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Carrière
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(09/08/2007 13:50:29)
Le Cnam ouvre un forum de la formation en septembre
Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) organise dans ses locaux à Paris, du 6 au 22 septembre 2007, un forum de formation, d'orientation et d'inscription. L'occasion, pour tous les actifs - salariés, demandeurs d'emploi, professions libérales - ou étudiants à la recherche d'une formation complémentaire, de découvrir l'ensemble des cursus - soit 1 200 unités d'enseignement - présentés à travers les quatre pôles d'enseignement et de recherche du Cnam qui occupent chacun un espace dédié: économie et gestion, sciences et techniques industrielles, sciences et technologies de l'information et de la communication et travail et société. Outre de la documentation et des informations sur les modalités d'organisation et de financement, les visiteurs auront la possibilité de s'entretenir individuellement avec des conseillers d'orientation et/ou des enseignants pour définir ou préciser un projet, évaluer sa faisabilité, choisir une formation ou construire un parcours. Des conférences et des ateliers (programme mis en ligne début septembre sur le site du Cnam), permettront de s'informer sur les contenus des cours et d'obtenir des éléments sur des dispositifs tels que la validation des acquis de l'expérience (VAE), le bilan de compétences, le droit individuel à la formation (DIF) et le congé individuel de formation (CIF). Cette année, pour simplifier l'inscription et raccourcir le délai d'attente du public, le Cnam recommande aux visiteurs du forum de se pré-inscrire sur Internet. (...)
(08/08/2007 15:12:33)Nouvelle restructuration à l'ordre du jour chez Sun
Les efforts engagés par Sun Microsystems pour réduire ses coûts se poursuivent. Dans un communiqué adressé cette semaine à la SEC (Security and exchange commission), le constructeur a fait savoir qu'il envisageait de déployer un nouveau plan de restructuration d'ici à mi 2008. Le nombre de postes supprimés - il pourrait s'agir de plusieurs milliers - n'a pas été communiqué. En revanche, Sun a annoncé son intention de débourser entre 100 et 150 millions de dollars pour financer l'opération. Il ne s'agit pas d'une première pour le géant californien : en 2006, le nouveau CEO, Jonathan Schwartz, avait décidé de frapper un grand coup pour réaliser des économies. Une volonté qui s'était alors concrétisée par la suppression de 5 000 postes, soit 13% de ses effectifs. Des avancées ne constituant qu'une étape A l'occasion d'une conférence de presse avec des analystes qui s'est déroulée la semaine dernière, Jonathan Schwartz a indiqué aux investisseurs que la société était parvenue à diminuer ses dépenses et qu'elle allait procéder à d'autres réductions de coûts : « Nous n'avons pas encore atteint l'ensemble de nos objectifs, a t-il déclaré. En effet, les avancées obtenues en 2007 ne constituent qu'une des étapes qui pourraient remettre l'entreprise sur les rails. Il est également important de souligner que nous sommes parvenus à ses réductions, tout en renforçant nos efforts sur les projets de R&D (Recherche et développement) qui constituent le coeur de notre métier. » Stephanie Hess, porte-parole de Sun, a confirmé que les licenciements pourraient être un moyen pour le groupe d'atteindre ses objectif financiers. « 2007 a été une bonne année pour Sun, a t-elle rappelé. Alors que nous démarrons le nouvel exercice, nous avons besoin de garder le cap pour parvenir au but que nous nous sommes fixé ». Ces mesures représentent l'un des moyens pour y parvenir D'ailleurs, selon les analystes, Sun a besoin de maintenir la pression, en dépit du profit réalisé sur son dernier trimestre, son chiffre d'affaires n'ayant pas augmenté, sur cette même période. (...)
(07/08/2007 19:17:54)Wikiversity veut explorer de nouvelles méthodes pédagogiques
Les initiateurs de Wikiversity, université virtuelle communautaire, libre et gratuite, explorent de nouvelles pistes pour développer leur projet de cours et d'outils éducatifs en ligne, soutenu par la fondation Wikimedia. Samedi dernier, à l'occasion de la conférence internationale et annuelle Wikimania, Cormac Lawler et Teemu Leinonen, deux coordinateurs du projet, ont dressé un état des lieux de cette communauté pédagogique. « Wikiversity devrait connaître de l'ampleur, d'ici deux à trois ans, ont-ils estimé. Il s'agit donc d'aller plus loin dans les méthodes d'apprentissage en ne se bornant pas à fournir des informations, mais en testant aussi différentes théories pédagogiques pour juger de ce qui fonctionne vraiment. » Si la communauté des utilisateurs et les coordinateurs du projet décident de la direction suivie par Wikiversity, en revanche n'importe qui peut y dispenser des cours, et de la même manière, n'importe qui peut les suivre. "Or certains professeurs commencent leurs cours, puis disparaissent, abandonnant ainsi leurs élèves," déplore Cormac Lawler. Avec le développement de Wikiversity, il devient nécessaire de trouver des remèdes à ce type de problème. La collaboration avec d'autres projets d'apprentissage basés sur Internet présente aussi des inconvénients car les universités qui les proposent n'ont pas toujours la même vision des choses. Par exemple, le projet MIT OpenCourseWare du Massachusetts Institute of Technology n'est pas jugé assez « libre » pour Wikiversity. Quoi qu'il en soit, le projet se développe et Cormac Lawler a confirmé que de nouvelles fonctionnalités allaient progressivement être mises à disposition. (...)
(07/08/2007 18:01:56)En France, 22 universités font partie des 500 meilleures mondiales
Les chercheurs de l'Université Jiao Tong de Shangaï de Shangaï viennent de publier l'édition 2007 du classement des 500 premières universités mondiales les plus performantes. Cette année, la France améliore un peu son score. Rappelons que le palmarès est réalisé à partir de cinq critères : les lauréats du prix Nobel, le nombre de chercheurs de haut niveau, les articles parus dans Nature et Sciences et dans l'Index des citations (scientifiques et sciences sociales) et la performance universitaire de chaque faculté. Si ce sont les universités américaines qui s'octroient les premières places du palmarès, avec dans le trio de tête Harvard, Stanford, et l'université de Californie et Berkeley, 22 établissements de l'Hexagone figurent parmi les 500 meilleurs mondiaux. Trois des quatre premières universités françaises gagnent des points supplémentaires, et deux établissements provinciaux (Lille-1 et Rennes-1), font désormais leur apparition dans le Top 500. Obtenant le meilleur score des facultés françaises, l'université de Paris VI occupe le 39ème rang (contre une place de 45ème l'année dernière). Paris- XI obtient la 52ème place, l'ENSP se situe en 83eme position et Strasbourg-1, en 99ème. Seul établissement ne figurant plus au classement, l'Ecole supérieure de physique et chimie industrielle. Reste que la France devra se contenter d'une sixième place, derrière les Etats-Unis, la Grande Bretagne, le Japon et l'Allemagne et le Canada. (...)
(06/08/2007 19:02:37)L'Esigelec monte un projet de recherche autour des systèmes embarqués
Le projet «Campus Integration Systèmes embarqués », porté par l'Esigelec, est un partenariat de recherche, de transfert et de formation à caractère industriel, qui répond aux besoins des filières aéronautique et automobile. Le dispositif, lancé à l'initiative de l'école d'ingénieurs de Haute-Normandie, nécessite l'acquisition d'une nouvelle plate-forme d'équipements dédiés aux systèmes embarqués pour la motorisation (électroniques, électriques et mécatroniques). Il permettra à l'établissement supérieur de se positionner en tant qu'acteur du Technopole du Madrillet et de la Haute-Normandie, et du pôle de compétitivité Mov'eo. La méthode consiste, à partir des besoins industriels, en déterminant des axes de travail fédérateurs, à concevoir des projets structurants multi-acteurs (industriels, recherche et enseignement supérieur, institutions) intervenant au travers d'un comité de pilotage, et à participer aux programmes de recherche, financés par les acteurs régionaux. Un coût total de 16 M€ L'objectif est de concevoir un projet qui s'articule selon plusieurs volets : une première brique, représentée par le centre de compétence électronique, actuellement opérationnel, une idée directrice visant l'intégration des systèmes embarqués, une approche globale combinant la recherche, la formation, et l'animation industrielle, et une cohérence des thématiques de recherche, basées sur le diagnostic, le CEM (tests de comptabilité électromagnétique), et la mécatronique. Le projet, qui s'étend jusqu'en 2009, et dont le coût total est estimé à un peu plus de 16 M€, a déjà reçu le soutien et le portage de la Chambre de commerce et d 'industrie de Rouen, de l'agglomération de Rouen, des acteurs du technopôle, de la région Haute-Normandie et de l'Etat. Il a également été labellisé par le pôle Mov'éo comme projet structurant. (...)
(06/08/2007 16:50:12)Le gouvernement crée un titre de technicien supérieur en SIG
Le ministère de l'Economie, des Finances et de l'Emploi vient d'annoncer, par arrêté du 16 juillet 2007, la création du titre professionnel de technicien supérieur en système d'information géographique (SIG). Ce dernier sera délivré dans les conditions prévues par l'arrêté du 9 mars 2006, qui visent notamment à simplifier les parcours de validation des acquis de l'expérience pour développer et diversifier l'accès des publics aux titres professionnels par cette voie, et sera réexaminé par la commission professionnelle consultative compétente, dans un délai de cinq ans. Le nouveau titre de technicien supérieur en SIG se compose de deux unités pouvant être sanctionnées par des certificats de compétences professionnelles : la première, axée sur la conception, la création et la mise à jour des bases de données, la seconde se rapportant à l'exploitation d'un système d'information géographique. Le référentiel emploi, activités et compétences et le référentiel de certification de ce titre professionnel seront disponibles dans les centres Afpa (Association pour la formation professionnelle des adultes) ou agréés. (...)
(03/08/2007 17:12:19)Les grandes écoles plébiscitées par les futurs bacheliers
La réputation des grandes écoles de commerce et d'ingénieurs n'est plus à faire auprès des élèves de Terminale. C'est ce que montre le Baromètre Etudiants 2007 réalisé par l'institut de sondage Trendence pour Microsoft Education et Hobsons (spécialiste des services de recrutement d'étudiants et de jeunes diplômés) auprès de 4 800 lycéens qui passaient leur bac cette année. Les principaux points forts identifiés par les futurs bacheliers à propos des grandes écoles touchent à la formation elle-même. Qu'ils considèrent « intellectuellement exigeante et valorisante, préparant bien au monde du travail et proposant un enseignement de qualité grâce à un excellent corps professoral. » Sur chacun de ces points, les répondants à l'enquête estiment que la grande école est supérieure à l'université. Ce qui ne veut pas dire que l'univers des grandes écoles est un monde parfait aux yeux de certains futurs bacheliers, qui y voient plusieurs zones d'ombre : le coût élevé des études, une propension à l'individualisme, pas nécessairement épanouissante, et un modèle pas vraiment en phase avec le modèle européen de l'enseignement supérieur, le fameux LMD (Licence-Master-Doctorat) issu de la réforme de Bologne. En dépit de ces points négatifs, les grandes écoles remportent haut la main le match de l'efficacité face à l'université. Mais elles doivent encore gagner la "bataille du coeur" et pour cela changer l'image d'univers peu ouvert qui leur colle à la peau. Par ailleurs, si les futurs bacheliers s'accordent à reconnaître la très forte internationalisation des grandes écoles, ils s'interrogent sur ce modèle qu'ils estiment assez français et qui devra donc évoluer pour se mettre en phase avec le reste de l'Europe. (...)
(03/08/2007 13:57:41)Le ministère de l'Intérieur recrute une trentaine d'ingénieurs sur concours
Le 11 octobre 2007, le ministère de l'Intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales procèdera au recrutement par concours (externe et interne) d'ingénieurs des systèmes d'information et de communication. Sur les 33 postes à pourvoir, 15 se feront en interne, 14 en externe et 4 sur troisième concours. Conditions requises pour les candidatures externes : être titulaire d'une licence ou d'un autre diplôme classé au moins au niveau II, d'une qualification reconnue équivalente à l'un de ces diplômes ou d'un diplôme délivré dans un état membre de l'Union européenne. Les dossiers devront être déposés le 3 septembre 2007, au plus tard. Les internes devant justifier de quatre ans au moins de services publics au 1er janvier de l'année du concours. Les épreuves écrites d'admissibilité auront lieu le 11 octobre 2007, les épreuves orales d'admission se dérouleront entre le 10 et le 11 décembre 2007. Les ingénieurs des systèmes d'information et de communication, admis aux concours, seront nommés en qualité de stagiaires. Toutefois, les candidats admis au concours externe ne seront ingénieurs stagiaires (des systèmes d'information et de communication) qu'à partir de la date à laquelle ils justifient de la condition de diplôme ou d'une qualification équivalente . Les lauréats participeront à des fonctions de conception, de mise en oeuvre, d'expertise ou de contrôle, dans les services chargés de définir et d'appliquer la politique du ministère de l'Intérieur, en matière de systèmes d'information et de communication. (...)
(03/08/2007 12:12:50)Hausse de 16% pour les salaires des doctorants en entreprise
A partir du 1er septembre, le niveau de rémunération minimum des doctorants financés par les entreprises sera relevé de 16%. Souhaitant participer à l'extension et à la revalorisation des Cifre (Conventions industrielles de formation par la recherche), le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, fera passer, dès la rentrée 2007, le salaire minimum de 1 684 € bruts par mois à 1 957 € brut par mois pour tous les nouveaux contrats. Pour y parvenir, l'Etat renforce son accompagnement aux entreprises : celui-ci passe de 14 635 € par an et par doctorant à 17 000 €. Le nombre de bénéficiaires de conventions Cifre augmentera quant à lui de 10%, passant de 1 155 réalisées en 2006 à 1259 proposées en 2007. Grâce à un partenariat gagnant associant doctorants, laboratoires publics et entreprises, le dispositif Cifre permet à des jeunes chercheurs de réaliser leur thèse en entreprise en menant un programme de recherche et développement en liaison avec une équipe du secteur académique. Ces conventions de formations sont mises en place depuis 1982 par l'Association nationale de la recherche technique (ANRT) qui gère les procédures administratives et assure la promotion du dispositif auprès des entreprises. (...)
(03/08/2007 10:35:45)Les Etats-Unis emploient plus de 3,6 millions d'informaticiens
Une étude réalisée par le Bureau of Labor Statistics (BLS) annonce de bonnes nouvelles pour le marché de l'emploi high-tech, outre-Atlantique : aux Etats-Unis, le secteur informatique emploie désormais presque 3,6 millions de personnes, chiffre le plus élevé des sept dernières années. Ce résultat, associé à un niveau de chômage de 2%, dépeint un meilleur portrait du marché que les années précédentes. Le bureau de statistiques rappelle qu'entre 1999-2000 et 2001-2002, le nombre de licenciements est passé de 4-5% à 11-14%. Les plus mauvais scores ayant été atteints en 2001, quand l'industrie a connu des licenciements en nombre (à partir de 50 personnes licenciées à la fois). Toujours selon BLS, le marché de l'emploi a connu une évolution majeure. Les postes qui ont vu la plus forte augmentation sont les métiers d'ingénieurs en informatique, de cadres IT et d'analystes réseaux. Depuis l'année dernière, les entreprises ont ainsi créé plus de 93 000 postes liés à l'informatique. En dépit d'une perte continuelle d'effectifs, les programmeurs forment toujours le secteur de troisième importance, et concentrent plus de 500 000 personnes, soit 15% des emplois en informatique. Recul des étudiants de niveau licence Parallèlement, le Taulbee Survey de la Computing Research Association indique un tournant en amont dans les inscriptions d'étudiants dans les cycles universitaires. L'organisme relève une explosion du nombre de 'phd' (un doctorat de format anglo-saxon), une nette remontée de l'emploi des docteurs dans l'industrie, secteur qui redevient le premier employeur des nouveaux docteurs, ce qu'il avait cessé d'être depuis 2002. En revanche le pourcentage des nouveaux entrants dans ces cycles, au niveau licence et avant, reste très bas, près de 40% inférieur à ce qu'il était en 2002. Si l'on peut observer une très légère remontée des inscrits en informatique en premier cycle, il est clair que la "production" de docteurs voire de Masters va beaucoup dépendre de l'immigration. (...)
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