Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 8961 à 8970.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(14/09/2005 18:21:52)
Licenciements en France : après IBM et HP, STMicro et Philips
Après l'annonce de 1240 licenciements en France par HP, d'autres plans sociaux devraient toucher l'Hexagone dans les prochains mois.
Philips, qui compte transférer son activité de téléphonie mobile à Hong Kong, a ainsi présenté en comité central d'entreprise, le 12 septembre, un plan « évoquant la suppression de 111 emplois ». Sont concernées l'unité R&D du Mans, avec 42 postes, et la branche commerciale de Suresnes où 69 emplois devraient disparaître.
Par ailleurs, selon nos confrères des Echos citant le président du Conseil général de l'Isère, STMicroelectronics compte effectuer « un recentrage des tests de plaquettes sur un seul site, à Rousset dans les Bouches-du-Rhône ». Une décision qui pourrait conduire à la suppression de 180 emplois dans l'usine de Crolles, en Isère. Le département connaîtrait alors une période noire : une grande partie des 1240 licenciements prévus par HP en France risquent en effet de toucher le site d'Eybens.
La direction de STMicro a toutefois tenu à démentir l'information. Si le groupe prévoit effectivement un plan de restructuration visant mille emplois en France, les modalités n'en seront révélées qu'en octobre. STMicro a précisé qu'il « joue et continuera de jouer un rôle majeur dans le développement de la micro et de la nanoélectronique en France, et notamment en Isère ». (...)
Microsoft met à jour la bêta de Vista et lèvre le voile sur Office 12
Bill Gates a profité hier de la Profesional Developer Conference de Microsoft, qui se tient ici à Los Angeles jusqu'au vendredi 16 septembre pour fournir aux développeurs une version plus avancée de son futur système d'exploitation, Windows Vista et pour dévoiler Office 12, la mouture de la suite bureautique qui devrait voir le jour peu de temps après le lancement de Vista.
La "community technology preview" (CTP) de Windows Vista est une version intermédiaire entre la Beta 1 distribuée en juillet et la Beta 2, attendue dans les prochains mois. Il s'agit en fait de la "built 5219" de Vista, alors que la plupart des démonstrations sur la conférence sont effectuées avec une version un peu plus avancée. La différence est notamment perceptible au niveau de l'interface, les versions montrées par Microsoft sur la conférence incluant des éléments d'interface comme la "Sidebar", une sorte de Dock latéral à la Apple qui concentre les gadgets d'interface des applications similaires aux Widgets de Mac OS X Tiger et de Konfabulator (voir à ce propos le blog infrastructure pour plus de détails visuels sur Vista).
Bill Gates, tout comme Jim Allchin, ont été très prudents à propos de l'interface notant que l'interface définitive du produit ne sera disponible que lors de la beta 2. Il n'empêche les démonstrations des capacités 2D et 3D de WinFX et leur utilisation dans l'interface Aero sont impressionnantes et devraient permettre une évolution substantielle des interfaces actuellement utilisée par les logiciels Windows. Seule petite inquiétude : la puissance requise. Comme l'a suggéré Chris Capossela, un vice-président de Microsoft lors d'une de ses démonstrations, l'interface de Windows sollicite durement les meilleures cartes 3D du moment...
Côté plus sérieux, Microsoft a montré comment il a intégré les technologies de services web dans son OS et comment il a simplifié l'utilisation d'XML à tous les étages de Vista. Le géant a par exemple montré comment Vista peut tirer parti des flux RSS (que Microsoft baptise encore des Web feeds) pour accéder à des informations, sur le web, comme dans les systèmes d'information d'entreprise. Microsoft a ainsi fait une démonstration impressionnante d'un système d'abonnement par flux RSS à des quotations de prix au travers de son futur logiciel de GRC, Dynamics CRM.
Office 12 en vedette
L'autre vedette du keynote d'ouverture de la PDC 2005 a été Office 12, la prochaine mouture de la suite bureautique de Microsoft. Attendu peu après le lancement de Vista, Office 12devrait profiter d'une interface graphique largement remaniée permettant un accès plus simple à ses quelques 1500 commandes. Le principe : les multiples barres d'outils cèdent la place à une barre unique, dynamique et contextuelle, située en haut de l'écran.
