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(14/11/2008 14:25:51)

Deuxième grève depuis la rentrée chez GFI Informatique

Les salariés de GFI France étaient en grève hier, jeudi 13 octobre, suite à un appel de l'intersyndicale CFDT, CFTC, CGT, FO et SUD. Ils protestaient pour la seconde fois en un peu plus d'un mois contre les disparités de conditions de travail d'une agence à l'autre. Les salaires sont également remis en question, certains employés n'auraient pas été augmentés depuis 15 ans et des inégalités de traitement persistent entre les hommes et les femmes (un écart de 10% en moyenne). Statu quo sur le dispositif d'écoute Lors de la rencontre entre syndicats et direction qui a eu lieu le 6 novembre, Jacques Tordjman, PDG de GFI Informatique, a confirmé qu'il allait redistribuer 25% du résultat net de la société aux actionnaires et qu'il n'entendait pas revoir la politique salariale de la SSII. « Les relations avec la hiérarchie se sont dégradées au cours de ces derniers mois», déplore Alexis Zadounaïsky, délégué syndical SUD du groupe GFI. Quant à la mise en place du dispositif d'écoute des employés, suite à trois suicides, « il est resté à l'état d'annonce », regrette Alexis Zadounaïsky. (...)

(14/11/2008 12:41:58)

Grève HP/EDS : "même les cols blancs se mobilisent"

« Mieux suivie que ce qu'on attendait », c'est ainsi que Jean-Paul Garagnon, délégué syndical central SUD pour EDS France qualifie la grève HP / EDS d'hier, jeudi 13 novembre. Les rassemblements ont eu lieu un peu partout en Europe, essentiellement à Issy-les-Moulineaux (92), siège social d'HP (200 personnes), à Grenoble (450 personnes), à Sophia-Antipolis (150 personnes) ou encore à San Cugat en Espagne (450 personnes, soit près de 75% des salariés). « Même les cols blancs d'HP, peu adeptes de ce genre de manifestation, ont répondu présent », insiste Jean-Paul Garagnon. Suite à l'annonce de la suppression de 9 330 postes en Europe (sur 24 600 dans le monde), dont 580 en France, les salariés des deux sociétés se sont mobilisés pour manifester leur inquiétude et leur colère. Pour les employés des deux groupes, aucun argument économique ne justifie la stratégie du groupe, les résultats d'HP étant dans le vert. EDS se sépare de son centre de services iSeries et AS/400 [[page]]EDS a par ailleurs officiellement annoncé qu'il cédait son centre de services iSeries et AS/400 (environnements directement concurrents de ceux d'HP) à ECS, filiale à 100% du groupe Société Générale. Ce centre emploie actuellement 43 personnes. Prévue depuis le printemps dernier (soit avant la finalisation du rachat d'EDS), cette vente correspond - selon les syndicats - à un abandon progressif des activités ne faisant pas partie de la stratégie de développement d'HP. D'autres pôles pourraient ainsi être touchés en France, pour les mêmes raisons. Cela pourrait être le cas par exemple de l'assistance technique, de la régie en clientèle (site de Rennes, qui emploie 280 personnes) ou encore de la gestion d'infrastructures, autant d'activités pour lesquelles une mutualisation des compétences ne présente aucune valeur ajoutée pour HP. Les employés attendent désormais avec impatience, le 24 novembre, date à laquelle le constructeur publiera ses résultats annuels. (...)

