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Carrière
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(24/11/2008 16:08:18)
Palm supprime encore des postes à l'échelle mondiale
Palm annonce un plan de restructuration mondial qui se traduira par un nombre encore indéterminé de suppressions de postes. Un porte-parole du célèbre fabricant de PDA a confirmé que les premiers départs interviendraient cette semaine, « pour permettre à l'entreprise de mieux répondre aux enjeux de l'industrie et revenir à la rentabilité et à la croissance sur le long terme». Jeudi denier, le blog PalmInfocenter, citant des sources anonymes, a indiqué que 200 salariés avaient déjà quitté la société. Ces coupes s'ajoutent aux quelque 250 suppressions de postes déjà réalisées par Palm au cours des premier et troisième trimestres 2008. A terme, l'entreprise ne comptait plus que 1050 employés à la fin du mois de mai. Crise économique et forte pression concurrentielle Ces suppressions interviennent dans un contexte de détérioration du climat économique, et également de forte pression concurrentielle. Alors que Palm continue de travailler à un nouveau smartphone basé sur Linux, dont la sortie devait être annoncée à la fin de l'année dernière, Android, l'OS de Google a déjà fait son entrée sur le marché. Le constructeur paye également le tribut d'autres d'erreurs comme celle du Foleo. A peine un mois avant la sortie de cet ordinateur hybride censé servir de compagnon aux smartphones, Palm annonçait qu'il ne verrait jamais le jour. Seules notes positives : le lancement du Palm Centro, smartphone peu coûteux destiné au grand public, et celui du Treo Pro, premier modèle du constructeur doté de capacités WiFi et GPS (avec Google Maps). (...)
(24/11/2008 12:55:27)Le ministère de la Recherche lance son 11e concours d'aide aux entreprises innovantes
Entreprises innovantes à la recherche de financement, le ministère de la Recherche s'intéresse à vous. En collaboration avec Oseo, le ministère lance la 11e édition de son concours national d'aide à la création d'entreprises de technologies innovantes. Une initiative dont les lauréats seront gratifiés d'un chèque pouvant atteindre 450 000 €. Comme l'année dernière, le concours est ouvert à deux catégories de projets. D'un côté, les projets en émergence, qui nécessitent encore une phase de maturation et doivent valider certains aspects techniques, économiques ou juridiques avant d'aboutir. Ils seront sélectionnés en fonction de leur caractère innovant et de la motivation du candidat à franchir les étapes le séparant de la concrétisation de son idée : acquisition des compétences d'entrepreneur, prise en compte des contraintes économiques et juridiques, notamment en ce qui concerne la propriété intellectuelle. Ces projets, s'ils sont sélectionnés, pourront bénéficier d'une subvention allant jusqu'à 45 000 €. Une somme destinée à financer des études de faisabilité ou de propriété intellectuelle, des plans d'affaires, formations ou autres conseils. Le montant de l'aide ainsi octroyée ne peut dépasser 70% des dépenses relatives à la mise en oeuvre du projet. Les projets création-développement constituent l'autre catégorie visée par le concours. Ces initiatives sont censées aboutir, à court terme, à la création d'une entreprise. Cela implique que la faisabilité du concept sur lequel elles reposent ait été éprouvée et validée. Les lauréats seront sélectionnés en fonction de la viabilité économique de leur projet, de leur motivation et de leur capacité à diriger une entreprise, de leur maîtrise des questions juridiques et de la qualité de l'équipe mise en place pour la concrétisation de l'idée de base. Dans cette catégorie, les projets sélectionnés pourront se voir accorder une aide pouvant atteindre 450 000 €. Les candidats peuvent déposer leur dossier à partir du 1er décembre sur les sites du ministère de la Recherche et d'Oseo, et auprès des délégations régionales à la recherche et à la technologie (DRRT) et des directions régionales d'Oseo. Le dépôt des candidatures sera clos le 29 janvier 2009. La précédente édition du concours a permis à 150 prétendants d'être récompensés, lesquels se répartissent à parts égales entre les deux catégories (projets émergents ; projets création-développement). (...)
(24/11/2008 12:16:20)Tribune libre : utiliser les conversations numériques pour trouver le bon employeur
Comment se faire une bonne idée des conditions de travail dans une entreprise, en-dehors du discours officiel de l'employeur ? En utilisant à bon escient Internet et ses multiples possibilités de conversations numériques, répondent Luc Bretones et Stéphane Dieutre, dans une tribune libre publiée dans notre Blog Experts. Ce que les auteurs ont nommé, dans une tribune précédente, « troisième âge conversationnel » s'applique aussi au recrutement : le buzz numérique permet désormais de se faire une idée très précise de ce que les collaborateurs d'une entreprise vivent en son sein. Dans le même ordre d'idées, on rappellera que les nouveaux forums LeMondeInformatique.fr contiennent des centaines de témoignages sur les conditions de travail dans les SSII et les entreprises utilisatrices. (...)
(20/11/2008 15:15:52)Les informaticiens américains voient fondre leurs primes et bonus
Aux Etats-Unis, les informaticiens travaillent plus pour gagner moins. C'est la tendance relevée par Computerworld, suite à la publication d'une enquête annuelle sur les salaires menée auprès de 7 000 informaticiens en 2008. Celle-ci montre qu'outre Atlantique, le niveau de rémunération globale des professionnels de l'IT (salaires + primes) n'a augmenté en moyenne que de 3,5% cette année contre + 3,7% en 2007. Mais c'est surtout sur les primes que les informaticiens ont perdu en pouvoir d'achat : en effet, leurs bonus n'ont augmenté en moyenne que de seulement 0,2% en 2008, contre + 3,4% en 2007. Au final, dans l'informatique, le salaire médian annuel de base s'élève à 72 450 dollars aux Etats-Unis, selon les données de l'US Census Bureau. Néanmoins, la faiblesse de l'économie et un taux d'inflation d'environ 5% pénalisent tous les types de métiers, y compris ceux de l'IT. Une hausse de la demande autour des profils orientés décisionnel « Les professionnels de l'informatique doivent se faire à l'idée que la belle époque qu'ils ont connue et qui n'aura duré qu'une décennie, est bel et bien révolue », estime David Van De Voort, spécialiste du recrutement pour le cabinet de recrutement Mercer à Chicago. D'autres cabinets spécialisés, comme Aberdeen Group ou Robert Half Technology notamment, considèrent, eux, que pour relever leurs salaires, les informaticiens doivent participer au retour sur investissement de leur entreprise, en aidant ces dernières à améliorer leur productivité et leur efficacité opérationnelle. Ils s'attendent donc à une hausse de la demande et des salaires concernant les compétences autour des applications décisionnelles (Business Intelligence) qui peuvent aider les entreprises à concevoir et développer des tableaux de bord, afin de suivre les ventes ou les dépenses de plus près. Le salaire reste le premier facteur de motivation Malgré cette baisse sur leurs bonus, 60% des personnes ayant répondu à l'enquête de Computerworld déclarent qu'ils sont soit satisfaits, soit très satisfaits, du niveau actuel de leurs rémunérations. Reste que plus de la moitié (52%) indiquent qu'ils cherchent actuellement de nouveaux jobs aux rémunérations plus élevés ! Le salaire constitue même le premier facteur de motivation pour 63% d'entre eux. Cette tendance à la suppression de bonus commence à gagner les entreprises françaises de la IT. Selon le site syndical Miroir social, la direction d'Oracle vient par exemple de confirmer la disparition du programme d'intéressement des salariés pour l'année 2008. (...)
(19/11/2008 16:35:34)Le Fafiec dévoile les nouveaux axes de la formation professionnelle dans la branche IT
Promouvoir les dispositifs de formation actuels, développer l'accompagnement des TPE/PME et améliorer sa couverture territoriale. Telles sont les priorités de formation définies par le Fafiec (un organisme assurant le financement de la formation professionnelle dans les métiers de l'informatique, de l'ingénierie, des services informatiques, des études et du conseil) avec les partenaires sociaux, d'ici trois ans. La première des mesures consiste à promouvoir les dispositifs prioritaires, à savoir la professionnalisation et le DIF (droit individuel à la formation). La branche souhaite dans un deuxième temps renforcer l'aide, le conseil et l'accompagnement des TPE/PME dans la mise en oeuvre de leurs actions de formation professionnelle. La couverture territoriale du Fafiec sera donc étendue en région grâce à la création de quatre nouveaux bureaux de liaison (à Lille, Strasbourg, Aix-en-Provence, Sophia-Antipolis). Déploiement de 70 actions collectives à partir de 2009 En plus de ces évolutions, des axes d'action permettront d'accompagner les grandes familles de métiers, chacune de ses filières ayant fait l'objet d'une étude particulière de ses besoins prioritaires en formation. Dans l'informatique, des actions collectives (des programmes de formation clés en main, les coûts pédagogiques étant financés à 100 % par le Fafiec) seront lancées pour répondre aux évolutions technologiques, aux nouvelles exigences du marché, aux besoins d'accompagner l'évolution des collaborateurs et également pour répondre aux spécificités régionales. Au final, près de 70 actions collectives (50 actions collectives nationales déployées en Régions, et 20 actions collectives régionales) seront proposées à partir de 2009. Des formations spécifiques autour des technologies seront également mises sur pied. Elles auront pour thèmes les langages, les outils, les réseaux, la sécurité... De plus, les Certificats de Qualification Professionnelle (CQP) seront élargis : aux CQP « Administrateur Réseaux » (dont option Web) et « Administrateur Systèmes » viendront s'ajouter en 2009 trois nouveaux CQP, celui de développeur nouvelles technologies, d'administrateur base de données, et d'architecte technique. Les instances paritaires de la Branche souhaitent que les fonds du Fafiec soient à 85% affectés aux priorités ainsi définies. (...)
(19/11/2008 14:54:27)L'Apec prudente sur les intentions d'embauche des entreprises européennes dans l'informatique
Malgré les mauvaises nouvelles qui se sont accumulées depuis le début de l'année 2008 dans plusieurs pays de la zone euro, les perspectives d'évolution de l'emploi ITvarient fortement selon les pays. C'est ce que montre la dernière enquête sur l'emploi des cadres menée en juin dernier par l'Apec auprès de huit pays européens (Allemagne, Belgique, Espagne, France, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Royaume-Uni). En France, les informaticiens pourraient représenter trois embauches sur dix L'étude montre qu'en Espagne, au Royaume-Uni et en Italie, pays dans lequel le marché de l'emploi cadre s'avère figé, les intentions d'embauches pour la période 2008-2009 ne sont pas très élevées dans l'informatique. A l'inverse, la France et la Belgique semblent davantage épargnées du fait d'un secteur industriel encore porteur. Ainsi, dans l'Hexagone, les ingénieurs et les cadres informaticiens pourraient représenter trois embauches sur dix, soit le taux le plus élevé des huit pays étudiés par l'Apec. A l'inverse de la France et de la Belgique, où 23% des recrutements concerneront les informaticiens, les intentions d'embauches dans cette filière sont beaucoup plus mesurées en Espagne (4% seulement), en Allemagne (6%), ainsi qu'en Grande-Bretagne et en Italie (9%). En France, en Allemagne et en Espagne, les postes relatifs aux études et R&D devraient également rester des priorités en termes d'intentions d'embauche. Au final, la part des recrutements d'informaticiens entre 2008 et 2009 devrait progresser de deux points, et celle des cadres des études et de la R&D, gagner un point. Mais cet optimisme apparent doit être néanmoins relativisé, estime l'Apec : l'association pour l'emploi des cadres considère que, depuis le recueil de ces prévisions, la conjoncture a continué à se dégrader rapidement, et que les besoins exprimés alors par les entreprises risquent d'être revus à la baisse. (...)
(18/11/2008 17:12:34)Citigroup supprime 52 000 emplois dont une forte proportion dans l'informatique
Les informaticiens du secteur bancaire sont à leur tour victimes de la crise financière. Ainsi, la banque américaine Citigroup, particulièrement touchée, a annoncé lundi qu'elle allait tailler massivement dans ses effectifs, y compris dans l'informatique : « la disparition de quelque 52 000 emplois est programmée dans les prochains mois et cela concernera une forte proportion d'informaticiens », a déclaré Vikram Pandit, PDG de Citigroup, à l'occasion d'une présentation destinée aux investisseurs de l'entreprise et publiée sur le site Internet de la banque. Il y a quelques temps déjà que l'établissement envisage de réduire les coûts de sa division informatique qui emploie actuellement 25 000 personnes. L'an dernier, le groupe avait annoncé une série de mesures destinée à la restructurer. Celles-ci portaient notamment sur la consolidation des datacenters, un meilleur usage des technologies existantes, une optimisation des réseaux voix et données, et une uniformisation des processus de développement d'applications. « La simplification et l'uniformisation de l'informatique sera essentielle pour accroître l'efficacité de l'entreprise tout en réduisant les coûts », avaient déclaré les dirigeants de la banque en avril 2007, date à laquelle 17 000 emplois avaient été supprimés. Cette idée semble avoir inspiré les nouveaux dirigeants de la banque qui comptent sur ce nouveau plan de transformation pour dégager 3 Md$ d'économies d'ici trois ans, dont près de 1 Md$ proviendra directement de l'informatique. (...)
(18/11/2008 14:55:06)Infosys, confiant sur ses commandes, table sur 25 000 embauches cette année
La SSII indienne Infosys joue la carte de l'optimisme, en dépit du contexte économique actuel. Selon le site Timesofindia, Kris Gopalkrishnan, l'un de ses fondateurs, a en effet déclaré dimanche dernier, à l'occasion d'un Forum économique mondial, que le groupe n'avait souffert d'aucune baisse de ses prix, en dépit de la crise financière. Même si le PDG de la SSII estime que le ralentissement touche tout le monde et pas uniquement le secteur de l'IT, cela ne l'empêche pas d'être confiant sur son carnet de commandes, ni sur ses perspectives de recrutement. Signature de nouveaux contrats au cours du deuxième trimestre «Nous continuons à embaucher. Nous allons recruter 25 000 collaborateurs sur l'année, a indiqué le PDG d'Infosys. Nous avons signé avec nombre de nouveaux clients au cours du deuxième trimestre et nous sommes donc confiants sur les opportunités du marché des services informatiques ». Le directeur d'Infosys estime que l'industrie des services informatiques va sortir renforcée après la crise « parce que le modèle de prestation global, et le secteur des services IT en particulier, ont atteint une envergure, une maturité et une force certaines ». Nilekani Nandan, co-fondateur d'Infosys, considère pour sa part que la croissance du secteur des technologies de l'information sera ralentie en Inde, conséquence d'une crise sans précédent à laquelle l'économie mondiale est confrontée, mais que la confiance sera bientôt de retour. En octobre dernier, Infosys avait toutefois revu à la baisse ses prévisions de ventes pour l'exercice 2008-2009, avec un chiffre d'affaires estimé à 4,8 Md$, soit une croissance inférieure à 15%. A la même époque, la société indienne décidait de se retirer définitivement de la course au rachat de la SSII britannique Axon, spécialiste du monde SAP. (...)
(17/11/2008 16:47:05)Sun coupe dans ses effectifs et réorganise sa branche logicielle
La crise économique et des résultats financiers plutôt désastreux ont contraint Sun Microsystems à réduire une nouvelle fois sa voilure. Le constructeur californien a en effet annoncé qu'il allait supprimer entre 15% et 18 % de ses effectifs dans le cadre d'un plan de restructuration visant à économiser entre 700 et 800 M$ par an. Si l'on comptabilise les coupes annoncées par Sun au cours des dernières années, les réductions se montent à environ 21% de l'effectif de l'entreprise depuis mi-2007. En parallèle, Sun entend réorganiser sa branche logicielle : elle sera désormais divisée en différentes nouvelles unités, Application platform software, Systems platforms, et Cloud computing & Developer platforms. Concomitamment, Rich Green, actuel patron de la division Software de Sun, a décidé de quitter l'entreprise. Grand avocat de Java, Rich Green était revenu chez Sun en 2006, après une éclipse de deux ans, et avait supervisé le passage de Java en Open Source. L'Open Source, fer de lance de la nouvelle branche logicielle Chacun des nouveaux départements concentrera ses activités sur l'avancée des offres Open Source de Sun. D'abord, dans le groupe Application Platform Software, Java, la base de données MySQL, et le serveur d'applications GlassFish. La division Systems Platform, pour sa part, se chargera des produits de virtualisation et de gestion, ainsi que du système d'exploitation Solaris. Enfin, l'entité Cloud computing & developer platforms travaillera sur des produits de cloud computing, ainsi que sur l'environnement de développement Netbeans et les produits StarOffice KA (la version Sun d'Open Office). Grâce à ces mesures, le PDG Jonathan Schwartz entend accélérer la sortie d'importantes innovations dans le monde des plateformes Open Source. "Aujourd'hui, nous avons pris des mesures décisives afin d'aligner la stratégie de Sun avec les réalités économiques du marché et d'accélérer notre capacité à innover en matière de plateformes open source », a justifié le PDG de Sun dans une déclaration censée rassurer les marchés financiers. Sun a en effet enregistré 1,68 Md$ de pertes au trimestre dernier, et son action a dégringolé de 17 $ au début de l'année à environ 4 $ aujourd'hui. (...)
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