Parmi les autres nouveautés, un système de prévisualisation généralisé des modifications en cours par l'utilisateur. Par exemple, lors du changement d'une police ou d'un style de document, les modifications sont prévisualisées pendant la sélection du style ou de la police dans les menus déroulant du produit. L'intégration dans Outlook des différentes informations d'e-mail, de gestion de contact, de gestion de tâches et de rendez-vous a également été renforcée.
Les modifications de surface d'Office pourraient toutefois n'être que la partie imergée de l'iceberg. Selon Gates, le workflow sera une composante essentielle de la future plate-forme Office. En fait, les produits Office devraient être complétés par une série de logiciels serveurs. Un choix qui simplifiera sans doute la gestion des documents dans les entreprises, mais qui pourrait accroître encore un peu plus leur dépendance vis à vis d'Office...
Microsoft assure que Windows Vista sera disponible à la fin 2006 et que Office 12 suivra de peu. La plupart des entreprises pourraient toutefois choisir d'attendre Windows Longhorn Server pour commencer à déployer le nouvel OS soit vers la fin 2007 ou le début 2008. Les premiers utilisateurs avides de Vista seront vraisemblablement les particuliers. Selon Jim Allchin, près de 500 millions de PC seront livrés avec l'OS d'ici la fin 2007, sans compter les près de 200 millions qui seront mis à jour depuis une version antérieure de Windows. (...)
Résultats semestriels : tout bon pour Sopra, GFI en demi-teinte
Les SSII françaises Sopra et GFI ont connu des fortunes diverses au premier semestre. Si la première affiche une excellente santé et étoffe son catalogue par une acquisition, la seconde a déçu par ses résultats en demie-teinte.
Les revenus de Sopra ont progressé de 20,4 % au premier semestre par rapport à la même période de l'année précédente pour atteindre 360,5 M€. La première contributrice à ce chiffre est la branche Intégration de systèmes et solutions (ISS) France qui réalise 255,3 M€ et croît de 10,6 %. Cette même activité réalise 43,8 M€ dans la zone Europe, en progression de 2,1 %. La filiale Axway, avec 38,9 M€ de CA, gagne 15,1 % sur un an. Enfin, la branche Conseil réalise un chiffre d'affaires de 22,5 M€ et enregistre une croissance de 29,3 %.
Le résultat net progresse également significativement : il gagne 45,1 %, à 23,8 M€.
Sopra vise un chiffre d'affaires supérieur à 740 M€ pour l'ensemble de l'exercice 2005, et compte bien dépasser le cap du milliard d'euros en 2007. Pour ce faire, Pierre Pasquier, le PDG du groupe, continue de développer sa stratégie d'acquisitions ciblées. Après le britannique Newell & Budge en juin 2005, Sopra vient de mettre la main sur l'Espagnol Profit, un spécialiste en conseil et services technologiques, dont les clients sont exclusivement des grands comptes. Sopra étend ainsi un peu plus sa présence européenne et vise un CA de 70 M€ en Espagne dès 2006, contre à peine plus de 30 aujourd'hui.
Le prix de l'acquisition n'a pas été communiqué, Pierre Pasquier se contentant d'indiquer que la somme se situe « de façon raisonnable, au delà d'une année de chiffre d'affaires ». Le PDG a également laissé entendre que d'autres achats n'étaient pas exclus : « si des opportunités de pénétrer les marchés américains ou européens se présentent, nous les saisirons. Ce n'est pas notre priorité, mais ça peut le devenir ».
