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(13/04/2006 12:56:26)
Les ventes d'Opteron dopent le revenu d'AMD
A la faveur de fortes ventes de son processeur bi-coeur Opteron, AMD boucle son premier trimestre 2006 sur des revenus et un bénéfice en nette hausse. Le chiffre d'affaires atteint 1,33 Md$, soit la somme prévue par les analystes, et progresse de 8 % par rapport à la même période de l'année précédente. Le résultat net se redresse largement : un an après avoir enregistré une perte de 17,4 M$ au T1 2004, AMD publie un bénéfice de 184,5 M$. Les ventes au cours de ce premier trimestre ont été dopées par une forte demande pour les processeurs bi-coeurs pour serveurs et stations de travail. Les ventes d'Opteron ont notamment atteint des niveaux records et ont représenté la principale source de croissance des revenus. D'une manière plus générale, les utilisateurs professionnels se sont davantage tournés vers AMD que vers le concurrent Intel. Selon AMD, les ventes ont été particulièrement soutenues en Chine, Amérique Latine, Russie et Asie du Sud. Le groupe entend générer ses futurs revenus d'une augmentation de la production. En mars, il a débuté la confection des premiers processeurs dans on usine allemande Fab 36 implantée à Dresde. Cela devrait lui permettre d'atteindre son objectif d'une production doublée sur la période 2005-2008. (...)
(12/04/2006 16:52:53)Les PME gardent le moral
Le baromètre mensuel BNP Paribas Lease Group - AFP de vitalité des PME-PMI confirme au mois de mars sa progression lente mais régulière. L'indicateur de chiffre d'affaires se situe ainsi à son plus haut depuis trois ans. En mars, 38% des PME ont vu leur chiffre d'affaires augmenter, contre 21% qui l'ont vu baisser. L'indicateur de rentabilité est également en hausse, même si le niveau global reste peu élevé. En revanche, les indicateurs d'emploi et d'investissement marquent un léger recul. La balance de l'emploi est cependant restée positive en mars, l'indice reflétant en fait les intentions de recrutement moins fréquentes à court terme. (...)
(12/04/2006 16:51:27)MS Exchange en mode hébergé chez Jet Multimédia
Pour les PME souhaitant se décharger de l'administration de leur application de messagerie, Jet Multimédia propose une version hébergée de Microsoft Exchange au-dessus de laquelle le fournisseur propose une couche de sécurité comprenant un pare-feu, les fonctions antivirus et antispam de Trend Micro pour MS Exchange, ainsi qu'un accès à MS Outlook Web Access en mode sécurisé (SSL). Cette offre externalisée, baptisée Jet Hosted Exchange, est installée depuis un an dans le centre de données du prestataire (situé à Courbevoie, Hauts de Seine) et accessible 24 heures sur 24. Jet Multimédia estime qu'une solution de ce type revient presque dix fois moins cher qu'un achat de licences pour une PME souhaitant gérer entre cinq et vingt boîtes aux lettres. Pour distribuer cette offre, il a constitué un réseau d'une quinzaine de distributeurs qui couvre l'ensemble de l'Hexagone, lui-même disposant d'agences à Toulouse et à Lyon. (...)
(12/04/2006 12:21:21)Bouygues Télécom, trop petit pour survivre ?
"Bouygues Télécom n'est pas en mesure d'atteindre sa taille critique. Il doit continuer à se battre pour faire progresser sa part de marché, ce qui augmente encore sa fragilité financière et porte directement atteinte à sa rentabilitié". Ces propos peu rassurants, relayés par notre confrère Les Echos, sont extraits d'un document adressé par l'opérateur mobile à la Commission Européenne. Bouygues Télécom estime que sa part de marché inférieure à 16% ne lui permet pas de générer suffisamment de revenus pour investir et se développer. L'opérateur considère avoir pris un retard de trois ans. Il argue que face à Orange ou SFR, il possède moins de capacité de négociation avec les constructeurs sur les équipements réseaux et les terminaux, ainsi qu'avec les autres opérateurs sur les accords de roaming. Il subit de plus une forte pression concurrentielle de la part de ses homologues et doit faire face à l'arrivée croissante de nouveaux entrants MVNO. Par ce jeu de "Calimero", Bouygues Télécom espère surtout s'affranchir d'une régulation qu'il estime pesante. L'opérateur critique ainsi vertement les méthodes de l'Arcep, qu'il juge "peu rigoureuses et contestables". Ces déclarations pourraient être aussi annonciatrices d'un éventuel départ du paysage mobile Français. La revente se profilerait-elle ? Bouygues Télécom peut intéresser des opérateurs mobiles en mal d'offres complètes paneuropéennes comme Téléfonica et des fournisseurs de services fixes sans réseaux mobiles. Alors, combat ou rédition ? (...)
(12/04/2006 10:43:30)Skype fonce vers la VoIP en rachetant Sonorit
Skype Technologies vient d'acquérir Sonorit, spécialisé dans la voix transitant sur Internet, ainsi que sa filiale Camino Networks. Montant de la transaction : 27 millions de dollars. Pour la filiale d'eBay, l'objectif de cette opération est d'intégrer dans ses équipes des experts en voix sur IP. Sonorit et Camino sont des start-up construisant des produits de conversation et de transmission de données via des réseaux IP. Skype compte faire de ces deux sociétés la base de développement des prochaines versions des ses produits VoIP. (...)
(12/04/2006 10:41:43)Rumeurs d'OPA à plus de 130 Md€ sur Vodafone
Selon le quotidien britannique Daily Mail, un consortium regroupant Verizon, Telefonica et l'investisseur Blackstone, chercherait actuellement à lever les fonds nécessaires à une OPA sur Vodafone. Le quotidien britannique évoque une offre à 160 pences par action, qui valoriserait l'opérateur mobile à 96 Md£, soit plus de 138 Md€. Toujours selon le journal, le projet serait conduit sous la houlette de JP Morgan Cazenove. L'OPA aurait pour objet de démanteler Vodafone. Verizon en récupérerait les actifs outre-Atlantique, tandis que Telefonica serait intéressé par les activités de Vodafone en Europe, y compris en Italie et en Allemagne. Le reste reviendrait à Blackstone. Dans un entretien téléphonique accordé à Bloomberg, un porte-parole de Blackstone a indiqué que l'investisseur « n'a rien à voir » avec un tel projet. (...)
(12/04/2006 10:40:49)FreedomHEC, une contre-manisfestation Linux au WinHEC
La communauté Linux prépare un contre-événement au WinHEC 2006 (Windows Hardware Engineering Conference), organisé en mai à Seattle. La manifestation baptisée FreedomHEC sera hébergée en voisin du WinHEC et se débutera un jour après celle-ci. Ironiquement, les détenteurs d'un badge de la conférence Microsoft pourront y accéder gratuitement. FreedomHEC prévoit de fournir des conférences sur l'utilisation de Linux dans tous types de périphériques. Son principal sponsor: Pogo Linux revendeur de serveurs, stations de travail et système de stockage sous Linux. (...)
(11/04/2006 18:01:50)Salesforce passe au service à la demande sur mobile
En rachetant Sendia pour 15 M$ en numéraire, Salesforce vient d'acquérir un savoir faire dans des applications à la demande sur appareils nomades. Salesforce va désormais mixer sa plate-forme AppExchange avec la technologie mobile de Sendia afin de proposer des services à la carte sur n'importe quel mobile, PDA ou appareil connectés à Internet. AppExchange Mobile devrait permettre de déployer des solutions métiers tierces sur des supports mobiles. Les utilisateurs de AppExchange pourront accéder rapidement à leurs applications sur n'importe quel appareil nomade, sans développement supplémentaire. AppExchange Mobile est déjà disponible pour 50 $ par utilisateur et par mois. (...)
(11/04/2006 17:58:41)Patrick Starck parie sur une consolidation dans la gestion d'infrastructure
Patrick Starck a récemment quitté la tête d'HP France pour prendre la tête de la région Europe du Sud pour CA. Dans un entretien avec lemondeinformatique.fr, il explique pourquoi il a choisi CA et fait le point sur les grandes orientations de la société dirigée par John Swainson . En arrivant chez CA, vous passez d'un groupe plutôt spécialisé dans le matériel et l'infrastructure à une société qui tire ses revenus du logiciel ? Pourquoi un tel choix ? C'est à la fois la conjonction d'une analyse du marché de l'informatique et d'un désir personnel. Après 11 ans passés chez Compaq et HP je me suis posé la question du challenge pour les 10 prochaines années. J'ai réfléchi aux évolutions du marché de l'IT. Le premier constat que j'ai fait est que sur le marché du logiciel il y a une accélération de la consolidation. Jusqu'alors, elle s'est faite dans 2 ou 3 grands domaines, dont celui de l'applicatif et de l'infrastructure. Dans l'applicatif, il ne reste plus que deux gros acteurs de poids, SAP et Oracle, et des acteurs de niche. La consolidation est aussi faite, sur le marché des SGBD et du middleware. En revanche sur les autres secteurs, rien n'est fait. Dans le domaine de la gestion d'infrastructure, aucun acteur n'a pour l'instant pris une position de consolidation globale. Il y a quelque chose qui va se passer dans ce domaine, qui ne pourra durablement échapper pas à une forme de consolidation et de standardisation. Les entreprises veulent qu'on les aide à mieux comprendre leurs clients, à être plus réactives, à mieux accompagner leurs clients. Bien sûr pour faire cela, les acteurs du domaine applicatif ont une réponse, mais les acteurs du domaine de l'infrastructure ont eux aussi une réponse à apporter. CA a une réponse à apporter sur l'intégralité. Il a l'ambition d'être présent sur tous les points de la gestion d'infrastructure. De la gestion de la sécurité à celle des systèmes, du stockage, en passant par tout ce qui concerne la gouvernance et la gestion des services rendus (business system optimisation) Sur ce segment de la gestion d'infrastructure, CA affiche des faiblesses notamment sur la gestion du stockage ou même sur celles des processus, où