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(20/11/2007 08:48:16)

Microsoft retarde de six mois sa conférence WinHEC 2008

Ce serait à la demande de l'industrie que Microsoft a décidé de reporter de six mois sa conférence WinHEC. C'est au cours de cette Windows Hardware Engineering Conference que sont présentées les évolutions des plates-formes Windows à l'ensemble des fabricants de matériels. La WinHEC, qui se tient habituellement au début du printemps, a été reportée à l'automne. Entre-temps, Microsoft organisera des conférences sur des thèmes ponctuels. Pour l'heure, aucune autre explication n'a été donnée. On peut gratuitement supputer que Microsoft va s'intéresser de plus près à la téléphonie mobile. Il serait alors logique de décaler la WinHEC 2008 pour donner le plus d'écho possible aux nouvelles spécifications. (...)

(19/11/2007 18:00:38)

Software AG met deux produits en mode maintenance

A l'occasion d'Integration World 2007, le patron de la R&D de la division WebMethods de Software AG, Peter Kürpick, a fait la lumière sur quelques chevauchements de produits, issus de la fusion entre les deux sociétés. Ainsi, Service Orchestrator, l'ESB de Software AG, sera mis en mode maintenance pour cinq ans, et l'éditeur confirme qu'il ne fera plus évoluer le produit. L'enjeu est de taille, raconte-t-il dans une interview publié sur www.lemondeinformatique.fr, car Service Orchestrator est utilisé par une base de plus de 200 clients. Moins problématique, selon lui, est la mise au repos du produit Ajax Web 2.0 de Software AG au profit de celui de WebMethods. Ce produit sera supporté encore cinq ans, lui aussi. Mais ce dernier dispose d'une base installée moindre, l'outil étant sorti très récemment. Dans cette même interview, Peter Kürpick parle également des évolutions de la prochaine plateforme WebMethods. Lire l'interview de Peter Kürpick (...)

(19/11/2007 17:36:46)

Sondage flash: nos lecteurs veulent un noyau Windows ultra-léger

Trop lourd Windows. Près de trois lecteurs du mondeinformatique.fr sur quatre estiment ainsi que les prochaines évolutions de Windows devraient embarquer un noyau beaucoup plus léger que celui fourni notamment avec Vista et qu'il soit complété avec une offre de services en ligne. Quelque 74,5% (891 répondants) trouvent l'OS de Microsoft trop lourd, voire indigeste pour leur matériel, qui peine à tenir la cadence des multiples fonctionnalités, certes passionnantes, mais trop gourmandes en ressources. Mettant ainsi en branle la traditionnelle image du système Desktop multiservice et multicompétence. Un message que l'éditeur semble avoir entendu. Et, sous la pression de notamment Google, IBM ou d'acteurs comme Salesforce.com, travaille à une évolution du poste travail qui combine logiciel et service. Software plus Service (S+S) dans le jargon de Microsoft. En outre, les quelques pistes récemment livrées sur le successeur de Windows (nom de code MinWin) laissent penser que l'OS sera considérablement allégé. L'éditeur se fixant comme objectif de créer un noyau universel, pouvant tourner sur tout type de périphériques, mobiles compris. Reste que pour 25,5% de nos lecteurs, le client lourd a encore tout ses chances. 305 participants à notre sondage souhaitent une évolution du système basée sur un noyau toujours plus riche en fonctionnalités. Quitte à alourdir les processus. Le matériel, tant serveur que poste de travail, devra alors suivre. Et les déclinaisons pour mobiles et systèmes embarqués perdurer. (...)

(19/11/2007 16:59:14)