Les résultats de GFI contrastent avec ceux de Sopra. Le chiffre d'affaires ne gagne en effet que 4,2 % au premier semestre et atteint 272,3 M€. Les activités en France représentent 64 % des revenus ; après un premier trimestre en croissance de seulement 2,1 %, le résultat du T2 ont rassuré (+5,7 %). L'Europe du Nord, avec 9 % du CA, continue s'enregistrer une perte opérationnelle. Si celle-ci se réduit par rapport à 2004 (6,9 % du CA), GFI ne parvient toujours pas à l'équilibre malgré des restructurations finalisées au cours du semestre. Toujours en Europe du Nord, GFI devrait finaliser la cession de sa filiale britannique avant la fin de l'année.
Les performances réalisées en Europe du Sud, 24 % du CA global, sont également décevantes. Si elles se situent en dessous des prévisions, c'est, explique le groupe, en raison de problèmes rencontrés en Italie du Nord. GFI a donc entrepris un plan de restructuration pour redresser la filiale italienne. Seules les branches implantées en Espagne et au Portugal continuent d'afficher de bons résultats avec des taux de croissance de 17 et 8 %.
Pour la suite de l'exercice, le groupe se contente d'indiquer la poursuite d'une « politique active de recrutement », sans préciser d'objectifs de résultats. (...)
John Schwarz quitte Symantec, est nommé PDG de BO
Business Objects, spécialiste français du décisionnel, vient de recruter, John Schwarz, ex-président de Symantec, -et surtout maître d'oeuvre des acquisitions du groupe, d'abord de Veritas, puis, plus récemment de Sygate- au poste de PDG.
Bernard Liautaud, fondateur de BO , conserve le siège de président du Conseil d'administration, et assurera également les fonctions de « Chief Strategy Officer ».
A l'occasion d'une conférence téléphonique, Schwarz a expliqué qu'il n'avait pas l'intention de quitter Symantec, mais que l'opportunité de diriger une société qui vient de franchir la barre du milliard de dollar, était trop attirante pour résister»..
Fidèle à sa stratégie de croissance extérieure, Schwarz parle alors de rachat. « BO a grandi par acquisitions et je n'entend pas modifier ce modis operandi ». Avec en point de mire : élever BO au rang des 10 premiers éditeurs mondiaux. La société occupe actuellement la vingtième position. (...)
Yahoo.fr pourrait s'offrir un FAI dans l'Hexagone
Selon le directeur général de Yahoo France, M. Duarte, l'entreprise pourrait prochainement acquérir un fournisseur d'accès à Internet. Des négociations seraient actuellement en cours même si aucun nom n'a encore été dévoilé. Cet accord serait en adéquation avec la volonté du groupe américain d'augmenter son chiffre d'affaires international. L'international représente actuellement 27 % du chiffre d'affaires de Yahoo. Ce dernier voudrait augmenter sa proportion à 50 %. Yahoo précise que le groupe peut disposer d'une trésorerie de 3 Md$. En France, Internet est en plein essor et l'acquisition d'un FAI renforcerait la position de Yahoo dans l'hexagone. En un an, l'augmentation des foyers équipés en haut débit a fait un bond de 62 %. Aujourd'hui, la France compte 8 millions de personnes connectées en haut débit et pratiquement un français sur deux a accès au Web. (...)
(13/09/2005 17:19:06)Vent de révolte des industriels IT à Bangalore
La détérioration des infrastructures à Bangalore, la Mecque indienne des délocalisations, inquiète les entreprises IT. Certaines d'entre-elles menacent de boycotter la conférence annuelle Bangalore IT.in organisée par le gouvernement local.
Depuis cinq ans, le mauvais état des routes et les insuffisances en eau et électricité sont une source d'inquiétude. Dans le même temps la ville s'urbanise à un rythme très élevé, principalement en raison de l'explosion du nombre de d'entreprises américaines et européennes qui choisissent de s'y délocaliser.
« La grande majorité des électeurs du gouvernement local vivent dans les zones rurales. Ici, en ville, notre voix importe peu » explique Bob Hoekstra, le PDG de Philips Innovation Campus. « Le mauvais état des routes, les embouteillages et les longs trajets qui en résultent, ont fait baisser la productivité des entreprises IT », poursuit Anant Koppar, le président de la CCI locale qui a appelé au boycott de la manifestation Bangalore IT.in. Koppar estime que nombre de visiteurs doivent se demander comment une ville comme Bangalore peut allier ses conditions de circulation éprouvantes, ses routes délabrées et la croissance économique. Une interrogation qui pourrait inciter certains, à terme, à reconsidérer leur volonté d'externaliser à Bangalore.
