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Carrière
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(28/09/2007 13:42:20)
L'Elysée s'intéresse aux travaux NTIC menés par l'Epi
L'Epi, association pour l'Enseignement public et informatique, continue de promouvoir l'apprentissage des nouvelles technologies dans les établissements scolaires. Le 25 septembre dernier, les représentants du groupe de réflexion ITIC, récemment mis sur pied par l'association pour renforcer les contenus d'enseignement du collège à l'université, ont été reçus à l'Elysée par Jean-Baptiste de Froment, le conseiller technique du président de la République pour l'éducation. L'association a manifesté sa volonté de renforcer la partie informatique et TIC au sein des programmes de technologies au collège, avec des horaires en conséquence, et de créer un enseignement spécifique « informatique et TIC » au lycée. Une initiative qui a suscité l'intérêt du conseiller, celui-ci ayant émis le souhait d'être tenu informé des travaux menés par l'association. (...)
(28/09/2007 09:57:22)Les formations Linux de Linagora certifiées LPI
Le Linux Professionnal Institute (LPI) a conçu un programme de certification de compétence en administration de systèmes Linux, échelonné sur trois niveaux successifs : administration junior (LPIC 1), administration intermédiaire (LPIC 2) et un niveau de spécialisation. Le groupe français Linagora est le premier dans notre pays à devenir partenaire du LPI pour dispenser des formations agréées par cet organisme. Les trois centres de formation (Paris, Lyon et Toulouse) vont délivrer les formations et assurer le passage des examens des niveaux 1 et 2. Le catalogue Linagora a été ainsi refondu et comprend désormais 46 modules pour lesquels plus de 500 sessions ont été d'ores et déjà planifiées pour la période 2008-2009. Les formations LPI sont indépendantes de toutes les distributions Linux du marché. (...)
(27/09/2007 17:42:48)Cinq grandes écoles françaises dans le top 10 de l'Ecole des Mines
Le palmarès mondial des établissements d'enseignement supérieur publié par l'Ecole des Mines de Paris devrait rassurer les dirigeants des grandes écoles de l'Hexagone. Et gommer la mauvaise image de la France donnée par le classement de l'Université de Shanghai. En effet, cinq grandes écoles françaises figurent désormais parmi les 10 établissements qu'ont fréquentés le plus grand nombre de dirigeants des 500 plus grandes entreprises mondiales recensées par le "Fortune Global 500". L'Ecole polytechnique s'octroie la 4e position du palmarès, suivie par HEC (5e), Sciences Po Paris (8e), l'ENA (9e) et l'Ecole des Mines (10e). Cinq autres établissements, l'INSEAD, L'université Paris Dauphine, l'Ecole centrale Paris, l'Ecole nationale supérieure des arts et métiers, et l'Ecole nationale supérieure d'électronique, d'informatique, d'hydraulique et des télécommunications apparaissent également dans la liste des cent premiers mondiaux. Alors que le classement de l'Université de Shanghai se fonde essentiellement sur les performances académiques des établissements de l'enseignement supérieur, celui de l'Ecole des Mines évalue la formation des grandes écoles et universités mondiales, en établissant la probabilité qu'ont les étudiants de devenir les dirigeants des entreprises de premier rang mondial. Ainsi, l'examen des parcours des dirigeants dans les 500 plus grandes entreprises comptabilisées par le Fortune Global 500 a permis de noter 338 établissements de l'enseignement supérieur. (...)
(27/09/2007 16:16:14)Softeam recrute en s'appuyant sur un quizz
Entretiens virtuels, tours de campus en camion, jeux concours.... Les méthodes de recrutement lancées par les entreprises IT pour trouver les bons profils ne manquent pas d'originalité. Pour mettre la main sur une centaine de collaborateurs et évaluer leurs compétences en nouvelles technologies logicielles, Softeam, spécialisé dans la modélisation d'architectures orientées services, a choisi de s'appuyer sur un jeu concours, accessible sur son site Web pendant cinq semaines. Les postulants devront répondre à trois quizz techniques (JavaEE, .Net,UML/SOA), et à deux quizz métiers (Télécom/Media/Internet, Banque/Finance). Pour chaque quizz, dix questions sont énoncées, et trois réponses sont proposées à chaque question. Au fur et à mesure des bonnes réponses les points s'accumulent et peuvent être complétés par d'autres points gagnés en cas de parrainage de nouveaux participants au concours. Le gagnant de ce concours passera une semaine de vacances aux Caraïbes. Parmi les autres lots, des vols en avion, en hélicoptère, et des circuits automobiles. Et pour certains, une embauche chez Softeam à la clé. (...)
(27/09/2007 11:35:35)Les diplômés d'écoles d'ingénieurs, préférés des recruteurs
Dans le secteur de la high-tech, les conditions d'accès au premier emploi des jeunes diplômés, moins d'un an après l'obtention de leur diplôme, semblent des plus favorables. Mais la provenance du diplôme soulève encore de fortes inégalités. Les résultats de l'enquête sur les jeunes diplômés de 2006 et leur situation professionnelle en 2007, dévoilée aujourd'hui par l'Apec, montrent en effet que 90% des jeunes ayant obtenu un diplôme en informatique, télécommunications, et technologies multimédia, sont actuellement en poste. Pour autant, dans les disciplines informatiques, 8 points séparent aujourd'hui le taux d'emploi des jeunes universitaires de celui des diplômés des grandes écoles. Ainsi, près de 8 jeunes sur 10 sont en poste lorsqu'ils ont été formés dans une grande école, contre 6 sur 10 pour ceux issus du monde universitaire. Des salaires 1,2 fois supérieurs pour ceux des grandes écoles Les inégalités sont également visibles sur le plan de la rémunération, puisque les diplômés des grandes écoles touchent des salaires annuels moyens bruts 1,2 fois supérieurs à ceux perçus par leurs homologues universitaires. La nature du contrat de travail profite également aux grandes écoles : plus de trois quart des ingénieurs diplômés de ces établissements obtiennent un CDI, contre un jeune sur deux seulement, pour les universitaires. Les diplômés des grandes écoles se distinguent à nouveau sur le plan du statut : 91% d'entre eux bénéficient d'un statut de cadre, contre 50% d'étudiants provenant du milieu universitaire. Pour tenter de réduire ce fossé, l'Apec a décidé de renforcer son action auprès des universités de l'Hexagone, en mettant sur pied des services d'orientation, et des modules de formation d'accès à l'emploi, au sein des cursus. « Les jeunes issus de l'université méconnaissent encore trop souvent le fonctionnement du monde du travail, et la manière de l'appréhender pour trouver un premier emploi, déplore Gabriel Artero, président de l'Apec. Reste qu'une partie des recruteurs néglige, à tort, certaines formations, et accorde peu d'importance au potentiel des jeunes, recrutant davantage au diplôme. » (...)
(26/09/2007 15:00:27)Atos Origin lance un road tour pour recruter des jeunes diplômés
Avec plus de 2 500 collaborateurs à recruter en 2007, et une offre de 500 stages, Atos Origin complète son dispositif de relations Ecoles/Universités en lançant un road tour sur des campus en Ile-de-France et en province. Dès le 1er octobre, le Campus Tour jalonnera la France et ira à la rencontre des étudiants de grandes écoles régionales et parisiennes. Un camion aux couleurs de la société de services effectuera 17 étapes, d'abord à Rennes, Tours, Bordeaux, Toulouse, puis à Lyon et Grenoble, avant de sillonner l'Ile-de-France et Lille. Chaque étudiant pourra s'entretenir avec un manager du groupe et échanger sur son avenir, ses perspectives professionnelles, proposer sa candidature ou demander un stage. Les managers d'Atos Origin orienteront tous les jeunes, quelle que soit leur année d'études et leur présenteront les possibilités de carrière et d'évolution dans l'entreprise. L'événement sera ponctué par un concours sur le thème des Jeux Olympiques dont Atos Origin est l'un des partenaires informatiques. Cinq étudiants gagneront notamment un séjour à Pékin pour les « Jeux Olympiques Beijing 2008 ». (...)
(24/09/2007 17:05:19)Intel confirme la suppression de 10% de ses effectifs
En mai dernier, Intel avait annoncé son intention de réduire ses coûts. Son programme de redéploiement devait nécessairement passer par des licenciements, mais rien n'était encore officiel jusqu'à ce qu'un salarié décide de publier des informations sur un blog. Informations selon lesquelles le groupe s'apprêtait à licencier pas moins de 10 % de ses effectifs. Ses allégations semblent fondées puisque Chuck Mulloy, porte-parole de la firme (92 000 salariés) vient de confirmer qu'Intel envisage effectivement de se séparer de 10% de ses équipes dans le monde, sans toutefois dévoiler le nombre exact de postes supprimés, rapporte notre confrère Computerworld. Le porte-parole, qui n'a pas souhaité commenter les données publiées par le bloggeur , a toutefois précisé que les employés qui le souhaitent disposeront d'une période de deux mois pour trouver un autre job, tout en restant dans l'entreprise. L'an dernier, Paul Otellini, le PDG d'Intel, avait annoncé à ses salariés qu'il prévoyait de supprimer 10 500 postes d'ici à la mi-2007, sur 102 500 personnes. « Bien que difficiles, ces actions sont indispensables pour qu'Intel soit une société plus souple et plus efficace à l'avenir », avait-t-il déclaré. (...)
(24/09/2007 15:51:12)A l'ANPE, les syndicats s'opposent à la gestion informatique de la mobilité interne
A l'ANPE, la gestion des postes à pourvoir s'effectuera bientôt sur un intranet. L'Agence nationale pour l'emploi compte en effet généraliser son système en ligne de gestion de la mobilité interne sur l'ensemble du territoire d'ici à la fin de l'année. Pour la direction, il s'agit de simplifier les procédures de mobilité interne à l'ensemble du personnel. Mais les syndicats ne l'entendent pas ainsi et craignent, de leur côté, que cette procédure ne permette plus aux candidats de postuler à une offre « en direct ». Pour FO, l'outil ne prévoit pas d'échanges entre le salarié et son responsable hiérarchique. Ce dernier peut faire remonter son avis sans en avoir, au préalable, discuté avec la personne concernée : la candidature part automatiquement vers un responsable pour avis, qui valide et transmet la candidature à un autre responsable d'unité. La centrale considère également que l'informatique modifie la procédure de gestion de la mobilité interne sur le fond, soulignant la position de « recruteur » du responsable hiérarchique, dans la mesure où celui-ci peut accéder et consulter les dossiers des candidats positionnés sur les postes vacants. FO considère qu'il s'agit d'une « entrave au fonctionnement des commissions paritaires ». Enfin, le syndicat estime que ce mode de diffusion risque de systématiser les postes dits à profil. (...)
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