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(13/10/2006 17:25:51)
La croissance des TIC en Europe dépasse celle du PIB
Le marché européen des technologies de l'information et des télécommunications (TIC) devrait progresser de 3,1% en valeur en 2006, et dépasser ainsi la croissance du PIB (2,5%) du Vieux Continent. L'étude de l'Observatoire européen des technologies d'information (EITO), menée conjointement avec les cabinets Gfk et IDC, indique ainsi que les TIC devraient générer des revenus de 644 MdE dans l'Union européenne cette année et croître en ligne avec l'estimation communiquée par les analystes au début de l'année. Si ce rythme de 3% est confirmé, les revenus des TIC progresseront moins vite en 2006 qu'au cours des deux années précédentes. La croissance du secteur s'est en effet élevée à 4,1% en 2005 et 3,8% en 2004. Pour 2007, l'augmentation devrait être encore plus maigre, l'EITO tablant sur un taux de 2,9%, soit des revenus de 663 MdE. Parmi les pays membres de l'UE, l'Espagne affiche la progression la plus importante, avec 5,2%. Elle est suivie par le Royaume-Uni (+3,3%), le Benelux (+3,5%) et la France (+2,7%). L'Hexagone devrait toutefois être l'un des rares pays à voir sa croissance dans les TIC s'accélérer l'an prochain pour atteindre 3,1%. Notons que si l'Allemagne est le plus important marché des TIC en valeur, c'est également celui qui croît le moins rapidement avec une progression de 1,6% en 2006 et une projection de 1,4% l'année suivante. Les logiciels plus dynamiques que les services et le matériel Sur les deux secteurs composant la dénomination TIC, les technologies de l'information affichent la progression la plus rapide, à 3,8% contre 2,5% pour les télécoms. Le dynamisme des TI est à mettre à l'actif du marché des logiciels qui, à la faveur d'une forte demande en infrastructures systèmes et en solutions de sécurité, croît de 6,3% sur un an. Les services IT, quant à eux, atteignent une croissance de 5,3%. Du côté du matériel, les revenus pâtissent de la guerre des prix que se livrent les constructeurs et reculent de 0,3% pour les serveurs et de 1,2% pour les PC. Internet compense le recul de la téléphonie fixe Si l'ensemble du secteur des télécoms progresse de 2,5%, à 339 MdE, il affiche un double visage. D'un côté, les services de téléphonie mobile et de données ont le vent en poupe, de l'autre les lignes fixes sont en berne. "La voix fait encore du cash, mais n'est plus un facteur de croissance", explique ainsi Bruno Lamborghini, président de l'EITO. De fait, les revenus de la téléphonie fixe reculent de 4,3%, subissant ainsi la saturation du marché des services de réseau vocal et la baisse des prix continuelle mise en place par les opérateurs. A l'inverse, les services de téléphonie portable croissent de 3,8% par rapport à 2005. Mieux : "une énorme augmentation de la demande d'Internet et de services de données", selon le rapport de l'EITO, engendre une croissance du chiffre d'affaires de 10,6% pour les entreprises de ces secteurs. (...)
(13/10/2006 17:41:31)Ingres nomme un directeur général pour ses activités en France
Ingres donne du sang neuf à ses activités françaises. L'éditeur de la base de données éponyme nomme un directeur général à la tête de sa filiale française. Eric Soares, ex-Critical Path, aura la charge du développement des activités d'Ingres dans l'Hexagone et en Europe du Sud. Un secteur qu'il connaît bien : il a tenu le poste de directeur région (France, Italie, Espagne et Portugal) chez Novell, avant de rejoindre Critical Path en tant que directeur général France. Ingres poursuit ainsi sa relance. Et mise sur ses activités régionales et sa base installée pour lui donner l'impulsion nécessaire. Une stratégie débutée il y a plus de six mois, en ré-activant son Club utilisateurs en France. A l'époque, l'objectif principal était de renouer la collaboration entre l'éditeur et les utilisateurs (entreprises et éditeurs indépendants) de la base de données. Une tâche que devra certainement coordonner Eric Soares. "Ingres est un acteur capable de faire la différence sur son marché", affirme-t-il dans un communiqué. C'est en effet ce que prétend le cabinet Forrester, qui positionne Ingres comme une des bases de données Open Source les plus intéressantes du marché (devant MySQL), en termes fonctionnels. Allant jusqu'à la recommander aux entreprises cherchant des bases pour des applications transactionnelles à fort volume, ou pour construire des entrepôts de données de taille moyenne. (...)
(13/10/2006 17:30:56)HP se dote d'un contrôle d'éthique
Nageant encore en plein scandale, Hewlett-Packard vient de recruter un directeur général en charge de l'éthique et du respect des réglementations en la personne de Jon Hoak, ancien conseiller juridique de NCR. Jon Hoak s'assurera du respect des standards américains de conduite d'activité. Il travaillera de concert avec Bart Schwartz, un conseiller juridique recruté au mois de septembre dernier, alors qu'éclatait le scandale des écoutes, pour étudier les pratiques de HP et définir de nouvelles règles de conduite. Dans l'organigramme de HP, Jon Hoak remplace Ann Baskins, ancienne conseillère juridique générale de HP qui a démissionné le 28 septembre dernier. Ann Baskins fait partie des dirigeants de HP impliqués dans le scandale des écoutes et convoqués par la justice. (...)
(13/10/2006 11:38:44)Ventes de PC portables : Les facteurs de la croissance
La perte de terrain des PC de bureaux au profit des ordinateurs portables dans l'entreprise se poursuit inexorablement. De 21% en 2000, la part de ces derniers dans les ventes globales de PC professionnels en France devrait passer à 38% d'ici la fin de l'année selon IDC. Résultats, 96% des 200 entreprises de 200 à 1000 salariés et plus, interrogées dans le cadre du premier baromètre de la mobilité réalisé par IDC pour Dell, sont aujourd'hui équipées de portables. En moyenne, les notebook et les Tablet PC constituent 18% de leurs parcs informatiques. A court terme, environ 65% d'entre elles prévoient d'investir dans l'achat de nouveaux portables. D'une part, pour remplacer leurs parcs de postes de travail fixes (pour 34% des prévisions d'achats de portables). D'autre part, pour équiper des salariés dépourvus jusqu'ici de notebook (pour 49% des prévisions d'achats). Si à l'origine les portables était majoritairement destinés aux travailleurs nomades, ils conquièrent désormais les sédentaires. Aujourd'hui, 32% des personnes qui en sont équipées n'en font usage qu'à l'intérieur de l'entreprise. Au chapitre des raisons qui amène les entreprises à renouveler leurs parc de portables figurent aussi le besoin de disposer de machines offrant une connectivité sans fil (Wifi, GPRS, 3G). Ce que 61% des entreprises interrogées considèrent comme important voire très important dans leur décision d'achat. On notera au passage que 33% des entreprises ont déjà déployé la technologie 3G sur leurs portables. Reste que pour 79% des entreprises, le coût total de possession d'un portable est supérieur à celui d'un PC de bureaux. Elles sont 49% à voir un obstacle à l'achat dans le prix encore élevé des notebook. Ce point négatif est compensé par le fait que 84% d'entre elles (à des degrés très divers) considèrent que les gains associés à l'informatique mobile compense son surcoût par rapport aux postes fixes. La sécurité constitue un des autres frein à la propagation des portables en entreprise. Environ 20% des entreprises craignent en effet qu'en s'équipant elles diminuent le niveau de sécurité de leur système d'information. En réaction, 25% d'entre elles ont pris la décision de limiter le nombre de portables. Elles restent toutefois une majorité (69%) à avoir répondu à cette problématique par la mise en place d'une politique de sécurité adaptée aux outils de mobilité. (...)
(12/10/2006 18:13:10)Les débats sur l'EPLA pourraient relancer la guerre sur les brevets logiciels
Le parlement européen, qui avait réussi à faire échouer les plan des pro-brevets logiciels en Europe, est reparti en guerre aujourd'hui contre la proposition de la Commission de souscrire à l'Accord sur le règlement des litiges en matière de brevets européens (EPLA ou European Patent Litigation Agreement), un projet avancé et soutenu par l'Office Européen des brevets (OEB). L'OEB est très critiqué par une partie du Parlement européen pour sa gestion du dossier de la brevetabilité des logiciels. Selon les Verts, le PS et les communistes européens, le nombre de demandes de brevets déposées chaque année à l'Office européen des brevets a augmenté de quelque 60% au cours des sept dernières années. Ceux-ci notent que "ce n'est pas le résultat d'un accroissement correspondant de l'activité innovante et, partant, soulève des préoccupations quant à l'extension du champ des matières susceptibles de faire l'objet d'un brevet, quant aux normes de qualité inférieures, à la création de maquis de brevets, à une utilisation stratégique accrue des brevets en tant que substitution à des innovations réelles". L'une des inquiétudes des parlementaires reste le fait que l'OEB a déjà approuvé des brevets sur le logiciel alors qu'en théorie il n'en a pas le pouvoir. Autant dire que l'EPLA était attendu de pied ferme par lesdits députés, certains y voyant une nouvelle tentative de l'OEB d'ouvrir la porte à la brevetabilité du logiciel en Europe. Pour Alain Pompidou, le président de l'OEB, "la proportion des inventions implémentées au travers de l'informatique va croissante, du fait que l'innovation repose de plus en plus sur les technologies de l'information incorporées dans un nombre croissant d'équipements allant des voitures aux machines à laver en passant par les téléphones mobiles". Il ajoute toutefois que l'OEB n'a pas son propre agenda sur la question des brevets logiciels. En accord avec la convention européenne sur les brevets de 1973, l'OEB ne valide pas de brevets sur les logiciels en soi, mais il en accorde pour les inventions liées à des ordinateurs qui sont nouvelles, inventives et ont un caractère technique". Mais cette analyse est combattue par Florian Mueller de la campagne NoSoftwarePatents qui note que " ces inventions liées à l'informatique incluent des concepts comme les menus contextuels ou la vérification anti-virus d'un ordinateur et sont essentiellement la même chose que les brevets logiciels accordés par l'USPTO américain à ceci près que les descriptions sont formulées différemment de ce côté de l'Atlantique". Le parlement préconise une approche prudente vis à vis de l'EPLA Texte controversé, l'EPLA propose la création d'une unique Cour européenne pour juger des différends sur les brevets entre sociétés des 31 Etats membres de OEB (dont les 25 pays de l'Union). Cette proposition a l'appui du Commissaire européen en charge du marché intérieur, Charlie McCreevy, qui préconise que l'Union signe l'EPLA afin de réduire les coûts juridiques pour les PME mais aussi afin d'harmoniser un peu plus le système de brevet européen. Dans sa résolution votée aujourd'hui par 494 voix contre 109, le Parlement européen souligne le manque de contrôle démocratique sur le système de brevet de l'OEB mais aussi les doutes persistants sur sa politique d'attribution de brevets. Dans sa version française, le texte invite la Commission à exploiter toutes les voies pour améliorer l'actuel système de brevets et à étudier avec prudence l'adhésion de l'UE à la convention de Münich - un texte qui a servi de base à l'interprétation de l'OEB pour l'octroi de certains brevets sur des technologies logicielles. Du côté de la FFII (Foundation for a Free Information Infrastructure ) qui a activement milité contre l'EPLA, on se félicite d'avoir évité le pire : "Le compromis adopté par le parlement est très loin de la proposition initiale qui supportait activement l'EPLA" explique ainsi Gérald Sédrati-Dinet, le président de la FFI France. Ce dernier rappelle que la FFII continuera ses efforts de sensibilisation "pour rappeler que le système des brevets reste géré en cercle fermé par des administrateurs qui ont intérêt aux brevets logiciels". Les PME victimes du système Il est à noter que la position officielle du gouvernement français était nettement contre l'EPLA. Il en va de même des groupes Verts, PC et PS au Parlement européen. Dans un projet de rapport abandonné au profit du compromis, ceux-ci rappelaient que " les intérêts économiques de l'Europe, et en particulier de l'Europe du SME, ne sont pas servis par certaines décisions récentes de l'instance d'appel de l'OEB en faveur d'un champ extrêmement large des matières susceptibles de faire l'objet d'un brevet, comme la décision T 0424/03 - 3.5.01 du 23 février 2006 de maintenir un brevet sur les formats de données [de Microsoft, NDLA]". Ils se déclaraient aussi préoccupés du fait que l'EPLA pourrait "consolider une jurisprudence qui n'est pas dans la ligne des positions exprimées à différentes occasions par des majorités parlementaires sur le droit substantiel des brevets" et du fait que l'EPLA "ne réduirait les coûts de contentieux, que dans le petit nombre de cas (...), alors que le coût moyen de la plupart des poursuites en matière de brevet augmenterait, ce qui exposerait les PME à des risques accrus". Selon leur évaluation, le coût total d'un litige d'importance moyenne dans le cadre de l'EPLA serait de l'ordre de 97 000 euros à 415 000 euros, rien qu'en première instance. Des tarifs qui placent les PME en position de faiblesse par rapport aux grands groupes... (...)
(12/10/2006 12:50:26)Stocks options antidatées : le PDG de McAfee évincé
La valse des dirigeants de sociétés IT impliqués dans un vaste scandale lié au traitement des stocks options se poursuit avec le départ du PDG de McAfee, George Samenuk. Ce départ, ainsi que celui du président du groupe, Kevin Weiss, intervient après qu'une enquête interne a révélé l'existence d'irrégularités comptables portant sur la prise en compte de stocks options antidatées. Plus de 80 entreprises technologiques sont pointées du doigt par la SEC, le gendarme de la Bourse américaine, et de nombreux dirigeants sont mis en cause, à l'image de ceux de Brocade, Mercury ou Apple. L'intérim sera assuré par Dale Fuller, ancien président de Borland, qui devient donc provisoirement directeur général et président de McAfee. Le groupe indique qu'il devra faire de l'ordre dans ses comptes sur les dix derniers exercices. Une opération qui devrait engendrer des charges comprises entre 100 et 150 M$. (...)
(12/10/2006 12:49:35)Adobe rachète une technologie vectorielle au Français Actimagine
Adobe veut étendre un peu plus son lecteur Flash mobile. L'éditeur vient de se payer la technologie de rendu vectoriel de la petite société française Actimagine, pour un montant non communiqué. La technologie sera fondue au lecteur Flash Lite d'Adobe, outil permettant de lire les animations et vidéos encapsulées dans un format Flash sur des solutions mobiles (téléphones portables ou PDA). "Adobe a racheté un ensemble d'algorithmes pour augmenter les performances de son lecteur Flash pour les plateformes mobiles, confie Sylvain Quendez, vice-président Ingénierie d'Actimagine. Cela devrait lui permettre de tourner plus rapidement [sur les mobiles], tout en accélérant la cadence des images (framerate) et en intégrant plus d'objets graphiques". Dans un communiqué, Adobe dit miser sur cette technologie pour pousser Flash Lite sur des outils communicants plus grand public. Flash Lite était jusqu'alors embarqué dans les téléphones et PDA haut de gamme. Avec ce rachat, le Français devient partenaire privilégié d'Adobe. Et commercialisera la solution commune. Un bienfait car "cela nous permettra de multiplier notre force pour attaquer le marché", se réjouit Sylvain Quendez. Actimagine licencie et commercialise des technologies liées à la vidéo (par exemple MobiClip, son codec vidéo maison) son coeur de métier. Elle compte 24 employés disséminés dans trois filiales: Paris (son siège), Singapour et Tokyo. (...)
(12/10/2006 12:29:54)AG du Cigref : Didier Lambert intronisé président
Passage officiel de témoin, hier, lors de l'Assemblée générale du Cigref (Club informatique des grandes entreprises françaises) : l'ancien président, Jean-Pierre Corniou (ex-DSI de Renault et aujourd'hui Président d'EDS Consulting services), a laissé sa place à Didier Lambert, DSI d'Essilor. Le premier a rappelé que les DSI ont encore beaucoup de travail : «il nous faut expliquer aux dirigeants d'entreprises qui ne le comprennent pas encore comment les technologies de l'information peuvent transformer les processus de travail. Par ailleurs, les entreprises doivent réinvestir. Les DSI courent avec des sacs à dos de 80 kilos, héritage de 25 ans d'informatique !» Une analyse que confirme le nouveau président, Didier Lambert : "Le principal piège pour un DSI, c'est l'inertie, c'est d'être ligoté par l'héritage.» Pour lui, le métier de DSI est composé d'un tiers de «direction d'usine», d'un tiers d'entrepreneuriat (construire de nouveaux projets) et d'un tiers de stratégie, d'influence, de pédagogie... Pour Didier Lambert, les DSI doivent travailler à l'avenir sur trois axes. Le premier concerne la généralisation de ce qui a été mis en place dans les entreprises avec les systèmes d'information, «même si ce n'est pas simple». Second point à surveiller : ne pas se laisser dépasser par une avance trop importante des technologies utilisées dans le grand public. «Notre plus grand concurrent, c'est super Mario, nous risquons d'être vite ringardisé», résume-t-il. Enfin, le nouveau président du Cigref a rappelé, c'est le troisième axe de focalisation pour les DSI, la nécessité de se positionner au coeur de l'innovation. (...)
(11/10/2006 17:54:03)La SSII indienne Infosys poursuit sa croissance à un rythme accéléré
Infosys a poursuivi sa croissance à un rythme infernal au cours de son dernier trimestre fiscal en réalisant un chiffre d'affaires de 746 M$ en hausse de 42,4 % sur un an. Infosys, qui réalise de nombreuses prestations offshore pour des clients internationaux, a également vu son bénéfice bondir de 44,2 % à 199 M$. Avec un ratio bénéfice sur CA de 26%, Infosys nargue les SSII européennes à la peine depuis plusieurs années. Et la situation ne devrait pas s'arranger dans les mois à venir. Infosys prévoit ainsi que son CA pour l'année dépassera 3 Md$, faisant d'elle la seconde SSII indienne derrière Tata. Aujourd'hui plus de 60% des clients d'Infosys sont américains et la société en a conquis près de 45 nouveaux au cours du trimestre écoulé. Infosys a aussi réussi a accroître la valeur de ses contrats moyens en se concentrant sur les grands clients. Pas de quoi rassurer les grandes SSII occidentales. (...)
(11/10/2006 17:57:23)Gartner : les trois étapes décisives jusqu'en 2012
Vous allez en prendre pour 20 ans. Selon le Gartner, les décisions prises par les entreprises jusqu'en 2012 influenceront les opérations des 20 prochaines années. Une mise en garde pour les décideurs qui devront désormais composer avec l'accélération des mutations des technologies, tant clients que serveurs, du marché. Gartner identifie trois périodes à tendances variables: 2007- 2008 sera marquée par la nécessité pour les DSI de se replonger en profondeur dans des problématiques techniques, tant logicielles que matérielles, "comme lors de l'arrivée de Windows 2000" indique le cabinet. La sortie de Vista et les architectures multi-c?urs devraient bouleverser le rapport prix/performance, tout en augmentant la diversité des configurations. Deuxième étape, 2009-2010 sera une période marquée par l'avènement de la virtualisation provoqué notamment par une hausse du taux d'équipements personnels en entreprise. Du fait de leur multiplication, les DSI auront recours à la virtualisation pour sécuriser leur système. Enfin, troisième et dernière étape, 2011-2012 période symbole de la convergence des plateformes professionnelles et grand public. Résultat, un unique environnement qui permettra aux utilisateurs de jouer de multiples rôles au quotidien. Autrement dit, une ère centrée sur l'utilisateur. (...)
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