Et ce n'est pas la réponse apportée par les élus locaux qui va rassurer l'industrie IT : « nous faisons de notre mieux », garantit simplement N. Dharam Singh, à la tête de l'administration locale.
Malgré les difficultés, les entreprises IT ne prévoient pas de quitter la ville. Beaucoup préfèrent espérer un renouveau des relations avec le gouvernement. Des relations qui, aux dires des intéressés, étaient plus fructueuses avec le prédécesseur de Singh, S.M. Krishna.
Cependant, si les industriels s'insurgent, les analystes relativisent l'impact qu'ont les mauvaises infrastructures sur l'activité IT. Selon Siddarth Pai, consultant chez Technology Partners International, on ne constate pas de perte de la productivité à Bangalore, le nombre d'heures travaillées par employé est resté le même. « Ils doivent simplement partir travailler plus tôt », précise-t-il. Toujours selon Pai, bien que les clients étrangers sont interloqués par la pauvreté des infrastructures à Bangalore, ils le sont tout autant dans les autres villes indiennes. « A quelques petites différences près, toutes les villes, hormis la capitale Delhi, connaissent les mêmes problèmes d'infrastructure », conclut Siddarth Pai. (...)
Licenciements HP : la France proportionnellement la plus touchée
La France, avec 1 240 emplois supprimés, sera une des premières victimes du plan de restructuration mis en place par HP. Après plusieurs semaines d'incertitude, le groupe a en effet levé le voile sur le détail des 14 500 postes qu'il s'apprête à faire disparaître dans le monde.
En l'Europe, ce sont 5 969 emplois qui seront supprimés, dont 1 240 pour la France. Ce chiffre fait de la France le pays proportionnellement le plus touché : alors qu'HP supprimera 10 % de son effectif global, le taux atteint 26 % pour les salariés français. La partie industrielle du groupe, HP CCF, concentrera 60 % des licenciements ; les 40 % restants concerneront la branche commerciale.
Si la direction de HP France a affirmé à plusieurs reprises qu'aucun site ne fermera dans l'Hexagone, les syndicats affichent leur scepticisme : « l'annonce d'aujourd'hui anticipe de grandes difficultés, notamment pour l'Isle d'Abeau, estime ainsi Patrick Nowak, délégué CFE-GCG. On se demande comment les sites peuvent perdurer si on les vide de leur activité ». Bien que la direction n'ait pas détaillé le nombre de suppressions de postes dans chacun des sites français, le bassin isérois, Grenoble et l'Isle d'Abeau, semble en effet particulièrement menacé.
Une nouvelle fois, les syndicats s'interrogent sur les raisons qui ont poussé la direction californienne du groupe à placer la France en première ligne. Ils rappellent ainsi que le rapport chiffre d'affaires / salarié est de 1,7 M€ par an en France contre 500 000 € pour l'ensemble du monde. « La France ne peut objectivement pas être considérée comme le vilain petit canard du groupe. Les seuls motifs économiques ne suffisent pas à expliquer l'acharnement sur notre pays », s'insurgent les représentants CFE-CGC qui avancent comme explication possible la perte d'influence des dirigeants français sur la direction du groupe.
Une direction qui se montre jusqu'à présent laconique, se contentant d'affirmer que ce plan vise à « assurer la survie à moyen et long terme » et à « anticiper les nouveaux bouleversements à venir ».
En attendant d'autres précisions, les salariés sont « anxieux et écoeurés » d'après Didier Pasquini, responsable CFE-CGC à l'Isle d'Abeau. Après un premier débrayage le 8 septembre et un autre aujourd'hui (12 septembre), le syndicat affirme qu'il prendra part à la journée d'action unitaire, le 4 octobre. (...)
Ebay digère Skype pour 2,6 Md$
C'est confirmé. Le spécialiste des enchères en ligne eBay se paie Skype, éditeur du logiciel gratuit de téléphonie sur Internet (ToIP), pour 2,6 Md$ (50% en numéraire et 50% en actions). A cela, pourrait s'ajouter quelque 1,5 Md$ d'ici 2008 ou 2009, à condition d'atteindre certains objectifs financiers. Ce qui, au final, porterait le montant de l'acquisition à 4,1 Md$.
Dans un communiqué, eBay explique que cette acquisition devrait renforcer sa position, mais surtout lui permettre de développer de nouvelles activités. Lesquelles ? Si la société compte bien doter sa plate-forme de fonctionnalités de communication vocale, reliant en un clic les acheteurs aux vendeurs, elle espère également connecter les technologies Skype au système de paiement PayPal (racheté pour 1,5 Md$ en 2002). Comme par exemple en mettant en place un paiement à l'appel via le réseau Skype, ou un système de portefeuille PayPal associé aux comptes utilisateurs de Skype (54 millions de membres répartis dans 225 pays).
De son côté, Skype devrait, en parallèle, poursuivre ses développements. L'éditeur travaille actuellement sur des services vidéo ainsi que sur des barres d'outils personnalisables, pour Internet Explorer et Outlook. Nikläs Zennström et Janus Friis, respectivement de président et de vice-président de la société, préservent leur titre. Ils rejoignent le board d'eBay et rapporteront à Meg Whitman, PDG d'eBay.
La société a reporté un chiffre d'affaires de 7 M$ en 2004. Et table sur un CA de 60 M$ en 2005, qui devrait exploser d'ici 2006, à 200 M$.
La transaction devrait être finalisée au quatrième trimestre 2005. (...)
Open Text clôt son année fiscale sur un bénéfice en légère régression
Open Text, l'éditeur de logiciels de gestion de contenu, a publié ses résultats pour le 4ème trimestre, qui boucle ainsi l'année fiscale 2005. Au dernier trimestre, les revenus se sont élevés à 109,4 M$, soit une progression de 4 % par rapport à la même période de l'année précédente. Le bénéfice net recule à 9 M€, soit une régression de 38 % sur un an
Pour l'ensemble de l'année 2005, le chiffre d'affaires d'Open Text atteint 414,8 M$ et croît de 42 % par rapport à 2004. Il profite de l'augmentation des ventes de licences, dont le revenu progresse de 12 % à 136,5 M$. Le bénéfice net recule en revanche légèrement, passant de 40,1 M$ en 2004 à 39,1 M$.
Les objectifs pour l'exercice 2006 sont donnés par John Shackleton, le PDG du groupe : « mon principal objectif pour l'année fiscale 2006 est d'améliorer de façon significative la rentabilité d'Open Text. Des actions sont sur le point d'être mises en place pour rationaliser le niveau de la masse salariale et l'activité de nos sites. Nous devrions pouvoir réduire nos coûts de 30 M$ cette année et de 40 M$ en 2007 ».
Pour le premier trimestre de l'exercice 2006, Open Text table sur un chiffre d'affaires compris entre 85 et 95 M$. (...)
Brainshare : Novell veut se recentrer sur le libre et les standards ouverts
Novell devrait, à l'occasion de sa conférence utilisateurs EMEA Brainshare (à Barcelone), démarrer en fanfare son opération « Software for the Open Enterprise », repositionnement, très marketing, de la société vers les standards ouverts et vers l'open-source.
S'appuyant sur le succès - 2 millions de visites, selon l'éditeur- du projet Opensuse et de la sortie imminente de la version 10 de SuSe Linux, Novell explique que ce recentrage sur les standards ouverts concrétise les desiderata des utilisateurs. Et plus particulièrement leur besoins en terme de flexibilité, et d'intégration au sein de systèmes hétérogènes.
Novell entend également englober dans son message, les secteurs du data center, de la sécurité, de la gestion d'identité et de ressource, et enfin des outils collaboratifs. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |