Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 6901 à 6910.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(10/09/2007 16:44:45)

Google, autorisé à conseiller dans le procès antitrust contre Microsoft

Colleen Kollar-Kotelly, la juge fédérale en charge du procès antitrust contre Microsoft aux Etats-Unis, vient d'autoriser Google à intervenir en tant que conseiller (amicus, une particularité en droit américain) dans les débats autour du litige sur les fonctionnalités de recherche intégrées à Vista. En juin 2007, Microsoft prenait la décision de modifier les fonctions d'indexation et de recherche de Vista (qui seront actives avec le SP1), suite à une plainte de Google. Selon ce dernier, Vista détournait les utilisateurs des autres programmes de recherches. Google estimait toutefois ces modifications insuffisantes. Bien que la juge n'approuve toujours pas l'intervention de Google en tant que partie - une position qu'elle soutient depuis juin -, elle donne à Google la possibilité d'agir en tant que conseiller en fournissant notamment un document. Selon elle, le ministère de la Justice « représente suffisamment les consommateurs ». (...)

(10/09/2007 12:58:51)

Restructuration annoncée chez Juniper

Face à des analystes financiers, Stephen Elop, directeur opérationnel de Juniper Networks, a affirmé que la société se lance dans une phase de transformation pour adapter les « 4P » (Planning, Productivité, Personnel et Processus) à l'entreprise. Le but étant de s'adapter aux évolutions du marché : gagner des parts de marché dans des secteurs clés, faire des économies d'échelle et de processus en s'appuyant sur des stratégies de vente plus claires, et des prises de décisions plus rapides. Ces changements interviendront notamment sur le marché des entreprises où, malgré ses 5 milliards de dollars d'investissements en trois ans (principalement par le biais d'acquisitions), la société n'a encore pas convaincu. « Les forces de vente pour les prestataires de services sont adéquates, la partie entreprise est plus disputée », précise Stephen Elop en soulignant le point principal à améliorer via les « 4P ». (...)

(10/09/2007 14:22:54)

La fibre optique G652 devrait suffire aux futurs grands réseaux haut débit

C'est à l'occasion de la grande conférence européenne sur les communications optiques se tenant à Berlin (ECOC 2007) du 16 au 19 septembre, que le résultat d'une étude comparative sur les fibres optiques à employer pour accroître les débits véhiculés dans les réseaux de transport optiques longue distance sera divulgué. Selon cette communication, la fibre ITU-T G.652, traditionnellement utilisée par les opérateurs historiques de télécommunications, permet d'acheminer un flux de données multiplexées en longueur d'onde (WDM) à un débit par longueur d'onde de 40 Gbit/s sur des distances de l'ordre de 2000 km avec une bonne qualité de signal en réception. Les futurs systèmes de transmission WDM à 40 Gbit/s devraient être à même de transporter 40 à 80 longueurs d'onde, soit un débit total par fibre de 1.6 à 3.2 Tbit/s. Il s'agit d'une nouvelle étape dans le travail du laboratoire CORE/MCN de la Division Recherche et Développement de France Télécom (Orange Labs), qui étudie la problématique de la montée en débit dans son réseau de transport optique. Des fibres optiques meilleur marché Selon Erwan Pincemin, ingénieur R&D du laboratoire CORE/MCN de France Télécom à Lannion, et cosignataire de l'étude : « Au début des années 2000, on ne connaissait pas très bien le potentiel de la fibre ITU-T G.652 face à la montée en débit et notamment à 40Gbit/s par longueur d'onde. On sait désormais que l'on pourra faire évoluer les réseaux de fibre optique longue distance et haut débit sans changer le type de fibre, ni avoir recours à des fibres optiques trop coûteuses. » En effet, les dernières générations de fibres optiques (fibre à gestion de dispersion type UltraWave), plus chères que leurs ainées, sont capables de transporter les signaux à 40 Gbit/s sur plus de 4000 km. Ce travail est la suite de celui publié le 3 septembre dans la revue Optics Express, où la même équipe montrait que le format CSRZ-DPSK (qui se sert de la phase du signal pour coder l'information) était plus approprié que le format CSRZ-ASK (qui lui se sert de l'amplitude du signal) pour transmettre des informations sur une longue distance. Le format DPSK transmettant les mêmes données deux fois plus loin que son "cousin", c'est ce format qui a été retenu pour faire les tests de la nouvelle publication. Pour Erwan Pincemin, « la prochaine étape consistera à faire les mêmes tests, mais en incluant des OADM (Optical Add Drop Multiplexers), c'est à dire des noeuds qui permettent d'insérer et/ou d'extraire des longueurs d'onde à un multiplex WDM "en cours de route" sans repasser par de coûteuses conversions optique-électrique-optique.» (...)

