

Un standard commun pour les serveurs lames serait en discussion

Vieux serpent de mer, l'idée d'un standard commun pour les serveurs lames refait surface, suite à une petite phrase de Bernhard Brandwitte, responsable marketing Europe de Fujitsu Siemens : « Les principaux fournisseurs de blades sont en cours de discussion afin de trouver des façons de standardiser l'écosystème pour les blades. » Aujourd'hui, les serveurs sous forme de lames viennent s'enficher dans un châssis fourni par le même constructeur. Et tous ne garantissent pas la compatibilité de toutes leurs lames avec tous leurs châssis. C'est justement un aspect qui fait peur à certaines DSI : opter pour une infrastructure serveur sous forme de blades signifie qu'on doit acquérir un châssis auprès d'un constructeur, puis rester dépendant de ce constructeur pour les lames et les éléments complémentaires qu'on viendra enficher dans le châssis. Un standard annulerait ce lien unique avec son fournisseur et permettrait de faire jouer la concurrence. D'ores et déjà, certains font des efforts. IBM par exemple, qui fêtait il y a quelques jours les 5 ans de sa gamme Blade Servers, indiquait ainsi que toutes ses lames sont compatibles avec tous ses châssis. Et le constructeur a dès le début publié ses spécifications sur blade.org afin d'attirer le maximum de partenaires, fabricants de commutateurs pour les réseaux et le stockage. Un beau geste qui le sert, puisque IBM peut ainsi revendre ces switches. Comme l'expliquait Nicolas Mahé, chef de produits serveurs lames, « ce qui coûte cher dans une infrastructure blade, ce n'est pas le châssis, ce sont les switches qu'on peut mettre à l'intérieur ». Bien que le responsable de Fujitsu Siemens ait indiqué que les discussions duraient déjà depuis plus d'un an, les principaux vendeurs de serveurs lames, HP et IBM, se refusent, eux, à tout commentaire sur le sujet. Un de leurs arguments habituels est que mixer des lames au sein d'un châssis risque d'entraîner de la confusion, chacun se targuant d'offrir la meilleure intégration possible. (...)

(19/12/2007 11:16:36)

AMD baisse le prix de ses Phenom

Après avoir dû reconnaître que le Phenom avait bien été victime d'un bug, AMD veut redorer le blason de son processeur quatre coeurs en en diminuant les tarifs. Dans quelques jours la version 9500 de la puce devrait ainsi passer sous la barre des 200 € tandis que le modèle 9600 devrait se négocier aux environs de 210 €. A partir du 7 janvier, une seconde vague de baisse des prix devrait être annoncée par le fondeur. Elle concernera cette fois-ci ses gammes de processeurs simple coeur et double coeur. (...)

(18/12/2007 17:46:28)

Accord entre la SFLC et Xterasys autour de la BusyBox

Le SFLC (Software Freedom Law Center) vient d'annoncer qu'il était parvenu à un accord avec Xterasys qu'il accusait de violer les termes de la licence libre GPL pour la suite d'utilitaires BusyBox. Le SFLC, qui a également touché des dommages-intérêts au montant confidentiel, a annoncé que le fabriquant d'équipements réseau Xterasys allait mettre à disposition le code source de BusyBox. Xterasys s'est même engagé à nommer un responsable chargé de s'assurer qu'à l'avenir l'esprit et la lettre de la licence GPL seront respectés. Cette BusyBox est au coeur d'autres procédures pour les mêmes raisons. Celle contre Monsoon a connu la même issue que celle contre Xterasys. En revanche, les procès contre High-Gain Antennas et Verizon Communications sont toujours en cours. (...)