(12/11/2008 16:47:23)

Trimestriels : GFI Informatique peu affecté par la crise

GFI Informatique a publié des résultats trimestriels conformes aux attentes : le chiffre d'affaires est en progression de 13,5% à 180,6 M€. La SSII française affirme être capable de traverser la crise grâce à la mise en place d'un plan de « développement durable et profitable » dès le mois d'avril, à l'issue d'un premier trimestre difficile. GFI Informatique avait alors dû faire face à des frais inattendus (5 M€) pour contrer l'OPA hostile de Fujitsu Services lancée en mai 2007. Pour accompagner sa croissance, GFI recrute 200 collaborateurs qui iront renforcer les agences du grand Sud (Lyon, Grenoble, Aix-en-Provence, Montpellier) et de l'Est de la France (Belfort, Metz, Nancy, Strasbourg). Les profils recherchés sont variés. Pour le pôle Intégration de systèmes (nouvelles technologies J2EE, .Net, PHP, Java, grands systèmes, ERP), GFI recrute des chefs de projets, des consultants SAP et Business Objects, des développeurs, des ingénieurs études et développement, des techniciens helpdesk... En Infrastructure et production (dans les environnements Windows, Unix, Linux et Oracle), GFI recherche des analystes programmeurs, des architectes et des analystes fonctionnels. Deux sessions de recrutement sont organisées au sein du siège social de GFI Informatique, dans le 8e arrondissement de Paris, les 14 et 28 novembre prochains. Le groupe compte actuellement 10 051 salariés contre 9 484 il y a un an. En France, GFI Informatique emploie 6 096 collaborateurs, soit 204 personnes de plus qu'en septembre 2007. (...)

(12/11/2008 12:40:42)

Les SSII indiennes réduisent leurs prévisions de recrutement de 38%

Les SSII indiennes recruteront moins de personnes que prévu. Ganesh Natarajan, président du Nasscom (syndicat indien des entreprises du logiciel et des services informatiques) a déclaré que les SSII et les opérateurs de centres d'appels comptaient embaucher 200 000 personnes d'ici à mars 2009 contre les 276 000 initialement annoncées, soit une baisse de 38%. Cela représente par ailleurs une chute de 20% par rapport à l'exercice précédent (250 000 recrutements). « Ce ralentissement reflète la baisse des prévisions de croissance des grandes SSII indiennes, suite à la crise économique qui sévit aux Etats-Unis », a expliqué Ganesh Natarajan. Ces entreprises sont fortement positionnées sur le marché américain de l'externalisation de processus métier, notamment dans le secteur de la banque et de la finance. Pas étonnant donc qu'elles soient directement touchées par la crise financière. Le Nasscom prévoit un taux de croissance des logiciels et services situé entre 21% et 24% pour les SSII indiennes en 2008, contre les 28% enregistrés il y a un an. Wipro repousse l'ouverture d'un centre de développement logiciel à Atlanta [[page]]Ce tassement des embauches traduit également les craintes des SSII indiennes quant aux déclarations de Barack Obama. Le futur président américain n'a pas caché lors de sa campagne électorale qu'il envisageait de supprimer les allègements fiscaux aux entreprises qui externalisent leurs emplois. Wipro, troisième SSII indienne, a par ailleurs annoncé qu'il allait retarder l'ouverture de son centre de développement logiciel à Atlanta , annoncé en février 2007. Ce centre, qui était censé permettre à la SSII d'asseoir sa présence outre-Atlantique, devait employer 1000 personnes d'ici trois ans (Wipro compte déjà 6000 salariés aux Etats-Unis). « Nous avons besoin de connaissances précises des métiers de nos clients, et nous devons géographiquement nous rapprocher d'eux », déclarait alors la SSII. Frappé par le ralentissement économique (si le CA a progressé de 36% au deuxième trimestre, à 1,38 Md$, le bénéfice ne gagne qu'un petit point) Wipro revoit donc son calendrier. (...)

