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(22/03/2012 15:53:52)
22e Observatoire de la Presse : Le Monde Informatique reçoit une Étoile de l'OJD
Après le prix du «Meilleur support en ligne 2011», remis lors du Palmarès annuel de la presse professionnelle, nous avons le plaisir de vous annoncer que le site LeMondeInformatique.fr s'est vu décerner une Étoile OJD pour ses bonnes performances ces quatre dernières années lors du 22e Observatoire de la Presse, ce jeudi 22 mars 2012.
Depuis 22 ans, les Étoiles OJD récompensent les meilleures progressions annuelles pour la presse grand public et la presse professionnelle. Dans cette dernière catégorie, LeMondeInformatique.fr s'est donc vu décerner une Étoile pour sa constance dans le succès depuis 4 ans. Cette récompense de l'Observatoire de la Presse vient saluer le travail de refonte progressive entrepris depuis quatre ans : création de rubriques (Le Monde du cloud, Virtualisation...), renforcement des dossiers thématiques, lancement de nouveaux rendez-vous (newsletters Emploi, Sécurité, Stockage, Mobilité), développement des versions mobile HTML et iPhone, réorganisation des rubriques éditoriales et de la structure du site, référencement revu, création d'un gestionnaire de compte ...
En 30 ans, Le Monde Informatique, qui s'adresse aux professionnels de l'informatique, est passé d'un hebdomadaire papier
à une plateforme 100% online d'informations et de services. Et merci à tous nos lecteurs. Grâce à vous, LeMondeInformatique.fr est aujourd'hui le site le plus consulté par les professionnels de l'informatique.
Selon le classement des audiences certifiées de l'OJD dans la catégorie « Sites Techniques et Professionnels », LeMondeInformatique.fr a connu la plus forte progression en visites toutes catégories confondues des sites B2B. En janvier 2012, LMI a ainsi atteint les 1 840 337 pages vues et 976 890 visites.
Le groupe IT News Info, éditeur du Monde Informatique, édite également les titres Distributique, CIO et Réseaux & Telecoms.
(...)(19/03/2012 16:58:41)Analyser gratuitement ses données Salesforce dans le cloud MicroStrategy
Les fonctions de reporting et de visualisation de données proposées par MicroStrategy sur son Cloud Personal sont accessibles gratuitement en ligne pour un usage individuel. On peut y charger les informations de ses feuilles Excel sans devoir recourir à l'équipe informatique et explorer ses données « in-memory ».
Dans sa dernière version, cette facilité de prise en main s'est ouverte aux utilisateurs du logiciel de CRM Salesforce. Ceux-ci pourront récupérer leurs données après s'être enregistré sur Cloud Personal, puis choisir une représentation graphique et disposer rapidement d'un tableau de bord interactif, affiché désormais en plein écran. Ils pourront consulter leur portefeuille d'opportunités commerciales sous différentes formes (cartes de chaleur, histogrammes...), lui appliquer des filtres par glisser-déposer et recalculer rapidement de nouvelles présentations.
La version Cloud Professional en cours
Les rapports ainsi constitués peuvent être partagés immédiatement sur le web et à travers des applications mobiles. Il ne sera pas possible, en revanche, de travailler en mode projet en faisant intervenir plusieurs personnes sur ces fichiers de reporting. Ces capacités avancées, ainsi que d'autres fonctionnalités et des modèles de visualisation complémentaires, seront réservés à la version Cloud Professional payante que MicroStrategy devrait présenter lors de sa prochaine conférence utilisateurs, à Amsterdam, en juillet prochain.
SAP propose lui aussi des fonctions similaires aux utilisateurs de Salesforce à partir de son offre en ligne BusinessObjects BI OnDemand. Ces fonctions décisionnelles dans le cloud bénéficient de la puissance de son offre « in-memory » HANA. Elles sont proposées à l'essai gratuitement, sans limite de temps.
Logitech va chercher son nouveau CEO chez Whirlpool
Bracken P. Darrell a été désigné pour reprendre les rênes du fabricant de périphériques Logitech. Dès le 1er janvier 2013, il endossera le rôle de CEO du groupe. Jusqu'alors responsable européen chez Whirlpool, Bracken P. Darrell a été choisi pour reprendre la tête du groupe Logitech. Dans son nouveau rôle, il sera en charge des domaines de la recherche et du développement, de la vente et du marketing, de la production, de la supply chain, de l'IT et de la gestion du personnel. Jusqu'au 1er janvier 2013, Guerrino de Luca restera néanmoins CEO du groupe, date à laquelle il cédera la place à son successeur désigné.
Pour mémoire, Guerrino de Luca avait repris le rôle de CEO ad intérim en été 2011 en remplacement de Gerald Quindlen. Commentant cette nomination, il a relevé l'excellente adéquation entre le nouvel arrivé et Logitech, au vu notamment de ses activités précédentes au sein d'une entreprise globale comme Whirlpool, et de son expérience dans le domaine opérationnel, de l'innovation et du marketing, trois secteurs critiques pour l'entreprise vaudoise.
ICTjournal.ch (...)(19/03/2012 10:31:32)Les instituts financiers peinent à s'adapter aux exigences du G20
Les nouvelles réglementations entourant les marchés financiers nécessitent une refonte des infrastructures IT existantes. Or seule une minorité d'instituts financiers estime être en mesure d'effectuer les adaptations nécessaires dans les délais impartis. Telle est la conclusion principale d'une étude menée par Interxion, en collaboration avec le cabinet d'analyse JWG.
L'enquête repose sur une série d'entretiens avec différents experts de la branche, sur un sondage mené auprès de responsables IT dans les milieux bancaires et des assurances ainsi que sur l'analyse de quelque 4'000 pages de réglementations financières développées par les pays du G20 à la suite de la crise financière (accords de Bâle III, Solvency II, MiFID II, «European Market Infrastructure Regulation» etc. Conséquence de ces nouvelles réglementations, une adaptation importante des infrastructures IT de l'ensemble des instituts financiers.
Les résultats de l'étude montrent cependant que les banques et assurances ne sont actuellement pas en mesure d'affronter ces changements. En effet, 71% des sondés estiment qu'une mise en conformité complète d'ici le délai fixé à 2015 ne sera pas possible, et 90% des personnes interrogées s'attendent à des amendes pour non-conformité d'ici la fin de cette année déjà, pour des montants qui pourraient atteindre plusieurs dizaines de millions de dollars. Selon PJ Di Giammarino, CEO du cabinet JWG: «La responsabilité en termes de Compliance se trouve en grande partie entre les mains de l'IT et des départements opérationnels, qui ne collaborent que très peu avec les autorités de surveillance. Il existe actuellement un profond fossé entre les responsables IT et les experts de la Compliance, qu'il importera de combler rapidement, seul moyen pour les entreprises concernées de conserver leur compétitivité tout en se conformant aux nouvelles exigences».
ICTjournal.ch (...)(19/03/2012 10:04:52)PayPal lance une solution de paiement mobile pour les petits commerces
Après des semaines de rumeurs, PayPal lance PayPal Here, une solution de paiement mobile comprenant une application mobile et un mini lecteur de carte triangulaire qui se relie à un téléphone pour en faire un terminal de paiement. Moyennant une commission de 2,7%, les commerçants peuvent proposer ce service et également utiliser l'appareil photo de leur téléphone pour vérifier l'authenticité des cartes et des chèques. PayPal Here est disponible dans certains magasins américains, canadiens, australiens et hong-kongais. Un lancement élargi aura lieu le mois prochain. (...)
(16/03/2012 11:33:24)Les plaintes liées à la téléphonie mobile explosent selon l'Afutt
Les problèmes de facturation mobile arrivent au premier rang des litiges recensés en 2011 dans le domaine des télécoms, selon l'Observatoire des plaintes et insatisfactions de l'Association française des utilisateurs de télécommunications (Afutt) dévoilé jeudi 15 mars. Pour la première fois, la téléphonie mobile concentre plus de plaintes (53%) que l'accès à internet (38%). La téléphonie fixe ne représente plus que 9% des réclamations.
Juste derrière les plaintes liées à la facturation de opérateurs mobiles figure la manque de qualité des prestations, qui se traduit le plus souvent par des interruptions de service, des débits insuffisants ou encore une couverture 3G jugée insatisfaisante. La résiliation des contrats arrive au troisième rang des litiges signalés.
Dans le détail, parmi les 24 motifs relevés par l'Afutt, la téléphonie mobile fait l'objet de critiques en matière de facturation (25,3%), de résiliation de contrat (16,9%), de recouvrement et contentieux (11%), de contrat (10,5%) et d'intervention du SAV (5,6%).
En ce qui concerne les fournisseurs d'accès Internet (FAI), les plaintes les plus fréquentes concernent l'interruption de service (dans 16,7% des cas), la résiliation de contrat (15,5%), la livraison/installation (14,2%), la facturation (10,6%) et enfin la qualité de fonctionnement (8,2%).
(...)(16/03/2012 11:28:18)La start-up Poken lève 2 millions et va s'installer en Californie
La start-up suisse, récemment primée lors des Global Mobile Awards 2012 à Barcelone, a annoncé hier une levée de fonds à hauteur de 2 millions de dollars qui signifie un important virage pour la jeune société vaudoise. En effet, elle coïncide avec l'arrivée d'un nouveau CEO en la personne de Sri Chilukuri, originaire de la Silicon Valley et qui a travaillé ces vingt dernières années pour diverses entreprises technologiques américaines comme Adobe Systems, VA Linux Systems ou encore Xerox. Selon le communiqué diffusé par Poken, Sri Chilukuri aura pour mission de guider la jeune pousse durant sa phase de croissance. Stéphane Doutriaux, fondateur et actuel CEO de Poken, restera pour sa part au sein de l'entreprise en tant que Chief Product Officer (CPO).
Autre virage important, le siège de la société sera déplacé à Paolo Alto, Californie, démontrant clairement l'ambition du nouveau management de concentrer ses efforts de croissance sur le marché nord-américain.
ICTjournal.ch (...)(15/03/2012 10:39:09)Pour se développer en Europe, la banque Pictet & Cie a choisi Avaloq Banking System
Pour des raisons d'efficacités et d'économie d'échelle, ces filiales européennes sont opérées à partir de l'infrastructure existante de Pictet, à Genève qui contrôle déjà l'entité juridique suisse. A la fin de ce nouveau déploiement, ce ne sont pas moins de 2200 salariés de la banque qui utiliseront cette solution.
Peu à peu, l'Avaloq Banking System sera mis en oeuvre dans la plupart des filiales et succursales internationales de la banque. La prochaine étape sera la migration de filiales situées en Asie.
Pour Peter Winsch, Chief Information Officer de Pictet & Cie, ce sont l'architecture flexible et la technologie avancée qui ont conduit au choix de cette solution: «A l'origine, nous avons choisi Avaloq comme plateforme bancaire, car elle nous fournit la flexibilité nécessaire pour couvrir nos besoins spécifiques et sophistiqués. De par cette flexibilité et la capacité de configurer et opérer de multiples entités juridiques sur la base d'une seule instance du système, l'Avaloq Banking System a joué un rôle important en nous permettant de soutenir progressivement l'activité de nos filiales internationales de façon optimisée, en créant des synergies avec notre infrastructure basée à Genève.»
(...)(15/03/2012 10:13:40)50% des cyberacheteurs ont déjà eu des problèmes
Au cours de ces douze derniers mois, 49% des cyberacheteurs ont rencontré un problème en procédant à un achat en ligne, révèle une étude Ifop pour Generix, ce mercredi 14 mars. Dans 28% des cas, les internautes ont préféré annuler leur commande en raison d'une rupture de stock, tandis que 15% ont été déçu car leur produit a été endommagé lors du transport. Encore plus problématique : 7% des consommateurs concernés ont reçu un colis qui ne correspondait pas à leur commande.
Au total, 91% des Français se sont connectés à internet au cours des douze derniers mois pour effectuer un achat sur la toile. En moyenne, les cyberacheteurs ont réalisé 12,8 achats lors de cette période. Désormais, tous les profils de consommateurs profitent des bonnes affaires, les plus âgés (88%) comme les plus modestes (83%). D'ailleurs, 45% des cyberacheteurs passent commande au moins une fois par mois.
Des soucis subsistent
Si l'e-commerce ne fait plus office d'exception ou de comportement atypique, quelques soucis subsistent encore. 55% des internautes avouent être en effet freinés dans leurs achats par les frais de livraison. Un frein plus probant que la peur de l'arnaque ou de la contrefaçon (52%).
De plus, la moitié des cyberacheteurs a déjà été confrontée à au moins un problème lors d'un achat. Parmi ces malchanceux, 27% ont procédé à un échange, 20% ont préféré se faire rembourser et 13% n'ont jamais reçu leur colis. Pour faire leur shopping en ligne, les Français plébiscitent Amazon.fr, Laredoute.fr, Fnac.com, Darty.com et Ikea.com, révèle le palmarès dressé par cette étude.
(...)(15/03/2012 09:57:11)La France en retard dans l'adoption des moyens de paiement dématérialisés européens
Dans le dernier numéro du mensuel « La lettre du trésorier » publié par l'association française des trésoriers d'entreprise, Gilbert Labbé (président de la commission SEPA) et Richard Cordero (délégué général) s'émeuvent du retard pris dans la migration des entreprises vers le SEPA. Rappelons qu'il s'agit de remplacer des moyens de paiement dématérialisés nationaux (comme le prélèvement ou le virement) par des moyens de paiement européens dans le cadre du Single Euro Payments Area (SEPA, aire unique de paiement en Europe).
Trois nouveaux instruments de paiement apparaissent : le SCT (SEPA Credit Transfer qui remplace le virement), le SDD (SEPA Direct Debit qui remplace le prélèvement) et le SCP (SEPA Card Payment qui remplace le paiement électronique ou par carte bancaire). Ces nouveaux instruments impliquent l'usage de nouvelles procédures (métier comme techniques), de nouveaux protocoles de transferts d'informations et donc des modifications dans tous les logiciels opérant des mouvements de fonds (commerce, paye, etc.). Outre la forme (le format XML ISO 20022 a été retenu), le fond des messages change : le BIC et l'IBAN remplacent, par exemple, le traditionnel RIB. Une mise à jour du contenu des bases de données est donc impérative.
Or, au 1er février 2014, le SCT et le SDD seront obligatoires et, le 1er février 2016, les derniers produits strictement nationaux disparaîtront (comme le TIP et le télé-règlement en France). Les chantiers sont donc urgents, tout devant être achevé dans moins de deux ans.
Le SEPA reste à ce jour peu utilisé
Selon la dernière enquête sur la bascule SEPA réalisée par l'AFTE, seulement 4 entreprises sur 10 sont aptes à réaliser certains paiements SEPA. Parmi celles-là, moins de la moitié sont capables de remplacer la majorité des paiements dématérialisés par des procédures SEPA. Dans 4 cas sur 10, les non-utilisateurs des moyens de paiement SEPA ignorent quand ces moyens seront disponibles pour eux, la majorité déclarant que les outils nécessaires sont encore en cours de développement.
12% des répondants estiment pourtant que plus de 10 applications sont concernées, 31% entre 4 et 10 et 57% entre 1 et 3. (...)
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