il est venu tardivement.... Je ne doute pas que la fédération et la consolidation technologique sont en train de se faire. Nous avons une stratégie d'acquisition. Nous avons vocation à être consolidateur technologique sur ce marché. Aujourd'hui les entreprises achètent encore de larges pièces du puzzle à de multiples sociétés. Notre objectif est de simplifier ce travail. Bien sûr la technologie restera complexe. Mais avec l'intégration, le service rendu et la perception du client se trouvent simplifiés. Une de mes priorités sera de porter ce message à nos clients et de leur expliquer cette vocation de CA. Le mouvement a été initialisé avec l'arrivée de John Swainson. Il y a une opportunité à faire de CA le leader du logiciel d'infrastructure. D'ici cinq ans, il ne devrait plus y avoir que deux ou trois grands acteurs sur ce secteur CA a aujourd'hui un modèle largement direct alors que vous venez d'une société qui s'est largement construite sur un modèle indirect... Vous posez la question de notre accès au marché : il y aune impulsion claire et sans ambiguïté d'orienter la stratégie de vente de CA vers un modèle hybride. Les demandes des clients sont hybrides. Ils veulent acheter en direct chez le constructeur ou l'éditeur mais aussi profiter des compétences d'un tiers intégrateur. Notre offre est modulaire et si un client veut acquérir un de nos modules auprès d'un intégrateur pour l'intégrer avec d'autres modules d'un éditeur tiers, il peut le faire. Pour nous, la stratégie indirecte est stratégique. On ne pourra pas devenir leader du marché sans nos partenaires Un autre constat est que CA vend pour l'instant essentiellement aux grands comptes et peu aux PME. Nos principaux clients sont effectivement les grandes entreprises mais nous avons une ouverture aux sociétés de taille plus petite, et l'on vend même aux particuliers, nos offres de sécurité notamment. Oui mais cet effort est aujourd'hui limité à une poignée de produits ... Aujourd'hui, pour se positionner efficacement sur le marché des PME, il faut le faire avec des produits conçus spécifiquement pour les PME et avec le réseau de distribution adéquat. Les besoins d'une PME sont différents de ceux d'un grand compte : Une PME a un SI assez homogène avec des micros des serveurs et du réseau sous toutes ses formes. La problématique d'un grand groupe est que son SI est multiplates-formes, multi-OS et qu'il doit gérer son historique. Dans les PME, le SI peut être totalement cohérent à un instant donné. Les produits ne peuvent donc pas être les mêmes et les besoins d'intégration sont différents. Votre nouvelle fonction a une dimension internationale alors que jusqu'alors vous avez surtout eu des responsabilités nationales. Etait-ce une des raisons du choix de CA? C'était un choix personnel. Il y a avait un élément qui était l'expérience internationale. Manager des structures internationales était quelque chose qui m'attirait. J'ai aujourd'hui en charge la région Europe du Sud. Ce qui vous donne un rôle de consolidation ... L'organisation par pays de CA ne bouge pas. Nous cherchons à développer des synergies par région en partageant des compétences clés entre cinq ou six pays. Mon rôle n'est pas de créer un étage de consolidation, mais bien d'exploiter au mieux ce que nous pouvons partager. Il nous faut trouver l'équilibre entre ce qui se fait le mieux au niveau des pays et ce qui se doit se faire au niveau de la région. (...)
(11/04/2006 18:00:16)Projet ENERGy: Mandriva surveille en mode distribué les réseaux IP
Mandriva met un pied dans les réseaux VoIP. L'éditeur Linux annonce sa participation dans ENERGy, programme européen ITEA (Information Technology For European Advancement) centré sur le développement d'un outil de surveillance distribuée des réseaux VoIP. L'objectif, explique Ha Quôc Viêt, responsable des projets européens chez Mandriva, est "de traiter les problèmes de congestion liés aux réseaux IP, et d'organiser un système de monitoring". Techniquement, le projet vise au développement et à l'installation de sondes de surveillance, éparpillées sur réseaux IP, et remontant, pour analyse, les informations et données. "La particularité d'ENERGy réside bien sur ce principe de surveillance distribuée," commente Ha Quôc Viêt. Mandriva, moins connu pour son intérêt pour la VoIP que dans Linux, apportera son expertise dans les domaines de la sécurité et de la gestion des réseaux. Et surtout dans le développement des sondes. Une offre commerciale devrait alors aboutir : "dans un premier temps, nous développerons une offre de service de surveillance auprès des grands comptes télécoms, via notre réseaux de partenaires [NDLR- notamment Bull Evidian, Thalès, EADS] ", confie Ha Quôc Viêt. Et dans un second temps, "nous implémenterons les technologies de sécurité dans notre offre Multi-Network Firewall (MNF). Plus tard notre offre desktop, plus grand public, héritera des fonctionnalités de monitoring élaborées lors du projet". Côté financement, Mandriva contribuera au projet ENERGy à hauteur de près de 959 000E et recevra, à échéance, 288 000E de subvention du Ministère de l'Industrie et des Finances. (...)
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