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(27/07/2007 16:46:53)

En 2013, tous les lycées d'Ile-de-France auront leurs ENT

D'ici à 2013, tous les lycées d'Ile de France auront leurs espaces numériques de travail (ENT). L'opération lancée à l'initiative de la région Ile-de-France concerne plus de 400 000 lycéens, ainsi que les personnels d'établissement. Le conseil régional s'apprête également à distribuer près de 175 000 clés USB équipées de logiciels libres, dès septembre 2007. Jean-Paul Huchon, président de la région Ile de France, a en effet annoncé que les 130 000 lycéens de seconde des lycées publics franciliens et les 45 000 apprentis en première année dans un centre de formation francilien, recevront une clé USB équipée d'un bureau mobile en logiciels libres, à partir de la rentrée scolaire 2007. Bureau qui se compose d'une suite bureautique, d'un navigateur Internet, d'un client de messagerie électronique, d'une messagerie instantanée, et d'un logiciel de lecture audio vidéo. D'un coût de 2,6 millions d'euros, ces clés seront distribuées à la prochaine rentrée scolaire par les chefs d'établissements. 100 000 ordinateurs, soit un pour moins de 4 élèves Jean-Paul Huchon serait-il partisan d'un rééquilibrage de l'offre logicielle entre solutions propriétaires et logiciel libre ? Il semblerait que oui, à en juger par le lancement européen de Firefox 2, qui a eu lieu en octobre 2006 dans les locaux de la Région, en présence de Jean-Paul Huchon qui s'était fendu d'un petit discours. En décembre dernier, le président Huchon avait également apporté le soutien du Conseil régional à la création d'un pôle de compétitivité du logiciel libre. La région Ile-de-France a ainsi équipé ses lycées de plus de 100 000 ordinateurs, soit un PC pour moins de 4 lycéens, en accès libre pour Internet et comme outil pédagogique pour les enseignants. « Cette clé USB représente pour eux un outil de liberté et de mobilité entre leur établissement, les cybercafés, l'ordinateur de leur domicile ou de leurs amis », peut-on lire dans le communiqué du conseil régional. Autre acteur ayant décidé de s'impliquer dans la création d'ENT : l'académie de Créteil, pour un déploiement dans 21 collèges, dès la rentrée prochaine. Le "cartable en ligne" développé par l'académie proposera aux établissements cibles un espace numérique opérationnel qui pourra, à terme, découler sur une solution globale. (...)

(27/07/2007 15:47:25)

BNP Paribas recrute à son tour sur Second Life

Décidément, Second Life intéresse les entreprises de multiples horizons en tant qu'outil de recrutement. Après les acteurs de l'informatique (Accenture, Capgemini, Unilog LogicaCMG), les cabinets spécialisés (Expectra), et les établissements de l'enseignement supérieur (Insead, ESNT), c'est au tour des banques d'embaucher dans le monde virtuel crée par Linden Lab. Cet été, BNP Paribas a ainsi choisi de s'appuyer sur cet univers pour attirer informaticiens, chefs de projet, ingénieurs systèmes et réseaux, architectes techniques ou applicatifs. Les candidats n'ont qu'à s'inscrire sur l'espace de recrutement mis en ligne par la banque. A l'issue de l'étude de leur candidature, ils reçoivent un mail de confirmation leur indiquant la date et l'heure du rendez-vous, le nom de leur interlocuteur RH sur Second Life ainsi qu'un lien qui leur permettra de téléporter leur « avatar » (représentation en 3D d'un personnage) sur l'île BNP Paribas. Le jour J, ils sont reçus par les avatars des chargés de recrutement pour un entretien confidentiel d'une dizaine de minutes. Egalement sur les lieux, un responsable du département informatique du groupe, pour un chat avec les personnes présentes. Plus largement, la nouvelle île de BNP Paribas, proposera des espaces ludiques et pédagogiques, destinés à évoluer avec le temps, l'un dédié au tennis, la banque étant impliqué dans le sponsoring autour de la petite balle jaune, l'autre consacré aux échecs dans le cadre du partenariat avec la Fédération Française des Echecs. Pour en savoir plus : - Lien vers l'espace de recrutement de BNP-Paribas (...)

(27/07/2007 12:49:01)

L'Ires pointe les limites d'Internet sur le marché de l'emploi

Dans une édition spéciale consacrée au recrutement et à la recherche d'emploi sur Internet et conduite par Yannick Fondeur, l'IRES (Institut de recherches économiques et sociales) pointe quelques uns des problèmes soulevés par l'utilisation de ce média et ses limites, en compilant les résultats de différents travaux. L'organisme montre qu'Internet ne s'est pas imposé, loin de là, comme un canal de recrutement dominant : en effet, d'après les données de l'OFER (Offres d'emploi et de recrutement) de la Darès, le bon vieux courrier papier reste majoritaire dans la réception des candidatures spontanées (91% des entreprises en auraient reçu de cette manière), Internet ne rassemblant que 23% des suffrages. Quant aux limites de l'outil, elles viseraient les difficultés de traitement, pour distinguer les informations pertinentes de celles qui ne le sont pas. L'entreprise et la profession des recrutés jouent leur rôle La situation semble néanmoins plus équilibrée s'agissant de la diffusion des offres : la proportion des entreprises qui recourent à la presse (18%) est quasiment équivalente à celles qui utilisent le Web (17%). Rejoignant les résultats d'une enquête ANPE (réalisée fin 2003), l'Ires pointe également la très forte hétérogénéité du recours à Internet selon le type d'entreprise, la probabilité qu'un recrutement ait fait l'objet d'une diffusion d'offre d'emploi sur Internet étant dix fois plus élevée dans les établissements de plus de 500 salariés, que dans ceux de moins de dix. D'ailleurs les résultats d'une autre étude, menée récemment par HEC Junior, montre que les PME françaises en sont encore à l'ère du papier pour réaliser leurs recrutements Enfin, la profession des recrutés jouerait un rôle important, en terme de choix de canal de recrutement : les informaticiens considèrent ainsi Internet comme premier vecteur de recherche d'emploi. (...)

(26/07/2007 17:11:15)

Googleplex, lieu où il fait bon travailler, selon Fortune

Salle de sports, douches et salon de massage, jeux vidéo variés, piano, cantine gratuite midi et soir, tables de billards, ping-pong, piscines, help desk pour tous problèmes de PC, coiffeur, beach volley, gardes d'enfants. On pourrait croire au descriptif d'un club de vacances. Alors qu'en réalité, il s'agit de la vie quotidienne des quelque 9 000 salariés de Google, basés au 'Googleplex', siège du géant des moteurs de recherche, situé à Mountain View, en Californie. Rien d'étonnant à ce que le géant de l'Internet se soit hissé au rang des entreprises où il fait bon travailler, classement publié récemment par le magazine Fortune. Car ce qui constitue sa force, c'est son mode de vie sans pareil. Googleplex, c'est d'abord un gigantesque campus de près de 93 000 m² où trônent de magnifiques bâtiments aux couleurs de l'entreprise. La décoration intérieure, composée notamment de canapés rouges et de ballons multicolores, a été pensée pour apporter le plus grand confort aux employés. Dans le hall d'entrée un grand escalier en bois tropical fait office de lieu de rencontres où les "Googlers" peuvent échanger. Des prises ont d'ailleurs été intégrées dans les marches pour leur permettre de brancher leurs ordinateurs portables ! Augmenter la productivité des employés Pour les « petits creux » des employés, des mini-cuisines sont situées au milieu de l'espace de travail, en plus de la cafétéria située dans un autre bâtiment. Dans sa grande générosité, le géant mondial de l'Internet a également déployé un réseau wifi gratuit sur toute la ville, accessible depuis des navettes elles aussi gratuites. L'espace de travail n'est pas en reste, avec pour chaque poste : deux ordinateurs fixes, un portable, et aucune contrainte de personnalisation de son bureau. Ce lieu paradisiaque n'est pourtant pas sans comporter quelques pièges. Pour Google, c'est également l'occasion d'augmenter la productivité de ses nouveaux employés, baptisés Nooglers. Au lieu de sortir pour déjeuner, ils n'ont qu'à faire quelques pas, avant de rejoindre très vite leur poste de travail, une fois leur repas avalé. D'ailleurs, les repas seraient servis jusqu'à et à partir d'une certaine heure pour que les salariés commencent plus tôt et repartent plus tard. Une stratégie payante, puisque de nombreux salariés resteraient au siège bien après leurs heures de travail... Peut-être pour faire du développement. (...)

(26/07/2007 12:29:22)

L'Eisti ouvre une chaire d'entreprise en BI avec Keyrus

Keyrus, l'un des spécialistes de la BI (Business Intelligence), renforce son partenariat avec l'Ecole internationale des sciences du traitement de l'information.(Eisti) en créant une chaire d'entreprise en informatique décisionnelle, opérationnelle à l'automne. Ainsi, dès septembre prochain, les étudiants de l'option informatique décisionnelle de troisième année du cycle ingénieur des campus de Cergy et de Pau, pourront bénéficier de 180 heures de formation. Par ailleurs, et afin de participer aux travaux relatifs aux sciences du traitement de l'information, le PDG de Keyrus rejoindra le conseil scientifique et pédagogique de l'établissement. Pour l'intégrateur de systèmes informatiques décisionnels, l'ouverture de cette chaire vise à réaliser les objectifs suivants : l'octroi de stages aux élèves-ingénieurs de cette option, le recrutement d'ingénieurs diplômés de cette spécialité et des étudiants du mastère spécialisé en informatique décisionnelle (accrédité par la Conférence des Grandes Ecoles). « La chaire Keyrus vise à asseoir notre expertise via les recherches avec les services R&D des entreprises, à créer un laboratoire de veille de la BI et à internationaliser notre savoir-faire », commente Hervé de Milleville, directeur pédagogique de l'Eisti. (...)

