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(23/05/2007 16:01:35)

Accenture recrute sur Second Life

Après les rendez-vous d'embauche festifs, dans les bistrots ou sur les stades, ou les rencontres furtives du «speed dating », Accenture est la première société high tech à tester les entretiens d'embauche virtuels sur Second Life. Du 18 au 22 juin, les avatars d'une dizaine de managers de la filiale française de la société de services informatique accueilleront sur rendez-vous les avatars des candidats dûment inscrits pour des entretiens individuels d'une vingtaine de minutes en moyenne. L'état-major d'Accenture France se fait fort de se lancer dans cette opération pilote pour l'Europe sur la foi du deuxième rang occupé par les Français en termes de présence active sur Second Life (104 000 participants). Les 200 postes ouverts à cette campagne d'embauche sont ceux, parmi les 850 recrutements prévus dans les trois mois à venir, destinés à des profils expérimentés du conseil en technologie: consultants SAP, techniques et fonctionnels, consultants en architecture orienté services (SOA) ou en solutions d'architecture customisée, ingénieurs d'études en informatique décisionnelle ou en intégration d'applications (EAI) ou spécialistes Java/J2EE. La démarche pour les candidats potentiels consiste à s'inscrire gratuitement sur un site ouvert pour la circonstance: accenture-secondlife.com. Une vidéo de démonstration y sert actuellement de guide. Une fois validée, l'inscription donne lieu à un mail de confirmation du rendez-vous, avec un lien à utiliser à l'heure dite. Cette première prise de contact pourra donner lieu à un autre rendez-vous bien réel cette fois comme dans le contexte classique d'une procédure de recrutement. (...)

(23/05/2007 15:07:54)

IBM est resté en tête du marché des services en 2006

Avec un chiffre d'affaires global des services IT de 672,3 milliards de dollars dans le monde en 2006, le marché des services informatiques se porte plutôt bien, révèle une étude menée par Gartner. En effet, cela correspond à une augmentation de 6,4 % par rapport à 2005, où le secteur avait généré 631,8 Md$. Bien que les services informatiques restent marqués par l'hégémonie des Américains, qui représentent 57 % du marché, la France tire tout de même son épingle du jeu en affichant une croissance de 6,5 % par rapport à l'an dernier. IBM conserve sa place de leader, avec 7,2 % de parts de marché, soit deux fois plus que son concurrent EDS. Et cela malgré une croissance de 7,6 % pour EDS l'an dernier, contre seulement 1,8 % pour Big Blue. Des résultats tout aussi décevants pour Fujitsu, CSC et HP, les numéros trois, cinq et six. Ils affichent également une croissance inférieure à la moyenne du marché. Fujitsu voit même son chiffre d'affaires reculer de 0,1 %. Quant à HP, il perd sa place de numéro quatre au profit d'Accenture dont les parts de marché progressent de 7,8 %. A noter aussi les bonnes performances de Capgemini qui, en dépit de sa huitième place, se distingue avec une croissance enregistrée deux fois supérieure à celle du marché. Face à ces résultats, on s'aperçoit que les grandes sociétés de services ont bien moins profité de la croissance que les petites SSII. Le marché des services informatiques reste très fragmenté. A titre d'exemple, les six principaux acteurs ne représentent que 20 % du marché. Côté international, si les SSII américaines dominent encore le marché des services, l'Asie ne cesse de progresser ( +10 %). Même cas de figure pour les SSII indiennes avec une hausse de 30 à 40 %.Cependant, elles ne génèrent que 3 % du chiffre d'affaires de ce marché. Pour Kathryn Hale, analyste de la division IT services de Gartner, les SSII indiennes sont contraintes de favoriser la croissance externe pour tenir un rôle de premier plan. « Sans acquisitions significatives, cela prendra des années aux SSII indiennes pour atteindre ne serait-ce que la moitié du chiffre d'affaires des sociétés américaines », conclut elle. (...)

(23/05/2007 12:49:03)

Les Linuxiens défient Microsoft de les poursuivre en justice

« Poursuivez-moi », réclament plusieurs centaines d'utilisateurs de Linux et de logiciels libres à Microsoft. Ils répondent ainsi, à leur manière, à la polémique née après qu'un article du magazine américain Fortune eut indiqué que le géant de Redmond souhaitait ester pour obtenir réparation de la violation de 235 de ses brevets par le monde du Libre. Les adeptes de l'Open Source ont répondu à l'invitation lancée par Digital Tipping Point, un projet vidéo axé sur l'utilisation des logiciels libres : « si vous voulez recevoir une visite de Brad Smith (le directeur juridique de Microsoft, NDLR), n'hésitez pas à ajouter votre nom ». Plus de 600 partisans de l'Open Source ont déposé leur nom sur le wiki dédié, en précisant quels OS et applications libres ils utilisent. Des informations qui s'accompagnent souvent de remarques sarcastiques, comme celle de l'Australien Steve O'Connor : « J'utilise une copie piratée de Gento Linux, que j'ai téléchargée illégalement sur Internet, et je l'ai installée sur un rack entier de serveurs que j'utilise pour gagner de l'argent en fournissant des informations à la Défense australienne. (...) J'ai accès (illégalement ?) à tout le code source, je peux donc hacker mon application. J'ai aussi récupéré une copie de PCLinuxOS sur Internet sans donner mon numéro de carte de crédit, et je l'ai installée sur des douzaines d'ordinateurs. » Selon Microsoft, il n'a jamais été réellement question de lancer des poursuites pour la violation des brevets, mais plutôt de proposer des licences aux éditeurs. C'est, en substance, ce qu'expliquait Bill Hilf, le directeur général pour la stratégie plateforme de l'éditeur, à nos confrères d'IDG News Services la semaine dernière. En savoir plus "Sue me first, Microsoft" : le wiki de Digital Tipping Point (...)

(23/05/2007 09:56:23)

Une autre démission à la tête de SAP

La direction de SAP perdra à la fin du mois prochain une autre tête : Aliza Peleg, directrice des labos américains (SAP Labs). Aliza Peleg avait rejoint SAP en 2001, lors de l'acquisition de TopTier, dont elle était la directrice générale en Israël. TopTier est cet éditeur de technologies de portail qui avait été fondé par Shai Agassi, dont tout le monde attendait qu'il remplace Henning Kagermann à la tête de SAP. Or, Shai Agassi a démissionné le 1er avril dernier, suite au prolongement du mandat de Kagermann. C'est dans les SAP Labs californiens, sous l'impulsion de Shai Agassi et sous la direction d'Aliza Peleg, que se développaient les outils middleware de SAP, qui ont transformé le progiciel en une suite d'applications composites. Il y a quelques jours, un article du Wall Street Journal, citant des sources internes, évoquait des tensions au sein de SAP au sujet du poids respectif des centres de décision américain et allemand. La démission de Shai Agassi allait-elle entraîner un retour de balancier vers Walldorf ? Suite à l'annonce du prochain départ d'Aliza Peleg, un porte-parole de SAP a tenu à rappeler que « la Silicon Valley reste éminemment stratégique pour SAP », qui y emploie plus de 1600 personnes. Doug Merritt, responsable des développements de SAP, assurera l'intérim au poste d'Aliza Peleg, en attendant la nomination d'un remplaçant. (...)

(22/05/2007 17:54:01)

L'offre d'administration de HP pour les SOA en ordre de marche

Un mois après la clôture définitive du rachat de Mercury, HP a totalement repris à son compte la stratégie BTO (Business technology optimization). Et le prouve, en annonçant sa déclinaison pour les architectures orientées services (SOA) : un ensemble d'outils et de services destinés à évaluer son degré de maturité, à accompagner la définition des besoins, à effectuer les tests et enfin à superviser la production. En résumé, le concept de BTO vise à améliorer l'efficacité des directions informatiques au service des directions métiers. Il se décline en 9 « centres d'excellence » mis au point par Mercury, qui visent l'un à garantir les performances, l'autre la gestion de projet, etc. L'offre HP pour les SOA s'appuie sur ses outils déjà existants, adaptés spécifiquement pour les SOA : HP reprend d'ailleurs les « centres d'excellence » en leur ajoutant le suffixe « for SOA ». Ce faisant, HP fait la jonction avec les outils Systinet - un ancien partenaire qui avait été racheté par Mercury - dont le référentiel sert à gérer le cycle de vie des services Web, et avec SOA Manager, son outil de gestion des services Web hérité du rachat de Talking Blocks en 2003. Pour l'évaluation de son degré de maturité face aux SOA, HP a ouvert au public un questionnaire en ligne. Des données ont déjà été fournies par IDC, ce qui donne la possibilité de se comparer à d'autres entreprises de son secteur ou de sa taille. Le 6e éditeur de logiciels, avec un CA de 2,4 Md$ L'annonce, effectuée hier, a été relayée aujourd'hui à Paris lors des premières « assises du BTO » organisées par HP France, qui ont rassemblé quelque 500 personnes, clients et partenaires. A la suite des acquisitions de Peregrine et de Mercury, HP tient à faire savoir qu'il est devenu un acteur qui compte dans le logiciel, et plus seulement à cause de son offre de supervision Openview. « Ce n'est pas une lubie, HP est un éditeur à part entière, a insisté Christophe Bouchardeau, le patron de la division Software de HP France. Nous étions moins de 20 personnes il y a deux ans, nous sommes 110 aujourd'hui. [...] Et nous avons une croissance organique de plus de 30%. » Un peu plus tôt lors de cette journée, Michel Isnard, vice-président Europe du sud, avait lui aussi tenu à rappeler quelques chiffres, indiquant que HP est « le sixième éditeur de logiciels dans le monde », avec un chiffre d'affaires de 2,4 Md$. Environ la moitié du CA serait réalisée en Europe, où HP dispose de plusieurs centres de compétence. Luc Vogeleer, responsable du centre de compétences SOA de Sophia-Antipolis, racontait ainsi en privé qu'il accueille régulièrement des équipes souhaitant démontrer à leur DSI le bien-fondé d'une architecture orientée services. (...)

