Flux RSS
Business

9034 documents trouvés, affichage des résultats 81 à 90.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(15/03/2012 09:50:01)
La Fondation Cigref publie les résultats de 2 études
Le Cigref (Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises) a créé une Fondation scientifique en 2008 et a débuté ses travaux en 2009 autour de cinq axes (stratégie, sociétal, organisationnel, régulation et technique). « Le Cigref a un rôle ici et maintenant ; la Fondation vise, elle, à éclairer le chemin vers demain (2020) et ailleurs » a rappelé Jean-François Pépin, délégué général du Cigref le 14 mars 2012. Ce jour, la Fondation Cigref a présenté publiquement les résultats de deux programmes de recherche internationaux.
Le premier, réalisé avec le professeur Francis Pereira de la Marshall School of Business de l'université de Californie du Sud, concernait les modèles d'affaire face au défi du numérique. Le second a été réalisé par Marie-Hélène Delmond et Alain Keravel, professeurs à HEC, ainsi que Fabien Coelho et Robert Mahl de Mines-Paritech, et concernait la coproduction de valeur en lien avec les systèmes d'information.
Un monde de plus en plus perturbé
Francis Pereira a ainsi rappelé que l'émergence du digital a entraîné trois bouleversements dans le business : la vélocité (accélération de tout), la turbulence (interactions variables au sein d'un écosystème économique) et les nouvelles architectures de services comme de technique. D'ici 2020, trois changements majeurs sont attendus : la primauté de l'expérience client pour guider ses choix d'achats, la co-création de valeur (bottom-up, open-innovation...) et l'expérimentation continue (informations circulant en permanence).
Il en résulte un fort impact sur les modèles économiques à base d'usage. L'innovation ne repose pas nécessairement sur l'innovation technique. Intégrer un accéléromètre bon marché dans une chaussure de sport et le relier à une application iPhone est juste un assemblage. C'est pourtant la nouvelle création de valeur de Nike avec son produit Nike+.
Marie-Hélène Delmond et Alain Keravel ont, pour leur part, rappelé combien les évolution du monde hiérarchique ou linéaire (fournisseur-producteur-distributeur-client) vers le monde en réseau évolutif transforme tout. Le client devient partenaire, tout comme le fournisseur voire le concurrent. Transformer les relations au sein d'un réseau peut être créateur de valeur pour telle ou telle composante voire pour toutes. Ainsi, Rexel comme Salesfroce ont su créer des outils qui permettent à leurs clients de devenir fournisseurs ou à leurs fournisseurs de devenir leurs clients, en se situant au coeur de nouvelles relations et de nouvelles propositions de valeur. Ces entreprises deviennent ainsi incontournables pour chaque autre composante du réseau alors que le maintien des anciennes relations les mettait à la merci de la concurrence. (...)
Annuels Neurones : 18,2% de croissance organique en 2011
C'est peu de dire que Neurones sur performe le marché, avec 18,2% de croissance organique elle est très loin des 2,7% de progression globale des SSII. Le chiffre d'affaires (CA) s'élève à 283,3 millions d'euros (ME) contre 239 ,6 un an auparavant. Le résultat opérationnel se monte à 26,3 ME, soit 9,3% du CA. Le résulta net est de 17 ME, le résultat net part du groupe de 14,8 ME. (...)
(09/03/2012 10:20:42)Econocom a intégré ECS en 15 mois
«Cette opération est derrière nous ». En quelques mots, Bruno Lemaistre, l'un des deux directeurs généraux d'Econocom aux côtés de Jean-Philippe Roesch, règle le cas ECS. Au plan opérationnel, la fusion est maîtrisée, Econocom a l'habitude avec 15 rachats en 10 ans. Financièrement parlant, l'opération semble également terminée, pour preuve la société a emprunté 240 ME au moment de ce rachat, aujourd'hui, elle est totalement désendettée.
L'ensemble des résultats financiers est d'ailleurs positif. Le chiffre d'affaires annuel 2011 s'élève à 1,58 milliard d'euros, la société anticipait 1,4. « L'activité commerciale s'est révélée meilleure que prévue », commente Galliane Touze, secrétaire générale. L'apport de synergies, prévu par le rapprochement avec ECS est plus élevé qu'anticipé , avec 66,6 ME d'économies, 44% de plus que ce qui était prévu.
