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(29/09/2005 18:04:52)

Red Hat : des résultats dépassant toutes les prévisions

Red Hat, l'éditeur Linux, a dépassé les prévisions de tous les analystes pour les résultats de son deuxième trimestre fiscal, clos le 31 août.

Avec un revenu de 65,7 M$, le groupe voit son chiffre d'affaires progresser de 42 % sur un an. Il profite d'une augmentation de 56 % des revenus des abonnements, générant quelque 54,3 M$. Le bénéfice opérationnel bondit de 90 %, à 12,8 M$ et le résultat net atteint 16,7 M$, soit une croissance de 42 % par rapport à la même période de l'année précédente.

Red Hat peut se targuer d'avoir enregistré une croissance de ses ventes supérieure à celle des constructeurs de serveurs supportant ses systèmes, comme Dell et HP. L'éditeur a également indiqué avoir accueilli 12 000 nouveaux clients au cours du trimestre, « soit 37 000 pendant les neuf derniers mois. Dans le monde de l'informatique professionnelle, je ne connais personne capable de générer autant d'adoption », indique Matthew Szulik, le directeur général.

Le groupe a également souligné la poursuite des efforts pour améliorer les relations avec son grand rival, Sun Microsystems, qui développe les OS Solaris et Open Solaris. Mais qui vend aussi des serveurs x86 tournant sous le Linux de Red Hat. « Sun et Red Hat continuent d'explorer de multiples voies pour améliorer leur collaboration, à fois en termes technique mais aussi pour les ventes et la distribution », précise Szulik.

Pour le trimestre en cours, l'éditeur prévoit un revenu compris entre 70,5 et 71,5 M$. Soit, une nouvelle fois, plus que ce qu'envisagent les analystes. (...)

(29/09/2005 18:00:38)

Microsoft ré-ajuste sa roadmap 2005 / 2006

Suite à l'avalanche d'annonces faites au PDC et à la succession de versions bêta et finales dans les starting-blocks, Microsoft se devait de faire le tri. Et d'ajuster sa feuille de route -généralement à géométrie variable chez l'éditeur- pour l'année 2005/ 2006. Avec, fin 2006, l'arrivée de la version finale de Vista, pierre angulaire de l'éditeur de Redmond, Et plus tard en 2007 de Longhorn Server.

«Nous allons sortir une centaine de produits d'ici 12 à 18 mois », se réjouit Laurent Laporte, directeur adjoint de Microsoft France. Vaste programme, qui toutefois n'englobera pas uniquement la sortie de « vrais » nouveaux produits, mais davantage de mises à jour majeures, via des SP2 ou SP3, et béta.
L'ensemble couvrira tant le poste de travail que les systèmes d'information et infrastructure d'entreprise. Mais trois temps forts viendront ponctuer la période : l'arrivée simultanée de SQL Server 2005 et de Visual Studio 2005 dès le 8 novembre 2005, suivie de notamment la béta 1 d'Office 12, et des béta 2 de Vista et d'Office 12, de Biztalk Server 2006 (début 2006). Autre temps fort : le lancement de Dynamics CRM 3.0 et Dymanics AX 4.0.
Puis démarre au second trimestre 2006 la « vague Vista », avec notamment la version RTM de Vista, Office 12 et Mendocino, puis pour les entreprises ISA Server 2006 (nom de code Wolferine), la version RTM d'Exchange 12 et « Centro ».
Et enfin, en 2007 Longhorn Server et la version 2 de System Center.

Pour l'heure, Microsoft semble essentiellement concentré sur Vista, l'éditeur ayant par ailleurs orchestré ses développements autour de trois piliers très marketing, « fiabilité, innovation liberté ». Quitte par ailleurs à « gommer » de sa feuille de route, le SP3 de XP, pour se focaliser sur les avancées technologiques que devraient renfermer son prochain OS.

Le SP2 d'Office 20003 disponible
C'est très discrètement que Microsoft vient de rendre disponible le Service Pack 2 (SP2) d'Office 2003. Une mise à jour majeure du système bureautique, selon l'éditeur de Redmond, avant le lancement très attendu d'Office 12, prochaine génération de l'outil prévu courant 2006.
Outre les corrections des sempiternels bogues et l'ajout de rustines depuis la précédente version, le SP2 doit fournir davantage d'outils liés à la sécurité. Outlook 2003 reçoit alors un module d'anti-phishing, et se voit orner de filtres plus efficaces. La stabilité de l'ensemble a elle aussi été revue.
Autre point clé : le SP2 supporte désormais les prochains SQL Server 2005 et Visual Studio 2005, ainsi que SharePoint Services et InfoPath 2003. (...)

