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(09/10/2006 13:48:10)
Google négocierait le rachat de YouTube
Selon le Wall Street Journal, Google aurait entamé des négociations avec YouTube pour acquérir le service de partage de vidéos en ligne. Les négociations valoriseraient YouTube à environ 1,6 Md$. Selon plusieurs études, YouTube détiendrait environ 46 % du marché des sites de vidéos en ligne aux Etats-Unis (en nombre de visites), soit plus de quatre fois plus que les 11% contrôlés par Google Vidéo. Un rachat propulserait donc Google au premier rang des sites de vidéos en ligne et lui assurerait aussi la domination (au moins provisoire) du marché publicitaire sur ces sites. Les négociations confirment aussi l'intérêt des géants de l'Internet pour les sites dits "sociaux". En août, Google avait déjà payé 900 M$ à News Corp pour contrôler la distribution publicitaire sur son site MySpace (21% des visites sur les sites de vidéos en ligne). (...)
(06/10/2006 17:24:54)Mandriva rachète Linbox
Mandriva vient de conclure un accord pour le rachat complet de l'éditeur français Linbox. Dans un communiqué, Mandriva, éditeur des distributions Linux éponymes, indique que l'opération est motivée par « les multiples synergies entre les deux entreprises dont, notamment, les synergies entre l'outil de déploiement de logiciels en entreprise Mandriva Pulse et les solutions d'authentification, de sauvegarde et de gestion des actifs Linbox LRS et LDS. » Les équipes techniques de Mandriva et de Linbox préparent un programme d'intégration de leurs solutions afin de développer une solution complète. Linbox a été fondé en 1996 à Metz, sous le nom de Free and Alter Soft. La société a pris le nom de Linbox FAS en 2001 à la suite du rachat des actifs de Linbox. Linbox emploie actuellement 12 personnes et a généré un chiffre d'affaires de 665 000 E en 2005. L'entreprise prévoit une croissance de 20 % de son chiffre d'affaires en 2006 ainsi qu'un résultat net positif. Linbox revendique notamment Renault, EADS, Arcelor et plusieurs administrations françaises, parmi ses clients. La transaction, d'un montant total de 1,371 ME, sera réalisée par échange d'actions. Un supplément maximum de 316 ME assujetti aux résultats 2006 de Linbox est prévu par l'accord. (...)
(06/10/2006 17:21:25)AMD fait un pont d'or au DG d'ATI
AMD, sur le point de finaliser l'acquisition d'ATI, espère conserver David Orton, le directeur général du constructeur canadien, et lui propose un salaire de 1,7 M$. Le fondeur table sur l'importance jouée par David Orton au sein du groupe qu'il dirige pour parvenir à bâtir une plate-forme unique associant les processeurs AMD aux puces graphiques ATI. Par la même occasion, AMD entend combler l'écart, en termes de parts de marché, le séparant de son principal concurrent, Intel. Pour convaincre David Orton de demeurer dans le nouvel ensemble, AMD lui offre - outre un mirobolant salaire - un poste de vice-président. Parallèlement à cette annonce, une rumeur enfle chez les observateurs : Intel voudrait racheter Nvidia, le concurrent d'ATI et seul fabricant de puces graphiques restant sur le marché. Selon les analystes toutefois, ce bruit de couloir paraît irréaliste. Une telle initiative d'Intel serait en effet surprenante : le fondeur mène en effet une vaste réorganisation censée lui permettre d'atteindre ses objectifs de bénéfices en supprimant notamment 10500 postes. Intel n'a apporté aucun commentaire. (...)
(06/10/2006 17:20:43)Microsoft abaisse le bonus de Ballmer et Gates
Les dirigeants de multinationales immenses ont aussi leur lot de problèmes, à l'image de ceux de Microsoft dont le bonus annuel a été violemment amputé sur l'exercice 2006. Principales victimes du mouvement d'austérité touchant les hautes sphères de Redmond : Steve Ballmer et Bill Gates, respectivement directeur général et président du groupe. Les deux hommes ont ainsi vu leur bonus annuel sauvagement reculer de 14% par rapport à l'exercice fiscal 2005 ; la somme leur étant allouée en plus de leur salaire n'atteint plus que 350 000 $. Les syndicats, pas encore mobilisés pour rétablir un pouvoir d'achat décent aux pontes de Microsoft, se consoleront en partie en constatant que les salaires de Steve Ballmer et de Bill Gates ont été revus à la hausse, sans toutefois compenser l'effondrement de leur bonus : leur rémunération passe de 600 000 à 616 667$ sur l'année. Ces baisses interviennent pour accompagner le ralentissement de la croissance des bénéfices de Microsoft en 2006. En cause : les dépenses liées à la promotion de la Xbox 360 et le retard de Vista. (...)
(06/10/2006 09:43:09)Le feuilleton Deutsche Telekom/PTC/Vivendi continue
Vivendi souffle le chaud et le froid. Après avoir proposé 2,5 MdE pour racheter la participation de Deutsche Telekom dans l'opérateur polonais Polska Telefonica Cyfrowa (PTC), Vivendi brandit la menace judiciaire. Dans un communiqué, le groupe français dénonce la stratégie de Deutsche Telekom. Selon Vivendi, la revendication de l'opérateur allemand de 48 % de PTC s'appuie « sur une interprétation erronée de la sentence arbitrale de novembre 2004 à Vienne, qui a été annulée par le tribunal de première instance à Vienne, et dont les effets ont été suspendus par la cour d'appel en Pologne. » Le groupe français assure que les titres PTC « ont été saisis à son profit en application de mesures conservatoires [...] toute acquisition par DT en violation de ses droits serait sans effet en Pologne. » Vivendi indique par ailleurs avoir obtenu le 2 octobre dernier de nouvelles mesures interdisant à Elektrim de « participer à toute forme de négociation, accord, ou de prendre tout engagement envers T-Mobile Deutschland portant sur les titres PTC qu'elle prétend détenir. » Au final, le groupe français estime que la revendication de Deutsche Telekom lui porte « un préjudice grave » et « entend faire valoir ses droits devant les juridictions polonaises ou tout autre tribunal compétent et demander à DT et Elektrim réparation du préjudice croissant subi. » (...)
(05/10/2006 17:42:33)OpenOffice en baisse au Massachusetts mais en vogue au Danemark
Très surveillé depuis l'annonce de son adoption du format libre OpenDocument, l'Etat du Massachusetts vient de perdre un deuxième CIO en moins de six mois. Louis Gutierrez, le directeur informatique de l'Etat, a claqué la porte en mettant en cause les coupes budgétaires effectuées par l'administration. Gutierrez avait pris la succession en janvier de Peter Quinn, l'ex-CIO de l'Etat responsable de la décision d'adopter le format ODF comme format de travail pour les agences gouvernementales de l'état. Dans sa lettre de démission, Gutierrez indique que "l'esprit d'innovation informatique au sein du gouvernement du Massachusetts est parti en fumée en août, lorsque la législature s'est achevée sans prendre de décision sur le budget IT". En août, Gutierrez avait annoncé que l'Etat pourrait repousser la date d'adoption d'ODF (fixée au 1er janvier 2007, NDLR) pour permettre le déploiement de la suite OpenOffice. En fait, il semble désormais que l'Etat s'oriente vers le maintien de Microsoft Office assorti d'un plug-in ODF. Le Danemark poursuit sa route vers OpenDocument Au Danemark, OpenDocument a le vent en poupe. Selon une étude du cabinet danois Rambøll Management A/S, le gouvernement local pourrait économiser 125 millions de couronnes (environ 16,5 ME) au cours des 5 prochaines années s'il adoptait OpenOffice au lieu d'Office 2007. Le rapport vient appuyer une décision du parlement du 2 juin dernier qui contraint les institutions à échanger leurs informations avec les citoyens en utilisant des formats ouverts. Commandé par l'OpenSource Business Association danoise, il est pris avec des pincettes par le gouvernement. S'il se félicite du débat ouvert par le rapport, Adam Lebech, le patron de l'agence informatique et télécoms danoise, relève que le rapport ne se préoccupe que d'analyser les coûts, mais ne s'intéresse pas aux économies que pourrait générer la bascule vers des formats ouverts. Ce qui n'empêche pas certains départements d'avancer. Ainsi, Helge Sander, le ministre de la Recherche danois, a expliqué qu'ODF est devenu le format officiel de son ministère depuis le 1er septembre (...)
(05/10/2006 17:41:05)Gartner prédit que 25% des ventes de logiciels proviendront des services hébergés d'ici 5 ans
Les revenus provenant des services applicatifs hébergés (Software as a Service ou SaaS) devraient représenter 25 % du chiffre d'affaires de l'industrie du logiciel d'entreprise d'ici 2011, contre à peine 5% l'an passé. Ces logiciels à la demande, souvent facturés à l'usage ou selon un modèle d'abonnement devraient de plus en plus séduire les entreprises, mais aussi menacer l'ordre établi entre les utilisateurs et les directions informatiques. Pour Robert DeSisto, vice-président des études de Gartner, les fournisseurs d'applications hébergées ne sont plus des fournisseurs de second rang : "ils ont commencé à améliorer la richesse fonctionnelle de leurs outils et ils cherchent à faciliter la personnalisation de leurs outils par leurs clients afin de s'adapter à leurs spécificités métiers". Pour DeSisto, l'adoption du modèle SaaS varie de façon significative selon le secteur d'activité. Par exemple, le modèle SaaS a représenté 8% du chiffre d'affaires des éditeurs de GRC (gestion de la relation client) en 2005 et il devrait atteindre 12% en 2006. A l'inverse, le modèle hébergé représente moins de 4% du CA des éditeurs de PGI (progiciel de gestion intégré) et d'outils de gestion de la chaîne logistique. En fait, il semble que le modèle rencontre le plus de succès auprès des PME mais aussi auprès des départements de grands comptes, où le pouvoir de décision des utilisateurs est le plus fort. Les responsables de certains départements comme les ressources humaines ou la direction commerciale ont ainsi été l'un des principaux moteurs du succès du modèle hébergé pour les applications de paie et de GRC. Pourtant DeSisto recommande que les DSI et les responsables métiers soient impliqués en commun dans le choix d'une solution hébergée et dans la gestion du contrat. " Le fait d'avoir les deux parties impliquées aboutit à de meilleures décisions et à une gestion plus efficace de la relation avec le fournisseur dans le temps." Après l'externalisation, le modèle hébergé devrait être l'un des chevaux de bataille de Gartner lors du Gartner Symposium/IT Expo qui se tiendra à Cannes du 5 au 9 novembre (...)
(05/10/2006 17:40:38)HP : Patricia Dunn inculpée en Californie
Le scandale touchant HP prend une nouvelle dimension avec les poursuites lancées par le procureur de Californie contre cinq personnes dont Patricia Dunn, l'ancienne présidente du conseil d'administration, démissionnaire et présentée comme l'initiatrice des opérations d'espionnage. A ses côtés, le parquet californien incrimine également Kevin Hunsacker, ex avocat de HP, ainsi que Ronald DeLia, Matthew DePante et Bryan Wagner, tous trois étant issus d'agences de détectives privés. Les charges retenues contre les mis en cause incluent notamment l'usage d'un prétexte frauduleux ou mensonger en vue de l'obtention d'informations confidentielles, l'utilisation fallacieuse de données informatiques et le vol d'identité. "L'une des entreprises les plus respectables de notre Etat s'est fourvoyée alors que son conseil d'administration a cherché à savoir de qui émanaient les informations communiquées à la presse", a indiqué le procureur Bill Lockyer dans un communiqué. "A travers cette initiative, des gens de HP, et à l'extérieur du groupe, ont violé le droit à la vie privée et ont contrevenu aux lois fédérales". Le procureur de Californie s'est saisi de l'affaire en raison de l'implantation du siège social du groupe à Palo Alto, dans ce même Etat de Californie. Parallèlement, le procureur fédéral de San Francisco, le FBI et la SEC (le gendarme de la bourse américaine) mènent leurs propres enquêtes. HP n'a pas encore commenté ces mises en accusations, le constructeur se contentant d'affirmer qu'il continuerait de collaborer avec la justice. De son côté, l'avocat de Patricia Dunn estime que les inculpations sont prononcées " »contre la mauvaise personne et pour de mauvaises raisons". (...)
(05/10/2006 12:50:11)Fraude aux stocks options : Steve Jobs présente ses excuses au nom d'Apple
Steve Jobs, le charismatique patron d'Apple a présenté ses excuses aux actionnaires ce mercredi après qu'une enquête interne a mis en lumière les pratiques frauduleuses de stocks options antidatées conduites par le groupe. Des pratiques dont Steve Jobs avait connaissance. "Je présente mes excuses aux actionnaires et aux salariés pour ces problèmes intervenus sous ma responsabilité". L'enquête interne, d'une duré de trois mois, a établi qu'Apple a antidaté des stocks options à plusieurs reprises entre 1997 et 2002, et mis en cause deux anciens dirigeants du groupe dont les identités n'ont pas été communiquées. Les premiers éléments de l'investigation, lancée aux dernières heures du mois de juin, ont d'ores et déjà conduit à la démission du directeur financier, Fred Anderson, du conseil d'administration. Toujours selon l'enquête interne, Steve Jobs avait connaissance du traitement particulier appliqué à certains stocks options mais le PDG n'en aurait tiré aucun bénéfice et "n'avait pas conscience des implications comptables". Apple pourrait être conduit à republier ses comptes pour les périodes considérées. D'ici là, le groupe met en place des garde-fous pour "s'assurer que cela ne se reproduise jamais". Apple n'est que l'une des nombreuses entreprises IT auxquelles sont reprochées ces pratiques frauduleuses de stocks options antidatées. Parmi les autres acteurs mis en cause, citons McAfee, BroadCom, Rambus, Brocade ou encore Mercury. (...)
(05/10/2006 12:49:15)Semestriels Alten : forte croissance organique mais la marge recule
Résultats premier semestre Chiffre d'affaires : 271,7 M€ (+28,5%) Bénéfice net : 22,7 M€ (+22,7%) Alten vient de publier des résultats semestriels faisant ressortir la quasi-totalité des indicateurs en forte hausse. Sur les six premiers mois de l'exercice, le chiffre d'affaires s'établit à 271,7 M€, soit une progression de 28,5% par rapport à la même période de l'année passée. Une progression pas seulement due aux cinq acquisitions réalisées depuis le début de l'exercice : la croissance organique est en effet soutenue, atteignant 19,7% en France et 17,4% à l'étranger. Le bénéfice net affiche lui aussi une belle progression : il gagne 22,7%, à 22,7 M€. La seule déception provient de la profitabilité du groupe. Si le résultat opérationnel croît de 21%, à 35,7 M€, il ne représente que 13,1% du chiffre d'affaires, contre 14,4% il y a un an. Et cet indice devrait se maintenir proche de 13,5% sur l'ensemble de l'exercice en raison, selon le PDG Simon Azoulay, de l'intégration de récentes acquisitions moins rentables. Le groupe table sur des revenus atteignant 570 M€ sur l'année et sur une croissance organique supérieure à 15%. (...)
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