En pro forma, la croissance est de 1%. La société anticipait une tendance négative. En fait, elle s'est désengagée de deux activités d'ECS jugée non stratégiques, l'une sur les petits comptes (-de 500 salariés chez Econocom), l'autre avec des contrats de location entraînant des recours contre le groupe. C'est 60 ME qui sont sortis du périmètre. A périmètre comparable, sans ces 60 ME, la croissance est de 5%.
Les chiffres de la rentabilité
La rentabilité se vérifie avec un résultat opérationnel courant de 66,6 ME, contre 47,5 sur 2010. Le résultat opérationnel s'élève à 46 ME, à 64,6 retraité des éléments non récurrents, le résultat net part du groupe se situe à 21,5 ME, 41,6 ME retraité des éléments non récurrents, contre 28,8 lors de l'exercice précédent.
Econocom souligne également plusieurs éléments montrant l'équilibre de ses comptes. Equilibrage géographique, par exemple. Avec l'apport d'ECS, Econocom est davantage présente en Europe du sud et en Europe du nord. La France représente la moitié du CA. Le premier client ne réalise que 3,5% du CA, pas de dépendance donc.
Surtout, la société est désendettée. En octobre 2010, pour le rachat d'ECS, elle avait emprunté 240 ME. Aujourd'hui, elle affiche un désendettement net. La trésorerie brute, à 218 ME fin 2010, se retrouve à 145 ME fin 2011.
[[page]]
Econocom se base toujours sur trois activités : distribution, services et location, mais en ajoute de nouvelles. On connaissait Everpad, une offre destinée à vendre des tablettes Apple iPad aux entreprises. Econocom a été la première en Europe à obtenir cet accord. 25 000 tablettes sont aujourd'hui vendues (et financées). NeverStop, offre venue d'ECS permet à l'aide d'un boîtier d'assurer à distance la maintenance réseau. Enfin, myBaas assure la sauvegarde sécurisée des données, c'est une offre issue d'un partenariat noué avec EMC.
En plus de ces trois offres proprement dites, Econocom ouvre deux nouveaux fronts. Un en rapport avec son métier classique de gestion de parcs, l'autre très novateur. La société est sur la virtualisation du poste de travail et de serveurs, elle a pris 40% du capital d'une start up belge spécialisée sur ce thème, Centix. Par ailleurs, Econocom, qui a ouvert un digital center à Paris, planche sur le thème des objets communicants.
La société est à l'affut de nouvelles acquisitions, forte de sa bonne santé financière et de sa capacité à intégrer. Manifestement, le temps n'est plus aux acquisitions de taille mais plutôt à des structures plus légères. Dans le leasing, où les banques veulent se défaire de leurs filiales moins stratégiques ? Dans la virtualisation du poste de travail et des serveurs ? La réponse ne saurait tarder, avec une année 2012, où Econocom anticipe un très prudent CA de 1,6 ME et un ROC de 70 ME. (...)
Les actifs de Syn'Actives repris par OpenIP
Fin de partie pour Syn'Actives, opérateur télécoms nantais, lancé en 2007. Sa liquidation judiciaire a été prononcée le 25 janvier dernier. OpenIP reprend les actifs de cet opérateur , actif sur l'ouest avec une antenne à Vannes. Syn'Actives réalisait 0,46 million d'euros de chiffre d'affaires en 2011. OpenIP pour sa part était à 3,7 ME de CA en 2011, contre 2,6 l'année précédente. (...)
(08/03/2012 11:51:48)La fusion Temenos-Misys peut être compromise
Le fabricant de logiciels bancaires Temenos va devoir patienter encore pour une éventuelle fusion avec son concurrent anglais Misys. Dans un communiqué publié mardi soir, Temenos a indiqué que le délai a été prolongé jusqu'au 2 avril prochain.
Lundi, les fonds CVC et ValueAct (qui se présente comme le premier actionnaire de Misys) ont précisé par voie de communiqué qu'ils pourraient présenter une offre conjointe en numéraire pour racheter l'éditeur de logiciels Misys. Ils ont désormais jusqu'au 2 avril pour annoncer leurs intentions définitives.
Temenos n'a pas manqué de réagir et de faire savoir que malgré ce nouveau paramètre, elle maintenait ses intentions de fusion avec Misys. Dans un communiqué, l'éditeur genevois a précisé que les discussions continuaient et que cette fusion recelait un fort potentiel de synergies. Une autre offre de rachat avait déjà été déposée par la société de capital-risque Vista Equity Partners (Vista). Elle propose 1,2 milliard de livres (1,75 milliard de francs) en argent comptant.
