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(30/01/2006 00:00:00)

Recrutement : Une opération de séduction pour informaticiens "Bobo"

Micropole Univers organise une opération de recrutement originale. Le 2 février, la SSII invite des candidats potentiels à participer à une soirée de rencontre avec ses collaborateurs. Elle a mobilisé cinquante d'entre eux pour l'occasion, des représentants des métiers techniques de ses quatre départements (Conseil, banque Assurance, services et télécom et Industrie), loué un restaurant branché parisien, Le Réservoir, et réservé un groupe de jazz pour offrir un concert à ses invités. Cette initiative fixe à favoriser les échanges dans une ambiance détendue et peu classique et à mettre en avant ce qu'elle considère être sa meilleure vitrine, ses métiers et ses collaborateurs. La SSII souhaite affirmer une personnalité qui se veut jeune - la moyenne d'âge est de 30 à 35 ans - "moderne et urbaine", auprès d'un public ciblé. Pour s'inscrire à la soirée, les candidats doivent répondre à un questionnaire en ligne qui les invite à décrire leur parcours (formation, expérience, poste recherché). Ces informations sont censées permettre à Micropole Univers de sélectionner les candidats et de s'assurer que leurs profils correspondent biens à ce qu'elle cherche. A ce titre, l'opération est d'ailleurs déjà une réussite, selon la SSII. Une semaine avant la soirée, Micropole Univers affirmait qu'elle comptait une centaine d'inscrits particulièrement en phase avec sa prospection. Au total, la SSII espère attirer 150 personnes... et en recruter 70%. Plus généralement, la SSII prévoit 250 embauches en 2006, dont 60% de jeunes diplômés, 30% de "confirmés" et 10% de consultants expérimentés. (...)

(27/01/2006 00:00:00)

Recrutement : Une tendance au jeunisme ? positive mais inquiétante

L'intérêt des recruteurs informatiques pour les jeunes diplômés devrait s'accroître en 2006. « Nous avons eu l'information cette semaine. Nos clients assouplissent leurs exigences quant aux ingénieurs que nous leur proposons, car les consultants ayant entre deux et cinq ans d'expérience se raréfient, " explique Alexandra Lecordier, responsable du recrutement pour la société de services te de conseil en informatique SQLi.. "Pour pallier cette pénurie, ils acceptent d'accueillir des jeunes diplômés avec six mois de stage". La société de recrutement en intérim Expectra confirme. Pour Julien Garrigues, responsables des salons et des relations avec les écoles, cette évolution chez les clients se manifeste clairement depuis le mois de septembre. Il ajoute en revanche qu'ils restent relativement intransigeant sur la nature des formations, privilégiant les écoles d'ingénieurs aux universités. Le mouvement est malgré tout positif pour favoriser leur recrutement, même si certaines SSII ont déjà pour habitude d'embaucher beaucoup de jeunes diplômés. Chez Sqli par exemple, les projets d'embauche devraient de nouveau concerner les débutants et les confirmés dans des proportions égales. Si la tendance est positive pour les jeunes, elle demeure en revanche alarmante pour le marché du travail informatique dans son ensemble. Le plébiscite des jeunes se ferait en effet au détriment d'informaticiens "seniors", ayant passé la barre des sept/huit ans d'expérience et atteint des âges canoniques de plus de 35 ans. " Lorsque les compétences manquent, les clients préfèrent investir davantage de temps pour former un jeune que de se tourner vers quelqu'un de plus expérimenté, avouent en effet certaines SSII. Pire "certains recruteurs envisagent de former des ingénieurs scientifiques, non informaticiens aux technologies informatiques alors que le taux de chômage sur ce marché reste élevé, s'exclame Cédric Barbier, directeur associé des Jeudi, soulignant lui aussi le jeunisme qui toucherait la profession. Les plus cyniques estiment que c'est une question de rentabilité, les profils expérimentés seniors étant plus chers que les profils juniors. D'autres que cette frilosité est liée à la moyenne d'âge des équipes projet et de développement, souvent inférieure à 30 ans. "Certains clients ont peur que des informaticiens plus âgés aient du mal à s'intégrer". Tous les articles à propos du salon : Recrutement : Une embellie confirmée et modérée sur le salon Les Jeudis Recrutement : Les Jeunes diplômés coiffés au poteau par les 2 à 5 ans d'expérience Recrutement : Une tendance au jeunisme ? positive mais inquiétante (...)