(29/09/2005 18:01:56)

Bercy choisit Steria pour développer l'OCFI-Interface

Steria a été choisi par le Ministère de l'Economie, des Finances et de l'Industrie pour mener à bien le projet de compte fiscal simplifié OCFI-Interface, l'une des composantes du programme COPERNIC. L'objectif de l'administration fiscale est de simplifier les démarches des usagers auprès de l'Administration, en leur fournissant une vision globale et individualisée de leur situation fiscale. Le projet, d'une durée de trois ans, regroupera sur une base de données nationale l'ensemble des obligations fiscales (occurrences fiscales) des contribuables.
Selon Steria le marché est évalué à un minimum de 3,6 M€ et il produira ses premiers fruits en février 2006. Steria contribue déjà aux programmes de modernisation du Ministère des Finances. La SSII a notamment participé à la réalisation du projet de télé-déclaration de l'impôt sur le revenu dont il assure l'infogérance de l'exploitation depuis 2 ans. Par ailleurs, le traitement des données des 3,720 millions de personnes ayant effectué leur déclaration des revenus par le biais d'internet en 2005 est effectué avec Profiles, l'offre de Data Quality Management de Steria. (...)

(28/09/2005 19:14:17)

Microsoft embrasse l'Open Source

La collaboration technologique entre les deux sociétés consiste en une assistance technique et un guide architectural sur les fonctionnalités suivantes :
- Interopérabilité dans la sécurité : JBoss supportera Microsoft Active Directory pour l'authentification unique (single sign-on) et la gestion de l'identité
- Interopérabilité avec les standards de services Web WS
- Management des environnements JBoss JEMS en utilisant Microsoft Operations Manager
- Utilisation de SQL Server : la couche de persistance de JBoss (en utilisant Hibernate ou EJB 3.0) va supporter Microsoft SQL Server.

Pour Bill Hilf, directeur de la stratégie technologie plate-forme chez Microsoft, « JBoss affiche une croissance fantastique et c'est une force motrice de la consolidation du marché Java. Cela a un sens de travailler avec eux sur l'interopérabilité et l'optimisation pour la plate-forme Windows Server. »
Chez JBoss, Shaun Connoly, vice président gestion de produit déclare : « Avec près de la moitié de nos clients déploient JEMS sur Windows Server, soit seul ou en conjonction avec d'autres plates-formes, cela a un sens de fournir la meilleure expérience possible à nos clients mutuels. »

Si les puristes de l'Open Source seront choqués de voir JBoss pactiser avec l'ennemi, cet accord donne de la crédibilité à la société et au produit et n'a pas l'air de poser de problème métaphysique à la société de Marc Fleury.

L'ambition de JBoss est de créer une pile middleware complète en Open Source baptisée JEMS (JBoss Enterprise Middleware System) combinant un serveur d'applications J2EE, des outils d'intégration (Hibernate, Tomcat) et des outils de développement (jBPM, Eclipse). Dans une interview accordée au journal en ligne NetEco, Sacha Labourey, directeur de la filiale Europe de JBoss déclarait en juin dernier « Nous n'avons pour l'heure pas d'ambition dans l'univers des applications ou des bases de données mais il est vrai qu'une sorte de "Microsoft de l'Open Source" aurait du sens ! ». A défaut d'être aujourd'hui ce Microsoft, JBoss collabore. Quelle va être la réaction de son partenaire MySQL face à cette alliance qui rend JBoss plus amical avec SQL Server ? « Nous croyons au développement du LAMJ, combinant Linux, Apache, MySQL et JBoss ! » déclarait Sacha Labourey. Peut-être devrait-il parler aujourd'hui de WISJ (Windows, IIS, SQL Server, JBoss)...

Pour Microsoft, cet accord est sans doute une pichenette à IBM. Comme le fait remarquer sur son blog Omar Tazi, évangéliste Open Source chez Oracle, IBM a investi dans Geronimo, le projet de serveur d'application Open Source Apache. Tout ce qui peut aider son concurrent JBoss fait du mal à IBM. Autre concurrent touché : BEA qui doit faire face à la montée des serveurs d'application Open Source, sa principale source de revenu. Et Omar Tazi de comparer Microsoft à une mante religieuse qui a tendance à dévorer son compagnon après l'amour. « Mon conseil à JBoss est de profiter de l'amour tant qu'il dure. » (...)