Misys a précisé que la décision finale serait prise par le Conseil d'administration au sein d'un comité où il occupe également le poste de directeur général de ValueAct.
ICTjournal.ch (...)(08/03/2012 11:48:05)Le salon la Mêlée Numérique ouvre ses portes les 25 et 26 avril à Labège
Les 25 et 26 avril se tiendra la nouvelle édition du salon de la Mêlée Numérique, à Labège près de Toulouse. Trois nouveautés cette année : la ville du futur, la mobilité et le « big open data ». Le salon attend 3 00 visiteurs et 150 exposants, la région Midi Pyrénées se situant à la deuxième place des régions françaises en termes d'emplois TIC.
Le salon se découpe en plusieurs modules : économie numérique pour les aspects entreprise (ERP, RSE, multicanal, MtoM etc...) tourné cette année vers les usages ; l'Académie de l'innovation orientée vers l'innovation et les start up (aspects financements, recherche, juridique, financement) ; la 4ème édition du salon e-commerce régional ; une après -midi consacrée aux DSI et une convention d'affaires avec des rendez-vous pris à l'avance.
Par ailleurs, le salon verra la 10ème édition des Trophées de l'économie numérique et le 6ème Trophée du décideur informatique.
Ne pas manquer le site de l'évènement http://www.meleenumerique.com, il est superbe !
La Cnil publie un guide des droits sur la téléphonie fixe et mobile
En plusieurs "fiches pratiques", la Commission nationale de l'informatique et des libertés fournit informations, conseils et mises en garde sur les fichiers détenus par les opérateurs, sur les annuaires, le contrôle du téléphone par l'employeur, les nouveaux services disponibles sur smartphone ou encore le démarchage commercial.
Elle explique par exemple qu'il faut renouveler sa demande d'inscription sur liste rouge à chaque fois que l'on change d'opérateur, même si on conserve son numéro. Elle rappelle également qu'il existe depuis décembre dernier une liste d'opposition appelée "Pacitel" destinée à "vous préserver des appels téléphoniques publicitaires" (Inscription sur www.pacitel.fr).
Des modèles de lettres pour les démarches courantes
Concernant les "sms indésirables" proposant de rappeler des numéros surtaxés, le guide conseille de les transférer au 33700, dispositif d'alerte censé permettre aux opérateurs d'agir auprès des émetteurs de ces messages (Informations sur www.33700-spam-sms.fr).
La Cnil rappelle aussi qu'un employeur peut "contrôler l'usage non abusif" par ses salariés de leur ligne téléphonique grâce aux standards téléphoniques ou les relevés d'appel. "Vous devez être préalablement informé de ces contrôles", précise-t-elle.
Le guide, disponible sur le site de la Cnil (www.cnil.fr), explique également comment saisir la Cnil ou porter plainte au pénal. Il propose des modèles de lettres, pour demander son inscription sur liste rouge, exercer son droit de rectification ou d'opposition...
(...)(07/03/2012 11:09:59)Annuels Steria : +3,3% de croissance organique en 2011
Avec 1,747 milliard d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA), en 2011, Stéria progresse de 3,3% en organique, à périmètre et taux de change constants. Les chiffres de la rentabilité sont également positifs et supérieurs à l'an passé. Le résultat net part du groupe s'élève à 55 ME, contre 43,5 pour l'exercice précédent, il représente 3,1% du CA total contre 2,6%. Le résultat opérationnel est de 81,9 ME, légèrement supérieur à celui de l'an passé, 81,6 ME. La marge opérationnelle, 129,9 ME représente 7,4% du CA, contre 120,4 ME l'an passé et 7,1% du CA. Elle s'est améliorée de 7,8% d'une année à l'autre.
Par secteur, la SSII progresse dans la partie utilities-transports-énergie avec +7,3% et dans le secteur public, +2,7%. La banque finance s'avère plus stable, les télécommunications sont à la baisse, -4,7%. L'élément le moins satisfaisant vient des prises de commande, plutôt stables avec +0,5% par rapport à 2011. Le ratio prise de commande sur CA s'élevant à 1,04 au 31 décembre 2011, contre 1,07 un an auparavant.