(18/12/2007 17:43:23)

Adobe clôt l'exercice 2007 en fanfare

4e trimestre 2007 (clôture le 30 novembre) Chiffre d'affaires : 911 M$ (+33%) Bénéfices nets : 222 M$ (+21,3%) Exercice 2007 Chiffre d'affaires : 3,15 Md$ (+22,6%) Bénéfices nets : 723,8 M$ (+43%) Adobe achève son année fiscale sur un dernier trimestre en fanfare. Selon l'éditeur, l'excellence des résultats - qui dépassent les prévisions des analystes - démontre le succès de la Creative Suite 3 et de ses nombreuses déclinaisons auprès des développeurs. Au terme de cette année fiscale, la bonne santé d'Adobe montre que l'inventeur du format PDF a bien réussi sa mutation de l'écrit vers Internet. Le rachat de Macromedia (Flash Player) en 2005 est en particulier, une réussite. Si l'on considère les logiciels structurants et leur écosystème, on peut dire que, désormais, Adobe occupe une place stratégique dans l'univers du online. Là, il pèse suffisamment lourd pour résister aux produits de Microsoft et, dans une moindre mesure, à la galaxie Java. Adobe est aussi un pavé dans la mare du logiciel libre qui avait pourtant fait du Web son terrain de prédilection. (...)

(18/12/2007 16:53:36)

Oracle France taille de nouveau dans ses effectifs

Quelques semaines après la fusion juridique avec le spécialiste du décisionnel Hyperion, Oracle France annonce un nouveau plan de sauvegarde de l'emploi (PSE). L'annonce de 36 suppressions de postes vient en effet d'être soumise au CE par la direction de l'éditeur de bases de données, rapporte la CFDT. Comme à l'été 2006, ce sont les services de back-office qui seront les plus touchés dans l'Hexagone, avec des réductions de postes intervenant dans les départements gestion des contrats (-75%), ressources humaines(-50%), et marketing (-50%). Contactée par Lemondeinformatique.fr, la direction d'Oracle confirme le déploiement d'un PSE dans sa filiale française. Du côté des syndicats, ces suppressions d'emplois sont la conséquence de la politique de rachats menée avec frénésie par Oracle. « A chaque acquisition, se dessine une nouvelle structure qui donne lieu à des réductions d'effectifs supplémentaires, commente Franck Pramotton délégué syndical CFDT. Cela s'est vérifié en 2006, lors du rachat de Siebel par Oracle [2 000 suppressions de postes dans le monde, NDLR] et également en janvier 2005, à l'occasion de l'acquisition, par l'éditeur, de Peoplesoft [5 000 postes supprimés dans le monde, NDLR] Pour l'heure, nous attendons que la direction de la filiale française propose des mesures de reclassement à destination de ses salariés. » Selon le délégué syndical, les réductions d'effectifs sont aussi le résultat de la centralisation progressive des fonctions marketing et administratives dans plusieurs pays d'Europe (la DAF européenne se concentre à Bucarest et à Dublin), des mesures prises par l'éditeur pour rationaliser ses coûts. (...)

(18/12/2007 16:08:46)

Démission du PDG de Gateway

ED Coleman, le PDG de Gateway, vient d'annoncer qu'il démissionnerait de son poste fin janvier. Gateway, spécialiste du PC aux Etats-Unis, a été racheté par le Taiwanais Acer en octobre pour 710 M$. Coleman avait notamment géré la phase de transition et d'intégration entre les deux sociétés. Il ne participera à sa conclusion. Rudi Schmidleithner, patron de la division Pan-America d'Acer prendra les rênes de Gateway. Dans un communiqué, Acer remercie Coleman pour sa contribution au rachat, tout en ajoutant que lui seul a décidé de partir. Sans invoquer de raison. (...)

(18/12/2007 12:35:48)

La consommation des serveurs toujours en hausse

Selon une étude de Jonathan Loomey, chercheur à l'université de Standford, parrainée par AMD, malgré toutes les annonces pour une informatique « verte », la consommation mondiale des serveurs ne va pas diminuer dans les prochaines années. En se basant sur des chiffres IDC, il estime, au contraire, qu'elle risque de doubler d'ici à 2010, pour atteindre l'équivalent de la production de 24 centrales nucléaires à 100 mégawatts (soit une augmentation équivalente à 10 centrales nucléaires de plus). Cette croissance s'explique principalement par le développement des besoins informatiques dans la zone Asie-Pacifique. Si en 2005, les salles de serveurs implantées aux Etats-Unis et en Europe représentaient les deux tiers de la consommation totale, cette tendance risque de s'inverser. La consommation en Asie croit de 23 % par an, alors qu'au niveau mondial, elle ne croit que de 16 %. A elle seule, cette région nécessitera l'équivalent de la production de deux centrales nucléaires supplémentaires d'ici à 2010. (...)

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