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(14/02/2006 17:25:16)
Recherche mobile : Microsoft se paie le français MotionBridge
Microsoft vient de mettre la main sur la société française MotionBridge, basée à Paris et spécialisée dans la technologie de recherche sur appareils mobiles à destination des opérateurs. "L'univers émergent de la recherche mobile est stratégiquement important, et crucial, pour nous permettre de délivrer notre vision de Windows Live : une expérience riche en information et sans discontinuité pour les particuliers comme les professionnels à travers les appareils mobiles" a commenté Christopher Payne, le vice-président de la division MSN Search chez Microsoft. Plusieurs opérateurs mobiles ont intégré les outils mis au point par MotionBridge, dont Orange, Sprint et O2. (...)
(14/02/2006 17:24:09)Google / Microsoft : la course aux services hébergés fait rage
Google vient de débuter les tests d'un service hébergé de boîte aux lettres électroniques pour entreprise. A l'image de Windows Live Custom Domains., projet identique toujours en test démarré par Microsoft en novembre 2005. Chez Google, le service, baptisé « Gmail for your domain », permettra d'héberger une série de comptes email (sans en préciser le nombre) sous leur propre nom de domaine - au lieu du traditionnel @gmail.com. Chaque utilisateur se verra attribuer un espace de stockage de 2 Go -identique au volume disponible sur le webmail « grand public »-. Pour séduire les entreprises, Google permettra également aux administrateurs de configurer et gérer eux-mêmes leurs comptes email. Le pharaonique moteur de recherche indique cibler les PME et les universités. Hasard du calendrier, c'est le même jour que choisit Microsoft pour entamer un programme de tests en béta de son offre Office Live. Si peu de fonctionnalités ont pour l'heure été révélées, Microsoft indique toutefois que Office Live sera déclinée selon trois offres. La première, Office Live Basics proposera une kyrielle de services gratuits, mais sponsorisés : nom de domaine, 5 comptes email (2 Go de stockage), un espace de 30 Mo pour l'hébergement d'un site Web, un outil de création web automatique et enfin un outil d'analyse trafic, Office Live Site Reports. Office Live Collaboration et Office Live Essentials, quant à elle, fonctionneront à l'abonnement (à partir de 29$ par mois). Live Collaboration, axé davantage gestion de projet Internet, reposera sur les technologies de SharePoint : Extranet et Intranet protegés par mot de passe, gestion de contact et de projet, et gestion des ventes et RH. Plus complète, Live Essential, troisième déclinaison d'Office Live, se destine avant tout aux PME désireuses de bâtir leur activité autour d'Internet. Côté services, notons un nom de domaine, 50 comptes email (2 Go de stockage), le même outil de design web que l'offre Basics auquel s'ajoute le support de Frontpage, un outil d'analyse et enfin, un série de modules métiers tels que la gestion de clients, documentaire et de projet. Microsoft prévoit d'inaugurer les versions finales courant 2006. (...)
(14/02/2006 17:33:58)Haro sur l' open source : SAP et Intel investissent dans MySQL
Enième clin d'oeil du modèle propriétaire à l'open source. Après la rumeur, Lundi 13 février, d'un triple rachat d'Oracle dans l'open source, c'est désormais au tour de MySQL, fleuron du mouvement, de susciter les convoitises. L'éditeur MySQL AB vient en effet de réaliser une levée de fond de 18,5 M$ dans un troisième tour de table, orchestré par le fond d'investissement Institutional Venture Partners (IVP). IVP compte notamment parmi ses investisseurs Intel Capital et SAP Ventures, branche d'investissement en capital-risque des deux géants du secteur. On y retrouve également Red Hat Ventures et Presidio STX (Sumitomo) . Dans un communiqué, MySQL AB, qui a récemment ouvert un filiale au Japon, explique que ces fonds serviront "à financer sa croissance continue dans le marché des bases de données d'entreprise, [...] ainsi que l'expansion du développement commercial et des activités liées au ventes et au marketing". Rappelons au passage que SAP et MySQL collaborent au développement de la base de données MaxDB. (...)
(15/02/2006 09:15:14)L'activité en France, moteur de la croissance des SSII hexagonales en 2005
Oubliées, les moribondes années 2002 et 2003. En 2004, les SSII françaises avaient retrouvé le chemin de la croissance : elles ont poursuivi sur leur lancée et signé un exercice 2005 largement positif du point de l'activité. Sopra illustre parfaitement le dynamisme des sociétés de services informatiques hexagonales. Avec un chiffre d'affaires de 757 ME, le groupe affiche un taux de croissance de 20,2 %, dont 9,7 % en organique. L'activité conseil progresse de 19,7 %, à 41,3 ME. Surtout, l'intégration de systèmes et solutions (ISS) en France marque le succès de la stratégie mise en place, consistant à privilégier les offres à forte valeur ajoutée et de proximité : elle génère 504,7 ME de revenus et progresse de 9,1 %. La même activité, dans le reste de l'Europe, croît de 6,6 %, à 125,5 ME. enfin, la filiale Axway génère un CA de 85,5 ME, soit 14,2 % de mieux qu'au cours de l'exercice précédent. Chez Steria, la croissance flirte également avec les 20 %. A 1,17 MdE, le chiffre d'affaires dépasse pour la première fois le cap du milliard d'euros et progresse de 19,5 %. A périmètre constant, la croissance est de 4 %. Là aussi, l'activité réalisée en France se révèle être le moteur de la croissance. Le groupe réalise en effet dans l'Hexagone un CA de 483,1 ME, en hausse de 8,8 % en organique. En comparaison, la Grande-Bretagne ou l'Allemagne font pâle figure, qui affichent respectivement des reculs de 1,5 et 3,3 %. Le conseil et l'intégration de systèmes génèrent un CA de 686,9 ME, soit 4,6 % de plus qu'en 2004. L'activité Infogérance engendre quant à elle des revenus de 3,1 % supérieurs à ceux de l'exercice précédent, à 488 ME. Signe de la bonne santé retrouvée, Steria vise une progression plus rapide que celle du marché européen en 2006. Les résultats présentés par Unilog illustrent également la bonne santé des SSII françaises. Le groupe affiche ainsi un taux de croissance à deux chiffres, à 17,1 %, et 13,9 % en organique, pour un chiffre d'affaires de 769,7 ME. C'est en France qu'Unilog réalise la plus grande part de ses revenus : l'activité y progresse de 15,9 %, à 613 ME, bien aidée par la branche conseil dont la croissance dépasse les 20 %. Autre moteur des bons résultats du groupe, l'Allemagne génère un CA de 123,9 ME, soit 27,5 % de mieux qu'au cours de l'année précédente. Si Steria, Sopra et Unilog sont des exemples représentatifs de la tendance constatée en 2005, de nombreuses autres sociétés confirment ce retour à une croissance solide. C'est ainsi le cas de Devoteam, Atos Origin, GFI ou autre Capgemini. Goldman et Sachs chiffre la moyenne de la croissance organique des SSII à 11,2 % en 2005, soit 6 points de plus que pour l'exercice précédent. Une performance en grande partie due, selon les analystes, à davantage d'investissements de la part des grands comptes et des grandes PME. (...)