Pour la France, 528,5 ME de CA annuel, la croissance organique se monte à 4,4%. La SSII progresse surtout dans la banque-finances avec +11,5% et dans le secteur public, +4,5%. La marge opérationnelle a progressé de 5,5% à 37,3 ME, le taux de marge revient à 6,8%.
Près de la moitié des ETI prévoient une augmentation de leur CA 2012
Pour la 1ère fois, le cabinet d'audit KPMG publie une étude (*) sur les ETI (entreprises de taille intermédiaire), ces entreprises situées entre les PME et les grands comptes. Elles réunissent entre 250 et 5 000 salariés et réalisent entre 50 millions et 1,5 milliard d'euros avec un total de bilan situé entre 43 millions et 2 milliards d'euros.
Ces entreprises, dont le rapport Retailleau détaillait les atouts, pour déplorer leur trop faible nombre en France dans la compétition actuelle, montrent une vigueur sans égale dans la crise. Elles sont 46% à prévoir une hausse de leur chiffre d'affaires, 45% un maintien, alors que 9% seulement s'attendent à une baisse d'activité. La rentabilité paraît également s'engager sous les meilleurs auspices avec 81% de dirigeants d'ETI qui s'attendent à la maintenir ou à l'augmenter au cours des deux prochaines années.
19% des ETI prévoient des embauches
L'emploi profite de cette bonne santé, 19% des dirigeants interrogés prévoient des embauches, 67% un maintien simple d'activité. 29% des grandes ETI, celles entre 1 000 et 5 000 salariés prévoient de telles embauches.
La croissance externe fait également partie du paysage, 29% des dirigeants d'ETI ont réalisé une opération de ce type au cours des cinq dernières années. Dans les plus grandes ETI, cette proportion passe à 45%. Un tiers de ces grandes ETI, celles à plus de 1 000 salariés, prévoient une opération de croissance externe dans les deux années à venir. Cette croissance externe permet à la fois de se développer à l'international et d'intégrer des innovations et des compétences en innovation. Les ETI, souvent familiales, semblent plus réticentes pour l'ouverture de leur capital.
(*) Etude basée sur deux sondages d'Opinion Way, en mars 2011 et en février 2012, auprès de 250 dirigeants d'ETI, additionné d'entretiens menés auprès d'une centaine de ces dirigeants.
http://www.minefe.gouv.fr/services/rap10/100222eti.pdf
(...)(06/03/2012 17:20:30)SAP annonce une version OnDemand de Business One
Chez SAP, la fièvre du cloud se propage jusqu'à Business One, cette suite intégrée pour petites entreprises entrée au catalogue il y a dix ans. Sur le Cebit de Hanovre, l'éditeur a mis l'accent sur la prochaine disponibilité de la version OnDemand du produit, sur la base d'une tarification mensuelle. Contrairement à ce qu'il fait avec l'autre suite intégrée pour PME, Business ByDesign, ce n'est pas lui qui héberge Business One OnDemand. SAP s'appuie ici sur des partenaires certifiés qui assurent l'hébergement. Ce matin, l'éditeur a communiqué le nom de six d'entre eux parmi lesquels le Français itelligence, l'Espagnol Seidor, le Tchèque Versino et l'Américain Virtustream, mais aussi Hungarian Telecom et Singtel, basé à Singapour.
PME, un marché relativement inexploité sur le SaaS
Avec Business One OnDemand, SAP dit vouloir proposer aux PME une offre de gestion complète et facile à exploiter en ligne, mais surtout, mise à disposition à un coût prévisible. L'éditeur cite Ray Boggs, vice-président d'IDC, qui estime que les petites entreprises constituent encore un marché relativement inexploité pour les solutions hébergées proposées en mode SaaS (software as a service). « Les clients peuvent vouloir choisir un modèle de déploiement dans le cloud ou le combiner avec leurs installations sur site et ne pas devoir investir en une seule fois », explique SAP dans un communiqué. Il rappelle aussi que ce mode de fonctionnement permet de ne pas recruter de ressources IT en interne.
Business One regroupe des fonctions financières et comptables, de gestion de la production et des stocks, de gestion des relations avec les clients (CRM), de prise en charge des achats. Il inclut aussi des outils de reporting. Sa version OnDemand sera exclusivement disponible via son écosystème de partenaires.
La semaine dernière, c'est Cegid, l'un des principaux éditeurs français de solutions de gestion pour PME, qui annonçait avoir choisi le cloud privé d'IBM pour y migrer l'offre SaaS qu'il propose déjà depuis plusieurs années.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |