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Cloud computing

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(19/10/2011 09:56:55)

Les dépenses IT devraient croître de 3,9% en 2012 selon Gartner

Même si ce chiffre constitue un léger ralentissement par rapport à 2011 (+5.9%), Gartner souligne que les entreprises semblent vouloir poursuivre leurs investissements IT en dépit des tensions économiques globales.

Selon Peter Sondergaard, senior vice president chez Gartner, 65% des PDG estiment qu'au cours de la prochaine décennie, l'informatique contribuera plus que jamais auparavant à l'essor de leur secteur. Il a également noté que les dirigeants du monde IT doivent s'adapter aux rapides changements de paradigmes auxquels fait face le monde IT. A ce propos, il est revenu sur les défis que représentent le cloud, le web social, l'internet mobile, ainsi que l'explosion de la quantité d'informations disponibles. Pour chacun de ces domaines, il a évoqué les défis principaux qui attendent les dirigeants IT.

Des défis de taille

Le cloud: en 2010, les services cloud représentaient 3% des dépenses des entreprises. Ces 4 prochaines années, ces dépenses vont croître cinq fois plus rapidement que les dépenses IT globales (+19% par année jusqu'en 2015). La manière dont les entreprises gèrent leurs données est ainsi appelée à connaître de profondes mutations.

Le web social: alors que 1,2 milliards de personnes sont aujourd'hui sur des réseaux sociaux, les dirigeants IT doivent urgemment se préoccuper d'incorporer des fonctionnalités sociales au sein même de leurs systèmes d'entreprise.

Les données: selon M. Sondergaard, «La donnée est le pétrole du 21e siècle, et l'analyse fera office de moteur à combustion». Cette explosion du nombre de données disponibles va imposer une refonte totale de la stratégie de gestion des données au sein des entreprises, avec une démultiplication des systèmes (content management, data warehouse) connectés via des services de données et des métadonnées.

L'internet mobile: en 2010, le nombre de laptops, tablettes et smartphones entrés sur le marché a dépassé celui des PC de bureau traditionnels. En 2016, Gartner estime que 900 millions de tablettes numériques seront vendues. Cela nécessitera de la part de l'IT de repenser complètement la manière de fournir ses applications à ses utilisateurs. D'ici à 2014, 60% des entreprises IT auront déployés des app stores privés. Quant aux applications proprement dites, elles seront entièrement reconçues, pour devenir contextuelles, comprenant automatiquement l'intention de l'utilisateur.

Crédit Photo : D.R

ICTjournal.ch



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(18/10/2011 17:13:04)

Le cloud by Bull accompagne les entreprises dans leur transformation

Dominique Deboeuf, directeur marketing Computing Solution chez Bull explique « nous avons eu beaucoup de demandes des entreprises qui vont vers la « cloudisation » de leur système d'information ». Dans cette approche de transformation de l'entreprise, Bull adopte une démarche « pragmatique » en proposant Cloud by Bull qui comprend 4 piliers. Le premier est le cloud métier, « il s'agit d'établir une méthodologie, des analyses des besoins et de la maturité des entreprises sur le cloud. L'ensemble de cette démarche est regroupe au sein d'une offre de consulting baptisée Advisory for cloud » précise le responsable.

Le second pilier se nomme cloud agile. Il repose sur la solution Bullion cloud platform qui réunit au sein d'un même rack, le serveur Bullion et les solutions de VMware avec VSphere 5. L'aspect stockage est pris en charge par EMC. Cette offre est disponible sous trois configurations : Découverte (pour le développement d'applications), Département avec utilisation maximale des ressources et Entreprise comprenant des options de sécurité avancées.

Hébergement de clouds privés et conseils en sécurité


Le troisième pilier s'appelle cloud maîtrisé et comprend des offres pour la mise en place de clouds privés hébergés. Deux solutions sont disponibles, Managed Private Cloud (pour les clouds privés des entreprises) et MPC for E-Business ( à destination des acteurs de ce secteur) « Que l'on soit dans le cloud public ou privé, les responsables informatiques veulent conserver le contrôle de leur systèmes d'information » explique Dominique Deboeuf.

Enfin, le dernier pilier est le cloud sécurisé. Bull propose un ensemble de services de consultant pour identifier les risques et proposer des solutions techniques, comme la gestion des identités et des accès, la sécurité des liens et des données via du chiffrement haute performance.

Pour conclure, le responsable nous indique que « ces offres s'adressent aux grands comptes, mais également aux PME qui sont dans une démarche de réflexion avancée sur le sujet du cloud. »

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(18/10/2011 11:49:16)

HP et Microsoft lancent des serveurs préconfigurés avec Hyper-V

Le Virtual System d'HP pour Microsoft comprend des serveurs du constructeur et le logiciel de virtualisation Hyper-V de l'éditeur. Ils aideront les clients de déployer rapidement des applications, y compris SharePoint, Exchange Server et SQL Server, a déclaré Jeff Carlat, directeur des partenariats, ISS, ESSN chez HP.

Les charges de travail virtuelles, le matériel et les autres ressources pourront être gérés à l'aide de HP Insight Control d'HP et System Center de Microsoft. « Les serveurs fournissent un chemin pour aider les clients à construire des clouds privés et publics, et relier les deux dans un cloud hybride » précise le dirigeant et d'ajouter « VirtualSystem pour Microsoft utilise la même architecture que CloudSystem d'HP, qui combine le stockage, le réseau et les serveurs pour diminuer la durée d'intégration lors d'un déploiement cloud. »

A noter que beaucoup de constructeurs proposent des serveurs pré configurés, mais avec l'ESX de VMware. HP dispose d'ailleurs d'une offre VirtualSystem pour VMware.

Deux offres et une solution pour Superdome 2


La solution proposée par les deux acteurs sera disponible en novembre au prix d'environ 175 500 dollars aux États-Unis. Elle sera proposée en deux modèles, VS1, pour les entreprises qui souhaitent héberger environ 750 machines virtuelles et VS2 pour celles déployant environ 2 500 machines virtuelles. Les prix ne comprennent pas les licences de Microsoft, mais Hyper-V sera gratuit si les clients s'équipent de Windoxs Server 2008 r2.

Le VS1 peut être configuré avec jusqu'à huit serveurs HP ProLiant DL380 G7, des connexions 1Gb et 10Gb Ethernet et un SAN P4500 LeftHand, d'une capacité de 14 à 57 To. Le VS2 peut comprendre jusqu'à 12 serveurs HP ProLiant BL460c G7, de multiples réseaux et des modules de connectivité de stockage et un SAN P4800 LeftHand d'une capacité allant jusqu'à 84 To.

HP a également lancé des VirtualSystem pour Superdome 2 à destination des entreprises comme les établissements financiers qui utilisent ces systèmes. Ces derniers fonctionnent avec des processeurs Itanium d'Intel et le système d'exploitation HP-UX.

Les serveurs haut de gamme ont souvent besoin d'un niveau élevé de personnalisation, mais la configuration d'origine donne la possibilité d'intégrer certaines technologies comme la gestion du stockage 3Par, au sein d'un système virtualisé. HP n'a pas cependant pas fourni de prix pour le VirtualSystem pour Superdome 2.

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(18/10/2011 11:53:44)

Trimestriels IBM : une hausse de 8% tirée par les marchés émergents

IBM vient d'annoncer un bénéfice net de 3,8 Md$, en hausse de 7%, au troisième trimestre 2011, et un chiffre d'affaires de 26,16 milliards de dollars, qui progresse de 8% mais se situe un peu au-dessous des prévisions des analystes. En tenant compte des variations des taux de change, le chiffre d'affaires a progressé de 3%. Le bénéfice par action est de 3,19 dollars sur une base GAAP, soit une augmentation de 13%.

Le directeur financier Mark Loughridge (en photo) a souligné l'importance des marchés émergents pour la croissance future du groupe. Les revenus provenant des marchés chinois et brésilien ont augmenté de 19 et 13% à taux de change constant. Les marchés en croissance pèsent 23% du chiffre d'affaires d'IBM sur la période. Selon le directeur financier, les revenus ont été tirés par la croissance de ces marchés, en cohérence avec le modèle du groupe et en conjonction avec ses autres initiatives clés visant à assurer sa progression.

Les activités cloud ont doublé en un an

Pendant la conférence téléphonique de présentation de ces résultats financiers, les analystes ont, de façon répété, interrogé IBM sur l'atonie des ventes sur le secteur public et dans les services financiers, de même que, de façon générale, sur les principaux marchés. Mark Loughridge a demandé aux investisseurs de regarder les solides performances réalisées par divisions, notamment sur l'activité logiciels et services. Il estime qu'il ne faut pas considérer le secteur des services financiers en se bornant aux marchés principaux et explique que les problèmes économiques que chacun évoque ne se retrouvent pas sur les marchés en croissance.  

Les activités relatives aux logiciels d'IBM ont généré un chiffre d'affaires de 5,8 milliards de dollars, en hausse de 13%. La division services a progressé de 8%, à 15,1 Md$ et la division Systems et Technology de 4%, à 4,5 Md$. Parmi les réussites du trimestre, les ventes des systèmes Power ont augmenté de 15%.
D'autres domaines ont porté leurs fruits, notamment les solutions analytiques dont les revenus ont augmenté de 19%. Quant aux initiatives Smarter Planet, elles affichent une augmentation de 50% et les revenus générés par les activités cloud ont doublé par rapport à l'an dernier, indique IBM sans fournir plus de précisions. Cette croissance a conduit le groupe dirigé par Sam Palmisano à relever ses prévisions de résultats pour l'année 2011, les faisant passer de 13,25 à 13,35 dollars par action.

Illustration : Mark Loughridge, directeur financier d'IBM (crédit : IBM)

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(18/10/2011 11:16:36)

Témoignage: La Poste Courrier automatise le déploiement de services packagés

La DSI de la Poste Courrier a la volonté d'automatiser certains processus, notamment en matière de déploiement d'environnements. Laurent Dirson, directeur architecture et innovation, nous relate l'historique du projet, « nous souhaitons créer une plateforme multicanal qui vise à couvrir les besoins des centres de solutions et services en charge du développement des applications business ». Il ajoute, « l'ambition de cette plateforme est de répondre à trois exigences : comment réduire les délais pour répondre aux attentes des métiers, optimiser les coûts, tout en  garantissant, voire en augmentant la qualité de service ».

Le projet a été initié il y a un an et demi avec comme volonté de fournir des offres de services packagés « intimement basés sur les usages, en assurant la cohérence des informations sur les différents canaux d'accès » précise le responsable. Pour être plus concret, quatre offres de services sont actuellement disponibles. Par exemple, une porte sur la diffusion d'informations sur plusieurs canaux, Internet, intranet, accès partenaires, une autre permet d'exposer des services transverses comme les référentiels d'entreprises. Pour se faire, Laurent Dirson, explique qu'aujourd'hui  « nous arrivons à déployer de façon semi-automatisé les différents environnements. Nous avons baissé les charges et les délais mais pas de manière optimale. Certaines actions restent manuelles et séquentielles dans un contexte multi-sites. L'objectif est d'arriver à 100% d'automatisation.» Cette dernière phase est prise en charge par l'outil d'HP. Elle se déroule dans le cadre d'un cloud privé interne à La Poste Courrier, « avec la possibilité d'avoir une réserve de puissance lors des pics d'activité » précise Laurent Dirson. Les offres packagées  comprennent le déploiement de logiciels avec les éléments de sécurité (système d'exploitation, machine virtuelle), de la ressource matérielle, du réseau, des piles technologiques testées et validées, des environnements de développement et de production ainsi que des standards associés. Sur l'ensemble de ces éléments, le responsable explique que la solution HP s'est intégrée avec les systèmes d'information existants et les environnements hétérogènes.

Mener à terme l'automatisation des process

Initiée depuis un an et demi, la plateforme est en plein déploiement. « Nous aurons terminé la partie virtuelle à la fin de l'année et la partie physique sera intégrée complétement au mois de mars prochain pour une des offres packagées». Laurent Dirson rappelle que ce programme se fait par étapes et s'appuie sur la mise en place d'un portail self-service depuis la solution HP Automation : « quand on rédige des dossiers d'architecture technique, on a des éléments variants (nom de machine, DNS), le but est de passer par le portail pour intégrer ces éléments pour les injecter ensuite lors des phases de déploiement ».

Quels sont les objectifs visés ? Le responsable répond, « en cible, une industrialisation des déploiements des offres de services packagés de bout en bout automatisées à 100% en les mettant à disposition de nos centres solutions sous forme de  self-service. »

La notion de délai va se réduire très sensiblement. Pour aller plus loin, l'ambition pour 2012 sera le déploiement du réseau. « C'est une procédure  qui demande également beaucoup de manipulations techniques chronophages. Si nous voulons aller plus loin dans la qualité de service, il faudra passer par là ». Sur le plan des relations avec HP, l'intégration est réalisée par le constructeur avec un transfert de compétence aux équipes de la DSI de La Poste Courrier. Le prix du projet n'est pas public, mais Laurent Dirson conclut « le gain escompté est sans ambiguïté ».

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(18/10/2011 09:54:28)

La CNIL consulte sur les données dans le cloud

La Commission Nationale Informatique et Libertés a décidé de lancer une consultation des professionnels, prestataires comme clients, sur le cloud computing. Cette consultation se déroule du 17 octobre au 17 novembre 2011. Pour y participer, il convient de télécharger le document de consultation, de répondre aux questions posées et de le renvoyer à l'adresse indiquée (mail ou courrier postal).

Le document de consultation fixe les raisons de l'inquiétude de la CNIL sur le sujet, redéfinit brièvement le concept de cloud et demande l'avis du répondant sur l'analyse de la CNIL.

Quels sont les champs de compétences de la CNIL?

En l'occurrence, la CNIL ne s'intéresse qu'à un seul aspect de la problématique du cloud, celui en rapport avec sa compétence : qui est responsable du traitement de données personnelles hébergé dans un système d'informatique dans les nuages ? Autrement dit : qui doit veiller aux intérêts des personnes faisant l'objet des traitements cloudifiés ? Et qui doit être, le cas échéant, sanctionné en cas de problème ?

L'avis provisoire de la CNIL adopte une logique proche de celle de la LCEN sur les hébergements web : l'entreprise utilisant un service en ligne est responsable sauf à démontrer l'implication du prestataire.

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(18/10/2011 09:52:16)

Dell World 2011 : Virtualisation, cloud et secteur public à l'honneur

Lors de la première édition de Dell World se sont succédé sur scène : Michael Dell bien sûr, Paul Maritz (VMware, en illustration principale), Marc Benioff (Salesforce), Steve Ballmer (Microsoft) et Paul Otellini (Intel) et Vivek Kundra, l'ancien CIO des États-Unis. Ce dernier a dressé un auto-bilan très élogieux de ses trois années passées au poste de DSI du gouvernement américain. Un poste fédéral qui lui a permis de mettre de l'ordre dans les systèmes d'informations américains, avec une réduction drastique du nombre de datacenters en service (de 2000 à 1200), une mise en cloud de nombreux services, l'amélioration de l'interopérabilité et la mutualisation des ressources.

Une tâche ardue quand on sait que les dépenses informatiques des États-Unis s'élèvent à 80 milliards annuels et que certains programmes ambitieux comme un ERP fédéral doté d'un budget de 34 millions de dollars n'a jamais fonctionné. Après trois ans et de nombreux aller-retour dans le pays pour sensibiliser les directions informatiques à son projet de créer « une démocratie plus ouverte et plus transparente », M.Kundra a finalement jeté l'éponge pour rejoindre l'Université de Harvard et donné de fructueuses conférences dans tout le pays. Le premier DSI américain voulait ainsi protester contre les coupes budgétaires qu'il avait dû subir.

Virtualiser pour mieux passer au cloud


Après la prestation de Vivek Kundra, les autres interventions étaient pour ainsi dire plus convenues. Paul Maritz, CEO de VMware, a toutefois réussi à captiver son auditoire avec sa présentation sur l'évolution de la virtualisation dans les datatcenters pour aller vers le cloud privé, sur les terminaux mobiles pour bien séparer vie professionnelle et vie privée, et sur le développement et le déploiement d'application sur le cloud. Pour Paul Maritz, «Oracle et Microsoft ne proposent que des environnements fermés qui obligent les clients à piocher dans le catalogue d'un des éditeurs pour développer ses projets». Avec ses solutions (Spring, Cloud Foundry...) et fort de sa position leader dans le domaine de la virtualisation, le CEO ambitionne de proposer la première Open Platform as a Service. Un acronyme de plus dans la jungle cloud donc.

Juste après Paul Maritz, Marc Benioff, le CEO de SalesForce (ci-dessus), n'a pas guère forcé son talent en reprenant presque mot pour mot - petites anecdotes comprises - la présentation effectuée à l'occasion de DreamForce 2011. Une petite déception surtout après les annonces Fusion du dernier OpenWord d'Oracle. Invité de Dell, le bouillonnant Benioff est resté dans les clous pour ne pas froisser le Texan, un des nombreux partenaires d'Oracle.

Migration de VM avec Windows 8 Server


Nouvelle déception avec Steve Ballmer, le CEO de Microsoft (ci-dessous), qui n'a pas dit un mot sur les tablettes Windows 8. L'explication est peut-être tout simplement que Dell n'avait pas de produits basés sur ARM à montrer. Et il n'était bien sûr pas question de promouvoir les produits d'un concurrent. Voilà pourquoi Steve Ballmer s'est concentré sur Windows 8 Server et Hyper-V 3 qui intègrent certaines fonctionnalités aujourd'hui disponibles chez des éditeurs tiers comme Quest Software. Et pour promouvoir les capacités en virtualisation d'Hyper-V 3, un technicien est venu montrer qu'il sera possible de supporter 32 processeurs virtuels avec plus de 100 Go de RAM. La préversion de Windows 8 Server supporte aujourd'hui jusqu'à 512 Go en mémoire et peut gérer un volume de stockage virtuel de 16 To. Une des démonstrations effectuées sur scène consistait à migrer en temps réel et sans interruption de service une machine virtuelle d'un serveur à un autre. Après la keynote, certains responsables informatiques dans la salle se sont montrés très intéressés par cette fonction.



Windows 8 vital pour les ultrabooks


Dernier invité de marque de ce Dell World, Paul Otellini est venu réaffirmer que l'interface tactile allait s'imposer sur les PC au détriment du clavier et de la souris. Mais l'essentiel de ses propos portait bien sûr les ultrabooks, ces portables plus minces et plus légers fortement inspirés du MacBook Air. Le problème reste aujourd'hui les prix de ces PC portables qui reste supérieurs à 1 000 dollars. Le CEO d'Intel espère réussir à baisser le ticket d'entrée des principaux composants pour accompagner le lancement de cette nouvelle plate-forme qui ne sera toutefois jamais aussi bon marché que les netbooks. L'arrivée des tablettes tactiles a laminé le segment de ces petits portables bon marché et bon à rien.

Paul Otellini a indiqué que les ultrabooks n'avaient pas encore été commercialisés en masse, mais qu'ils le seraient un peu plus tard dans l'année. L'arrivée de Windows 8 en 2012 est également un élément clef pour le succès de ces produits, a précisé le dirigeant, soulignant que le prochain système d'exploitation de Microsoft sera critique pour les ultrabooks. « Nous pensons que Windows 8 sur l'architecture Intel, en particulier sur les ultrabooks, vous apportera l'expérience ultime ». Enfin tout du moins jusqu'à la prochaine fois. On avait déjà entendu une histoire similaire avec le duo Windows 7 Starter et netbooks...

