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(14/12/2006 17:29:21)
Le partage des services : une option pour réduire les coûts
Pour la réduction des coût d'approvisionnement, Hackett Group (études de benchmarking et accompagnement des entreprises pour la mise en place des transformations nécessaires pour leur permettre de s'améliorer) prône l'examen des dépenses indirectes. Il ne faut pas uniquement étudier les dépenses directes, il faut sérieusement « se concentrer sur les dépenses indirectes », indique Chris Sawchuk du groupe Hackett. Le but est de développer une stratégie externe axée sur le long terme avec des fournisseurs choisis, en vue de construire avec eux une relation de qualité. Les entreprises qui sont parvenues à économiser 25% de leurs coûts d'approvisionnement l'ont fait par la limitation du nombre de fournisseurs, induisant un mode relationnel qui permet une meilleure gestion des fluctuations du marché et la réduction des augmentations de prix. Les autres économies peuvent être réalisées en interne : les partenariats multifonctionnels sont nécessaires pour réaliser des économies d'échelle et pour réduire les coûts de négociation. La réorganisation dans le sens d'une meilleure communication entre services est indispensable. Enfin, les choix technologiques judicieux simplifient les process et réduisent les coûts salariaux. Un autre levier à étudier : les services partagés Hackett indique que 20% des entreprises peuvent réduire leurs coûts financiers de plus de 40 % grâce aux centres de services partagés. Penny Weller, analyste en chef pour Hackett indique que "les entreprises qui savent considérer ces centres de services partagés comme des filiales à part entière de l'entreprise avec leurs objectifs de productivité, sont plus à même de réussir cette mutation. Il leur faudra éduquer leurs directions et faire en sorte de conduire le changement subtilement et en prenant le temps nécessaire pour ne pas brusquer les publics concernés. Si les entreprises ne respectent pas ces principes de bon sens, il est possible que leurs employés minent le projet et fassent en sorte de contourner celui-ci via une organisation parallèle. La réussite d'un centre de services partagés est également une étape nécessaire pour une entreprise qui voudra par la suite faire appel aux opportunités de délocaliser certaines de ses fonctions". A une nuance près : plus de 30% des entreprises étudiées par Hackett voient leurs coûts financiers inchangés ou s'élever après la mise en place d'un centre de service partagé. L'offshoring et la sous-traitance sont donc des stratégies à examiner à la loupe selon la situation de l'entreprise. D'où l'intérêt de savoir sur quels aspects opérationnels (informatique, finances, RH, approvisionnement) jouer afin, comme pour les meilleurs élèves d'Hackett, de réduire les coûts administratifs de 60 millions de dollars pour chaque milliard de chiffre d'affaires réalisé ! (...)
(13/12/2006 17:20:45)Des concours-étudiants qui mènent indirectement à l'emploi
Financer des compétitions estudiantines en tous genres, pour repérer au passage les jeunes talents qu'ils pourraient embaucher, est loin d'être une nouveauté pour les employeurs. Ce qui l'est plus, c'est la dimension de projet (collectif ou individuel) que tendent à valoriser les organisateurs de ces compétitions. C'est le cas avec Solucommunity, Imagine Cup ou Todevone, trois de ces compétitions ouvertes actuellement ou prochainement aux inscriptions. La première, organisée par l'intégrateur Solucom (450 salariés), en est à sa deuxième édition (réception des dossiers du 22 décembre). Tous types de projets étudiants sont bienvenus (humanitaires, défis techno, culturels, etc) à condition de s'inscrire dans un contexte associatif (au sein d'une liste d'écoles définie par Solucom) qui, du coup, donne au projet une dimension pédagogique. En 2007, comme en avril 2006, 25000 euros seront ainsi attribués aux cinq meilleurs projets. Pour Imagine Cup (4ème édition), la compétition est internationale, encadrée par les équipes R&D de Microsoft, d'abord au niveau national, puis par continent. Le coup d'envoi, en France, est donné ce 14 décembre. Avec, cette année, neuf catégories de compétition: conception logicielle, système embarqué et mobilité, développement web, jeu (projet Hoshimi) algorithmes, administration de système (IT Challenge), photographie, film court, conception d'interfaces. Parmi les lauréats des années précédentes, six équipes bénéficient depuis l'été 2006 du parrainage conjoint de Microsoft et de British Telecom pour poursuivre leurs projets éventuellement jusqu'à la création d'une entreprise (Imagine Cup Innovation Accelerator Program). Pas de français parmi eux, bien que, sur les 18 équipes lauréates de l'édition 2006 (pour six catégories, ayant fait concourir 65000 étudiants de cent pays), trois étaient françaises. Les diverses étapes de sélection (nationale, puis internationale) s'étalent jusqu'à août 2007 avec compétition finale à Séoul. Quant au défi national Topdev 2007, concours de programmation multi-langages, multi-environnement (Java, PHP, .Net) qui se veut totalement indépendant de tous éditeurs, sa troisième édition est prévue pour le week-end du 24-25 mars 2007. Inscription en ligne dès janvier. En 2006, plus de 700 candidats de 65 pays y ont participé. Ce défi, sous parrainage ministériel (recherche et enseignement supérieur), sur sujet fixe et sous durée limitée (60 heures) se veut avant tout une rencontre (en ligne) mettant en exergue les compétences personnelles (développeurs indépendants ou en entreprise, ou étudiants) et, éventuellement, la qualité de leur environnement pédagogique (pour les étudiants). Avec, en prime et au delà des 4000 euros de récompense, une labellisation des savoir-faire et une valorisation du CV au regard des recruteurs, soulignent les organiseurs. (...)
(13/12/2006 16:01:25)Le e-tourisme conjugué aux technologies de mobilité s'invente des débouchés
Secteur leader de la vente en ligne, le e-tourisme (voyages, séjours et autres services), progresse autant en chiffre d'affaires (3,5 Md€ en France en 2005), qu'en quantité et en diversité d'usages (11,5 millions de clients en 2005, en progression de 20% par rapport à 2004. L'état des lieux dressé lors de la journée Tourism@ 2006 qui s'est tenue à Cannes le 5 décembre, confirme l'arrivée en force des technologies de mobilité au coeur de l'effervescence marketing qui anime le monde du voyage et de l'accueil touristique. Depuis la "carte orange" de Air Canada qui permet aux abonnés de gérer en ligne leurs déplacements, jusqu'à l'accès sur PDA aux calculs d'itinéraire de ViaMichelin, en passant par le "Google local for mobile" ou le dispositif de "yield management" (la meilleure vente au meilleur prix au meilleur moment) appliqué aux stations de ski qui a ses extensions vers les mobiles des clients potentiels. Ce sont autant d'usages qui font appel à des compétences d'informaticiens polyvalents, connaissant les technologies Web, serveurs d'application, multimédia et téléphonie mobile, mais capables en plus d'y associer une sensibilité marketing. Cette année encore, entre autres opérateurs, Voyages-sncf.com planifiait trente embauches supplémentaires (pour 150 salariés, dont 70 informaticiens), après la croissance d'effectifs de 45% enregistrée en 2005. Les deux applications et PME lauréates (parmi 64 dossiers candidats) du concours rattaché à cette rencontre annuelle sont également témoins de cette percée du m-tourisme. Qu'il s'agisse de la plateforme Travel Signal de la société britannique Mobile Signal (R&D en Californie, en France et en Pologne), ou de celle de la société italienne 01 Design (150 salariés), qui permettent l'une et l'autre de personnaliser (tant pour les opérateurs, voyagistes, etc., que du côté des clients) les prestations et les contacts entre le prestataire et le client ou avec d'autres voyageurs, via SMS, MMS, accès web, etc., sur mobile. (...)
(12/12/2006 17:56:15)Vers une individualisation de la relation manager-salarié dans les PME-PMI
Privilégier la relation entre le salarié et son manager semble être une évidence pour des rapports optimisés au sein de l'entreprise. C'est également la conclusion du nouveau baromètre mis en place par ADP-GSI (spécialiste des services d'externalisation de la gestion des RH) et Soft Computing (conseil, technologie et marketing), et réalisé auprès de 500 responsables RH, administratifs ou financiers de PME-PMI. Parmi elles, de nombreuses SSII qui doivent prendre en considération tous les aspects des RH (salaire, intéressement, plan de carrière, avantages...) dans leur procédure de recrutement, pour convaincre les candidats de les rejoindre, et les collaborateurs en poste de ne pas les quitter. « La fonction RH dans les PME-PMI est complexe et souvent exercée par des non-spécialistes et des généralistes. Seulement 21% des PME de 50 à 300 salariés ont une direction RH dédiée. Les salariés sont les acteurs de leur GRH car la technologie et les mentalités le permettent », indique Alain Ragot, directeur stratégie France d'ADP-GSI. Les limites de l'individualisation : la rémunération 68% des PME ont mis en oeuvre des entretiens individuels et 73% des PME interrogées fixent les objectifs individuels des salariés via leurs managers et confirment ainsi la tendance à l'individualisation de la relation manager-salarié. Seule exception : la rémunération. Dans ce domaine, l'individualisation a du mal à s'imposer dans la mesure où les augmentations et les grilles de salaires restent collectives. Pour l'instant, 54% des PME rattachent la prime ou la rémunération aux objectifs individuels. Difficile de savoir si ce chiffre augmentera dans les prochains baromètres d'ADP-GSI. Néanmoins, dans le système français d'accords de branche et dans lequel l'information circule très vite, il paraît difficile de détacher totalement l'aspect rémunération d'un ensemble soumis à des règles collectives. (...)
(12/12/2006 17:55:17)Monster lance un nouveau portail dédié informatique et technologies
Monster, spécialiste des offres d'emploi sur le Net avait, jusqu'à présent, une démarche généraliste, à la différence de concurrents comme Cadremploi ou Lesjeudis, le premier s'adressant exclusivement aux cadres et le second aux informaticiens. Désormais, Monster complète son offre en s'orientant vers des thématiques précises, et ouvre un nouveau portail informatique et technologies. Trois raisons à ce changement de cap : en octobre 2006, le Monster index de l'emploi en France a atteint son deuxième plus haut niveau historique, reflétant l'impact des mesures prises en matière d'emploi aidé et la baisse du rythme de croissance de la population active française. De plus, la hausse des offres en ligne dans le secteur informatique est continue : de 94 en septembre 2005 à 111 un an plus tard (le cap des 100 est dépassé dès octobre 2005 et on constate une pointe à 125 en juillet 2006). Elle confirme la bonne santé de l'informatique. Enfin, dans un marché de plus en plus concurrentiel (la fusion géante entre Cadremploi, Keljob et Explorimmo en juillet dernier devrait faire beaucoup de mal à ses rivaux), il est impératif de se positionner pour marquer sa différence et prendre des parts de marché sur des secteurs de pointe. (...)
(11/12/2006 17:50:27)Cisco place ses pions dans la R&D européenne
A sa liste de sites de R&D implantés en Europe, Cisco vient d'ajouter un site irlandais, à Galway. Le plan de développement de ce site dédié à la convergence (équipement de communications unifiées), qui emploie actuellement une cinquantaine d'ingénieurs de recherche, prévoit de monter les effectifs à 200 ingénieurs d'ici à trois ans. En France, le centre de R&D de Sophia Antipolis compte de même une cinquantaine de personnes, dont vingt dédiées à la recherche autour des technologies IPV6, sans fil, mesh, MPLS (qualité de service des réseaux IP) et routeur mobile. Selon la tactique vue à l'oeuvre à Sophia Antipolis, chacun de ces sites est aussi considéré comme centre productif en matière de propriété intellectuelle. Les équipes de l'antenne Cisco de la Côte d'Azur sont à l'origine de 25 standards, 70 brevets et 3 ouvrages, et s'impliquent activement dans les initiatives du pôle de compétitivité (SCS) et dans la collaboration avec les établissements d'enseignement supérieur (Groupement des écoles télécoms, dont ENST Paris et l'institut Eurécom). C'est, d'ailleurs, une des raisons essentielles pour lesquelles, dans sa politique d'implantations et d'acquisitions (116 à ce jour, 7 depuis le mois d'août) qui prend une place croissante dans sa stratégie d'investissements R&D (13% du chiffre d'affaires), le géant des technologies réseaux porte une attention particulière aux opportunités européennes. "Aux USA, il est beaucoup plus ardu, coûteux et long de faire valoir ses droits sur la propriété intellectuelle", soulignait notamment Graham Holmes, directeur de l'initiative ARTI (Academin Resarch Technology Initiative) de Cisco, lors d'un récent forum sur le développement international des pôles de compétitivité à la française (Sophia Antipolis, 17 novembre). De même, le centre de recherche implanté en Israël a constitué une tête de pont pour l'acquisition d'une vingtaine d'entreprises de R&D sur place. Tout est relatif, puisque plus à l'Est, après un investissement de 50 millions de dollars sur un campus R&D à Bangalore, Cisco confirme et signe son intention d'investir massivement en Inde (1,1 milliard prévu au plan d'octobre 2005), en annonçant un investissement de 750 millions de dollars pour les trois ans à venir. Le cap est mis sur un triplement des effectifs (2000 personnes aujourd'hui, R&D et hors R&D) sur le sous-continent indien. (...)
(11/12/2006 15:02:26)La réorganisation des équipes informatiques: priorité numéro un des DSI en 2007
La guerre des talents qui, selon les analystes du Gartner, va guider la compétition entre entreprises, tous métiers confondus, implique, dès 2007, de redéployer les équipes informatiques. La priorité des priorités est de préparer le passage de témoin aux générations montantes, notamment grâce au lancement de projets innovants. Charité bien ordonnée... Les transformations attendues (ou en cours) dans la conduite des affaires, liées à l'usage intensif des technologies (création de valeur et travail en réseaux, etc.) doivent inciter les directions des systèmes d'information à se préparer à cette nouvelle donne, à la fois pour elles-mêmes et pour les services qu'elles doivent assumer envers les divers métiers et fonctions de l'entreprise. Ainsi, dans la liste des résolutions à prendre pour 2007, le Gartner place en tête la préparation du plan de succession au sein de la DSI. Et ce, en trois temps, trois mouvements : -1 : Saisir l'opportunité ouverte par les nombreux départs en retraite qui se profilent pour "couper le bois mort", les activités qui n'ont plus lieu d'être ou de relever de la DSI. -2 : Identifier les pistes d'amélioration des performances de la DSI -3 : Lancer des projets réellement innovants qui mettent en jeu les responsabilités des générations montantes (les 30-40 ans), afin qu'elles puissent, par l'expérience, compléter leur "paquetage" de compétences. Dans le même esprit de repositionnement des informaticiens, cette fois, vis-à-vis de l'entreprise, le Gartner leur conseille de se rendre encore plus visibles sur trois fronts : -1 : aider les DRH à prendre en compte leur rôle stratégique (technologie aidant) -2 . renforcer la présence des informaticiens à l'avant-garde de l'entreprise ("frontline business experience") -3 : ré-établir le sens et la visibilité des dépenses informatiques de l'entreprise Quant aux apprentissages à inscrire au menu de 2007, le Gartner cite : l'impression en 3D, les outils d'analyse des effets des processus d'interaction sociale ("social information", gestion de contenu, gestion de connaissance, etc.), la nouvelle génération de langages de programmation (plus puissants et plus simples à utiliser, accessibles du coup aux utilisateurs les plus avertis), les outils et usages des communautés virtuelles. (...)
(08/12/2006 17:34:50)Recrutement : plus de 4 000 postes à pourvoir au Salon des ingénieurs
Avant la trêve des confiseurs aura lieu la quatorzième édition du Salon des Ingénieurs. Cet incontournable rendez-vous du recrutement ouvrira ses portes les 12 et 13 décembre au Cnit-Paris-La Défense. L'organisation est rodée, puisque ce sont le CNISF (conseil national des ingénieurs et scientifiques de France) et l'Apec (association pour l'emploi des cadres) qui ciblent les ingénieurs et les scientifiques, lors de deux rencontres annuelles (juin et décembre). L'originalité de ces salons est de favoriser la prise de rendez-vous entre ingénieurs et une centaine d'entreprises par inscription préalable. Si la première journée est réservée à ceux qui sont déjà inscrits, les retardataires ne seront pas pénalisés : mercredi 13 décembre à partir de 14h, le salon est ouvert à tous. Les ingénieurs expérimentés sont concernés, de même que les jeunes diplômés, qui pourront se rendre compte sur place quelles entreprises recrutent et pour quels postes (plus de 4 000 selon les organisateurs). L'Apec annonce déjà que des postes pour « des profils très divers seront proposés : ingénieurs qualité, ingénieurs travaux, chefs de projets, directeurs méthodes et sécurité, concepteurs structures, architecte technique J2EE, chef de projet Java... » (...)
(08/12/2006 17:02:22)Digiteo : La recherche en informatique a désormais un nom
Un récent rapport de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) annonce que la recherche et le développement européens sont en retard par rapport à certains pays émergents. Le texte, daté du 4 décembre 2006, indique que les dépenses américaines en matière de R & D devraient se chiffrer à 230 Md$ à la fin de cette année, devant les investissements chinois à 136 Md$, qui progressent de 20 % par rapport à 2005. Toujours au conditionnel, ceux du Japon pourraient être de 130 milliards de dollars mais la question se pose pour l'UE (à 15 dans ce rapport) qui affecterait seulement 230 milliards de dollars à ce secteur, jugé crucial par tous les analystes dans le domaine du développement économique présent et à venir. La nouvelle tombe au moment où la France, qui a pris conscience du fossé qui risquait de se creuser avec le reste de la recherche mondiale, mise sur les 13 RTRA (réseaux thématiques de recherche avancée), descendants des campus de recherche. L'un d'entre eux, Digiteo, est dédié aux sciences et technologies de l'information et de la communication (STIC). L'informatique reconnue comme matière d'excellence Le domaine scientifique et technologique du projet Digiteo est la conception et le développement de systèmes à forte composante logicielle, depuis le système sur puce jusqu'au calcul haute performance et aux grandes infrastructures logicielles, en passant par les systèmes embarqués et les robots. D'ores et déjà, six partenaires sont impliqués dans ce projet : CEA ; CNRS ; Ecole Polytechnique ; Supélec ; Inria et Université de Paris Sud-11. Digiteo a une ambition qui se décline en quatre points : dynamiser le potentiel scientifique en mutualisant les forces scientifiques, et en renforçant la formation avec la recherche, tout en encourageant les idées innovantes ; augmenter la visibilité par l'organisation d'événements scientifiques internationaux et la fédération d'un réseau international ; renforcer l'attractivité du projet vis-à-vis des scientifiques de haut niveau ; amplifier l'impact économique du projet par l'accent mis sur le transfert technologique, la valorisation, la création de jeunes pousses et le travail commun avec les industriels. Il est prévu une enveloppe de 300 millions pour financer l'ensemble des RTRA et les autres projets visant à rapprocher les universités entre elles. Digiteo devrait se mettre en place dès la fin du mois de janvier 2007, cependant aucune information n'est encore donnée quant à l'implication concrète des chercheurs dans ce domaine. Seule certitude : la France veut se donner les moyens d'une recherche digne de ce nom. Et pour la première fois, l'informatique en fait partie. (...)
(08/12/2006 16:58:08)Recrutement : plus de 4 000 postes à pourvoir au Salon des ingénieurs
Avant la trêve des confiseurs aura lieu la quatorzième édition du Salon des Ingénieurs. Cet incontournable rendez-vous du recrutement ouvrira ses portes les 12 et 13 décembre au Cnit-Paris-La Défense. L'organisation est rodée, puisque ce sont le CNISF (conseil national des ingénieurs et scientifiques de France) et l'Apec (association pour l'emploi des cadres) qui ciblent les ingénieurs et les scientifiques, lors de deux rencontres annuelles (juin et décembre). L'originalité de ces salons est de favoriser la prise de rendez-vous entre ingénieurs et une centaine d'entreprises par inscription préalable. Si la première journée est réservée à ceux qui sont déjà inscrits, les retardataires ne seront pas pénalisés : mercredi 13 décembre à partir de 14h, le salon est ouvert à tous. Les ingénieurs expérimentés sont concernés, de même que les jeunes diplômés, qui pourront se rendre compte sur place quelles entreprises recrutent et pour quels postes (plus de 4 000 selon les organisateurs). L'Apec annonce déjà que des postes pour « des profils très divers seront proposés : ingénieurs qualité, ingénieurs travaux, chefs de projets, directeurs méthodes et sécurité, concepteurs structures, architecte technique J2EE, chef de projet Java... » (...)
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