(22/05/2007 17:36:06)

Guerre larvée entre les promoteurs des PC destinés aux pays émergents

Nicholas Negroponte, le père de l'OLPC, et Craig Barrett, le patron d'Intel et initiateur du Classmate, se livrent une guerre de tranchée sur le terrain des PC destinés aux enfants des pays émergents. La première salve avait été tirée par Intel en 2006 : pour le fondeur, le projet OLPC du MIT (Massachusetts Institut of Technology) n'est qu'un gadget. Après une accalmie, Nicholas Negroponte vient de monter au créneau pour dénoncer l'intention d'Intel de vendre son Classmate largement en dessous de son prix de revient, dans le seul but de torpiller l'OLPC. « Intel devrait avoir honte », s'est emporté le fondateur du MIT, qui rapporte que le spécialiste des semi-conducteurs a entrepris de distribuer des brochures aux clients potentiels des ordinateurs low cost afin de pointer du doigt les défauts supposés de l'OLPC. Derrière cette bataille larvée se cache en réalité la rivalité entre Intel et AMD, dont les processeurs équipent l'ordinateur conçu par le MIT. Selon Nicholas Negroponte, les deux fondeurs se livrent une guerre vicieuse au milieu de laquelle l'OLPC ne serait qu'une victime collatérale. Une bataille qui ferait presque oublier le but premier des ordinateurs à bas prix : offrir une porte d'entrée sur le monde de l'IT aux enfants des pays émergents. (...)

(22/05/2007 17:35:04)

Selon Gartner, il faut délocaliser pour innover

« Faites confiance à la Chine et à l'Inde pour vous imposer sur le marché », voilà en substance le message adressé aux entreprises lors du Gartner Symposium/ITxpo qui se tient en ce moment à Barcelone. « Dans un environnement aussi compétitif que le nôtre, les PDG placent l'innovation au sommet de leurs préoccupations mais estiment que leur département technologique manque de pensée visionnaire et d'innovation. A l'opposé, les entreprises qui travaillent dans un environnement extrêmement contraignant, que sont les nations émergentes comme la Chine et l'Inde, sont plus performantes et font preuve de plus d'innovation qu'auparavant », estime Sandy Shen, directeur de recherche chez Gartner, pour qui «la créativité des marchés relativement inexploités tire globalement l'innovation, créant une nouvelle force qui ne peut être ignorée par les entreprises opérant dans les marchés matures. » D'après lui, la vision traditionnelle selon laquelle l'innovation sort des laboratoires de R&D est fausse. « L'innovation provient de la résolution de problèmes de la vie réelle et répond aux besoins de tous les jours, sans se soucier de la complexité du marché mais avec comme but d'améliorer la vie des peuples ». Selon Gartner, les pays émergents adoptent les nouvelles technologies plus rapidement que les pays développés pour trois raisons. La première est qu'ils commercialisent plus rapidement les nouveaux produits, le marché constituant un banc d'essai idéal. Ensuite, dans un environnement à infrastructure réduite et difficile d'accès, on se focalise sur des produits pouvant mieux servir le marché local. L'adoption du téléphone mobile comme outil de connexion au détriment du PC, plus cher et moins adaptable, en est un exemple. Enfin, des pays comme l'Inde et la Chine, pour qui l'innovation est le seul moyen d'y parvenir, ne cachent pas leur ambition de piloter l'industrie des TIC. « En 2005, le nombre de brevets déposés par la Chine a dépassé celui des Etats-Unis. Actuellement, moins d'un dixième des brevets internationaux sont issus des pays émergents. Toutefois, si la progression continue au même rythme, ils représenteront un cinquième en 2012 », prévient de son côté, Partha Iyengar, vice président du cabinet d'étude. (...)

