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(07/12/2006 17:50:52)

En 25 ans, 1500 docteurs ont fait leurs premières armes en SSII

Le sait-on assez ? Près de mille thèses sont soutenues chaque année en France dans les disciplines relevant des sciences et technologies de l'information. A en croire le bilan d'un quart de siècle de fonctionnement des contrats Cifre (convention industrielle de formation par la recherche), les SSII et les cabinets de conseil absorberaient environ 10% de ce flux. En effet, parmi les 15000 thésards bénéficiaires depuis 1981 de cette modalité d'accueil dans l'entreprise, environ 10% de ces diplômés bac+8, soit environ 1500 docteurs (ou PhD) en puissance, ont pu ainsi financer les trois années de préparation de la thèse en travaillant en SSII. Les cabinets de conseil et les bureaux d'études techniques ont accueilli respectivement près de 4 % et 3 % du flux. Au total, le secteur informatique (éditeurs, SSII et autres entreprises) compte pour 15% de l'ensemble des contrats Cifre. Toutes disciplines confondues, 40% de ces thésards sous contrat poursuivent dans la même entreprise, contre 38% qui se font embaucher ailleurs, 12% qui décrochent un poste dans la recherche publique et 4% qui effectuent un post-doc (à l'étranger). « Le dispositif Cifre fait partie de nos meilleurs outils pour rapprocher entreprises et établissements publics de recherche et pour favoriser l'embauche des docteurs. Sa longévité en témoigne. C'est pourquoi le Pacte pour la Recherche prévoit de faire croître de 10% par an d'ici 2010 les moyens qui y sont consacrés. », a souligné François Goulard, Ministre délégué à l'Enseignement Supérieur et à la Recherche, ce 7 novembre, pour saluer ce 25ème anniversaire. 1200 boursiers Cifre en 2006 En 2006, l'Etat (par l'Agence ANRT) a financé 1200 conventions Cifre, et 1150 en 2005. Après un rapide calcul, ces deux dernières années, ce serait donc une centaine de jeunes docteurs Cifre qui auraient intégré une SSII (les 40% qui restent dans l'entreprise d'accueil). Bien peu, donc, en regard des 40000 embauches prévues pour cette année par ce secteur. Certes, le couplage d'un travail de thèse avec une activité en SSII n'est pas forcément évident à organiser. Mais le secteur peut beaucoup mieux faire. C'est du moins la conviction de Bruno Carrias, délégué général de la Fédération Syntec (un ancien de Sopra). "Alors que nous sommes confrontés à des changements majeurs dans l'orientation de nos activités, qui rendent pertinentes la recherche de personnes au profil plus spéculatif, plus aptes à gérer l'incertitude, la prise de conscience de cette réalité va sûrement s'accélérer". A l'heure de l'internationalisation du marché de l'emploi, des cursus et des diplômes, où la mention de PhD sur un CV se valorise autant qu'un MBA, et sûrement plus qu'un titre d'ingénieur, mais à l'échelle internationale, il semble bien que les jeunes ingénieurs (50% des contrats Cifre sont issus d'écoles d'ingénieurs) et leurs enseignants (les Mines, notamment, n'hésitent plus à recommander à leurs élèves la poursuite des études jusqu'à la thèse) en sont plus conscients que les employeurs. (...)

(07/12/2006 17:45:30)

Un regain d'optimisme chez les cadres

"Plus de sens, dans un monde sans repère": le thème du 33e congrès électif du syndicat CFE-CGC (du 6 au 8 novembre) fait écho à l'état d'esprit actuel des cadres plutôt enclins à un regain d'optimisme. Mais il fallait bien cela. Selon le relevé de novembre du baromètre cadres, ils sont 31% à se dire plus confiants quant à l'état global économique et social du pays (contre 24% au plus bas en mars dernier) et 69% à croire en la pérennité de leur emploi (58% en mars). Même remontée du moral concernant la perception de l'équilibre entre vie privée et travail. Si 44% se plaignent d'une charge de travail trop lourde, contre 51% en juin, 73% d'entre eux notent cependant que celle-ci s'est alourdie ces dernières années. La satisfaction à l'égard des rémunérations, tant sur le niveau que sur l'équité par rapport aux collègues en interne ou en externe, remonte après la chute brutale enregistrée cet été (40% seulement de satisfaits en juin, 48% en novembre). Comme les années précédentes à la même période, le sentiment d'être informé sur les résultats de l'entreprise et sur les objectifs individuels progresse (de trois points par rapport à juin, 70% de satisfaits). Il reste que moins de la moitié des cadres se dit optimiste quant aux perspectives d'évolution de leur situation dans l'entreprise. Mais au total, le risque de grève ou de mouvement social semble repoussé (28% d'entre eux en envisagent la probabilité dans les mois à venir, niveau le plus bas atteint par cet indicateur comme en juin 2004). "Cette démobilisation suit logiquement le sentiment général d'amélioration de la situation des cadres", conclut l'analyse d'OpinionWay (pour la CFE-CGC). (...)

(06/12/2006 18:14:23)

Enquête sur les besoins en main d'oeuvre en 2007: les cadres en informatique seront-ils davantage recherchés ?

Sur l'ensemble des statistiques qui paraissent régulièrement dans le domaine de l'emploi, l'enquête annuelle sur les BMO est l'une des références essentielles, scrutée de près par les pouvoirs publics et les acteurs sociaux. Initiative de l'Unedic, réalisée avec l'ensemble des institutions de l'assurance chômage sur la France entière, elle est ensuite traitée par le Credoc qui remettra ses premières conclusions à la mi-février 2007, avant un résultat complet qui sera communiqué, comme tous les ans, au début du mois d'avril. Seule nuance cette année : dans une période prè-électorale, les résultats détaillés par bassin d'emploi prendront une dimension particulière et devraient être exploités par les candidats en lice. L'enjeu de cette enquête est la fiabilité, liée au nombre de retours. Le Garp Ile-de-France indique qu'en 2005 « les données de l'emploi salarié concernant les activités informatiques dans les départements franciliens ont été établies à partir de 29 818 établissements et 688 874 salariés au total, mais ne concernent que les activités informatiques (conseils, réalisation de logiciels, traitement de données). Elles excluent les activités de reproduction d'enregistrement informatique, fabrication d'ordinateurs et d'autres équipements informatiques, commerce de gros d'ordinateurs, d'équipements informatiques périphériques et de progiciels et location de machines de bureau et de matériel informatique. » Cette année, après l'envoi le 6 novembre d'un questionnaire aux 300 000 entreprises réparties en Ile-de-France, la coordination régionale de l'assurance chômage (Assedic, Garp et ANPE) est passée à la phase suivante. Elle collecte désormais les premiers retours et attend, pendant quelques jours encore, ceux des retardataires. 21 285 cadres en informatique devaient être recrutés cette année en région parisienne (enquête BMO 2006) En 2005, une extrapolation sur les perspectives d'emploi avait été possible à partir de 25% de réponses. Le principal résultat de l'enquête BMO 2006 indiquait que les « métiers les plus recherchés en Ile-de-France demeuraient inchangés par rapport à 2005 » et comprenaient deux catégories de cadres : commerciaux et informaticiens. En effet, les entreprises situées en Ile-de-France estimaient qu'elles allaient recruter de manière permanente 21 285 ingénieurs et cadres en informatique (hors technico-commerciaux) dont plus de la moitié dans les Hauts-de-Seine. Autre information : elles projetaient également d'embaucher 897 opérateurs de saisie. En 2005, les perspectives d'emploi en Ile-de-France dans le domaine informatique étaient déjà tendues, puisque 48,3% ingénieurs et cadres étaient jugés comme des « cas difficiles à recruter ». A relativiser toutefois, puisque ce secteur arrivait en 10e position, loin derrière celui des infirmiers et des sages femmes (plus de 80%). On constate cependant que les entreprises de services informatiques font de plus en plus appel aux différents réseaux de recrutement et annoncent avoir des difficultés à pourvoir leurs postes de cadres informatiques. Si cette information se confirme dans les faits et non plus dans les intentions et suit la tendance de 2006, le chiffre des « cas difficiles à recruter » dans le secteur des cadres informatiques devrait dépasser allégrement les 50% et peut-être même remonter dans ce top 5 ! (...)

(06/12/2006 18:12:36)

Plus d'embauches qu'en novembre 2005 mais moins qu'en octobre 2006

Le baromètre Advancers executive (cabinet de conseil en recrutement, filiale de Vedior France) est paru. Ce panorama mensuel du recrutement des cadres des cadres indique, pour novembre 2006, une hausse de 60% dans le secteur de l'informatique par rapport à l'année dernière. La croissance est néanmoins tempérée par une baisse de 8% des embauches par rapport à octobre 2006. Cette tendance contrarierait-elle les pronostics de recrutement sur l'année ? Il semblerait que non, la baisse semblant être liée à la saisonnalité, puisque tous les secteurs d'activités ont été touchés, sauf ceux de la finance (+1%) et du marketing (+3%). A l'inverse, les emplois saisonniers repartent. D'ailleurs, plutôt que de baisse de l'emploi, les analystes d'Advancers executive évoquent plutôt un « début de ralentissement » et indiquent que « ceux qui en pâtissent le plus sont ceux qui ont eu les plus grosses progressions ces derniers mois », en tête, les commerciaux et les informaticiens. A noter encore que cette baisse conjoncturelle est confirmée par les annonces qui fleurissent sur tous les sites de recrutement et la relativisent : les SSII cherchent toujours de nouveaux collaborateurs pour 2007. (...)

(05/12/2006 17:40:02)

Thierry Breton plaide pour un pôle de compétitivité "Logiciels Libres"

L'Open Source se faufile partout. La France a sa filière "Logiciels Libres", qui compte près de 400 sociétés, des petites entreprises pour la plupart, prestataires de services et éditeurs, dont 250 en Ile-de-France. De là à revendiquer une reconnaissance formelle pour figurer au nombre des pôles de compétitivité labellisés (et soutenus financièrement) par l'Etat. C'est en tout cas le pas que souhaite franchir une poignée de chefs de file reconnus, avec -c'est officiel- le soutien du ministre Thierry Breton, qui en a fait un point d'accroche de sa déclaration lors de la présentation, ce lundi 4 décembre, du rapport sur "l'économie de l'immatériel" en tant que vecteur de croissance. L'argumentation des promoteurs de ce pôle encore virtuel est rodée. "La France a donné des contributions majeures à la recherche et au développement en informatique, à l'avant-garde du mouvement du logiciel libre", souligne Roberto di Cosmo, professeur d'informatique à Paris-7. Il ne manque pas non plus de patrons de jeunes pousses pour soutenir, comme le fait Stéfane Fermigier, PDG de Nuxeo (logiciels de gestion de contenu), que 30 à 40% de leur chiffre d'affaires vont à la R&D. Quant à Alexandre Zapolsky, président de l'ASS2L (association de sociétés de services dédiés aux logiciels libres) et PDG de Linagora, "la phase d'industrialisation et les perspectives de croissance" face auxquelles se trouvent la filière du logiciel libre, forte déjà, selon lui, de 6000 emplois en Ile-de-France, suffisent à justifier cette candidature au statut de pôle de compétitivité. Enseignement, recherche appliquée, débouchés porteurs... le tryptique habituel qui a justifié la constitution des 66 pôles de compétitivité déjà labellisés est bel et bien représenté dans cette candidature. Et Alexandre Zapolsky, principal initiateur de ce projet, l'assure: les universitaires d'Ile-de-France concernés, de même que certains représentants de l'Inria déjà approchés, apporteraient volontiers leur soutien au dossier. Un regroupement de PME Il reste que l'Ile-de-France a déjà son lot de "pôles", de "réseaux thématiques" et autres structures de soutien à la R&D, dont certaines d'envergure nationale, notamment en informatique et télécoms (Systematic, Cap Digital, Digiteo, RNTL, RIAM, RNRT), avec une ambition de rayonnement hors frontière. Comment ne pas voir, dans cette superposition de structures, toutes ayant vocation de support au développement économique, et surtout de développement territorial rattaché à la notion de pôle, un risque de dispersion, de "saupoudrage", des moyens et des énergies? Les industriels prenant part aux pôles existants en savent quelque chose. Pour autant, le pôle Logiciels Libres, tout comme Cap Digital dans le domaine du contenu, se positionnerait, comme le décrit Alexandre Zapolsky, comme un regroupement de PME à forte perspective de croissance. Avec le soutien du monde de la recherche? Et celui des pouvoirs publics, au delà du ministre Thierry Breton? Cela reste à voir... avec la prochaine fournée de pôles labellisés qui devrait être publiée dés janvier prochain. (...)

(05/12/2006 17:19:46)

L'embauche branchée direct sur les cursus universitaires: 49% donnent suite

L'opération Universyntec, en trois journées d'embauche ciblant les masters (bac+5) des campus de Nanterre, Créteil et Villetaneuse, a permis à onze employeurs du secteur ingénierie-conseil-informatique (listés ci-dessous) d'effectuer sur place 683 entretiens de prise de contact, dont 332 ouvrant sur un second rendez-vous. La quatrième et dernière journée de représentation de la Fédération Syntec au coeur des campus franciliens, avec pour argument 3000 emplois et stages ouverts, se tient ce mercredi 6 décembre à Marne-la-Vallée. Il est donc bien trop tôt pour en tirer quelque conclusion sur l'efficacité de cette démarche quant aux embauches en instance. Mais déjà le taux de transformation (49%) du premier contact satisfait les organisateurs de cette première. Ne serait-ce qu'en termes d'image. "Beaucoup de nos entreprises ont signé la Charte de la diversité. Nous sommes discrets, mais le moment est venu de parler plus haut", souligne Pierre Nanterme, président de Syntec et d'Accenture. "Les chargés de recrutement nous disent avoir rencontré des candidats très intéressants qu'ils ne seraient pas allé chercher par ailleurs", ajoute Anne-Marie Bjornson-Langen, directrice du développement de Syntec et coordinatrice de cette opération. Le défrichage préalable, afin de cibler les invitations vers les étudiants de masters concernés (gestion, économie, math appliquée, informatique, cursus banque-finances), ne restera probablement pas sans suite. Tant il est vrai que rapprocher l'université du monde de l'entreprise est dans l'air du temps. "Entre deux entretiens de recrutement, une discussion de couloir avec les étudiants nous a conforté dans l'idée qu'une bonne part d'entre eux n'a qu'une vague connaissance du fonctionnement de l'entreprise", note Saïd Hammouche, dirigeant de l'association APCR (cabinet de recrutement spécialisé dans la promotion de la diversité). Du côté du Syntec, l'on considère que la rapidité avec laquelle s'est montée cette opération, avec le soutien des présidents des quatre universités, "pour un résultat en rapport avec la logistique mobilisée" (logistique qui, en effet, ne peut guère se comparer avec celle des forums d'embauche dont les étudiants des grandes écoles sont familiers), montre que la volonté d'ouverture, de part et d'autre, est bien réciproque. (...)

(04/12/2006 17:37:29)

L'interactivité au sein des entreprises en retard sur les pratiques des jeunes générations

Alors que sept cadres sur dix sont amenés à travailler hors du bureau de manière occasionnelle voire régulière, à peine une entreprise sur dix aménage pour eux l'accès à l'e-mail nomade. Signe, parmi d'autres, du retard pris par les entreprises européennes dans l'analyse et la prise en compte des nouveaux comportements et modalités de travail induits par l'usage intensif des technologies de l'information. D'où le signal d'alerte tiré conjointement par Xerox et le cabinet Forrester Research, comme suite à l'étude menée auprès de 1600 entreprises de 16 pays européens: il est grand temps pour les employeurs de miser sur de meilleures conditions d'accueil des jeunes générations de cadres, déjà rompues aux conséquences de l'accès à l'information instantanée. Faute de quoi, les entreprises s'exposent au risque de perdre rapidement la face, y compris vis-à-vis de leurs clients, fournisseurs et partenaires. En effet, selon l'étude Xerox-Forrester, au delà de l'accès à un portail d'entreprise et de l'impression sur papier sans limitation dont font mention 61% des entreprises, rares sont les sociétés qui ont d'ores et déjà intégré dans leur fonctionnement les moyens de tirer partie de cette flexibilité accrue. La collaboration via le web, avec les fournisseurs et partenaires pour le développement de produits et services, n'est le fait que de 39% des entreprises. Et si 59% des firmes disent avoir un site Web pour assister leurs clients, 15% seulement d'entre elles proposent un contenu à valeur ajoutée destiné à renforcer les contacts en ligne. Et ce, même si un début de prise de conscience fait que 91% des cadres interrogés reconnaissent les différences dans le style de collaboration des nouvelles générations. Multitâches, habitués à recevoir et à traiter des informations de sources diverses, avec une prédilection pour le travail collaboratif sans hiérarchie, les générations montantes de cadres devraient inciter les entreprises à rompre avec leur "dyslexie numérique". Certains secteurs d'activité (le secteur financier, par exemple) et certains pays (Portugal) semblent plus avancés que d'autres dans cette prise de conscience. Pour autant, le constat d'ensemble est sévère. "Les méthodes de travail, les relations clients, les processus métiers ne correspondent pas aux attentes des jeunes professionnels", résume Richard Peynot, senior analyste de Forrester. Miser sur l'informatique sociale L'informatique sociale ("social computing") que les analystes de Forrester définissent comme "une structure sociale dans laquelle la technologie place le pouvoir entre les mains de communautés" et qui souligne l'importance prise par la médiatisation de la relation entre l'entreprise et son écosystème (clients, fournisseurs, partenaires, concurrents) mais aussi de l'interaction entre salariés, n'est pas encore une réalité admise par les employeurs. Loin s'en faut. "La majorité des décideurs actuels n'a pas grandi avec les blogs, PDA, webcasts, et autres outils totalement nouveau pour eux. Il leur faudra du temps pour s'adapter", reconnaît Jacques Guers, pdg de Xerox France. En revanche, préparer le terrain pour et par les jeunes générations peut se faire dès à présent. Le tandem Forrester-Xerox recommande notamment trois pistes possibles: 1) miser sur la possibilité de "jouer" avec les nouvelles technologies, à ceux qui, déjà habitués à aborder par eux-mêmes les usages des nouvelles technologies, peuvent suggérer comment ceux-ci pourraient être utiles à l'entreprise; 2) lancer des expériences de collaboration, d'acquisition et de partage des connaissances (communautés axées sur la pratique, jeux de groupe, forums); 3) introduire rapidement de nouvelles technologies dans certains processus métiers. La DRH étant, à cet égard, une fonction-cobaye toute désignée. Au delà des modalités de recrutement, déjà largement transformées par le web, pour Xavier Farret, DRH de Xerox France, à la tête d'un service supervisant la gestion d'une population de commerciaux et technico-commerciaux, cela passe notamment par un suivi beaucoup plus interactif, au fil de l'eau, des salariés, en relation directe avec leurs équipes. (...)

(04/12/2006 17:55:12)

Du fuel pour le rôle moteur de la recherche coopérative en région parisienne

La conception et le développement de systèmes complexes, tant en amont et au coeur de la production industrielle que dans les services (les télécoms notamment) est le thème du pôle de compétitivité System@tic qui mobilise en région parisienne plus de 102 000 salariés. Parmi eux, 42 000 chercheurs et ingénieurs en R&D et 8 000 dans la recherche publique. Les 21 projets labellisés à la suite de trois appels à projets (décembre 2005, février 2006, mai 2006), sans compter la dernière sélection prévue pour décembre 2006, représentent un budget de plus de 235 millions d'euros (dont un apport de 62 millions de l'Etat et des collectivités). Ce vendredi 8 décembre, les délégués des 200 établissements concernés (60 grandes entreprises, 60 PME, 60 instituts, labos, écoles et universités, 15 collectivités territoriales) tiennent forum au grand amphithéâtre de la Sorbonne. Histoire d'esquisser -au travers d'un exercice de bilan et prospective- la feuille de route du pôle System@tic pour l'année à venir, avec notamment une ouverture sur les partenariats européens, voire une ambition internationale, plus marquée. Déjà en 2006, deux accords de coopération ont été signés avec un pôle allemand (SafeTrans) et un pôle néerlandais (Point-One), tous deux axés sur les percées de la R&D en matière de systèmes embarqués. Au programme de cette journée de forum: la recherche coopérative en tant que moteur d'un écosystème performant, le rôle actif des réseaux européens de recherche, la dynamique territoriale générée autour des pôles, les défis industriels liés à l'innovation. (...)

(01/12/2006 17:35:28)

Le salon Mobile Office ouvre ses portes

La mobilité est plus que jamais à l'ordre du jour, à la fois sur le plan du réseau, via les rencontres qui seront faites au Mobile Office (plus de 200 exposants) pendant 3 jours (5-7 décembre), et sur celui des perspectives qui s'offrent aux concepteurs des technologies du secteur. « L'intelligence mobile à l'heure européenne » est le thème choisi cette année pour ce sixième rendez-vous, qui se fera entre exposants, distributeurs et visiteurs intéressés par la mobilité, et rassemblés pour nouer des relations d'affaires ou de travail. Ce secteur continue en effet à recruter les talents. Faire un tour en choisissant sa conférence et en découvrant les stratégies des entreprises présentes, est l'un des moyens astucieux pour se faire une idée de la bonne santé d'une SSII ou d'un grand compte et des projets à venir. (...)

(01/12/2006 17:29:47)

Hit-parade des salaires : le consultant en informatique vaut 44 340 euros

Expectra (réseau de recrutement en hautes compétences par des contrats en intérim et CDI) vient d'annoncer les résultats d'une étude faite pour L'Entreprise, sur un panel d'informaticiens situés pour moitié en Ile-de-France et pour moitié en région. Premier constat : toutes catégories de cadres confondues (à partir de l'analyse de 120 000 fiches de paie couvrant plus de 6 000 entreprises PME- PMI sur l'ensemble du territoire national et plus de 500 secteurs d'activité), en 2006, les plus fortes progressions de salaires à l'embauche concernent les informaticiens. L'administrateur rafle tous les succès avec + 17,1%, suivi par le chef de projet (+ 15,3%), le responsable informatique (+ 7,8%) et enfin le consultant (+ 4,3%). En 2005, la même étude indiquait que les deux premières fonctions qui avaient le plus progressé en termes de salaires à l'embauche étaient responsable administratif (+ 16,5%) et coordinateur de travaux BTP (+ 13,9%). Consultant en informatique : dans une fourchette de 30 400 € à 83 200 € Deuxième révélation d'Expectra : en tête du top 5 des profils les plus recherchés dans les fonctions de l'informatique et des télécommunications, vient le consultant en informatique, avec un salaire médian national de 44 340 € hors part variable (pour rappel, le salaire médian sépare la population en deux groupes de nombre égal). Selon Emmanuel Chauvin, responsable études et enquêtes des salaires chez Expectra, « c'est dans ce secteur que la plus incroyable amplitude de salaire existe : elle va de 30 400 € à 83 200 € ! D'une manière évidente, ce sont les compétences qui ont un impact décisif sur la rémunération. » Egalement présents dans ce classement, les métiers de chef de projet informatique (41 900 €), ingénieur système (40 880 €), ingénieur réseau (37 270 €) et administrateur Lotus, Unix (36 270 €). Que dire aux informaticiens qui se situeraient loin de ces chiffres ? « On constate de véritables disparités entre régions : par exemple, le salaire médian en province d'un chef de projet est de 39 000 €. En revanche, il se situe à 47 600 € en Ile-de-France, dans une fourchette comprise entre 31 900 € et 51 700 € », répond Emmanuel Chauvin. L'ingénieur process touche 4 000 € de plus que l'ingénieur en électronique Dernier top 5 d'Expectra : celui des profils les plus recherchés dans les métiers de l'ingénierie et des technologies industrielles. Un peu devant les autres, l'ingénieur process, avec un salaire annuel médian national de 37 960 € (hors part variable). Puis viennent les ingénieur méthodes (36 780 €), ingénieur d'affaires (34 930 €), ingénieur R&D (33 220 €) et ingénieur en électronique (33 220 €). Enfin, l'étude conclut que les profils les plus attractifs sont ceux à hautes compétences dans les domaines de l'informatique et des télécommunications, de l'ingénierie et des technologies industrielles, et dans les métiers de la gestion et du management. Selon Expectra, ils resteront parmi les plus recherchés en 2007. (...)

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