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(03/07/2007 17:44:52)
Web 2.0 : Pierre Chappaz quitte Netvibes
Créateur et ex-président du comparateur de prix en ligne Kelkoo, Pierre Chappaz vient d'annoncer sa décision : il démissionne de son poste de codirecteur de Netvibes. Ce départ est le résultat d'un désaccord entre Pierre Chappaz et Tariq Krim, le créateur de Netvibes, écrit-il sur son blog : les deux dirigeants ne partageaient pas la même vision en matière de stratégie de distribution et de monétisation de la société. Netvibes est un portail agrégateur de flux RSS (protocole de syndication de contenus) particulièrement emblématique dans l'univers du Web 2.0. Netvibes a vite gagné des utilisateurs partout dans le monde, récoltant ainsi l'attention et l'argent des investisseurs, mais reste encore très flou sur la façon dont le produit pourra rapporter de l'argent. Et pour cause, peut-on dire aujourd'hui. Pierre Chappaz reste actionnaire de la société, mais se consacrera désormais à son autre bébé, Wikio, un moteur de recherche d'actualités « communautaire » (pour reprendre le vocabulaire Web 2.0) lancé il y a un peu plus d'un an. (...)
(03/07/2007 17:38:10)Le Massachusetts retient Open XML en sus d'ODF
La DSI de l'Etat du Massachusetts vient d'ajouter Open XML à la liste des formats de fichiers qu'elle envisage d'accepter comme standard. Vu de loin, on ne trouvera rien d'étonnant au fait qu'une direction informatique retient parmi les formats "acceptables" celui de la suite bureautique Microsoft Office 2007 alors qu'il est en phase de standardisation auprès de l'OSI. De plus près, cette annonce stigmatise le retour en force de Microsoft au coeur même de là où était née la fronde contre son monopole de fait sur les formats de fichiers bureautiques. La DSI de ce petit Etat de la Nouvelle-Angleterre a longtemps été à la pointe de la lutte pour imposer des formats de fichier indépendants d'un fournisseur, autrement dit ODF, promu par l'Oasis, ou PDF, standardisé par les soins d'Adobe. Etant donné la position de monopole de fait d'Office, cette démarche a été considérée par Microsoft comme une menace au point que la lutte a pris des proportions d'une ampleur considérable. Début 2006, accusé de corruption par une campagne de presse habilement orchestrée, le directeur informatique de l'Etat, en butte depuis de longues semaines à un lobbying très agressif, avait préféré donner sa démission. Son successeur n'a pas résisté au-delà du mois d'octobre 2006. Aujourd'hui, la communication de Microsoft se réjouit que la sélection d'Open XML donne aux utilisateurs "la possibilité de choisir le standard de format ouvert qui répond le mieux à leurs besoins". Sans prendre parti, on peut constater qu'il n'a fallu que quelques mois pour que Microsoft ouvre pour la première fois de son histoire les formats de sa suite bureautique. (...)
(03/07/2007 10:37:45)Jalios clôture son exercice 2007 avec un CA en hausse de 62%
Chiffre d'affaires : 1,15 M€ Jalios, éditeur de la solution de gestion de contenu d'entreprises JCMS, a publié une chiffre d'affaires en hausse de 62%, à 1,15 M€, pour son exercice fiscal 2007. En 2006, le CA s'établissait à 710 000€. Les bénéfices net de la société seront communiqués cet automne. « Nous récoltons les fruits de cinq années d'effort, durant lesquelles nous n'avons pas cédé aux deux principaux extrêmes qui guettent les acteurs du marché, à savoir l'Open Source et la course à la levée de fonds », explique Alain Risbourg, directeur marketing et commercial chez Jalios. Pour accompagner cette croissance, l'éditeur compte étoffer son équipe interne, actuellement composée de onze personnes, en recrutant au niveau de tous les services (recherche et développement, support, services professionnels...). Jalios travaille avec huit partenaires de tailles variées (Atos Origin, Business et Decision, Euriware, Klee Group, Micropole Univers, Sylis Unilog et Winiwig), mais n'exclut pas la possibilité d'accroître son réseau de distribution indirecte. (...)
(02/07/2007 17:41:25)IBM met les supercalculateurs à portée des entreprises
IBM a beau se prévaloir de son implication dans l'Open Source, pour le calcul haute performance (HPC), la société n'accorde plus une confiance indivisible à Linux. Ni même à son Unix maison. En effet, pour convaincre les entreprises d'intégrer des supercalculateurs dans leurs salles de serveur, Big Blue - comme HP avant lui - a préféré s'allier avec Microsoft. Pour cela, le groupe a modifié son système existant (l'IBM Cluster 1350) pour y intégrer Windows Computing Cluster Server (CCS) 2003, le multicoeur des BladeCenter les serveurs System x, et enfin de nouvelles options de stockage et de connexions au réseau. Ce choix est motivé par la volonté d'IBM de conquérir de nouveaux clients pour ses grappes de calculs dans l'industrie de la finance. Et donc de leur proposer une interface plus familière avec le logiciel de Microsoft. Selon Wendy McGee, directrice System X chez IBM : « Le Nasdaq et la bourse de New York vont avoir besoin d'infrastructures, de solutions créées pour faire des calculs extrêmement intensifs. » Pour les utilisateurs qui préfèrent Linux, l'IBM Cluster 1350 est aussi disponible avec Novell SuSE Linux Enterprise Server 10. La configuration allant de deux à plusieurs milliers de serveurs dans une même grappe, le prix varie suivant les produits choisis. (...)
(02/07/2007 16:56:59)Les centres de services partagés génèrent des économies, confirme Deloitte
Le cabinet Deloitte Conseil vient de publier les résultats de sa quatrième étude internationale sur les Centres de services partagés (CSP). Menée auprès de 130 organisations (entreprises réalisant plus de 4 MdE de chiffre d'affaires), ce qui représente 332 CS, cette étude montre que, dans 58% des cas, la création de CSP a permis de générer des économies importantes en terme de personnel (ETP, Equivalents Temps Plein). Pour les sociétés cotées aux Etats-Unis, 53% des répondants considèrent en outre que les CSP ont financièrement allégé leurs efforts en matière de mise en conformité avec la loi Sarbanes-Oxley. « La tendance pour dégager des économies passe aujourd'hui par des processus d'amélioration continus, planifiés et pilotés par des groupes de travail structurés », conclut Jean-Michel Demaison, senior manager chez Deloitte Conseil. La compétence linguistique devient un critère de choix Autre enseignement de cette étude, il y a un changement dans les critères de choix de la localisation d'un CSP. Longtemps guidées par des problématiques d'économie, les entreprises tiennent désormais compte de la qualité de la main d'oeuvre (41% des répondants) ainsi que de sa disponibilité (38%). Le coût arrive seulement en cinquième position, avec 24% des répondants. La compétence linguistique, longtemps ignorée, est citée comme critique par 33% des sociétés interrogées. Contrairement aux idées reçues, beaucoup d'entreprises se déclarent réticentes à l'idée de créer des CSP globaux. Seuls 22% des répondants envisagent une concentration de leurs Centres. Autre surprise, les groupes ne souhaitent pas élargir leur couverture géographique. 34% des CSP de l'enquête se cantonnent à fournir des services à un seul pays. Sur un plan fonctionnel en revanche, ils sont prêts à intégrer de nouvelles activités, notamment dans des départements clés, comme le système informatique ou les ressources humaines. (...)
(02/07/2007 12:26:34)Western Digital achète Komag, fournisseur des plateaux de ses disques
Western Digital va débourser près de 745 ME (1 Md$) pour acquérir Komag, un des spécialistes de la fabrication des films magnétiques qui stockent l'information sur les plateaux des disques durs. Avec celle des têtes de lecture, la maîtrise de la technologie de ces dépôts magnétiques est l'autre point essentiel pour fabriquer des disques durs. Western Digital, deuxième fabricant mondial de disques durs derrière Seagate, prévoit d'avoir finalisé l'absorption de Komag au troisième trimestre. Western Digital représente 35% du CA de Komag pour lequel Seagate et Hitachi sont aussi des clients importants. Malgré une forte croissance, le marché des disques durs souffre d'un manque de rentabilité. C'est une des raisons qui poussent à la concentration des acteurs et à l'intégration verticale. (...)
(02/07/2007 12:16:51)Aubay cède 15,1% d'Octo Technology à ses fondateurs
Les fondateurs d'Octo Technology récupèrent 15,1% du capital de leur société. Aubay, société de services, de conseil et d'intégration de solutions informatiques, a en effet annoncé la cession de 461 000 actions d'Octo Technology à PACH Invest, qui regroupe les intérêts des principaux fondateurs de la société. A travers cette opération, dont le montant s'élève à 2,3 ME (soit un peu moins de 5 euros par action), Aubay reste l'actionnaire majoritaire d'Octo Technology. Avec 40,9% du capital, la SSII conserve donc le contrôle de la société. Aubay annonce par ailleurs son souhait de s'agrandir en Europe (notamment en Espagne, en France et en Italie) via l'acquisition de SSII de taille moyenne (entre 7 et 15 millions d'euros de chiffres d'affaire). « On ne peut pas tout développer en même temps, explique Philippe Rabasse, directeur général d'Aubay. Nous allons nous concentrer sur notre activité principale, à savoir l'intégration de solutions complexes (SOA, EAI...) pour une clientèle transversale (banques, assurances, télécoms et énergie). Octo Technology ne véhicule pas tout à fait la même image que Aubay, c'est une des raisons pour laquelle nous avons décidé de nous défaire d'une partie de son capital, tout en lui offrant la possibilité de mener sa propre vie. » Octo Technology est côté en bourse depuis le mois de décembre 2006. Aubay emploie 2080 personnes en Europe, dont 1100 en France. Le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 41,2 millions d'euros en 2006, et vise les 167 ME en 2007, puis 200 ME en 2008. (...)
(02/07/2007 10:41:43)La réforme des brevets américains menacée
Les rangs des acteurs des NTIC qui étaient favorables à une réforme de la législation américaine des brevets viennent de se fendiller. Deux sociétés, Texas Intruments et AmberWave, fabricants de semi-conducteurs, affirment que l'adoption du projet de réforme aurait un impact négatif sur l'innovation et sur la valeur des brevets actuels. Pour Texas Instruments, c'est la valeur financière attachée au brevet qui est menacée. Quant à AmberWave, cette petite société s'émeut du fait que l'on puisse à l'avenir contester le bien-fondé d'un brevet a posteriori. Pour elle, c'est la porte ouverte à des procédures marathon où les grandes entreprises auront tout loisir d'épuiser les petites. Les partisans d'une réforme poussent les arguments inverses. Sous couvert de protéger la propriété intellectuelle, la législation américaine sur les brevets crée une atmosphère délétère pour l'innovation. Elle prévoit en effet que les dommages-intérêts doivent être calculés sur la base de la valeur de l'ensemble du produit qui contient la partie qui viole un brevet et non sur la valeur de cette seule partie. Les procès coûtent 45 M$ par an à Cisco Les acteurs majeurs des NTIC sont plutôt favorables à une réforme. Tant IBM que Microsoft ou Cisco poussent dans ce sens. Cisco, par exemple, a fait ses comptes : cette société consacre chaque année 45 M$ environ à se défendre dans des procès intentés pour violation de la propriété intellectuelle. Aujourd'hui, cette société n'a pas moins d'une douzaine de procès en cours, la plupart intentés par des sociétés qui ne produisent ni ne vendent, qui n'existent que pour profiter de la législation. On se souvient aussi du procès fin 2005 intenté par un "inventeur" à RIM et qui avait tenu en haleine les Etats-Unis tout entiers. Si RIM perdait, des centaines de milliers de BlackBerry auraient pu s'éteindre. Une seule certitude, le dépoussiérage de la législation sur les brevets fait partie des priorités du Congrès américain. Les nouveaux textes auront certainement un impact sur l'Europe où promoteurs et opposants à une brevetabilité du logiciel continuent de s'opposer. (...)