(14/02/2006 00:00:00)Premier emploi : Proservia propose des jeunes diplômés sur-mesure à ses clients
Les entreprises se montrent frileuses vis à vis des informaticiens débutants alors qu'elles se plaignent de ne pas trouver de compétences ? Attachée à la recherche du mouton à cinq pattes, elles ne font pas assez confiance à la personnalité et la motivation d'un jeune? La SSII nantaise Proservia met en place une prestation destinée à déjouer cette tendance en adaptant gratuitement le profil des jeunes diplômés aux besoins de ses clients. Cette offre est baptisée « contrat première chance ». Elle est mise en oeuvre dans le cadre de prestations de services proposées en assistance technique, pour des jeunes à la recherche d'une première expérience professionnelle. Concrètement, lorsqu'une entreprise fait appel à Proservia pour un besoin de compétences, la SSII lui demande de participer à la sélection du candidat. A l'issue de cette démarche, le candidat -embauché en CDI par Proservia- est formé par la SSII selon un cursus (d'une quinzaine de jours en moyenne) défini avec le client en fonction de ses besoins. Cette formation est gratuite pour le client. Elle est suivie d'une période de formation pratique au sein de son équipe, qui lui est également non facturée. Elle fait office de période d'essai pour le jeune technicien. A l'issue de cette phase d'intégration, le client bénéficie d'un tarif préférentiel, pendant les trois premiers mois de la prestation, l'informaticien continuant à se former. Le coût de la prestation évolue ensuite en fonction du niveau d'expertise et de responsabilités que prend le collaborateur chez le client. . L'informaticien touche de son côté un salaire inférieur aux 1400 à 1500 euros brut que Proservia propose aux débutants de niveau bac + 2, pendant trois mois. Il retrouve ensuite un salaire plus élevé et voit sa rémunération évoluer en fonction de sa mission et du plan de progression défini avec la SSII, dans le cadre d'un PCP (plan de carrière prédéfini, il s'agit d'un cursus de formations réparties sur trois ans, NDLR). Cette initiative permet à Proservia de se différencier de ses concurrents. Certains peuvent y voir une embauche au rabais, mais cette situation est temporaire. Elle offre de plus une position stable aux informaticiens concernés et incite enfin les sociétés à s'ouvrir à des profils jeunes et moins normés. Vingt-cinq informaticiens de niveau bac + 2 ou sortis d'une formation professionnelle de type Afpa en ont pour l'heure profité. Proservia a placé dix-huit personnes à la Macif de cette façon. Ce client avait notamment besoin de compétences sur Mainframe, qu'il avait du mal à trouver. La SSII lui a proposé des jeunes informaticiens qu'ils ont recruté ensemble et qu'elle a formé au mainframe. Forte de cette expérience, elle s'apprête maintenant à lancer cette offre, d'abord mise en ?uvre dans la région Ouest auprès de ses clients parisiens. (...)
(14/02/2006 09:39:56)Acquisitions : Oracle chasse sur les terres open-source
Après avoir musclé son offre applicative avec Peoplesoft et Siebel, Oracle semble vouloir désormais chasser sur les terres de l'open source.Ce ne sont pas moins de trois éditeurs que le sémillant Larry Elisson aurait en point de mire à en croire notre confrère BusinessWeek, citant des sources proches du dossier. Oracle chercherait tout d'abord à absorber Zend Technologies, spécialiste du PHP avec qui l'éditeur a déjà tissé quelque liens via le développement de Zend Core for Oracle. Egalement visé, Sleepycat Software, notamment éditeur de la base de données transactionnelle java open source (sous dual licence, à l'image de MySQL) Berkeley DB Java Edition. Mais c'est surtout vers JBoss, expert en middleware java open source, que se tournent aujourd'hui tous les regards. Une acquisition, estimée à plus 400 M$ qui devrait être annoncée dès aujourd'hui lundi, indiquent ces mêmes sources. Au total, la firme dirigéee par Larry Ellison serait prête à débourser plus de 600 M$ pour les trois opérations. Oracle, qui vient juste de boucler l'acquisition de Siebel - et a déjà dépensé quelque 19 Md$ en croissance externe - deviendrait pour le coup l'un des poids lourd des technologies middleware libres . D'abord sur le marché du développement PHP avec le rachat de Zend Technologies (pour 200M$), qui outre l'évidente expertise du langage qui motorise nombre de sites web, travaille également à un framework PHP pour Eclipse. Soit un coup double pour Oracle. Le rachat de Sleepycat, quant à lui, pourrait représenter un (second) pied de nez à MySQL. Rappelons qu'Oracle avait déjà contrarié la sortie de MySQL 5 en se payant InnoBase, moteur de stockage de données intégré au SGBD open source. Il est à noter qu' Oracle prépare également une version gratuite, mais non open source, de 10g, Oracle Database 10g Express Edition (actuellement en béta). Placer JBoss dans son escarcelle pourrait enfin renforcer la position d'Oracle face à IBM et Websphere Application Server Family Community Edition (WAS CE) - bâti sur Geronimo -, issu du rachat de Gluecode. Mais également face à JoNas, le serveur d'application du consortium Objectweb. Reste à savoir toutefois, si le rachat se confirmait, quel serait l'avenir de la plate-forme JEMS (JBoss Application Server, Apache Tomcat, Hibernate, JBoss Portal, JBoss jBPM, JBoss Rules, JBoss Cache, JBoss Transactions et JBoss Eclipse IDE), Oracle disposant du même type d'outils. A l'heure de la rédaction de cet article, ni Oracle ni JBoss ne confirmaient le rachat. (...)
(24/02/2006 16:34:01)Transmeta perd la vente de ses Crusoe pour cause de délais du régulateur
Transmeta vient de perdre la vente de 15 M$ de ses processeurs Crusoe à une entreprise de Hong-Kong après que celle-ci l'ait annulée consécutivement à d'importants retards dans l'obtention de l'autorisation de sortie des produits auprès de l'administration américaine. En juin dernier, Transmeta avait annoncé la vente de sa gamme de processeurs Crusoe à Culturecom pour 15 M$ en numéraire. L'accord portait en outre sur l'autorisation de produire et commercialiser une variante du processeur Efficeon en Chine. Dans le cadre de cet accord, Culturecom devait par ailleurs reverser régulièrement des droits à Transmeta. Transmeta et Culturecom espéraient initialement recevoir le feu vert des autorités américaines avant le mois de décembre. Les deux entreprises ont renoncé d'un commun accord à leur contrat, le dépassement des délais ne permettant plus à Culturecom de répondre à ses impératifs commerciaux. (...)
(13/02/2006 17:28:33)SalesGene : un nouveau venu dans le monde de la GRC hébergée
SalesGene vient de dévoiler son premier produit. Cette jeune pousse commercialise une solution de gestion de la relation client articulée autour d'une application hébergée à la manière des offres de Salesforce.com, et d'un outil de travail collaboratif. Baptisée Landslide, l'offre est enrichie d'un service d'assistance administrative pour les commerciaux. Non content d'offrir des outils classiques de suivi de clients et de prospects, Landslide intègre en outre des outils d'aide à la vente et à la contractualisation mis à la disposition des commerciaux d'une entreprise par leurs homologues du marketing. Le module collaboratif de Landslide, io Channel, permet aux équipes commerciales de créer des portails sécurisés pour chaque prospect. Landslide est commercialisé à partir de 90 $ par mois et par utilisateur. L'interface n'est pour l'instant disponible qu'en anglais. (...)
(13/02/2006 17:27:28)Symantec va commercialiser Big Brother
Symantec vient de prendre la décision de commercialiser son appliance chargée d'assurer la sécurité des bases de données. Surnommée Big Brother, cette appliance était en test chez une poignée de clients de l'éditeur depuis le début du mois de septembre. Cette solution, qui n'a pas encore reçu de nom de baptême, s'apparente à un serveur pré-configuré qui, une fois connecté au réseau, surveille les requêtes aux différentes bases de données du système d'information pour isoler les requêtes potentiellement malveillantes. Big Brother est en développement depuis plusieurs années. L'appliance s'appuie sur le moteur de supervision de l'activité réseau embarqué dans les équipements de détection d'intrusion de la gamme Network Security 7100 Series de Symantec. Symantec n'a pas indiqué quand il prévoyait de commercialiser effectivement Big Brother. (...)
(13/02/2006 17:26:41)Hi-Media rachète Eurovox pour 18,5 ME
Hi-Media vient d'annoncer le rachat d'Eurovox pour 18,5 ME. Cette opération permet à la régie publicitaire en ligne de se renforcer sensiblement sur le marché des plateformes de micro-paiement sur Internet. Eurovox édite en effet Allopass depuis 2001, un système de micro-paiement utilisé par « plusieurs dizaines de milliers de sites Internet » qui génère, selon Hi-Media, « plus de 1,8 million de transactions chaque mois auprès d'environ 900 000 clients ». Dans un communiqué, Hi-Media estime ainsi qu'en réunissant Allopass et sa propre solution de micro-paiement Mediapass, il compte « plus d'un million d'utilisateurs [...] qui génèreront plus de 2 millions de transactions par mois ». Ce rachat doit aussi permettre à Hi-Media de « mettre l'accent sur le déploiement à l'international d'Allopass-Mediapass ». La régie estime qu'elle réalisera un chiffre d'affaires de 70 ME en 2006 grâce à cette acquisition, contre 53,1 ME, seule, en 2005. (...)
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