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(19/11/2007 11:48:42)

Garmin laisse Tomtom racheter Télé Atlas

Garmin laisse finalement le champ libre à Tomtom. Ce dernier devrait finalement se payer Télé Atlas pour 2,9 Md€ et se positionner comme un acteur poids lourd sur le marché de la géolocalisation. Garmin était venu jouer les troublions dans le processus de rachat de Télé Atlas par Tomtom en jouant la carte de la surenchère. L'Européen avait alors dû revoir son offre à la hausse. C'est cette dernière que Télé Atlas a retenu. Du coup, l'Américain Garmin se tourne à nouveau vers la concurrence pour son offre de cartographie. Et renouvelle son partenariat avec Navteq, désormais propriété de Nokia. Le Finlandais a acquis le groupe pour 5,7 Md€ en octobre. L'accord, qui porte sur 6 ans, fait de Navteq le fournisseur officiel de carte de Garmin. (...)

(16/11/2007 17:55:18)

OpenWorld : les premières pièces de Fusion Applications

C'est sur la présentation des trois premiers produits de sa nouvelle génération d'applications, Fusion Applications, que Larry Ellison, PDG d'Oracle, a clos l'édition 2007 de sa conférence utilisateurs OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre). Il s'agit de trois offres destinées aux équipes commerciales : Oracle Sales Prospector, Oracle Sales References et Oracle Sales Tools. Les fonctions qu'elles apportent sont complémentaires aux outils de gestion de la relation client (GRC) qui existent déjà, Siebel CRM notamment. Larry Ellison les qualifie d'outils de GRC de 2ème génération, Salesforce et Siebel constituant la 1ère génération. Oracle Sales Prospector s'appuie sur du datamining pour déterminer quels sont les produits achetés par les clients afin de leur suggérer d'autres achats, en lien avec ceux qu'ils ont déjà faits. Oracle Sales References va servir à déterminer quels clients satisfaits peuvent servir de références à présenter à de nouveaux prospects. Oracle Sales Tools, enfin, s'appuie sur un concept de réseau social pour permettre le partage de présentations commerciales. Ces produits sont attendus pour le premier semestre 2008. Ces trois nouvelles solutions ont vocation à cohabiter avec l'existant, à l'instar de tous les produits à venir dans la gamme Fusion Applications. « Il y aura une longue période de cohabition (entre les anciennes applications et les nouvelles), a rappelé Larry Ellison. On ne peut pas tout changer d'un seul coup en appuyant sur un bouton. Notre priorité n°1 est d'assurer une coexistence harmonieuse et c'est ce que permet l'architecture orientée services adoptée pour Fusion Applications. » La deuxième priorité d'Oracle, d'après Larry Ellison, c'est de livrer des outils procurant aux clients un gain véritablement mesurable (selon leur demande expresse), et la troisième, d'offrir pour chaque nouvelle application le choix entre une installation interne ou un mode « on demand », c'est-à-dire en ligne et immédiatement accessible. On le voit, les toutes premières offres de Fusion Applications apportent des outils supplémentaires. Il ne s'agit pas encore des offres existantes (e-Business Suite, PeopleSoft Enterprise, JD Edwards EnterpriseOne et World) redéveloppées pour l'architecture SOA. Celles-ci arriveront petit à petit, module par module, assure Larry Ellison. Le PDG maintient la date de 2008 pour l'arrivée des premiers éléments revisités à la sauce SOA. (...)

(16/11/2007 17:17:49)

Dell met la main sur Everdream, spécialiste de l'administration à distance

Michael Dell fait des problèmes de la gestion des systèmes d'information son cheval de bataille, en particulier celle des postes clients. Dell vient en effet d'annoncer l'acquisition d'Everdream, qui vient compléter celle de Silverback Technologies en juillet, un autre spécialiste de l'administration à distance. Le montant de la transaction, qui devrait se clore ce trimestre, n'a pas été dévoilé. On peut aussi considérer que la signature d'un accord avec Citrix pour vendre un package matériel / logiciel pour clients légers s'inscrit dans la même perspective. (...)

(16/11/2007 16:59:41)

Green500 : puissance et économie d'énergie ne font pas bon ménage

On connaissait le Top500 des ordinateurs les plus puissants du monde. Deux professeurs de l'université de VirginiaTech ont décidé de lancer le Green500 listant les supercalculateurs par efficacité énergitique. Sans surprise, l'ordre d'arrivée change considérablement. Ainsi, à l'exception notable du Blue Gene/P system d'IBM installé à Forschungszentrum Juelich en Allemagne qui se classe à la 4e position du Green500 en étant 2e du Top500, la plupart des ordinateurs en tête de ce nouveau classement sont entre la 20e et la 150e position du Top500. Deux éléments expliquent ce résultat. Tout d'abord, la dépense énergitique propre des machines. Le premier du Top500, le Blue Gene/L system a une capacité de 205,27 Mflops par watt consommé, alors que le premier du Green500, le Blue Gene/ P system du laboratoire Dalesbury (121e du Top 500) produit 357,23 Mflops par watt consommé. Mais le deuxième élément - la méthodologie de l'étude - vient tempérer ce classement. En effet, les auteurs n'ont eu accès qu'aux consommations énergétiques de 200 des 500 superordinateurs classés par le Top 500. Pour les 300 autres, les résultats sont basés sur les spécifications des systèmes et une estimation de leur consommation en pic de charge. Ce qui manque de précision. Et devra être affiné lors de la prochaine édition de ce classement. (...)

(16/11/2007 16:50:57)

VMWare rabat le caquet d'Oracle sur les performances de sa VM

"Trois fois plus efficace que les autres solutions de virtualisation sur architecture x86". Cette affirmation d'Oracle à propos d'Oracle VM, sa toute nouvelle offre de virtualisation, a fait bondir VMWare, l'actuel numéro un du secteur. Quelques heures après, s'affichait sur le blog de l'équipe technique de VMWare un article intitulé "dix raisons pour lesquelles les bases Oracle fonctionnent mieux sur VMWare." La première affirmation est, bien sûr, la plus importante : sous ESX, un SGBD Oracle fonctionnerait (presque) aussi vite qu'en mode natif. Difficile de faire mieux. Est ensuite évoqué la capacité d'ESX à supporter 63 000 accès par seconde, soit cinquante fois ce que génère habituellement une base. Enfin, VMWare rappelle que la dernière version de son hyperviseur permet de dédier 64 Go de mémoire vive à une base. L'article est suffisamment long et détaillé pour que l'on comprenne très vite que l'argumentaire était déjà prêt. A cela rien d'étonnant puisque Oracle VM n'est qu'une des itérations de l'hyperviseur Xen sur Linux. Et, d'ailleurs, Larry Ellison est à la fois le roi des rodomontades et un monstre de pragmatisme : sa société reste partenaire de VMWare. A peine quelques semaines après sa découverte par le grand public à la suite de sa mirobolante introduction en bourse, VMWare doit s'habituer au fait que l'on peut être à la fois la coqueluche des marchés financiers et la bête noire de tous les éditeurs logiciels. A moins qu'il ne s'agisse des deux faces de la même médaille. (...)

(16/11/2007 16:08:26)

Arès déçoit mais se maintient grâce à son activité progiciels

Résultats semestriels 2007 : CA : 162,3 M€ (-5,1%) Ares vient de publier des résultats semestriels décevants : le chiffre d'affaires chute à 162,3 M€, contre 171 M€ à la même période de l'année dernière, soit une baisse de 5,1%. Le groupe se veut toutefois optimiste, et compte notamment sur la progression de son offre « Services et progiciels » (+10%) pour redresser la barre. « Ces activités (infogérance, services, développement) pèsent désormais 42% de notre chiffre d'affaires, contre 36% il y a un an » a précisé le groupe. La direction générale a par ailleurs indiqué son intention de s'appuyer sur cette partie de son activité pour « maintenir un retour à un résultat opérationnel positif ». (...)

(16/11/2007 15:02:03)

Sun et Unisys : contrat renouvelé pour trois ans

Visiblement satisfait de ses relations avec Unisys France, Sun Microsystems a décidé de prolonger le contrat de services d'externalisation qui le relie à la SSII française. Initialement annuel et renouvelable (depuis 1991), ce partenariat d'outsourcing porte désormais sur trois ans. « Après deux renouvellements annuels, Sun s'engage durablement auprès d'Unisys France en lui accordant sa confiance sur trois ans. Ce renforcement de la relation prouve combien nous sommes heureux du travail et de l'expertise des techniciens et consultants d'Unisys France », a précisé Gérard Raimbert, responsable des partenariats chez Sun. Unisys a été choisi pour sa capacité à « apporter la visibilité requise pour atteindre le niveau de transparence et de prévisibilité nécessaire pour garantir des opérations commerciales fiables », d'après Sun. Les solutions de la SSII utilisent en effet une approche 3D-VE (Visible Entreprise), qui apporte aux clients la possibilité de voir les liens de cause à effet entre stratégie commerciale, processus et besoins informatiques, puis d'intervenir en conséquence. « Cette capacité assure la prise de décisions informées, fiabilise les opérations, et évite les impacts et les coûts imprévus, pouvant empêcher la réalisation efficace de tâches », précise encore Sun. En tout, soixante collaborateurs d'Unisys se consacreront à Sun en France (une dizaine en région parisienne, les autres se situant en province). Le support technique d'Unisys sera disponible 7J/7, et 24H/24. (...)

(16/11/2007 13:42:23)

Capgemini signe son premier contrat Google Apps avec... lui-même

Capgemini montre l'exemple. L'intégrateur, premier à intégrer les Google Apps dans son offre de support, vient de signer son premier contrat reposant sur les applications bureautiques en ligne de Google. La SSII équipera elle-même son centre d'appel du Kansas de l'édition Premier (40 € par utilisateur et par an) des outils du moteur de recherche, qui compilent notamment Document, Gtalk, Gmail et Google Calendar. Lancées en février 2002 dans les jambes de Microsoft Office, les Google Apps ont pour l'heure connu un succès d'estime auprès des entreprises. Les analystes estiment pour leur part la suite Google rudimentaire et pas prête à remplacer une suite bureautique traditionnelle. Un sentiment également partagé par nos lecteurs. Depuis, pour davantage séduire le marché professionnel, Google a renforcé la sécurité de ses applications en intégrant la technologie de Postini. Dans un communiqué, Capgemini explique combien la prise en main des Google Apps est conviviale pour les 165 employés de son centre d'appel et combien son intégration aux outils de GRC (Gestion relation clients) dope la productivité. (...)

(16/11/2007 11:28:42)

VeoSearch lève 675 000 euros

VeoSearch, le « moteur de recherche solidaire » comme le définissent ses fondateurs, deux étudiants de 24 ans fraîchement sortis d'HEC, annonce une première levée de fonds d'un montant de 675 000 euros auprès de trois investisseurs (Adverline, une régie publicitaire en ligne, Alitis, une société de conseil dirigée par un business angel et Phitrust Partenaire, spécialisé dans l'investissement solidaire). Créée en août dernier, VeoSearch revendique 60 000 visiteurs uniques pour le mois d'octobre. Il s'agit d'un multimoteur de recherche « solidaire ». Le principe est simple : à chaque recherche effectuée sur VeoSearch, l'internaute est automatiquement redirigé vers le moteur de son choix, avec une qualité de réponse strictement identique. Seule différence : une partie des revenus publicitaires générés (50% très exactement) servent à financer des projets associatifs liés à trois grands thèmes du développement durable : engagement pour l'homme, respect de la nature et pratiques économiques durables. « L'idée de créer ce moteur solidaire nous est venue en consultant les résultats trimestriels de Google. Des sommes astronomiques circulent sur Internet via la publicité, il nous a semblé pertinent de réinjecter une partie de ces revenus à des associations », explique Arthur Saint-Père, l'un des deux fondateurs de VeoSarch. VeoSearch compte à ce jour 6640 inscrits et a comptabilisé plus de deux millions de recherches depuis sa création, ce qui lui permet de soutenir 17 associations. « A terme, nous espérons soutenir une cinquantaine d'associations, pas plus, car les revenus risqueraient d'être trop dilués », détaille Arthur Saint-Père. Le moteur de recherche compte sur la levée de fonds réalisée pour développer ses outils de recherche, améliorer son interface (notamment en termes de visibilité des associations soutenues), structurer sa stratégie de communication et renforcer son équipe. (...)

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