Oracle enregistre 1 500 entreprises clientes pour son support de Linux

Sur les six derniers mois, l'adhésion à Unbreakable Linux s'est accélérée, s'est félicité Larry Ellison, CEO d'Oracle. Au cours de cette période, plus de 1 450 entreprises ont adopté l'offre de support lancée il y a un an par Oracle autour du système d'exploitation Linux de Red Hat, également déclinée, plus récemment, pour Oracle Enterprise Linux, clone de Red Hat Enterprise Linux AS. En y ajoutant les deux douzaines de clients gagnés sur les six premiers mois, l'offre de support a donc récolté 1 500 clients en un an, « pratiquement sans aucun effort commercial, alors même que nous étions en train de constituer notre équipe de vente », a souligné Larry Ellison en clôture de sa conférence OpenWorld, mercredi dernier à San Francisco. Il est vrai que le tarif d'Unbreakable Linux est deux fois moins élevé que celui du support fourni par Red Hat. Pour un prix allant de 99 à 2 000 dollars par an, le programme délivre aussi une assistance pour les applications tournant sur Red Hat Enterprise Linux et sur Oracle Enterprise Linux. Un seul interlocuteur simplifie le support Interrogé sur OpenWorld par nos confrères de ComputerWorld, Tim Heath, administrateur de base de données senior chez Yahoo, a précisé que son entreprise s'était tournée vers le support proposé par Oracle à la suite d'expériences décevantes avec Red Hat. « Nous avons rencontré quelques bugs après le lancement de RHEL 5, et nous n'avons pas pu amener Red Hat à les corriger. » Yahoo, qui exploite Red Hat Linux sur 50 000 de ses 150 000 serveurs, a souscrit à la fois aux supports d'Oracle et de Red Hat. « Nous apprécions qu'ils se mesurent l'un à l'autre pour résoudre les bugs plus rapidement », a admis Tim Heath. Et surtout, l'avantage de n'avoir qu'un seul interlocuteur pour le support évite que les fournisseurs se renvoient la balle pour répondre aux questions. Oracle dit rassembler plus de 9 000 développeurs travaillant sur les logiciels tournant sur Linux, nombre d'entre eux s'attelant aux bugs et intervenant sur Unbreakable Linux. Une force qu'Oracle a beau jeu de comparer aux 2 000 employés de Red Hat. Malgré cela, Red Hat reste l'élément fort du marché Linux en entreprise. Des milliers de clients ont recours à son support. Sur son dernier trimestre, le chiffre d'affaires des souscriptions, incluant les contrats de support, se sont élevés à 109,2 M$ (+29% par rapport à l'an dernier). Et ses vingt-cinq premiers souscripteurs ont tous renouvelé leur contrat à un niveau correspondant à 122% de leur précédent contrat, a précisé Red Hat. (...)

(19/11/2007 16:19:29)

Les Etats-Unis recyclent leurs e-déchets en polluant les pays pauvres

Les Américains considèrent qu'ils contribuent à préserver l'environnement lorsqu'ils recyclent leurs vieux PC, leurs télévisions ou leurs téléphones cellulaires. En réalité, leur négligence en matière d'environnement les place comme les principaux contributeurs d'une décharge électronique qui met en danger les populations et qui pollue les environnements des pays les plus pauvres. Selon nos confrères d'Associated Press, des activistes écologiques estiment que 50% à 80% des 300 000 à 400 000 tonnes de déchets électroniques produits aux Etats-Unis sont envoyés en Chine, en Inde et également au Niger. Dans ces pays, mieux vaut fermer les yeux sur les méthodes employées : ainsi, les populations doivent y aller au marteau, au chalumeau, et même à mains nues pour extraire les métaux, le verre et autres matériaux recyclables, exposant leur propre personne, et l'environnement qui les entoure, à un cocktail géant de produits chimiques. «Les déchets sont peut-être recyclés, outre-Atlantique, mais de la façon la plus horrible qui soit, a déclaré l'un des membres de la Basel Action Network (BAN), une association écologique basée à Seattle qui lutte contre le commerce toxique au niveau mondial. La réalité est que les Américains préservent leur environnement en contaminant le reste des pays du monde. » Le phénomène pourrait aller en s'amplifiant, d'après l'Agence américaine pour la protection de l'environnement : celle-ci estime que, chaque année, plus de deux millions de tonnes de déchets électroniques sont produits aux Etats-Unis et ces derniers seraient de plus en plus nombreux à considérer l'ensevelissement des déchets comme une perte de temps. Certains brokers allant même jusqu'à déclarer qu'ils préfèrent exporter leur matériel pour venir en aide aux pays les plus pauvres. (...)

(19/11/2007 16:19:34)

La rumeur de rachat de Yahoo par Microsoft resurgit

Si Microsoft est sérieux lorsqu'il dit vouloir passer de 10 à 30% de parts de marché dans la recherche en ligne, alors il n'a qu'à acheter Yahoo. C'est en substance ce qu'écrit un ex-analyste financier de Wall Street, Henry Blodget, désormais blogueur sur The Huffington Post. Ce n'est pas la première fois que l'éventualité d'un rachat de Yahoo par Microsoft fait surface. Le rumeur s'était même faite insistante avant l'annonce de l'acquisition d'aQuantive, la plus grosse que Microsoft ait jamais réalisée. Elle resurgit cette fois à la suite d'une intervention de Kevin Johnson, président de la division plateformes et services, qui a décrit les objectifs de Microsoft en matière de recherche sur Internet à un parterre d'analystes jeudi à Seattle. Sachant que Microsoft veut passer de 10 à 30%, et que selon les chiffres du cabinet d'étude Compete, l'éditeur était en septembre à 9,2%, Yahoo à 19% et Google à 67%, alors « racheter Yahoo donnerait à Microsoft une part de marché de 30% instantanément », écrit Henry Blodget. Henry Blodget note encore que la division 'online' de Microsoft perd encore un milliard de dollars chaque année, et qu'un tel rachat serait donc plutôt bénéfique pour Microsoft. Mais « désastreux pour Yahoo, qui a déjà assez de mal à lutter de son côté contre Google ». En tout cas, les actionnaires flairent le bon coup : l'action Yahoo a pris 6% en quelques heures. (...)

(19/11/2007 13:17:17)

MicroStrategy veut rester indépendant

« Nous sommes très attachés à l'idée d'une activité décisionnelle indépendante», a affirmé Sanju Bansal, co-fondateur de MicroStrategy, à nos confrères de Network World, au cours d'un entretien téléphonique en fin de semaine dernière. MicroStrategy est certes une société cotée. Néanmoins, Sanju Bansal précise que son équipe de direction dispose d'un contrôle renforcé en vertu de la possession d'actions dites « super-voting » octroyant à ceux qui les détiennent des droits de vote plus importants. « Une offre d'achat inamicale peut toujours être tentée sur la société, poursuit son co-fondateur et directeur général, mais elle n'aboutira pas sans le consentement de ses dirigeants. » Indépendant des plateformes Cette réaction de Sanju Bansal intervient quelques jours après le rachat de Cognos par IBM pour 5 Md$, dernière acquisition en date d'un éditeur de solutions décisionnelles indépendant. Les analystes s'attendent effectivement à d'autres rachats dans la foulée et les spéculations vont bon train pour établir lequel, parmi les acteurs du décisionnel encore indépendants, sera le prochain à tomber dans l'escarcelle d'un géant de l'industrie informatique. Pour Sanju Bansal, MicroStrategy est « la Suisse » du décisionnel. Il rappelle que les solutions que sa société développe sont optimisées pour fonctionner sur toutes les plateformes. « Elles s'utilisent avec toutes les bases de données, tous les progiciels de gestion intégrés, tous les systèmes d'exploitation et tous les portails Web, précise-t-il. De nombreux directeurs informatiques préfèrent choisir un modèle ouvert qui ne les enferme pas dans un environnement ». HP et EMC comme acheteurs potentiels Le jour même du rachat de Cognos, le cours de l'action de Microstrategy a grimpé de cinq points, rappelle Bruce Richardson, analyste pour AMR Research, qui note que l'éditeur est désormais valorisé à 1,78 Md$. Autres cibles potentielles selon lui, Informatica, actuellement valorisée 1,41 Md$, de même que SAS (NDLR, le moins probable à ce stade en raison de l'esprit d'indépendance de son fondateur) et Information Builders, même si leur statut de société privée rend les choses moins transparentes. Parmi les acheteurs potentiels, Bruce Richardson cite bien sûr HP en tête de liste (on l'attendait déjà sur le rachat de Cognos), EMC et Microsoft. Ce dernier ayant déjà effectué des rachats dans la sphère décisionnelle, HP et EMC sont plus probables, juge l'analyste. (...)

(19/11/2007 12:36:20)

No comment de Sun et de Google sur la machine virtuelle d'Android

Google et Sun vont-ils s'engager dans une bataille sur la propriété intellectuelle autour de Java ? Google a en effet dévoilé la semaine dernière le kit de développement (SDK) de sa plateforme pour téléphones mobiles Android, qui fait appel à Java, sans pour autant reposer sur la plateforme de Sun. Les développements pour Android se feront bien en Java, mais Google propose en fait sa propre machine virtuelle, Dalvik, pour interpréter le code (après une simple conversion, qui pourra être effectuée à l'aide d'un outil inclus dans le SDK). Ingénieur italien membre des Labs de la fondation Apache, Stefano Mazzocchi a décortiqué l'annonce de Google et conclu que ce dernier cherchait à contourner les droits attachés à JME (Java Micro Edition), la plateforme de Sun pour téléphones mobiles. Les fabricants d'appareils utilisant JME doivent en effet reverser des royalties à Sun. Or, Android serait de son côté distribué sous licence Apache, et donc librement utilisable par les fabricants. On peut y voir un autre intérêt : partant d'une feuille vierge, Google peut concevoir une machine virtuelle optimisée pour les mobiles actuels. Sun et Google ont tous deux refusé, pour l'instant, de s'exprimer publiquement sur cette pomme de discorde. (...)

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