(27/01/2006 00:00:00)

Recrutement : Les Jeunes diplômés coiffés au poteau par les 2 à 5 ans d'expérience

C'est dans une ambiance plutôt calme et bon enfant que les jeunes diplômés, arborant l'inévitable costume cravate et munis d'une pile de CV, ont rencontré les recruteurs sur le salon Jeudis.com. Quelques files d'attente se détachaient ça et là devant les stands des exposants, mais sans que cela ne soit systématique. Certains ont décroché des entretiens, comme Sylvain, un diplômé de l'Esigelec. Ce dernier souhaitait travailler dans le domaine du développement java et .net. Il a fait valoir le stage de six mois qu'il a effectué sur un projet de développement logiciel pour Pocket PC avec le très prisé langage de environnement .NET, C# et a obtenu trois rendez-vous dans des SSII. D'autres, toutefois ont eu moins de chances, tel ce jeune ingénieur en temps réel et informatique embarqué de 23 ans, sorti de l'INSIA. Il a rencontré une dizaine de sociétés auxquelles il a laissé son CV, mais dressait un bilan mitigé de ses brèves rencontres. "Ils cherchent des gens qui savent tout faire et qui ont déjà de l'expérience", concluait-il à la fin de la matinée. Globalement, les exposants interrogés dans les allées du salon confirment effectivement leur intérêt prioritaire pour les profils ayant au minimum un an d'expérience, même si ils souhaitaient également rencontrer des jeunes diplômés. Valtech, la société de conseil en management et technologies, expliquait par exemple qu'il propose entre 5 à 13 postes qui peuvent être pourvus par des jeunes diplômés sur 40 à 60 embauches prévues cette année. Chez Microsoft, la proportion est comparable. L'éditeur cherche 20% de Jeunes Diplômés pour sa division "Services" cette année, contre 40% de personnes ayant de 2 à 5 ans d'expérience et 40% de plus expérimentés. Les chiffres des offres d'emploi publiées sur les jeudi.com confirment par ailleurs cette tendance. « 17 % des offres publiées en 2006 sur notre site web s'adressent à des ingénieurs ayant moins de deux ans d'expérience, 64% à des candidats de 2 à 5 ans d'expérience », expliquait Cédric Barbier, directeur associé des Jeudis.com. En attendant de profiter davantage de la reprise du marché (LIEN vers article suivant), les candidats ont toutefois saisi des conseils pour leur recherche d'emploi. Sylvain s'est félicité d'avoir progressé sur la connaissance du fonctionnement interne des SSII. "J'ai appris qu'un ingénieur débutant pouvait se positionner sur les projets menés en interne, dans les centre de services des SSII, plutôt que sur les missions menées chez les clients où ils ont une obligation de moyens". D'autres ont admis que les entretiens, si brefs qu'ils aient été parfois, leur ont permis de tester leur profil et l'exposé de leur projet, ce qui n'est parfois pas du luxe. Plusieurs recruteurs regrettent en effet le fait que certains jeunes ne sachent pas mettre an avant leurs points forts et expliquer ce qu'ils cherchent. Frédéric Queva, responsable RH pour la division Services De Microsoft, insiste sur ce point. « Nos managers ont reçu quelques candidats qui ont tendu leur CV sans dire ce qui les intéressaient chez Microsoft. Ce manque de précision peut les desservir». Et de poursuivre. « Aujourd'hui, nous avons pu mettre en évidence avec l'un des candidats, ayant fait un stage dans la grande distribution, qu'il exerçait des fonctions de conseil interne et qu'il pouvait être intéressé par un travail de consulting, alors qu'il n'en avait pas conscience au début. Mais nous n'avons pas toujours le temps d'approfondir le dialogue". Tous les articles à propos du salon : Recrutement : Une embellie confirmée et modérée sur le salon Les Jeudis Recrutement : Les Jeunes diplômés coiffés au poteau par les 2 à 5 ans d'expérience Recrutement : Une tendance au jeunisme ? positive mais inquiétante (...)

(27/01/2006 00:00:00)

Recrutement : Une embellie confirmée et modérée sur le salon Les Jeudis

Moins nombreux qu'en septembre 2005 (60 participants), les 42 exposants au dernier salon du recrutement informatique organisé le 19 janvier dernier par Lesjeudis.com ont confirmé l'embellie sur le secteur en promettant plus de 50% de postes supplémentaires pour 2006. Les recrutements massifs attendront cependant un peu... Selon Pascale Barbier, directrice associée des Jeudis.com, certaines SSII auraient affirmé manquer de visibilité pour planifier leurs embauches et donc leur participation au salon. Malgré cette "timidité", la croissance du nombre des recruteurs est tout de même manifeste, si l'on regarde les chiffres de l'année précédente pour le même événement - il y avait une quarantaine d'exposants en septembre 2004 et 35 en janvier 2005. Ils confirment aussi que les exposants accordent la priorité à la période de septembre pour s'offrir une présence sur un salon. Une stratégie que les candidats semblent avoir bien intégré : le salon affichant une fréquentation moindre que lors de la précédente édition, même parmi les jeunes diplômés, avec 2 200 visiteurs recensés. Côté offres, quelques 15 000 postes étaient à pourvoir selon les prévisions d'embauches communiquées par les exposants, contre 10 500 en janvier 2005, ce qui confirme là aussi l'embellie du marché du recrutement, sans que cela ne soit dans des proportions spectaculaires. Les exposants étaient à quasi 100% des SSII. Microsoft et la Direction Générale des Impôts faisaient office d'exceptions, comme représentants des fournisseurs et des utilisateurs d'informatique. Au niveau des profils, les plus recherchés demeurent les développeurs en nouvelles technologies (Java, J2EE, .net, etc), les spécialistes d'Unix, les consultants SAP et les ingénieurs présentant une double compétence métier et technique. Près de 80 % des offres s'adressaient par ailleurs à des consultants présentant entre 2 à 5 ans d'expérience, selon Cédric Barbier, directeur Associé des Jeudis.com. Cette première mouture 2006 ne s'est donc pas traduite par une ruée vers les Jeunes diplômés. Mais la tendance pourrait s'inverser en 2006, avec la pénurie de compétences qui se manifeste parmi les profils plus expérimentés. Ces derniers, qui étaient attendus à partir de 15H sur le salon - la matinée étant plus particulièrement dédiée aux jeunes diplômés- se sont montrés moins nombreux que leurs cadets. Tous les articles à propos du salon : Recrutement : Une embellie confirmée et modérée sur le salon Les Jeudis Recrutement : Les Jeunes diplômés coiffés au poteau par les 2 à 5 ans d'expérience Recrutement : Une tendance au jeunisme ? positive mais inquiétante (...)

(25/01/2006 18:05:34)

Agilité : XP Day France 2006

Après Londres, Bruxelles, Rotterdam, Karlsruhe, la conférence XP Day a désormais sa version française. Organisée par l'association eXtreme Programming France (XP-France), cette première édition se tiendra à Paris les 23 et 24 mars. Cette conférence s'adresse aux professionnels du logiciel, quel que soit leur niveau de connaissance de l'eXtreme Programming. Avec une trentaine de sessions étalées sur deux jours, elle couvrira les différents aspects de XP et de l'agilité en général : retours d'expérience, pratiques techniques, management d'équipes, de produits et de personnes, excellence technique, stratégies de projet, etc. Des sessions interactives sous forme d'atelier ou des sessions de type tutoriel permettront à tous de se familiariser avec les concepts et les pratiques de l'XP. Parmi les intervenants, on notera la présence de Régis Médina, pionner de l'XP en France qui présentera en autres un DSL (Domain Specific Language) pour automatiser les tests. Stefane Fermigier, président de l'AFUL et pionnier de Python en France, nous parlera justement de Python en tant que langage agile. Perrick Penet, président de l'AFUP présentera les stratégies de gestion des délais. Pierre Pezzaiardi, fondateur et directeur technique d'Octo, nous expliquera comment transformer la DSI. Le programme complet de XP Day 2006 et le formulaire d'inscription sur le site de XP-France. (...)

(23/01/2006 00:00:00)

Identifier, suivre, contrôler

La traçabilité, l'état de l'art des solutions d'authentification (RFID, vidéo intelligente, biométrie, etc), au travers de témoignages d'entreprises, sous l'oeil expert de représentants de l'industrie agroalimentaire, de la logistique (portuaire notamment), de la sécurité (ministère de l'intérieur), du nomadisme en entreprise, de l'électronique de défense, du contrôle d'accès, du suivi qualité de production: tel est le menu de la journée d'information/formation proposée le 9 février à Laval, à l'école d'ingénieurs ESIEA, par la Meito, mission pour l'électronique, l'informatique et les télécommunications de l'Ouest, avec l'association Jessica France (promotion de l'électronique, programme Cap'Tronic) et l'agence régionale de développement Pays de la Loire. Pour info: www.meito.com (...)

(23/01/2006 00:00:00)

Dix exemples d'embauche active

Elles communiquent au sujet de leur plan d'embauche 2006, allant de 2000 postes ouverts à quelques dizaines. Et cela fait un panel assez représentatif du rapport offre-demande, tant qualitatif que qualitatif, concernant les informaticiens. L'annonce de 2000 embauches de Segula, société d'ingénierie employant 4000 personnes sur 70 sites, se décline en une douzaine d'univers métiers (aéronautique, NTIC, BTP, énergie, etc) avec une ouverture pour 800 cadres, ingénieurs toutes spécialités, dont l'informatique (bac+5, mais aussi bac+2). Ces postes se répartissent pour moitié en région parisienne, l'autre moitié en province. Accenture répartit les 800 embauches de jeunes diplômés prévues pour 2006 entre 300 postes d'informaticiens (niveau bac+2 à bac+4) et 500 postes dans les métiers de conseil (niveau bac+5) de préférence des cursus orientés Systèmes d'information et architecture DSI, et pour les diplômés des écoles de commerce, option finance et audit-conseil. Auxquels s'ajoutent 200 places de stages en pré-embauche en conseil et 50 places de stagiaires en informatique. Du côté des confirmés, Accenture ouvre ses portes à 450 embauches: 200 dans le conseil (business consulting, business intelligence, ERP, profils fonctionnels, profils d'architectes, etc); 150 en informatique (bac+2/+4), une centaine pour les fonctions de support. Le plan d'embauche de la filiale française de la SSII d'obédience canadienne CGI (25000 salariés dans le monde, 300 en France) passe de 50 recrues accueillies en 2005 à une soixantaine prévue pour 2006 (technique et fonctionnel). Le groupe Micropole-Univers (850 salariés) lance en direction des informaticiens une invitation "lounge dating" avec soirée musicale (le 2 février). Sont visés des candidats ayant une expérience ou un intérêt pour le décisionnel (business intelligence, outils d'extraction-alimentation (ETL), architectures J2EE, plateformes de pilotage, etc). Pour Softeam (220 salariés), positionnée sur les chantiers à base d'architectures logicielles avancées (objet, J2EE, .net, UML, EAI, etc) c'est une journée portes ouvertes, le 1er février, qui donne le coup d'envoi de la campagne de recrutement 2006 pour 80 postes (50 embauches en 2005). Pour Galileo Performance, société de conseil dédiée à la performance des systèmes d'information, des processus et des moyens de production, les chantiers et missions en cours justifient l'embauche de vingt confirmés (cinq à quinze ans d'expérience), architectes techniques, experts tests fonctionnels et experts en validation technique des applications (support de la charge, robustesse, test aux limites, etc). Plus en amont, Mega International, acteur majeur et reconnu de l'analyse et modélisation des processus et de l'architecture d'entreprise, insiste sur la dimension résolument internationale de son plan 2006. Celui-ci vise une vingtaine d'embauches de consultants juniors (50%) et seniors pour son bureau parisien qui regroupe déjà quatorze nationalités. Quant à ECS, filiale du groupe Société générale spécialiste de l'ingénierie locative et de gestion de parc informatique (1200 salariés), ce sont des ingénieurs commerciaux juniors (une trentaine) qui sont recherchés pour renforcer la force de vente en France. La société d'ingénierie GINT (qui promeut et installe des dispositifs de sécurisation en milieu industriel et logistique complexe, sur fond de technologies avancées, Wifi, RFID, reconnaissance de flux video, géolocalisation, etc) recherche des chargés d'affaires, technico-commerciaux expérimentés. Enfin, sur le marché en plein essor de l'assistance aux TPE et aux particuliers, SOS PC Assistance (un réseau national de 300 professionnels) profite du salon des entrepreneurs (du 1er au 3 février à Paris) pour recruter 50 informaticiens sous statut de responsables délégués (salariés entrepreneurs). (...)

(23/01/2006 00:00:00)

Alliances autour de chaires de management... d'avant-garde

HEC et Atos Origin inaugurent une chaire "Stratégies de croissance et management de l'intégration", tandis que Syntec Conseil en Management (1250 entreprises) s'associe au groupe ESC Toulouse pour lancer, courant 2006, un nouveau Master en management (MBA) mettant l'accent sur le développement de l'activité de conseil dans une dimension internationale. Avec la nouvelle chaire, dirigée par Bernard Garette, l'alliance HEC-Atos Origin se propose de couvrir des travaux de recherche, un programme d'enseignement spécialisé et des occasions d'échanges et de réflexion entre entreprises et avec le milieu académique (ouverts au débat public) sur les problèmes spécifiques aux stratégies de croissance. Le programme du nouveau MBA en préparation à l'ESC Toulouse, avec Syntec Management, est proposé aux jeunes et confirmés avec une dimension internationale. Il vise à développer chez ses participants des attitudes et comportements adaptés aux spécificités de la relation conseil-client et à la conduite d'une mission de conseil, à construire un savoir-faire opérationnel en cette matière, méthodes et outils à l'appui, jusqu'à éventuellement les préparer à la création d'un cabinet de conseil ou au lancement d'activités nouvelles dans des cabinets existants. Deux sessions de présentation de ce cursus sont organisées à Paris (le 3 février) et à Toulouse (le 15 février), avec, notamment une table-ronde sur le thème -pertinent!- de "la gestion des ressources humaines dans le secteur du conseil". A quand un MBA alternatif? "Bientôt", selon Novethic.fr, et précisément à HEC. Le projet d'une majeure "Management Alter" proposée aux étudiants en quatrième année en orientation finale est porté par un groupe d'enseignants-chercheurs autour de Eve Chiapello. Et ce, en réponse à une attente, face aux défis sociaux, environnements et éthiques, implicite ou clairement manifestée par des "esprits critiques et avant-gardistes". Au menu, une transformation des pratiques managériales, passant par des pratiques pédagogiques revisitant le rapport entre étudiants et avec les enseignants et intervenants, un travail sur des scenarii de prospective à dix ou vingt ans, un travail sur le savoir-être, une expertise qui "pourrait irriguer d'autres enseignements de HEC", explique Eve Chiapello, citée par Sylvie Touboul sur Novethic.fr. (...)

(23/01/2006 00:00:00)

Des indicateurs de l'emploi résolument optimistes pour les informaticiens

"La reprise s'accentue"(baromètre HiTechPros). Offre d'emploi en croissance de 28% en informatique en 2005 (indice Apec), tandis que sept cadres sur dix accompagnés par l'Agence pour l'emploi des cadres -tous métiers confondus- ont retrouvé un emploi dans les douze mois. A en croire les bilans et prospectives de début d'année, 2006 s'annonce plutôt active pour les recruteurs en quête de compétences en informatique et technologies associées (NTIC). Selon la demande de prestations (renfort d'effectifs apporté par les SSII) enregistrée par la place de marché HiTechPros, les besoins manifestés par les entreprises au second semestre 2005 marquaient une croissance de 34% sur le semestre 2004. Les SSII, poursuivant sur cette lancée en 2006, consolident leur offre donc leurs effectifs. Pour autant, les directions informatiques et directions des achats des entreprises semblent vouloir stabiliser la situation voire réduire les frais. Ainsi, 18% d'entre elles envisagent d'acheter plus d'assistance externe, 53% envisagent de réduire le recours aux prestataires (stabilité pour 29%). Et quatre DSI sur dix prévoient d'augmenter en 2006 leurs effectifs. Ce qui, globalement, rejoint le constat de l'Apec: l'informatique garde la tête du rebond de l'offre d'emploi enregistré en 2005 pour l'ensemble des cadres, en accaparant, en 2005, près du tiers des 155400 offres publiées. Selon l'Apec, les secteurs les plus demandeurs (et donc porteurs) pour les informaticiens sont les télécoms et médias, le secteur public, les banques et assurances. Et, signe encourageant, la part des offres ouvertes aux jeunes diplômés repart à la hausse avec 26% des offres (contre 20% en 2004). Quelques bémols, cependant, à ce refrain optimiste: l'Apec rappelle qu'en informatique, seulement 48% des offres débouchent sur un recrutement dans les trois à six mois (contre 55% pour l'ensemble des cadres). Par ailleurs, les prévisions des analystes (Forrester, IDC, Gartner) concernant l'évolution des dépenses informatiques en Europe indiquent un certain penchant vers l'austérité (+1,6% en Europe, +3,4% au Royaume Uni, mais seulement +0,4% en France dont 80% affectés à la maintenance, selon Forrester). Pour info: www.hitechpros.com; www.apec.fr; (...)

(27/02/2006 17:46:48)

Oracle porte à 10 000 le nombre de ses employés en Inde

Oracle va porter à 10 000 le nombre de ses employés en Inde au cours des huit prochains mois, contre 8 600 actuellement. Les recrues grossiront les rangs des services ventes et marketing, développement, conseil, support et services, comme l'a précisé le président du groupe, Charles Phillips. L'Inde abrite le principal centre de R&D d'Oracle hors des Etats-Unis. Le groupe californien a effectué sa première implantation dans le Sous-continent il y a 19 ans et y a dépensé depuis près de 2 Md$ dans des centres de développement et en investissements dans des sociétés locales. L'Inde est l'un des deux principaux pôles de croissance pour Oracle dans la région Asie-Pacifique, explique Derek Williams, vice-président du groupe dans cette zone. La prochaine grande opportunité de l'éditeur en Inde consistera à cibler davantage les PME situées hors des grands centres urbains, des entreprises disposant, selon Derek Williams, d'un fort pouvoir d'achat. Oracle compte 6 000 clients indiens pour ses bases de données et 400 pour ses autres applications. (...)

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