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(14/04/2008 15:11:29)
Telecom Paris Tech récompense les patrons de Netvibes, SAP et France Telecom
Organisé par l'école Telecom Paris tech et l'association de ses anciens élèves ingénieurs (AIST), la dixième édition du Prix des Technologies de l'information a récompensé Tariq Krim, Leo Apotheker et Didier Lombard. Le premier des trois, entrepreneur du web français et fondateur du site Netvibes, a reçu le Prix du Créateur d'entreprise. Léo Apotheker, co-PDG de SAP AG, membre du conseil exécutif de SAP AG et président des opérations et solutions client au niveau mondial s'est vu décerner le Prix du Manager d'Entreprise. Enfin, Didier Lombard, PDG du Groupe France Télécom, a reçu le Prix du Promoteur de la Société de l'Information. Créé en 1998, le Prix des Technologies de l'Information a choisi de récompenser des acteurs et des projets qui ont marqué l'univers des technologies de l'information. Il s'agit plus de couronner une carrière ou un succès que d'accompagner une gloire naissante. Netvibes compte en effet déjà des millions d'utilisateurs et figure parmi les leaders du marché mondial du Web 2.0. Léo Apotheker, pour sa part, doit son prix à ses qualités humaines : chaleureux, à l'écoute des clients et parlant cinq langues, il aurait su, selon l'école, imposer son style managérial depuis 20 ans chez SAP. Quant à Didier Lombard, sa récompense honore sa contribution à l'essor du groupe France Telecom. (...)
(11/04/2008 16:22:32)Capgemini : direction et syndicats s'opposent encore
Retour à la case départ chez Capgemini ? Au lendemain des trois jours de discussion entre la direction et les organisations syndicales, rien n'a progressé, dénonce l'intersyndicale, qui appelle les salariés à se mobiliser de nouveau « pour tout mouvement de grève dans les semaines à venir ». Les revendications portent notamment sur une augmentation générale destinée à rattraper une perte du pouvoir d'achat depuis cinq ans. Un préalable que n'accepte par la direction de la SSII, qui a formulé d'autres propositions, dont certaines seront appliquées dès le mois prochain.
L'intersyndicale dénonce « un simulacre
de négociation »
L'ampleur des mouvements du 28 mars et du 1er avril derniers avait décidé la direction à proposer trois jours de négociation, les 7, 8 et 9 avril. Dans leur communiqué daté du 10 avril, les représentants CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT et FO écrivent : « En fait la Direction nous a fourni des éléments destinés à préparer la NAO (Négociation Annuelle Obligatoire sur les salaires) pour fin 2008. [...] Devant l'intransigeance de la Direction, l'Intersyndicale n'a eu d'autre recours que d'interrompre ce simulacre de négociation, en revenant vers les salariés dans les Assemblées Générales qui vont se tenir à partir du jeudi 10 avril. »
La direction de Capgemini ne voit pas les choses du même oeil. Philippe Tavernier, directeur général adjoint de Sogeti qui a mené les négociations avec les syndicats, reconnaît que certaines propositions relevaient bien des NAO. Toutefois, pour lui, « il ne s'agit absolument pas d'un simulacre de négociations. Nous avons proposé ces journées pleines et entières dès le 31 mars, et la réunion s'est bien tenue sur les trois jours. » Autre élément mis en avant par Philippe Tavernier, la direction a apporté « une dizaine de propositions qui relèvent directement ou indirectement des rémunérations et de l'évolution du coût de la vie. »
Capgemini juge une augmentation générale « pas réaliste »
Malgré cette apparente volonté de dialogue, les négociations ont achoppé sur la principale demande de l'intersyndicale. Les représentants des salariés réclament en effet une augmentation générale qui rattrapera la perte du pouvoir d'achat depuis cinq ans, un accord salarial pérenne, une revalorisation des frais professionnels et une refonte complète du système d'évaluation des salariés. La direction estime de son côté que « vouloir augmenter de 1 500 euros tout salaire inférieur à 50 000 euros ne constitue pas une revendication réaliste ». D'une part, parce que « les syndicats prennent en compte les résultats opérationnels du groupe dans son ensemble, et non les résultats en France ». Or, explique Philippe Tavernier, « le taux de rentabilité en France est un des plus faibles dans le groupe ». D'autre part, parce que Capgemini juge sa politique salariale équilibrée, des mesures existant déjà pour assurer des augmentations, notamment aux salaires les moins élevés.
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Philippe Tavernier rappelle ainsi que le salaire moyen des quelque 21 000 salariés était de 39 462 E en 2007, et de 42 758 E si on ne prend en compte que la population des cadres, soit près de 16 000 personnes. Les augmentations de salaire se font de façon individualisée, « au regard de la performance et du potentiel ». Au total cette année, selon Capgemini, « à effectif constant l'augmentation de la masse salariale se monte à 2,8 % ».
« En 2007, souligne encore Philippe Tavernier, 19,3 ME ont été consacrés à la performance collective des unités au travers de la participation (contre 12 ME en 2006). » Enfin, dit-il, des « mesures-filets ont été signées en 2006 avec quatre des cinq organisations de l'intersyndicale dans le cadre d'un accord courant jusqu'en 2010 ». Elles prévoient une augmentation automatique de 1,5% pour les gens touchant moins de 42 834 E et qui n'auraient pas été augmentés les trois dernières années, ainsi que 500 euros par an d'indemnité forfaitaire pour les 2% des gens de chaque branche touchant moins de 32 000 E.
Capgemini propose des mesures de revalorisation applicables dès le 1er mai
« Afin de concrétiser le dialogue », fait valoir Philippe Tavernier, Capgemini a proposé lors de ces trois jours de négociations de revoir à la hausse ces mesures de l'accord signé en 2006 ainsi que d'autres compléments de rémunération. Ainsi, ce sont 4% des salaires les plus bas qui seront concernés par l'augmentation de 500 euros par an, et le délai au-delà duquel la revalorisation devient automatique est raccourci de 3 à 2 ans. « Ces mesures qui touchent l'ensemble des collaborateurs de Capgemini seront appliquées dès le 1er mai », fait observer le directeur général adjoint de Sogeti. De même que trois autres mesures : la valeur faciale du ticket restaurant sera portée de 7 à 8 euros, « sachant que la participation patronale est de 60% » (le salarié y étant donc de sa poche aussi, remarque l'intersyndicale) ; le remboursement des indemnités kilométriques gagnera 3% (ce qui est calqué sur le barème du Fisc, dénonce là aussi l'intersyndicale) ; et les forfaits pour les frais de déplacement des non-cadres seront valorisés de 2%.
La direction a communiqué ces décisions hier aux collaborateurs du groupe. Et fait savoir aux organisations syndicales qu'elle avait d'autres propositions dont elle entend discuter la mise en oeuvre. De nouvelles assemblées générales décideront si l'intersyndicale doit accepter ou s'en tenir à son préalable. (...)
39 390 postes de cadres et ingénieurs informatiques ouverts en 2008
Pour sa septième édition, l'enquête BMO (besoins en main d'oeuvre) réalisée par l'Unédic a dénombré 39 390 projets de recrutement d'ingénieurs et cadres dans l'informatique en 2008, sur un total de 1 298 142. Cette catégorie professionnelle se classe en 6ème position des métiers rassemblant le plus d'intentions d'embauches, derrière l'hôtellerie, les agents d'entretien, les animateurs sociaux culturels, les caissiers et les employés de maison. Chaque groupe se divise en deux catégories - effectifs permanents et activité saisonnière. Pour les cinq premiers groupes, ce sont surtout les embauches saisonnières qui tirent les chiffres vers le haut, alors que pour l'informatique, elles restent anecdotiques (352 à peine, soit 0,9%, contre 25% en moyenne). L'étude souligne par ailleurs que la demande de personnel qualifié est à la hausse, mais difficile à contenter. 62,8% des ingénieurs et cadres de l'informatique sont difficiles à recruter, contre 56% l'an dernier. Des disparités géographiques sont également signalées. Les difficultés de recrutement concernent essentiellement l'Ile-de-France, qui réunit à elle seule deux tiers des intentions d'embauche. Le Munci, association des professionnels informaticiens, met toutefois en garde contre l'optimisme affiché de cette étude, et ce pour trois raisons. D'une part à cause du turn-over en constante progression, notamment dans les SSII. Il ne s'agirait donc pas de véritables créations d'emploi, mais de remplacement de postes régulièrement vacants. Le Munci pointe également du doigt les critères de recrutement, qui sont de plus en plus exigeants, à la fois en termes de formation, de salaire et d'âge (toujours plus jeunes, blindés de diplômes mais sous-payés), d'où les difficultés à dénicher la perle rare. Le Munci relève enfin que l'enquête a été soumise à plus de 1,5 million d'établissements affiliés à l'assurance-chômage, mais n'a obtenu que 355 174 réponses (soit 23,3%)... ce qui peut statistiquement sembler peu fiable. L'enquête Besoins en main-d'oeuvre (BMO) est une initiative de l'Unédic, réalisée auprès de 30 institutions de l'Assurance chômage (Assédic et Garp) et le concours du Crédoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie). (...)
(09/04/2008 09:56:04)2 000 postes menacés par le rapprochement SFR-Neuf Cegetel
Le rachat par SFR de Neuf Cegetel pourrait entraîner dans son sillage de lourdes suppressions d'emplois. C'est du moins ce qui est à craindre selon la Lettre de l'Expansion, qui, sans préciser l'origine de l'information, indique que l'acquisition de l'ensemble des parts du groupe Louis Dreyfus dans Neuf Cegetel par SFR risque de se traduire par la disparition de 2 000 postes. Un plan qui concernerait 600 salariés de SFR oeuvrant pour le déploiement des antennes GSM et 1 400 autres répartis au sein des services clients des deux entités. Aussitôt après la diffusion de ce qui n'est encore qu'une rumeur, SFR s'empressait d'apporter sa réponse, sous la forme d'un démenti catégorique : « Aucun plan de licenciement n'est envisagé et aucun objectif de réduction d'effectif n'est fixé », assure l'opérateur. SFR a pourtant présenté, le 26 mars en comité central d'entreprise, un accord de méthode prévoyant un plan de départs volontaires, qualifié de « plan social déguisé » par la CGT. Dans son communiqué publié en début de semaine, le futur propriétaire de Neuf Cegetel assure cependant que « le dialogue social est permanent au sein de l'entreprise et se poursuit conformément aux pratiques d'ouverture et de concertation en vigueur chez SFR. » (...)
(08/04/2008 17:39:15)Index Freelance.com : les spécialistes PHP dans le top 10
L'indice de l'évolution de la rémunération des Experts Free-lances reste stable depuis le mois de février. Si le quatuor de tête reste inchangé (Unix, Oracle, Java et SAP), on constate néanmoins une augmentation des demandes de compétences en environnement Unix qui peut s'expliquer par une augmentation des projets Oracle et SAP. Les administrateurs, les ingénieurs et les développeurs font partie des compétences les plus recherchées.
Concernant les spécialistes JAVA, les profils demandés sont plutôt axés autour du développement et de l'ingénierie.
Les spécialistes en langage de programmation COBOL qui revenaient dans le classement la semaine dernière en 8ème position, perdent, cette semaine, deux places au profit des demandes de compétences sur PHP qui font leur entrée à la 8ème place du classement, liées à la recherche de programmeurs.
Concernant le top 10 des spécialités demandées, les spécialistes en langage de programmation (C++, Java, J2EE et Cobol) restent en tête du classement.
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Impact 2008 : IBM lance un réseau social des spécialistes SOA
Qui a dit que Web 2.0 et SOA n'allaient pas ensemble ? Pas IBM qui a profité du lancement de sa conférence Impact 2008 pour annoncer l'ouverture prochaine d'un réseau social SOA. IBM souhaite en effet s'appuyer sur les outils existants, de type Facebook, Twitter ou Second Life, pour rassembler les diverses communautés ayant les architectures orientées services comme point commun. « Nous avons une population de 120 000 développeurs et architectes, 134 universités enseignant les SOA, et plus de 5 000 partenaires », a rappelé Sandy Carter, vice-présidente d'IBM SOA et Websphere. Ces communautés sont désormais invitées à entrer en contact, pour échanger conseils et bonnes pratiques. Autre intérêt, explique Sandy Carter, cela permettra d'inclure d'autres types de profils, tels que des experts métier. Chaque participant devra en effet définir son rôle, et des rôles non techniques sont prévus. Les SOA sont, il est vrai, autant affaire de technique que de changements organisationnels. En attendant l'ouverture du réseau social, les participants à Impact présents à Las Vegas, mais aussi tous les clients et partenaires IBM dans le monde, sont invités à une session de discussions en ligne, un « Smart SOA jam ». (...)
(04/04/2008 16:46:57)Sondage flash : un informaticien sur deux privé d'augmentation
D'après le 'sondage flash' proposé sur Lemondeinformatique.fr, sur près de 1 300 répondants, près de la moitié n'ont pas été concernés par la moindre augmentation de salaire au cours des douze derniers mois de l'année. Et un peu moins du quart ont connu une légère revalorisation de leur salaire, inférieure à 3% (voir le tableau ci-dessous). On comprend ainsi pourquoi, actuellement, la question des salaires mobilise les salariés de certains éditeurs de logiciels et SSII. En témoignent les récentes manifestations publiques des salariés d'IBM, de Business Objects et plus récemment de Capgemini, pour une revalorisation de leurs salaires ou pour le maintien de leurs primes d'intéressement. « Les salariés de la IT demandent le retour des augmentations générales, devenues inexistantes dans les services informatiques, indique Yvan Béraud, secrétaire national du syndicat F3C CFDT. Chez Cagemini notamment, les informaticiens réclament un rattrapage de la perte du pouvoir d'achat sur plusieurs années, une revalorisation des indemnités repas, et souhaitent une meilleure cohérence du référentiel métier. » Et le représentant syndical de pointer l'absence de gestion des salaires qui règne actuellement dans certaines SSII. « Dans ce secteur, les salaires souffrent très souvent d'une mauvaise répartition, déplore t-il. On voit fréquemment des cas de chefs de projets débutants embauchés plus cher que leurs collègues en poste, pour des fonctions et responsabilités équivalentes, et ce, au sein d'un même service. Dans certains cas, les écarts peuvent parfois monter jusqu'à 30%. » (...)
(04/04/2008 16:17:01)Le TGI assimile le portage salarial à un contrat de travail
Voici une nouvelle qui réjouira ceux qui ont choisi la voie du portage salarial. Par un jugement du 18 mars 2008, le Tribunal de Grande Instance de Paris a décidé d'assimiler le portage salarial à un contrat de travail, en condamnant l'Unedic et l'Assedic de Paris à rétablir dans leurs droits à l'assurance chômage cinq anciens salariés de la société de portage salarial ITG. Parmi ces derniers, l'un d'eux intervenait en tant que consultant dans des missions d'organisation et d'analyse informatique. Les plaignants s'étaient vu refuser le bénéfice des allocations chômage au motif que la relation contractuelle qui les liait à la société ITG n'était pas assimilable à un contrat de travail. Le TGI de Paris en a décidé autrement, arguant du fait que la relation créée entre ITG et ses consultants s'inscrivait « dans de réels liens de subordination juridique et économique tels que recherchés pour caractériser l'existence d'un contrat de travail. » Il s'agit de la première décision dans ce sens. Rappelons que le projet de loi sur la modernisation du marché du travail, actuellement en cours d'examen au Parlement,devrait bientôt donner une définition précise du portage salarial. (...)
(04/04/2008 14:49:16)Dell supprime plus de postes que prévu
Dell vient d'annoncer de nouvelles mesures drastiques qui devraient l'aider à économiser 3 Md$ d'ici trois ans. Le Texan de Round Rock pourrait bien dépasser ses objectifs de réductions d'effectifs, initialement fixés à quelque 8 800 licenciements, soit 10% de ses effectifs. Michael Dell, le patron du groupe éponyme qui a reculé à la seconde place du marché des PC derrière HP, a indiqué hier, jeudi 3 avril, à l'occasion d'une réunion d'analystes, qu'il envisageait d'aller plus loin dans la réduction du nombre de postes, ce qui devrait l'aider à réduire ses coûts. Sur les neuf premiers mois de l'exercice 2008, 3 200 emplois ont déjà été supprimés à son initiative. Cette semaine, l'entreprise avait fait savoir qu'elle fermait une usine à Austin, au Texas, envoyant ainsi 900 salariés au chômage. Au Canada, Dell a également fait fermer un centre d'appels à Edmonton, où travaillaient 900 personnes, et renoncé à recruter 1 200 nouveaux employés pour son centre d'Ottawa. Le directeur financier de Dell, Donald Carty, a indiqué que 5 500 coupes avaient déjà été effectuées, et que 1 000 suppressions de postes interviendraient au cours de ce trimestre. Il a ajouté que l'entreprise comptait racheter 1 Md$ de ses actions, après en avoir acquis pour 4 Md$, en 2007. De son coté, Keith Bachman, analyste pour le compte du cabinet BMO Capital Market aux États-Unis, a indiqué dans une note que Dell devait chercher à s'améliorer sur le plan opérationnel, pour rattraper les erreurs stratégiques commises par le passé. Michael Dell a également déclaré qu'il espérait que les coûts d'exploitation de l'entreprise auront reculé de 1% d'ici à la fin de l'année, en précisant qu'il ne souhaitait pas procéder à de nouvelles acquisitions d'envergure. Rappelons qu'en janvier dernier, le rachat d'EqualLogic lui avait coûté quelque 1,4 Md $ Pour Michael Dell, l'entreprise entre actuellement dans une grande phase de transformation. Un point de vue que ne partage pas l'analyste Keith Bachman, qui évoque les possibles conséquences du ralentissement de l'économie américaine sur les performances du constructeur. (...)
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