(28/09/2005 19:18:02)

BEA : nous sommes les leaders SOA

Mardi se tenait la conférence BEAWorld à Santa Clara en Californie. Le président directeur Alfred Chung a déclaré que BEA était le leader mondial du SOA.
« Nous sommes la compagnie qui a permis à SOA d'arriver dans le monde réel. BEA est le seul éditeur d'infrastructure à fournir une plate-forme complète SOA ». Curieusement, c'est sensiblement le même discours que tient IBM avec son IBM SOA Foundation et Oracle avec son Oracle Fusion Architecture.

BEA à cette occasion a annoncé BEA WebLogic Real Time Edition, un produit attendu en fin d'année, qui fera le lien entre le serveur d'application WebLogic et une version de la JVM JRockit. Ce produit n'aura pas besoin d'être arrêter pour effectuer le ramasse-miettes des objets logiciels.
BEA a également amélioré le support pour l'utilisation de frameworks Open Source tels que Spring avec le middleware de BEA. La plate-forme WebLogic supporte les frameworks Apache Beehive et XMLBeans, Spring, Tomcat et Eclipse Web Tools Platform. (...)

(28/09/2005 18:05:53)

Sandisk met du DRM dans ses cartes à mémoires

près le DRM dans les systèmes d'exploitations et dans les contenus multimédias, voila que SanDisk, un spécialistes des cartes de stockages à base de mémoire Flash, se met dans l'idée d'insérer des fonctions de DRM dans les cartes Flash.Le dernier produit de la firme, la trusted Flash, sera commercialisé sous la marque grüvi. Selon le fabricant, l'addition d'un système de DRM à l'intérieur de la carte devrait inciter les producteurs de conntenus à adopter les nouvelles cartes pour la diffusion de contenus multimédias à destination des téléphones mobiles et autres terminaux nomades.

SanDisk explique que les systèmes de DRM lient aujourd'hui un contenu à une seule plate-forme. L'avantage de pouvoir disposer d'un DRM associé au support des données est que les contenus peuvent être accédés sur de multiples plates-formes. Selon les paramètres définis par le détenteur des droits, les clients pourront aussi disposer de droits limités de copie du contenu de la carte sur un disque dur ou sur tout autre support de stockage D'après SanDisk, son format est indépendant de tout schéma de DRM et la firme a invité Apple, Microsoft et l' Open Mobile Alliance (OMA), a intégrer leurs formats avec le format.

Dans la pratique, le TrustedFlash semble toutefois introduire les mêmes problèmes que les autres DRM. Ainsi le premier contenu vendu sur carte grüvi, l'album "A bigger Bang" des Rolling Stones, n'est lisible qu'au travers d'un lecteur spécifique développé par PacketVideo. L'éditeur travaille à sur le développement d'un logiciel qui pourrait être intégré à la carte et permettrait de lire son contenu sur tout téléphone. En attendant, ce logiciel, une carte Grüvi est aussi utile à son possesseur qu'une pile de briques. Elle est aussi vraisemblablement plus chère : la carte stockant l'album des Stones est vendue 40 $ alors que le même album est en vente à 9,99$ sur l'Apple iTunes Music Store. Pas sûr que les consommateurs acceptent de payer la différence pour le plaisir de disposer d'un DRM de plus... (...)

(28/09/2005 18:11:34)

Publicité en ligne : +26 % au premier semestre

Comme chaque étude sur la publicité en ligne, celle présentée par l'Interactive Advertising Bureau (IAB) permet de faire le même constat : l'e-réclame bat tous les records. Les annonceurs ont ainsi dépensé, pour les seuls Etats-Unis, 5,8 Md$ au cours du premier semestre, soit une progression de 26 % par rapport à la même période de l'année précédente.
Si de multiples formes de publicité en ligne existent, près des deux-tiers des dépenses réalisées pendant le semestre sont regroupés en deux catégories : les liens promotionnels et les bannières représentent ainsi respectivement 40 et 20 % des investissements publicitaires.
Deux autres formats se distinguent particulièrement dans le baromètre présenté par l'IAB, l'affiliation et l'e-mailing. Le premier format concentre 6 % des dépenses, soit trois fois qu'il y a un an. L'e-mailing, quant à lui, progresse de 65,7 % et représente 5 % des investissements. (...)

(27/09/2005 17:43:09)

Centres d'appel : vers l'attente gratuite

Alors qu'enfle la grogne des consommateurs, Bercy va demander aux opérateurs la gratuité du temps d'attente aux hotlines.

Incontestablement, les centres d'appel ne profitent pas à leurs clients. Comme nous l'indiquions au mois de mai, le temps d'attente représenterait 70 % du montant global facturé aux consommateurs des FAI officiant en France. Sur 112 M€ dépensés, 54 M€ seraient ainsi liés à du temps d'attente et 25 M€ à des appels relatifs à des problèmes d'installation ou d'interruption du service. Un constat qui n'a pas manqué d'intéresser les utilisateurs : ils sont ainsi 60 % à se déclarer insatisfaits de l'assistance téléphonique dans le domaine du haut débit selon une enquête de 60 millions de consommateurs. Pire, 85 % estiment que le service est onéreux au regard de la prestation proposée.

Quelques fournisseurs d'accès ont, depuis, entrepris de séduire les consommateurs en rompant avec la tradition de la hotline dispendieuse. Alice, repreneur de Liberty Surf, offre ainsi des appels entièrement gratuits à ses abonnés. Plus timidement, Club Internet permet à ses nouveaux clients de contacter librement son centre d'appel pendant quelques dizaines de minutes.

C'est maintenant au gouvernement de s'immiscer dans le débat en demandant la généralisation du principe de gratuité. Dans un entretien à nos confrères des Echos, Françoi Loos, le ministre délégué au budget déclare en effet qu'il « n'est pas acceptable qu'on fasse financer un service par le temps d'attente au téléphone, surtout quand la personne appelle justement pour se plaindre du non-fonctionnement ». Le ministre demande alors aux opérateurs la gratuité du temps d'attente des hotlines et laisse planer l'ombre d'une menace si son souhait n'était pas suivi d'effets : « l'Etat a les moyens d'action si rien n'est fait »...
Au cours d'une table ronde réunissant, ce 27 septembre, consommateurs et opérateurs de téléphonie mobile, ces derniers se sont engagés à ne plus facturer le temps d'attente à compter de mi-2006. Objectif de Bercy : étendre ce principe à l'ensemble des activités qui ont recours aux centres d'appel.

Pour le président du directoire de l'opérateur virtuel Debitel, Jean-Pierre Champion, « un service client n'est pas un centre de profit, c'est un outil de fidélisation (...) si demain le temps d'attente est gratuit ça ne nous posera aucun problème ». En contre-partie, l'opérateur juge qu'il « doit avoir la possibilité de délocaliser s'il le souhaite pour faire baisser ses coûts ». Gratuité ou maintien de l'emploi, les opérateurs ne seront pas prêts à tous les efforts. (...)

(27/09/2005 17:40:40)

MSN France lance son offre de liens sponsorisés

MSN France lance enfin sa régie publicitaire adCenter sur le marché français, après presque trois mois de test. Succédant ainsi à Singapour, premier site de lancement du programme de MSN.
Selon MSN, adCenter devrait « un point d'entrée unique pour les annonceurs », pour notamment la gestion de leur campagne . Principal avantage : la maîtrise et la connaissance de l'audience.
Première pierre angulaire d'adCenter, MSN Keywords, une offre de liens sponsorisés pour le moteur MSN Search. L'offre sera commercialisée par la régie de MSN France, précise la société. MSN Keywords repose sur une combinaison de trois points : le prix de l'enchère, le taux de clic et un ensemble de critères dont le ciblage géographique.
L'offre devrait être testée aux Etats-Unis courant octobre. (...)

(27/09/2005 17:39:50)

Steria prévoit 200 embauches dans son centre de Nantes d'ici 2006

Le réseau de services européens de Steria transitera désormais par Nantes. La SSII française vient en effet d'annoncer l'ouverture de son plus important centre de services de 3eme génération dans la préfecture de Loire-Atlantique.
Implanté sur 1000 m², le centre vient étoffer le réseau Steria de TMA (Tierce Maintenance Applicative) en France, réparti notamment entre Paris, Toulouse, Bordeaux et Lille.
En outre, la SSII entend embaucher quelque 200 salariés d'ici 2006. D'abord une première centaine fin 2005, puis cent autres fin 2006. Les candidats seront recrutés « du jeune diplômé au consultants expérimenté , au poste de chef de projet et de développeurs senior ou junior ».

L'objectif de la SSII : offrir à la région une plus grande expertise en s'appuyant sur le réseau européen Steria, et obtenir l'homologation CCMi5.

Steria avait récemment revu à la hausse sa politique d'embauche sur 2005. Et vient de publier des résultats en net progression pour son premier semestre 2005. (...)

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