(10/09/2007 12:14:30)

Sage prend 70 % de XRT, éditeur de logiciels financiers

En moins d'une semaine, Sage procède à une deuxième acquisition en France. Le groupe d'origine britannique, éditeur de logiciels de gestion, acquiert cette fois 70 % du capital de XRT, un spécialiste des logiciels couvrant la chaîne de la valeur financière : trésorerie, recouvrement, règlements et communication bancaire, mais aussi signature électronique, réconciliation et collecte (crédit client). Cette offre s'adresse aux moyennes et grandes entreprises et le domaine qu'elle couvre est totalement différent de l'expertise GRC (gestion de la relation client) pour PME qui a motivé la semaine dernière le rachat de KDP Informatique. Le montant des actions XRT acquises par Sage s'élève à environ 44 M€, payés en numéraire. Avec le catalogue de XRT, Sage renforce de façon significative les solutions de gestion de trésorerie et des paiements qu'il avait constituées en 2003 en rachetant Concept. Les produits qu'il accueille maintenant, la suite financière XRT Universe et XRT Business Exchange (pour les entreprises ayant des salles de marché), sont eux-mêmes le fruit de fusion et de rachats successifs : Cerg Finance, Beyers & Partners et Coveris. A noter que XRT est présent en Espagne. L'offre acquise présente par ailleurs l'intérêt de pouvoir être exploitée en ligne (XRT ASP), l'éditeur assurant lui-même l'hébergement de ses applications pour certains clients, tout en s'appuyant aussi sur des partenaires en région. (...)

(10/09/2007 12:11:46)

Sopra Group se renforce dans le secteur financier avec BAI

Sopra Group projette d'acquérir Business Architects International, un éditeur belge spécialisé dans la gestion des crédits pour les banques et autres établissements financiers. La transaction devrait être finalisée avant la fin du mois de septembre, pour un montant non communiqué. Elle permet à Sopra d'accroître sa présence européenne, ainsi que de consolider sa position dans le secteur de la finance. La SSII propose déjà une panoplie de solutions applicatives, baptisée Evolan, couvrant des domaines comme le crédit à la personne, les moyens de paiement et le reporting. De son côté, BAI compte sur cette opération pour améliorer sa couverture commerciale. Son principal actionnaire, GIMV, a d'ailleurs approuvé le projet. BAI prévoit de réaliser un chiffre d'affaire de 11 M€ en 2007. La société possède des bureaux en Belgique, en France, aux Pays-Bas et en Grande-Bretagne. (...)

(10/09/2007 11:22:32)

Capgemini proposera le support de Google Apps aux entreprises

Peu à peu, les briques de l'offre bureautique professionnelle en ligne de Google se mettent en place. Le moteur de recherches a signé un accord avec Capgemini : la SSII fournira le support aux grandes entreprises choisissant d'utiliser la version payante, Premier Edition, de Google Apps. Forte des fonctionnalités classiques d'une suite bureautique - traitement de texte, tableur, et bientôt un éditeur de diaporamas - Google Apps offre surtout des éléments liés au travail collaboratif : email, agenda, travail en commun sur un document... C'est justement cette dernière fonctionnalité qui fait la différence, pour Capgemini. Comme l'explique dans son blog le directeur technique de la SSII, Andy Mulholland (dans une note écrite avant l'annonce officielle de l'accord), il ne s'agit pas d'opposer Microsoft Office et Google Apps en termes binaires - l'une étant bien, l'autre pas, ou l'une étant pour les grands groupes l'autre non -, mais de s'interroger sur leur utilisation. De fait, la SSII installe et supporte Microsoft Office et continuera de le faire, il lui faut donc trouver un positionnement relatif des deux offres. Andy Mulholland écrit ainsi : « Pour moi, la question est : cherchez-vous un environnement de document hébergé pour travailler de façon collaborative sur une base ad hoc, ou bien cherchez-vous un environnement interne contrôlé pour la gestion de l'information ? » Malgré ses quelque 450 millions d'utilisateurs, et les services en ligne (la gamme Live) récemment lancés, Microsoft Office n'a pas d'offre hébergée équivalente. Pour Microsoft, Office sert la productivité individuelle, tandis que la productivité en équipe est du ressort des autres offres de la gamme Office System, à commencer par le portail Sharepoint. Google est donc en avance sur ce point, mais tous les analystes soulignent le défaut majeur de ce type d'offre : la sécurité. Que celle-ci concerne le fonctionnement, pour des serveurs qu'on n'héberge pas soi-même, ou les documents proprement dits, stockés hors des pare-feu de l'entreprise. En sus des services de mise en place et de synchronisation que Capgemini assurera en vertu de cet accord, la SSII voit donc se profiler devant elle la gestion des applications clientes et la sécurité des données hébergées. (...)

(07/09/2007 15:23:00)

Microsoft veut administrer la virtualisation de bout en bout

L'annonce par Microsoft de l'ajout à ses outils d'administration System Center de Virtual Machine Manager 2007 (alias SCVMM) lui permet de revendiquer une administration complète des projets de virtualisation sous Virtual Server 2005 R2, la petite extension virtualisation de Windows Server 2005. SCVMM sera commercialisé à compter d'octobre prochain dans la suite System Center Server Management. Outre SCVMM, cette suite se compose d'Operations Manager 2007 (OM 2007), de Configuration Manager 2007 (CM 2007) et de Data Protection Manager 2007 (DPM 2007). Selon Microsoft, l'ensemble permet tout d'abord d'évaluer les possibilités de virtualisation à partir des métriques collectées via OM 2007, ensuite d'assurer la configuration des environnements virtuels avec CM 2007 et, enfin, de sauvegarder ces environnements avec DPM 2007. Dans cet ensemble, SCVMM assure le monitoring. Aux Etats-Unis, le tarif pour la suite System Center Server Management est de 1300 $ par serveur. Selon Genevière Koehler, en charge de System Center pour la France, Microsoft proposera à partir de janvier aux PME une version autonome de SCVMM limitée à 5 serveurs. Selon Alain Le Hégarat, chef de produit Windows Serveur, il est possible d'installer 50 à 60 instances virtuelles sur 5 machines. Véritable produit d'appel pour les PME, ce SCVMM for Workgroup se vendra 500$ aux Etats-Unis. Quant à "Carmine", la version de SCVVMM qui supportera Windows Server 2008 et son hyperviseur Viridian, elle entrera en phase bêta prochainement et devrait être disponible peu de temps après l'annonce de ces deux produits. A noter que Microsoft promet que Carmine pourra aussi intégrer le support des logiciels de virtualisation de VMware et de Xen/XenSource. (...)