(22/05/2007 17:00:25)

Salesforce promet des architectures orientées services en ligne

Salesforce s'intéresse aux SOA (architectures orientées services). Le champion des applications en ligne de gestion de la relation client vient (GRC) d'annoncer Salesforce SOA, censé permettre la création d'applications composites depuis des offres hébergées (Saas, software as a service). Certes, Apex, l'environnement de développement promis par Salesforce, ne sera pas disponible en-dehors d'une version bêta avant décembre prochain. Mais, d'ici là, on pourra donc imaginer tous les avantages à développer des Services Web pour évoluer vers cette architecture orientée services intégrant des applications en ligne. Si le projet Salesforce SOA, encore dans les limbes, a le mérite de présenter une approche élégante pour l'intégration entre les vieux applicatifs et les offres de Salesforce, il est difficile de voir ce qu'il y a de vraiment nouveau dans cette annonce ; Salesforce a déjà quasiment tout dit sur Apex. René Bonvanie, vice-président marketing senior et responsable de l'offre AppExchange, explique que « la nouvelle technologie est la possibilité pour Apex d'appeler et de coordonner des services Web ». On serait donc en face d'un outil de mash-up géant (le mash-up consistant dans le mélange de services hétérogènes). Un accord avec Skype, et bientôt un avec Google ? Par ailleurs, la semaine dernière, SalesForce avait annoncé l'intégration du logiciel de VoIP Skype, via sa plateforme AppExchange, à ses applicatifs de GRC. SalesForce, qui revendique 575 applications pour sa plateforme AppExchange, précise qu'elles peuvent toutes intégrer Skype. Enfin, le Wall Street, dont les sources sont toujours de premier ordre, annonce des négociations entre Salesforce et Google. L'éditeur pourrait ajouter à son offre une partie des Google Apps, cette suite en ligne gratuite d'outils de productivité individuelle que Google propose aussi à des entreprises et, désormais à des partenaires. Commercialisés de pair avec les services de GRC de SalesForce, des outils comme la messagerie gmail constitueraient un ensemble applicatif intéressant face aux offres de Microsoft. (...)

(22/05/2007 16:24:22)

Microsoft réorganise ses divisions serveurs et développeurs

La réorganisation des divisions de Microsoft, dont la mise en place a été annoncée la semaine dernière, accroît le pouvoir de Jeff Raikes et pourrait lui paver la voie vers la succession de Steve Ballmer. Le groupe Serveurs et Outils, dirigé par Bob Muglia, fait désormais partie de la division Business du géant de Redmond. Une réorganisation qui conduit Jeff Raikes, le patron de l'activité Business, à contrôler plus de la moitié des sources de revenus et les principaux foyers de croissance du groupe. Selon l'analyste Robert Helm, du cabinet Directions on Microsoft, « cela le place dans une position forte pour succéder au PDG Steve Ballmer, si celui-ci décidait du jour au lendemain d'abandonner ses activités opérationnelles ». Bien que Microsoft explique qu'il ne s'agit que d'une coïncidence, Robert Helm estime que la récente acquisition, pour 6 Md$, d'aQuantive pourrait avoir conduit le groupe à se réorganiser. C'est en effet dans la division Plateforme et Services - à laquelle appartenait jusqu'alors le groupe Serveurs et Outils, en partance pour la division Business - que les 2600 salariés d'aQuantive seront intégrés. Par ailleurs, l'équipe « Developper and Platform evangelism », chargée de travailler en collaboration avec les développeurs, les professionnels de l'IT et les partenaires de Microsoft, rejoignent le groupe Serveurs et Outils de Bob Muglia. Les trois principales divisions du groupe semblent désormais être mieux bâties pour toucher leurs cibles. Il paraît en effet logique de voir le groupe de Bob Muglia - chargé notamment de SQL Server, Windows Server, Visual Studio et Forefront - rejoindre la division Business, laquelle vise les clients professionnels. Il ne semble guère plus hérétique de constater que les activités Plateforme et Services sont amputées des serveurs et se concentrent désormais sur Windows et les services en ligne. La troisième principale division de Microsoft - Divertissements et Périphériques - n'est pas affectée par la réorganisation et continue à cibler le grand public avec le Zune, la Xbox et Windows Mobile. (...)

(22/05/2007 12:23:29)

Bull cède sa filiale portugaise à GFI Informatique

Cinq mois après s'être séparé de ses activités italiennes, Bull vient de céder sa filiale portugaise, à la SSII française GFI Informatique. Si le montant de la transaction n'a pas été communiqué, Bull indique par la voix de Didier Lamouche, son PDG, que l'opération lui permettra de « développer agressivement [ses] activités de services dans des segments spécifiques et sur les marchés porteurs ». Le constructeur français entend tirer parti de la cession de sa filiale lusitanienne pour se concentrer sur son implantation en Espagne. Du côté de GFI - empêtré entre le délit d'initié dont son PDG vient d'être reconnu coupable et l'ouverture contestée du capital - cet investissement à l'international s'inscrit dans la dynamique de croissance observé au cours des derniers trimestres. En 2006, la SSII a ainsi enregistré des taux de progression à deux chiffres dans ses principales filiales européennes : Espagne (+21%), Allemagne (+24,1%) et Italie (+14,5%). (...)

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