(29/06/2007 17:20:31)Cegid sur la place de marché Microsoft Office Live
Microsoft France veut créer sur sa plateforme Office Live, conçue pour héberger les sites Web et intranets de TPE, une place de marché accueillant des solutions partenaires. L'éditeur a montré ce matin deux des premières offres bâties pour Office Live. L'une est un catalogue de produits, développé par l'éditeur de logiciels de gestion Cegid, l'autre est une solution collaborative pour consultants, mise au point par le cabinet de conseil Planet Award. Ce n'est qu'un début. Microsoft France compte bien étoffer la place de marché de sa plateforme Office Live. Cette dernière compte déjà 12 000 clients en France - 300 000 dans le monde - alors qu'elle est toujours déclarée en version bêta (« parce que l'on peut encore améliorer le service » explique l'éditeur, visiblement atteint du syndrome Google). Mais pour l'instant, la filiale hexagonale est en phase de recrutement de partenaires et ne donne pas de précisions sur le nombre, la nature et la date de disponibilité d'autres applications à venir. Sharepoint à l'oeuvre Rappelons que la plateforme Office Live propose aux TPE d'héberger leur site Web, qu'elle leur fournit un nom de domaine, des comptes de messagerie, ainsi que différents outils de gestion et de collaboration sur lesquels viennent s'appuyer les éditeurs partenaires. Un socle solide puisque derrière, ce sont les fonctions du portail Sharepoint qui sont à l'oeuvre. La solution de Planet Award, par exemple, est proposée sous forme de « template », un gabarit à télécharger puis à exploiter avec les outils d'Office Live : agenda, messagerie, partage de documents... Elle permet de construire sa base de clients et de missions, de gérer planning des collaborateurs et notes de frais et de suivre l'avancement des projets. Quant au catalogue produits de Cegid, il a été conçu à partir du progiciel de gestion Cegid Business Line pour TPE, l'un des objectifs pour son éditeur étant, à terme, de proposer aux clients d'utiliser conjointement Business Line et Office Live, l'un en mode connecté ou déconnecté, l'autre en ligne. Cegid compte déjà 4 000 clients TPE, utilisant Business Line sur le Web par l'intermédiaire de leur expert-comptable. Pour l'instant, outre Cegid et Planet Award, seuls trois autres éditeurs s'appuient sur les outils d'Office Live pour proposer, respectivement, un outil de conception de plan marketing (Message Business), une gestion pour association étudiante (e-Charlemagne), et une application pour le métier de la médiation (MEG-JIC). (...)
(29/06/2007 16:59:34)SQLI structure son offre d'accompagnement CMMI
Grâce au rachat d'Alcyonix au mois d'avril dernier, SQLI vient de finaliser son offre de Capability Maturity Model Integrated, autrement dit de CMMI. Cette méthodologie spécifique et standardisée permet aux entreprises d'améliorer leurs développements logiciels, puis d'accélérer leur mise en ?uvre. IdeoProject est le progiciel de pilotage choisi par SQLI. Cette solution optimise les processus d'organisation d'un projet, allège les tâches de gestion (grâce à la construction de tableaux de bord par exemple) et autorise le partage d'un référentiel unique au sein de l'entreprise. Le nouveau pôle de compétences est d'ores et déjà opérationnel. La SSII en a confié la direction à Eric Chanal, qui aura sous sa responsabilité une équipe composée de salariés issus de SQLI et d'Alcyonix. SQLI emploie 1500 salariés en Europe (dont 90% en France), répartis au sein de quinze agences. (...)
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