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(21/09/2011 12:14:21)
SAP s'offre Crossgate, un spécialiste de l'EDI
SAP a annoncé qu'il allait acquérir Crossgate, un intégrateur de services B2B, pour un montant non divulgué. Partenaire de longue date de l'éditeur de progiciels allemand, Crossgate, dont le siège est situé à Munich, revendique quelque 40 000 partenaires et compte des entreprises comme BASF, Olivetti et Mobile telco 3 parmi ses clients. Ses solutions permettent aux entreprises de communiquer avec leurs partenaires, clients ou fournisseurs, par le biais d'échange de données électroniques (EDI).
En procédant à ce rachat, SAP entend offrir davantage de valeur ajoutée à ses clients qui cherchent à collaborer, partager des données et automatiser les processus. Crossgate propose des services de facturation électronique qui couvrent les signatures, la surveillance de la conformité, l'intégration avec les systèmes de back-office des clients et les processus financiers.
Un accord de distribution passé en 2008
En 2008, SAP avait investi dans cet intégrateur, avant de conclure un accord de distribution qui avait lui avait permis d'inclure, en extension, le moteur B2B Content Engine de Crossgate dans ses applications.
SAP a aussi revendu le produit "SAP E-Invoicing for Compliance application by Crossgate". Ce dernier donnait la possibilité aux entreprises d'envoyer et de recevoir, de façon électronique, des factures EDI ou compatibles PDF, assorties d'une signature numérique.
Peter Maier, directeur général, responsable de la division solutions d'entreprises de SAP a déclaré, « En acquérant les solutions très spécifiques de Crossgate, nous aidons les utilisateurs à étendre leurs processus métier de bout en bout que ce soient pour leurs clients ou leurs partenaires. »
L'opération devrait être finalisée d'ici au 1er novembre.
Illustration : la solution de Crossgate permet de synchroniser les données et documents de différents formats à travers un réseau interentreprises (source graphique : Crossgate)
(...)
Apple pourrait annoncer deux iPhone en octobre
Selon les commentaires de l'analyste Mark Moskowitz de JP Morgan, rapportés par Apple Insider, les recherches effectuées par banque d'investissement indiquent qu'Apple se prépare à commercialiser un iPhone 4 plus (4S) - peut être pour le marché chinois - et un iPhone 5 pour le reste du monde.
L'iPhone 4S ne devrait cependant pas exclusivement cibler la Chine; JP Morgan s'attend à ce que l'iPhone 4 réactualisé vienne remplacer le modèle 3GS. « Il pourrait y avoir d'autres usages, en particulier dans le milieu de gamme. La taille du marché du marché chinois propose de nombreuses opportunités et permet de développer des services pour des opérateurs régionaux, à notre avis », a-t-il indiqué. Toutefois, cela pourrait signifier que la Chine se passerait de l'iPhone 5 pendant un moment.
Une puce double coeur pour l'iPhone 5
Selon Mark Moskowitz, l'iPhone 5 sera basé sur le processeur A5 de l'iPad 2 ou une puce A6 épaulé par 1 Go de RAM pour améliorer les performances. On retrouvera également deux circuits 3G, CDMA et UMTS/GSM, mais la 4G (LTE) ne sera pas encore supportée. Le smartphone devrait également arriver dans une coque plus fine et plus légère. « D'autres améliorations sont attendues pour augmenter l'autonomie de la batterie suite à certaines améliorations technologiques ; le circuit imprimé (PCB) et l'écran tactile devraient également se montrer moins gourmands en énergie. » Selon d'autres informations, toujours non vérifiables, l'iPhone 5 devrait être plus grand, plus mince et plus arrondi.
Ce n'est pas la première fois qu'on annonce deux nouveaux iPhone. Chris Whitmore de la Deutsche Bank avait fait la même prédiction en juin dernier. Cela pourrait expliquer pourquoi un fournisseur chinois a lâché cette semaine des images de certains composants de l'iPhone 4S et affirmé qu'il n'y aurait pas d'iPhone 5. Apple cloisonne toujours autant ses fournisseurs et ne communique que les informations nécessaires à la fabrication d'un produit.
Crédit D.R., illustration non contractuelle
(...)(21/09/2011 10:27:18)Google France recrute Eric Haddad au poste de directeur Enterprise
La branche entreprise de Google en France est désormais pilotée par Eric Haddad. Recruté pour occuper un poste qui n'existait pas jusqu'ici, le directeur devra gérer l'équipe commerciale française de la société et développer sa stratégie dans l'Hexagone. Jusqu'ici, la direction de Google Enterprise France était assurée par Sébastien Marotte, le directeur du fournisseur pour la zone EMEA.
Transfuge de Microsoft France où il a passé neuf ans, Eric Haddad y a occupé les fonctions de directeur des ventes solutions cloud computing et Unified Communications. Sa carrière avait débuté en 1989 chez IBM et s'est poursuivie chez Sun Microsystems (directeur des ventes indirectes) puis chez BEA Systems (directeur commercial Telecom, Media et High-Tech)
Semestriels Prodware : L'activité dynamique tire les bénéfices de l'éditeur
Le 20 septembre à la mi-journée, l'action Prodware s'appréciait de 14% à la bourse de Paris. Une envolée spectaculaire due aux excellents résultats que vient de publier l'éditeur et intégrateur pour le compte du premier semestre 2011. Sur six mois, l'entreprise a vu son résultat opérationnel progresser de 103% à 8,6 M€, ce qui correspond à une marge brute de 18,1% contre 10,6% un an plus tôt. La croissance du résultat net est encore plus spectaculaire puisqu'elle atteint +146% à 10,6 M€.
Ces résultats sont liés à un fort dynamisme de l'activité lors du premier semestre 2011 au cours duquel les revenus se sont établis à 47,3 M€. Un chiffre qui traduit une croissance de 19% en consolidé et de +7% à périmètre comparable. Prodware a notamment bénéficié de l'intégration dans ses comptes de l'activité PLM d'Arès rachetée en novembre 2010 et rebaptisée depuis Prodware ID.
Progress Revolution 2011 : La réactivité opérationnelle au coeur des débats
Rick Reidy, PDG de Progress Software a profité de l'édition 2011 de Progress Revolution, réunissant partenaires et utilisateurs à Boston pour fêter les 30 ans de la société. Celle qui est née sous le nom Data Language avec comme produit phare OpenEdge (une plateforme de développement d'applications) a, au travers de plusieurs rachats, acquis plusieurs compétences pour proposer un portefeuille étoffé de plusieurs solutions. La dernière en date était Savvion, spécialisée dans le BPM (Business Process Management) et a donné à Progress la brique qui lui manqué pour créer son offre RPM (Responsive Process Management).
La réactivité opérationnelle se définit selon Rick Reidy en trois éléments « disposer d'une grande visibilité de ses systèmes IT (via le logiciel Control Tower), avoir une réponse en temps réel (Complex Event Process par Apama) et assurer la continuité du service (OpenEdge)». John Bates, CTO de Progress Software a donné quelques exemples de la nécessité d'une réactivité opérationnelle. Toyota, lors du tremblement de terre au Japon, a été obligé de revoir très rapidement ses processus de supply chain. Plus récemment, le cas de la manipulation frauduleuse du trader de la banque suisse UBS aurait pu être limitée ou éviter, avec un système d'alertes en temps réel.
Exemple d'agrégation d'èvènements pour assurer la réactivité opérationnelle
Des versions mises à jour
Même si le produit phare de Progress Software a 30 ans, Rick Reidy a expliqué que tous les ans, il investissait dans OpenEdge pour suivre les tendances de l'IT : Internet, services web, SOA et plus récemment le cloud. La version 11 d'OpenEdge est donc très orientée vers l'online en étant capable de porter les applications dans le cloud, qu'il soit privé, public ou hybride et sur des bases de données multitenantes. La plateforme peut également être intégrée avec la solution BPM de l'éditeur. Enfin, la mobilité et le RIA sont aussi pris en compte avec la gestion de l'iPad et les applications sous Silverlight.
Côté RPM, la version 2.2 (6ème évolution en 2 ans) a été dévoilée et John Bates souligne qu' « elle assure une plus grande visibilité sur l'ensemble des plateformes y compris en prenant en compte, les wikis, les blogs, la messagerie instantanée. » Par ailleurs, RPM 2.2 supporte maintenant les mainframes, les environnements complexes SAP et Tibco. Pour le CTO de Progress Software, il s'agit de donner aux entreprises un outil de navigation dans les systèmes « une sorte de GPS des systèmes IT, qui s'adapte lorsque que l'on prend une autre direction ou qu'un évènement modifie la trajectoire ».
Une offre spéciale cloud et des packages métiers
Pour le cloud, Progress Software a annoncé le lancement d'une offre baptisée Arcade Portal. Il s'agit d'une plateforme de déploiement d'application en mode SaaS. Les éditeurs peuvent ainsi, créer, tester, avoir un espace de démonstration privée et bien évidement déployer des applications. Cette solution comprend plusieurs produits de l'entreprise comme OpenEdge, mais aussi Sonic ESB. Arcade Portal s'est associé pour son lancement avec Amazon Web Services, qui fournira les ressources pour produire les applications et RightScale plateforme de gestion des environnements cloud. Mais John Bates précise que ces partenariats ne sont pas exclusifs et les applications seront portées sur d'autres plateformes comme Rackspace par exemple.
Arcade Portal en mode stage et test sur iPad
Enfin, Progress Software verticalise ses produits pour que certains secteurs d'activité aillent plus vite vers la réactivité opérationnelle. Quatre domaines sont visés, les places de marché, la banque, le transport et la logistique, enfin les entreprises de communications et les médias. Pour eux, l'éditeur américain propose des packages nommés « solution accelerator » et qui comprennent des outils propres à leur secteur. Ainsi, pour la logistique, Progress lance Time-In-Transit solution accelerator, une gestion en temps réel des opérations avec l'identification des disfonctionnement et le re-séquençage des actions.
Illustration : Rick Reidy, CEO de Progress Software lors de la séance inaugurale
Crédit Photo: D.R
(...)
Microsoft et Atos partenaires sur un cloud privé pour le secteur public
« Nous sommes en pleine forme et notre croissance profite à notre écosystème », s'est félicité ce matin Eric Boustouller, DG de Microsoft France, lors de la conférence de rentrée de la filiale française en faisant référence à l'exercice fiscal clos fin juin. Lorsque Microsoft gagne un euro, il génère neuf euros de chiffre d'affaires dans son écosystème, a rappelé le dirigeant. Et d'égrainer les réussites de l'année écoulée, les partenaires formés dans le cloud, le millier d'entreprises ayant rejoint le programme BizSpark, le développement de l'écosystème autour de Windows Phone. Quant à l'image de la société, « elle n'a cessé de s'améliorer en France », considère Eric Boustouller. Entre deux motifs de satisfaction, il mentionne tout de même le contexte général d'incertitude économique.
Ce rendez-vous de fin d'été, toujours très généraliste, survole à la fois les activités grand public et professionnelles. D'une part le système d'exploitation Windows (dont la version 8 vient d'être dévoilée), Windows Phone pour les terminaux mobiles, ou encore la console Xbox flanquée de sa Kinect (la Xbox pèse 13 à 14% du chiffre d'affaires total de l'éditeur), chacune de ces activités représentant une catégorie d'interface utilisateur. D'autre part, Windows Server et le cloud Azure, la bureautique Office, le moteur de recherche Bing, mais aussi les applications de gestion Dynamics.
Atos annonce un cloud privé pour le secteur public
Le cloud constitue pour Microsoft un axe central, tant pour les consommateurs que pour l'ensemble des clients professionnels. « Deux tendances restructurent le monde de l'entreprise, la consumérisation du numérique et le cloud », a rappelé Nicolas Petit, responsable marketing et opérations.
L'éditeur a profité de l'occasion pour permettre à Atos d'annoncer une offre de cloud privé à destination du secteur public. La SSII proposera les solutions bureautiques et de communication Office 365 à partir de ses propres datacenters. « Nous allons répliquer l'infrastructure Microsoft en mode cloud privé », a expliqué Jérôme Brun, Senior Vice-Président Cloud Services d'Atos. « On dit beaucoup que le secteur public ne veut pas aller dans le cloud. Ce n'est pas vrai du tout, il est très intéressé. » Avec cette offre, Atos va permettre, d'une part, de garantir la souveraineté des données, en donnant l'assurance que les données vont rester sur le territoire national. C'est critique pour le secteur public. « Nous allons lancer cette offre à partir de nos datacenters français ».
Jérôme Brun pointe une autre particularité de cette catégorie d'utilisateurs : le besoin de conformité réglementaire. « Des contraintes qui sont difficiles à appliquer dans un cloud public, alors que dans un cloud privé, certaines zones peuvent être filtrées, avec la possibilité d'une auditabilité ». Il y a beaucoup d'ambitions sur cette offre, reconnaît le senior vice-président cloud services chez Atos, en ajoutant que cela permettra aussi de créer des clouds dédiés particuliers à une administration, ainsi que des clouds communautaires auxquels pourront se connecter des citoyens en contact avec ces administrations. « Nous ne sommes pas au bout des fonctionnalités collaboratives avec Office 365. Il est par exemple tout à fait possible de déployer des outils de recherche sémantique dans le cloud privé. » Des services complémentaires autour de l'archivage, du cryptage et de la sécurité seront aussi proposés.
L'offre annoncée par Atos pour le secteur public sera disponible début 2012 en France. Elle sera élargie à d'autres pays européens par la suite.
Illustration : Eric Boustouller, DG de Microsoft France (crédit : D.R.)
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