(25/07/2007 17:04:46)

Le TGI de Toulouse examine le référé déposé par le CE de SFR

Lundi 23 juillet, le tribunal de grande instance de Toulouse a examiné un référé intenté par le CE du centre d'appel Toulousain de SFR, pour violation de ses prérogatives en matière d'information. L'affaire a été mise en délibéré au 30 juillet, soit 48 heures avant la mise en place, par la direction du projet d'externalisation de ce centre d'appel et des sites de Lyon et de Poitiers. L'avocat du CE, Me Romain Geoffroy, plaide la violation des prérogatives du CE toulousain par la direction qui a selon lui « fixé unilatéralement un ordre du jour de sa réunion ». « Le référé du CE de Toulouse au TGI est dû à la contestation de la validité des réunions d'informations sur le projet d'externalisation, peut-on lire également lire sur le forum SFR en colère. L'ordre du jour n'a pas été signé par la secrétaire du CE et a été imposé unilatéralement par la direction. La secrétaire a motivé la position du comité d'entreprise dès l'origine (au regard du différend opposant le comité central d'entreprise et la direction et ne permettant pas d'ouvrir dans de bonnes conditions l'information des CE sur le projet de transfert) et elle a d'ailleurs été approuvée dans une résolution unanime ». Des ordres du jour irréguliers « Au plan juridique, c'est à raison que le CE a contesté la validité des réunions intervenues sur des ordres du jours irréguliers puisque seules des consultations peuvent être inscrites de plein droit par le président. Il s'agit donc d'une question de forme, mais qui a son importance, et les sites de Lyon et de Poitiers auraient pu choisir de suivre également cette procédure, puisque, sur chacun des sites, elle est strictement similaire » apprend-on encore. Vendredi dernier, près de 80 grévistes du centre toulousain de SFR avaient bloqué les accès des bureaux de l'entreprise pour contester ces projets de transferts. La direction de SFR avait fait savoir aux syndicats le 11 juillet qu'elle maintenait l'externalisation au 1er août prochain, après une décision de justice lui étant favorable. Reste à attendre le 30 juillet pour connaître l'avis du juge sur la question. (...)

(25/07/2007 12:48:46)

Les PME françaises à l'ère du papier pour recruter

Une étude menée par HEC Junior pour le compte de Taléo, éditeur de solutions de gestion des talents, montre que les PME françaises sont encore à l'ère du papier pour réaliser leurs recrutements. Réalisée auprès de plus de 700 entreprises de taille moyenne de l'industrie, du commerce et des services, l'enquête indique que les agences d'intérim et les annonces presse sont les deux premiers canaux de recrutement utilisés par les PME de l'Hexagone : 74% des personnes interrogées déclarent ainsi avoir recours aux agences d'intérim pour faire face à leurs besoins en terme de recrutement, 70% publient des annonces dans la presse et 64% font appel à des cabinets de recrutement spécialisés. Internet est en revanche en retrait avec un peu plus d'une PME sur deux (56%) qui diffuse ses annonces sur son site corporate ou sur un site d'emploi. Autre source de recrutement pour les PME, les organismes spécialisés, comme l'Anpe qui arrive en tête avec près de 66% des suffrages, et qui devance les salons professionnels, les cabinets spécialisés et la cooptation. De la même façon, le recours à un système de gestion des candidatures automatisé n'est pas prêt d'entrer dans les habitudes des entreprises de taille moyenne : en effet, à la question « quels sont les moyens dont vous disposez en interne lors d'un recrutement ? », 85,6% des entreprises disent trier parmi les candidatures déjà reçues. Le bouche à oreille arrive en seconde position avec 54,2%, suivi par la cooptation citée à 50,4%. Loin derrière, l'utilisation d'un logiciel de gestion des candidatures est tout de même cité par 23,6% des entreprises interrogées. (...)

(24/07/2007 14:19:25)

Victoire en cassation de la CGT de HP France sur les primes

Bonne nouvelle pour le syndicat CGT de HP France. La centrale syndicale vient en effet de remporter une victoire décisive devant la Cour de cassation, sur les litiges qui l'opposent à l'employeur au sujet de la prime dénommée "cash profit sharing" ou "company performance bonus". Sollicitée pour la seconde fois sur ce dossier, la Cour de cassation confirme son analyse : la prime, versée depuis 1962, constitue un usage auquel HP ne pouvait pas renoncer de manière unilatérale. Par ces motifs, la Cour casse ainsi le seul jugement qui avait été favorable à la direction et qui concernait trois salariées qui n'avaient aucune mention relative à cette prime sur leur contrat de travail. Le jugement est d'autant plus important qu'il consacre la nature d'usage de cette prime versée depuis 1962. De 2002 à 2004, en plusieurs groupes successifs, ce sont finalement 230 salariés qui, soutenus par la CGT, ont déposé devant les conseils de prud'hommes de Vienne, de Grenoble, de Boulogne-Billancourt et de Palaiseau, la même réclamation. Compléments de salaires sur cinq ans Cette décision augure vraisemblablement un dénouement favorable aux réclamations des salariés soutenus par la CGT. HP devra donc leur payer des compléments de salaire sur cinq ans. « Nous invitons la direction d'HP à régler spontanément tous les litiges en cours, et à intégrer la prime dans le salaire de base, a indiqué la CGT d'HP dans un communiqué. Et nous poursuivons notre action visant à généraliser à l'ensemble des salariés le règlement de cette prime pour 2001 à 2006, dans le cadre de l'intersyndicale qui s'est constituée en 2006 sur ce sujet, avec la CFDT et la CFE-CGC. » Ainsi, la décision d'aujourd'hui constitue un élément important qui vient consolider le bien-fondé de la "class-action" engagée par l'intersyndicale en décembre 2006, à laquelle plusieurs centaines de salariés se sont joints. (...)

(24/07/2007 11:16:29)

Le Cnam signe un contrat de développement avec l'Etat

L'Etat a renouvelé le contrat de développement avec le Cnam. Portant sur près de 39 millions d'euros, en augmentation de 6% par rapport à la période 2003-2006, le contrat 2007-2010 accompagne le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) dans une nouvelle et importante étape de son développement. L'accord signé le 18 juillet dernier par Laurence Paye-Jeanneney, administratrice générale du Cnam et Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, réaffirme, dans sa première partie, l'importance des trois missions de l'établissement : formation professionnelle supérieure des adultes, recherche technologique et innovation, diffusion de la culture scientifique et technique. Dans sa deuxième partie, le contrat insiste sur le caractère national du Cnam et l'importance de son réseau, et l'invite à s'appuyer sur une politique active de développement et de renforcement de l'usage des technologies numériques. (...)

(23/07/2007 17:54:38)

Les cartes compétences et talents disponibles à l'automne

L'immigration « choisie », prônée par Nicolas Sarkozy, serait-elle en marche ? C'est en tout cas ce qu'a laissé entendre Brice Hortefeux, le 18 juillet dernier, lors des 'Journées de la coopération internationale et du développement'. L'occasion pour le ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement d'annoncer que les premières cartes « compétences et talents », destinées à favoriser l'immigration économique en France, seraient délivrées en octobre prochain. Destinée à faciliter l'accueil des étrangers dont « la personnalité et le talent constituent des atouts pour le développement et le rayonnement de la France », selon le texte voté l'été dernier sous l'impulsion de l'ex-ministre de l'Intérieur, aujourd'hui président de la République, Nicolas Sarkozy, cette carte d'une durée de trois ans, ne sera renouvelable qu'une seule fois. Elle oblige également son titulaire à retourner dans son pays d'origine « pour le faire bénéficier de l'expérience acquise sur le territoire français ». Un titulaire qui sera d'ailleurs tenu de participer à une action de coopération en faveur de son pays durant son séjour dans l'Hexagone. Certains n'ont pas hésité à considérer cette initiative comme l'un des plus grands gadgets du projet de loi, et s'interrogent sur la manière dont vont être mesurées ces fameuses compétences et qui va les décider. D'ailleurs, la constitution de la Commission nationale des compétences et des talents, censée préciser les critères de sélection des lauréats, et qui devrait être présidée par un grand chef d'entreprise, reste encore à l'étude. Recruter les étudiants des filières scientifiques Le ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement a profité de l'occasion pour préciser la politique qu'il comptait mener, souhaitant une immigration utile à la France et aux pays d'origine. Le but est qu'à terme, « l'immigration économique représente 50% des entrées à des fins d'immigration durable », le chiffre s'élevant à 7% aujourd'hui. Il trouve aussi que les filières généralistes sont "surreprésentées" et entend recruter davantage d'étudiants pour les filières scientifiques. Enfin, pour répondre à ceux qui accusent la carte « compétences et talents » de participer au pillage des cerveaux , Brice Hortefeux a trouvé la parade : celle-ci « ne sera pas réservée à une élite de super diplômés, au contraire elle a vocation à bénéficier à des personnes qualifiées, alors même qu'elles n'auraient aucun diplôme ». (...)

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