(10/11/2008 17:10:58)

Satyam rachète un centre de développement de Motorola

Satyam, quatrième SSII indienne, va racheter le centre de développement logiciel de Motorola situé en Malaisie. Les 128 salariés que compte celui-ci intégreront le pôle télécommunications de la SSII, où ils continueront à travailler sur les problématiques liées aux normes GSM et CDMA (Code division multiple access). L'acquisition devrait être conclue à la fin de l'année. Son montant n'a pas été communiqué. Avec une perte de 397 M$ au troisième trimestre 2008 (contre un bénéfice de 60 M$ un an plus tôt), Motorola cherche des moyens de faire des économies. La société américaine souhaite réduire ses coûts de 800 M$ en 2009, notamment en taillant dans les effectifs. 3000 emplois sont concernés, ce qui porte le nombre total de suppressions de postes à 13 000 depuis janvier 2007. Les prochaines coupes pourraient toucher le site de R&D rennais (150 salariés). La direction envisage purement et simplement de le fermer. Motorola s'est par ailleurs récemment défait de son activité de biométrie, qu'il a revendu à l'équipementier aéronautique et télécoms français Safran. Dans un marché de la mobilité en léger repli, Motorola souffre d'un important ralentissement de son activité. Il a vu sa part de marché fondre de près d'un tiers, passant de 14,5% à 10% en un an, selon Gartner. Il perd ainsi sa troisième place, détrôné par Sony Ericsson. Motorola cherche à se séparer de son activité « terminaux mobiles » pour se concentrer sur les plateformes Android de Google et Windows Mobile de Microsoft. (...)

(10/11/2008 17:03:03)

Entreprises, préparez-vous à l'arrivée des 'Digital natives'

Les 'Digital natives', ces jeunes qui ont baigné dans le numérique et le Web depuis leur naissance, arrivent dans les entreprises, avec leurs exigences mais aussi leurs atouts. Pour mieux les décrypter, LeMondeInformatique.fr leur consacre un dossier complet. Ils se distinguent de leurs aînés, les 'digital immigrants' par leur manière de réfléchir, de fonctionner et de digérer l'information. Ils sont capables de jongler avec une multitude de tâches, sont connectés en permanence avec leurs amis, zappent très facilement d'une information à l'autre, réclament du visuel, supportent difficilement la hiérarchie mais acceptent la compétition. Aujourd'hui, ces jeunes, également appelés génération Y, font leur apparition sur le marché de l'emploi. Ils fourmillent souvent d'idées et s'attendent à retrouver en entreprise les outils collaboratifs auxquels ils sont habitués pour pouvoir exploiter leurs compétences. Beaucoup d'entreprises ignorent encore à quel point cette déferlante va changer leur manière de travailler, mais aussi de recruter. Exigeant et impatient, le 'Digital native' tourne facilement les talons s'il ne trouve pas les conditions auxquels il aspire pour exprimer sa créativité et son besoin de travailler en groupe. Dans son dossier, LeMondeInformatique.fr a brossé le portrait de ces jeunes qui vont chambouler les habitudes culturelles, hiérarchiques, organisationnelles et techniques des entreprises. Il donne également quelques pistes pour mieux cerner cette génération de bébés Google afin de les séduire, de les accueillir au mieux et de les retenir. (...)

(10/11/2008 13:16:41)

Syntec Informatique veut promouvoir l'apprentissage dans les métiers de l'informatique

DSI, responsables des ressources humaines, apprentis et recruteurs ont été invités par le Syntec Informatique à se rencontrer, vendredi 7 novembre, pour étudier les avantages d'embaucher de jeunes diplômés par la voie de l'apprentissage, en présence du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Deux tables rondes, sur la place de l'apprenti dans l'entreprise, et sur la coopération pédagogique entre le monde éducatif et le monde professionnel, ont été organisées. Syntec Informatique a également fait un point sur le versement « en forte évolution » de la taxe d'apprentissage dans le secteur informatique. En 2008, 4 566 dossiers ont ainsi pu être traités, contre 2 923 en 2007 et 548 en 2004. Le montant de la collecte dépasse les 54 M€ contre 45 M€ il y a un an. Mieux informer les entreprises Syntec Informatique a profité de cette journée pour présenter une étude listant les éléments qui freinent encore l'adoption de ce mode de recrutement dans les entreprises ainsi que les moyens d'y remédier. Pour le syndicat, il s'agit surtout d'un manque d'information. Il suggère d'accroître différents axes de communication pour informer les entreprises sur les modalités de l'apprentissage : comment trouver et sélectionner un apprenti, quelles sont les démarches administratives à suivre, comment se déroule le contrat, quels sont avantage du dispositif... Toujours dans le but de promouvoir l'apprentissage auprès des entreprises, Syntec Informatique publie depuis septembre dernier ApprenTIC, un journal trimestriel entièrement dédié à ce mode de formation. Il y a un an, c'était le Campus Syntec Informatique, un site gratuit de diffusion d'annonces, qui était lancé par le syndicat. Ces deux initiatives servent également à alimenter le site passinformatique.com. Valoriser le rôle du maître d'apprentissage [[page]] Valoriser le rôle du maître d'apprentissage Pour Syntec Informatique, il faut également améliorer la coopération entre les CFA (centres de formation par apprentissage) et les entreprises, notamment les PME, assouplir certaines modalités et favoriser l'accès aux offres de contrats d'apprentissage. Syntec Informatique souligne enfin qu'il est nécessaire de reconnaître et de valoriser le rôle du maître d'apprentissage. A cet effet, le syndicat va demander que des formations soient prises en charge par l'OPCA (organisme paritaire collecteur agréé) de la branche. Avec cette journée, Syntec Informatique tente encore une fois de redorer le blason de l'apprentissage, qui souffre toujours d'un manque de reconnaissance dans l'Hexagone, contrairement à d'autres pays européens. Pour le syndicat, ce mode de formation ne doit pas être vu comme une contrainte par l'entreprise car il est également générateur de valeur ajoutée. « L'apprentissage n'est plus une voie de garage, et nous travaillons à ce qu'elle devienne au contraire une voie d'excellence », affirme Syntec Informatique. L'apprenti n'est pas seulement un étudiant, il est force de proposition et peut activement participer à des projets dans un secteur où le manque de main d'oeuvre se fait particulièrement sentir. Dans une étude réalisée avec IDC, Syntec Informatique souligne en effet que chez l'ensemble des acteurs IT, 41% des créations nettes d'emplois prévues en 2008 ne seront pas pourvues. Ce chiffre atteint 60% chez les grands éditeurs, 42% dans les grandes SSII et 36% dans les SSII de moyenne et petite tailles. Selon Jean Mounet, président du syndicat professionnel, cette pénurie pousse de plus en plus les SSII à se tourner vers des solutions alternatives aux écoles d'ingénieurs. (...)

(06/11/2008 12:41:32)

AMD coupe de nouveau dans ses effectifs

Le californien AMD vient d'annoncer son intention de se séparer de 500 emplois supplémentaires dans le monde. Les salariés concernés par des suppressions de postes ont appris la nouvelle par courriel, mercredi dernier. "Nous confirmons une réduction de l'effectif dans différents départements, niveaux et lieux", leur a indiqué Mike Silverman, porte-parole d'AMD, sans fournir plus de précisions. Mis à mal par la bonne santé d'Intel et les retards de certains de ses propres produits (Barcelona), AMD peine à engranger des profits. Au cours du mois dernier, le fabricant de puces a accusé une perte de 67M$, son huitième trimestre consécutif de pertes. Pour se remettre de ses problèmes financiers, le constructeur compte sur les nouvelles puces graphiques ATI et sur son nouveau quadri-coeurs pour serveurs Shanghai . Cette vague de suppressions d'emplois à venir est la deuxième cette année pour le fondeur. Après la publication de ses résultats financiers au premier trimestre 2008, AMD avait déjà décidé de tailler 10% de ses effectifs, et de supprimer 1 600 emplois. Début octobre, AMD a aussi entrepris de se séparer de ses usines pour se recapitaliser. (...)

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