(07/09/2007 15:10:20)

Sage rachète l'expertise GRC de KDP Informatique

KDP Informatique, acteur français reconnu de la gestion de la relation client (GRC) pour PME, vient d'être racheté par le groupe Sage. Ce dernier récupère ainsi une expertise GRC, peaufinée depuis plus de quinze ans et commercialisée auprès d'un réseau de distributeurs régionaux, en France et en Europe. L'offre est également proposée en ligne en partenariat avec l'hébergeur Aspaway. KDP Informatique compte quelque 2 700 clients et 44 000 utilisateurs. Ces derniers temps, en France, Sage avait surtout procédé à des rachats d'éditeurs métiers pour étoffer son portefeuille d'offres verticales. L'éditeur d'origine britannique poursuit aussi d'autres objectifs, parmi lesquels la conquête des grandes PME avec ses progiciels de gestion (dont l'offre reprise à Adonix) et d'une place de choix sur le marché de la GRC. Sur ce dernier terrain, il a notamment multiplié les logiciels pour mieux cibler les différents segments de PME. Son offre n'en comporte pas moins de trois, de Act ! by Sage pour les petites entreprises, à Sage CRM SalesLogix pour les grandes (jusqu'à 2 000 salariés), en passant par Sage CRM pour les structures de taille intermédiaire (de 30 à 500 personnes). Avec le rachat de KDP Informatique, Sage France montre son intention d'accélérer son déploiement sur le marché PME de la GRC hexagonale (secteur où les éditeurs locaux sont historiquement bien représentés) en s'emparant d'une offre dont il pourra maîtriser localement les développements. (...)

(07/09/2007 12:53:06)

IVM équipe les universités de Basse-Normandie

La société de services IVM (filiale de Télécoms Réseaux Services, CA 2006 : 34,5 M€) a été retenue par la région Basse-Normandie pour équiper les universités du Calvados, de la Manche et de l'Orne. Ce contrat annuel, reconductible sur deux ans, comporte deux volets : un équipement matériel (ordinateurs de bureau, portables, imprimantes, périphériques...), ainsi qu'une série de services, comme la maintenance. Dans le cadre de ce projet, IVM travaillera avec Acer et Fujitsu-Siemens. D'après Robert Martin, président du directoire de Télécom Réseaux Services, « l'adossement d'IVM au groupe Télécom Réseaux Services a été considéré par le client comme un facteur majeur de solidité dans cet appel d'offres, qui a mobilisé de grands distributeurs internationaux ». L'Université de Caen fait désormais partie des cinq clients les plus importants d'IVM. (...)

(07/09/2007 10:55:50)

Publicis se renforce dans la mobilité avec le rachat de Phonevalley

Publicis annonce l'acquisition de Phonevalley, une société française spécialisée dans la communication mobile, pour un montant non communiqué. Cette opération permet au groupe de cristalliser ses ambitions sur le marché des métiers numériques et de la mobilité. En janvier dernier, la société rachetait déjà l'américain Digital. Maurice Lévy, président du directoire de Publicis, commentait à ce sujet : « nous avons perçu bien avant les autres le formidable changement d'échelle du secteur numérique/interactif/mobile, et nous avons pris les premiers l'initiative d'un basculement stratégique. Nous avons ensuite été suivis dans ce mouvement par d'autres, comme Google ou Microsoft. » Avec 2,6 milliards d'abonnés en téléphonie mobile, la publicité sur portables est aujourd'hui considérée comme l'avenir des annonceurs. D'après ZenithOptimedia, la communication sur mobiles devrait générer 1,4 Md$ en 2007 dans le monde, contre 871 M$ un an plus tôt, soit une hausse de plus de 60%. Ce rachat est donc des plus stratégiques pour Publicis. C'est Alexandre Mars, fondateur de Phonevalley (32 ans à peine), qui prendra les rênes du pôle mobile de Publicis Groupe. Phonevalley offre toute une panoplie de services mobiles, comme les SMS, les MMS, l'achat de bannières ainsi que du conseil stratégique. La société emploie 60 personnes, et a réalisé un chiffre d'affaires de 6,7 ME en 2006. Phonevalley a géré plus de 1000 campagnes publicitaires en 2006, pour des clients aussi variés que la SNCF, Virgin, Air France ou encore Canal +. Publicis Groupe est une société de communication et de conseil en achats média dont le siège social se situe à Paris. Présente dans 104 pays, elle compte 42 000 collaborateurs et a enregistré un chiffre d'affaires de 4,39 MdE en 2006. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >