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(13/07/2007 11:57:14)
Osiatis recrute 800 personnes
Osiatis, SSII spécialisée dans l'ingénierie et l'infogérance des systèmes d'information, revoit ses prévisions d'embauche à la hausse. Elle annonce en effet 500 recrutements de plus en France d'ici à la fin de l'année, ce qui porte le nombre d'embauches à 800 personnes en 2007 (contre 650 en 2006). La SSII recherche deux types de profils : des ingénieurs confirmés et spécialisés métier (banques, assurance, distribution, énergie, industrie, transport, etc.) ainsi que des profils spécifiques (chefs de projet, consultants, ingénieurs, etc.) couvrant des prestations variées : architecture, administration systèmes et réseaux, conseil, hot line, production, etc. Les nouvelles recrues interviendront dans les trois secteurs principaux de l'offre d'Osiatis : infogérance et tierce maintenance applicative (TMA), ingénierie applicative et d'infrastructure, ainsi que maintenances des systèmes critiques. Osiatis a également annoncé son souhait d'intégrer des ingénieurs stagiaires intéressés par l'infrastructure et le développement, et ce, dans un souci de préparer l'avenir. Basé à Vélizy, Osiatis emploie près de 3 000 personnes et possède des filiales en Belgique, au Luxembourg, en Espagne et en Autriche. La SSII a réalisé un chiffre d'affaires de 223,9 M€ en 2006, dont 89% en France (CA 2007 non communiqué). (...)
(13/07/2007 09:45:47)IBM lâche encore sur la propriété de ses logiciels
En clamant qu'il fait don de 150 brevets supplémentaires dans le domaine des protocoles, IBM joue avec talent le rôle du gentil géant dans le monde du logiciel libre. Son annonce porte sur des éléments clés concernant l'interopérabilité au niveau des services Web, de SOA, de XML ainsi que d'autres protocoles. Elle traduit une démarche d'assouplissement des règles de gestion de la propriété intellectuelle chez IBM qui s'inscrit dans une prise de conscience générale des sociétés américaines du secteur des TIC. La plupart d'entre elles, y compris Microsoft, ont en effet compris qu'elles ont plus à perdre qu'à gagner au jeu des brevets. La brevetabilité du logiciel - engeance à laquelle échappent encore les pays membres de l'Union européenne - génère une telle insécurité juridique qu'elle coûte beaucoup plus qu'elle ne rapporte. Du moins aux entreprises dont l'objectif est de se développer en innovant et non en déposant des brevets en vue d'éventuels procès. (...)
(12/07/2007 17:55:47)Cisco, EMC et Microsoft collaborent sur la sécurisation des données
Microsoft, EMC et Cisco s'allient pour développer Secure Information Sharing Architecture (SISA), un système de partage de données gouvernementales. L'alliance SISA compte également trois équipementier plus petits : Liquid Machines, Swan Island Networks et Titus Labs. Ensemble, ils préparent une solution qui permettra à un groupe de personnes d'accéder, de stocker et d'échanger des informations protégées au sein de réseaux virtuels sécurisés, ont indiqué des porte-parole d'EMC. Dans le cadre de ce développement, Cisco apportera ses compétences sur la protection des réseaux ainsi que sur les liens virtuels et sécurisés. EMC fournira ses outils de gestion de vie des données et ses systèmes de stockage en réseau. Microsoft implémentera, quant à lui, son logiciel de gestion des identités et partagera son expertise dans les systèmes clients et les systèmes d'exploitation. Les trois autres équipementiers, Liquid Machines, Swan Island Networks et Titus Labs, apporteront respectivement une expertise sur la protection de contenu, une spécialisation dans les environnements de calculs et des outils de classification de documents et d'emails. Selon les représentants des entreprises participantes, le but de l'alliance SISA est de faire tomber les barrières instaurées entre chaque entité gouvernementale, en matière de gestion et de protection des informations. La technologie développée sera proposée aux clients via un réseau de distributeurs. Ces derniers devront avant tout être certifiés par l'Alliance SISA et son programme. La date de la livraison et le prix du système n'ont été pas dévoilés. (...)
(12/07/2007 15:54:14)WPC : Deux outils pour calculer les licences et la migration vers Vista
A l'occasion de sa conférence WPC (Worldwide partner conference), Microsoft a livré à ses partenaires deux outils censés faciliter les propositions d'offres auprès de clients de l'éditeur. Le premier, baptisé LicenceWise, s'attaque au douloureux problème du choix des licences. Le module qui doit, selon Microsoft, « aider à recommander des produits et des modes de licences », reprend les travaux d'un précédent outil, Product Licence Advisor. Ce dernier évalue les besoins en licence d'une entreprise, propose un programme adapté et génére un rapport. LicenceWise permet au revendeur d'accéder à ce rapport et d'y faire sa propre estimation qu'il renvoie alors au client. Le second, Microsoft Vista business Value Assessment, est une extension de Windows Vista hardware Assessment, qui évalue la difficulté d'une migration d'un parc informatique vers Vista en testant notamment le matériel. Le nouvel outil va désormais prendre en compte le TCO (Total cost of ownership - coût total de possession) ainsi que l'impact sur le réseau de l'entreprise. (...)
(12/07/2007 12:43:36)Oracle 11g succède intelligemment à 10g
11g est la première refonte majeure du SGBD Oracle depuis 4 ans. Elle concerne, avec 275 000 entreprises clientes dans le monde, la plus importante part de marché en valeur (47,1% selon le Gartner Group). De l'avis général, 11g est, effectivement, une version charnière. Non seulement ce SGBD améliore nettement les performances de 10g mais aussi, et surtout, il apporte de très nettes améliorations en terme d'administration. Parmi 400 à 500 nouveautés et améliorations, selon les sources, ce sont surtout celles qui concernent "l'intelligence" de 11g qui devraient faire son succès. Oracle insiste à juste titre sur les capacités d'auto-diagnostics, d'auto-administration et d'auto-configuration de son dernier produit. Concrètement, 11g est capable d'optimiser sa gestion mémoire, le partitionnement des données et des tables et de faire remonter des alertes de dysfonctionnement. De quoi faciliter grandement le travail des administrateurs qui disposeront aussi de différents outils pour réduire de façon drastique le temps que prennent les mises à jour et les changements de configuration. Sachant que, obligation de traçabilité et obsession de datamining aidant, la quantité de données stockées dans les SGBD triple tous les deux ans, Oracle met aussi l'accent dans 11g sur la capacité à optimiser le stockage. Le cas d'école mis en avant fait passer la facture systèmes de stockage de 1 million à 60 000 $ ! Qui dit mieux. Toutefois, la mauvaise réputation que s'est forgée Oracle en comblant les failles de sécurité avec une lenteur record peut inciter les utilisateurs à décider qu'il est urgent d'attendre la release 2 de 11g plutôt que d'essuyer les plâtres sans le franc soutien de son éditeur. Au corps défendant d'Oracle, l'éditeur a maintenu 11g neuf mois en phase bêta. Par ailleurs, on est à la limite de la pré-annonce puisque Oracle ne peut que promettre la "sortie" de la version Linux de 11g pour le mois d'août sans être capable de donner des prix ni d'annoncer des dates de "sortie" pour les versions Windows, Unix et grands systèmes. D'après une enquête du club des utilisateurs Oracle, 35% d'entre eux prévoient de migrer vers 11g d'ici douze mois et 50% dans les deux ans qui viennent. Une certitude, Oracle sera bien placé début 2008 lorsque Microsoft lancera la version 2008 de SQL Server, le seul SGBD qui ne cesse de lui grignoter des parts de marché. (...)
(12/07/2007 12:37:46)Business & Decision rachète la société russe DSS
La SSII française Business & Decision vient d'annoncer l'acquisition de Decision Support Systems (DSS), une société de conseil et d'ingénierie russe, spécialisée dans le décisionnel. L'opération a été réalisée en numéraire, pour un montant non-communiqué qui pourra être ré-évalué en fonction des performances ultérieures. Business & Decision est déjà implanté en Amérique du Nord, en Inde, à l'Ile Maurice ainsi que dans divers pays européens. Cette acquisition lui permet d'étendre sa couverture géographique jusqu'en Europe de l'Est. Business & Decision est spécialisé dans le décisionnel, la gestion de la relation client et le e-commerce. La société emploie 2000 consultants dans le monde. Elle a réalisé un chiffre d'affaires de 142,8 M€ en 2006, et espère atteindre les 183 M€ en 2007. DSS (dont le siège est situé à Moscou) compte 45 collaborateurs et a réalisé un chiffre d'affaires de près de 808.000 € en 2006. Objectif pour 2008 : 1,8 M€. Sa clientèle se situe essentiellement dans des secteurs comme les télécommunications et les banques. (...)
(12/07/2007 10:15:49)Zlio.com lève 4 millions de dollars
La start-up franco-israélienne annonce une levée de fonds de 4 M$ auprès du fonds d'investissement Mangrove Capital Partners (celui-là même qui avait participé au financement de Skype, avant sa revente à e-Bay). Mark Tluszcz, partenaire de Mangrove, rejoint le conseil d'administration de Zlio. Il s'agit de la première levée de fonds pour Central Cast, société éditrice de Zlio. « Nous avons reçu plusieurs propositions d'investissement dans le monde, Mangrove nous a séduits par son ambition, sa réactivité et sa vision internationale », explique Jérémie Berrebi, co-fondateur de Zlio. Il y a quelques mois, Jérémie Berrebi, estimait pourtant qu'une « levée de fonds risquait de retarder le développement de la société. Nous devons encore prouver pleinement la viabilité de notre concept ». Zlio devrait investir les fonds récoltés dans deux projets. La société souhaite se développer de manière internationale, notamment aux Etats-Unis, au Royaume-Uni (avant la fin du mois de juillet) et en Allemagne. Elle envisage également de lancer de nouveaux services, afin d'augmenter les revenus de ses partenaires marchands, voire en trouver d'autres. Lancé en novembre 2005, Zlio propose aux internautes de construire leur propre boutique virtuelle à partir d'un catalogue de produits partenaires. Le « e-vendeur » perçoit une rémunération à chaque achat. Zlio revendique aujourd'hui l'existence de 100 000 boutiques personnelles, avec plus de 2,5 millions de visiteurs uniques. La start-up affirme générer un chiffre d'affaires de 500 000 euros par mois chez ses partenaires marchands. (...)
(11/07/2007 17:34:26)L'Europe impose le label "Energy Star" à ses Etats membres
Le Parlement européen vient de trancher. Désormais, tous les organismes publics de l'Union Européenne devront s'approvisionner en matériels de bureau au logo Energy Star. Pour Nikolaos Vakalis, le député européen qui a mené les débats : « Cette régulation nous donne l'occasion parfaite pour introduire une nouveauté : pour la première fois dans l'histoire de l'Union Européenne, des spécifications communes pour des économies d'énergie vont s'appliquer à tous les Etats membres et à toutes les institutions Européennes. » Un résultat qui n'avait effectivement pas été obtenu malgré deux chocs pétroliers et une Communauté européenne beaucoup plus étroite. Au delà du simple exploit de normalisation, cette nouvelle loi formalise un engagement signé entre l'Europe et les Etats-Unis en décembre dernier pour renouveler le label Energy Star pour les cinq années à venir et en accroître encore les préconisations. Le but étant d'économiser en trois ans en Europe jusqu'à 30 terawatts-heures d'électricité, soit l'équivalent de la consommation électrique annuelle de la Hongrie. Cette norme de qualité environnementale a en effet été créée en 1992 par l'agence fédérale américaine pour l'environnement (EPA) pour faire baisser la consommation énergétique des appareils électriques. Elle a ensuite été adoptée conjointement par l'Union européenne et les Etats-Unis en 2003 et s'est étendue au monde du travail. Une base de données d'entreprises a été créée au fur et à mesure que les entreprises adoptaient ce logo. Elle comprend aujourd'hui 17 fabricants de portables, 18 fabricants de postes de travails, 15 fabricants d'imprimantes et quatre fabricants de scanners. Alors que la version 4.0 de cette norme devra s'appliquer dès la fin juillet aux ordinateurs de bureau, l'EPA réfléchit actuellement à une nouvelle déclinaison pour les salles de serveurs. (...)
(11/07/2007 17:05:36)L'UFC-Que Choisir dénonce le peu de concurrence dans les mobiles
L'association UFC-Que choisir a présenté hier une analyse critique du marché de la téléphonie mobile en France. Cette étude contredit le rapport présenté il y a quatre mois par l'Afom, une association regroupant les opérateurs mobiles. « L'Afom n'offre qu'une vision partielle, voire déformée de la réalité économique », affirme l'association de consommateurs. Avant de pointer du doigt l'entente tacite (mais reconnue par la justice) qui existe entre les trois plus grands opérateurs en France : « le secteur souffre encore manifestement d'une absence de concurrence, ce qui limite son développement et pénalise fortement les consommateurs ». Dans son étude, l'Afom se félicite pourtant de l'arrivée de douze nouveaux opérateurs virtuels (MVNO), qui dynamiseraient la concurrence. Mais comme le souligne l'UFC-Que Choisir, ces opérateurs ne représentent que 2,8% du marché. Ils doivent en outre louer les réseaux des trois acteurs principaux pour proposer leurs services au client final. Des bilans très différents Les points de divergence entre les deux études sont nombreux. L'Afom affirme par exemple que le chiffre d'affaires de la mobilité a été décuplé en l'espace de dix ans. Certes, le marché est encore dynamique, réplique l'UFC-Que Choisir. Il n'empêche qu'avec 82% des personnes équipées d'un téléphone mobile, la France continue à présenter un taux de pénétration en dessous de la moyenne européenne. Autre sujet de désaccord : les prix (notamment au niveau des forfaits et des SMS). Les opérateurs indiquent que les tarifs pratiqués en France se situent dans la fourchette basse de l'Europe, avec une diminution des coûts de 26% depuis 2002. Pour l'UFC-Que Choisir, la baisse des prix s'échelonne entre 21 et 28% depuis 2000, ce qui est « largement inférieur à d'autres pays européens ». Toujours d'après l'association, ce maintien des prix à la hausse explique en partie pourquoi les Français n'investissent pas davantage dans les services mobiles. Un couple d'employés avec deux enfants ne peut, par exemple, pas se permettre de dépenser plus de 1% de ses revenus dans la téléphonie mobile, alors que l'Afom avançait un plafond de 5%. L'association de consommateurs reproche également aux opérateurs de se concentrer sur leurs réseaux GSM déjà existants, donc plus rentables, au détriment de la 3G. Deux ans après la décision du Conseil de la Concurrence, le marché de la mobilité semble donc toujours verrouillé. L'UFC-Que Choisir en appelle donc aux pouvoirs publics et à l'Arcep (organisme régulateur des télécommunications), afin de restaurer une concurrence « durable, pleine et entière ». (...)
(11/07/2007 16:22:21)IBM virtualise et encrypte ses bandes pour grands systèmes
IBM annonce des systèmes de stockage à bande pour ses grands systèmes à un moment où les affaires sont florissantes pour ces derniers. Ces systèmes à bandes intègrent deux caractéristiques techniques très en vogue : la virtualisation et le cryptage des données enregistrées. La fonctionnalité de virtualisation permet en particulier de répartir l'enregistrement des données sur trois sites distants en anticipation d'un dommage. Quant au cryptage, il devient quasi obligatoire après la médiatisation d'affaires de bandes égarées alors qu'elles contenaient des millions d'enregistrements sensibles. (...)
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