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(14/10/2011 16:16:58)

Ubuntu 11.10 se tourne vers le cloud et ARM

Ubuntu passe en version 11.10 et comprend deux aspects, un côté entreprise et une partie grand public. Sur la première, l'heure est résolument au cloud, Nicolas Barcet, Cloud Product Manager chez Canonical explique « il s'agit de la première version intégrant Openstack plutôt qu'Eucalyptus » et d'ajouter « ce choix a été dicté par le fait que le projet Openstack prend de l'ampleur et dispose de partenaires importants ». Il cite notamment HP qui a choisi Ubuntu pour son cloud public (1 000 noeuds sous la distribution Linux). Pour permettre le déploiement d'Openstack, Canonical se repose sur Juju, un outil d'orchestration de services pouvant être déployé sur des serveurs physiques ou en mode cloud, précise Nicolas Barcet. L'objectif est d'automatiser les processus pour tirer avantage du cloud, accroître l'élasticité et réduire le temps de déploiement.

Accompagner les serveurs sous ARM


L'autre orientation de la partie entreprise est l'intégration du support d'ARM au sein d'Ubuntu Server. Nicolas Barcet précise que Canonical a travaillé avec plusieurs constructeurs qui finalisent leur design de puces serveurs sous ARM, comme Calexda, Marvell, Nvidia. « Cela représente une très grande opportunité au sein des datacenters qui sont en quête de réduction de consommation d'énergie ». Ces serveurs devraient être commercialisés au cours du 1er semestre 2012.

Interface Unity et stockage dans le cloud


Sur la partie grand public, les changements concernent l'interface utilisateur Unity qui se peaufine. Il ne s'agit plus d'une option par rapport à la version précédente. Elle s'adapte en 3D ou 2D en fonction de la performance de l'ordinateur. Canonical a également présenté Ubuntu One qui est un espace de stockage en ligne permettant le partage de fichier et le streaming de musique.

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(14/10/2011 14:23:33)

L'entreprise de défense Raytheon frappée par une attaque via le cloud

L'attaque subie par la société de défense américaine Raytheon ouvre des perspectives sur le futur des menaces. Les employés de l'entreprise ont reçu un courriel les invitant à accéder à une application via un certain lien passant par un service cloud (sans citer le nom du service en question). Selon Raytheon, aucune donnée n'a été volée au cours l'attaque, grâce, notamment, à un système de surveillance du trafic sur le réseau sortant. Ce système surveille tout ce qui tente de sortir vers l'Internet et protège ses serveurs par des trames «beacon» (régénération des jetons en cas d'erreur).

« Nous avons récemment subi notre première attaque où le cloud lui-même a été l'instigateur du piratage», a déclaré Vincent Blake, chef de la cyber-sécurité chez Raytheon U.K lors de la RSA Conference 2011 qui s'est tenue à Londres (11-13 octobre). «  20 personnes ont été ciblées par l'attaque, menée en boucle à partir d'un service cloud. Deux personnes ont cliqué sur le lien envoyé dans l'email. Mais nous avons détecté les deux clics quand ils ont commencé à envoyer des balises vers le cloud. Nous avons pu isoler l'attaque par beaconing. » Selon le chef de la sécurité, le succès de la détection revient à « des moteurs très sophistiqués » et automatisés.

Adapter sa réponse avec une meilleure visibilité


Raytheon s'est également assurée que le « temps de pause», c'est à dire la durée maximum pendant laquelle l'attaque s'insinue dans le système alors que l'entreprise travaille à y répondre - ne dépasse pas deux heures. « Dans un an, je voudrais que ce temps de réponse soit réduit à 10 minutes », a ajouté Vincent Blake. Depuis 5 ans, date à laquelle l'entreprise a commencé à vendre des missiles à Taïwan, la sécurité de l'information est une préoccupation de tout premier ordre chez Raytheon.

« Un pays proche de Taiwan » a commencé à s'intéresser à la propriété intellectuelle de l'entreprise, qui a pu constater à ce moment-là une forte augmentation de cyber-attaques sophistiquées menées contre elle. Selon le chef de la sécurité, « Raytheon bloque chaque jour 1,2 milliards d'attaques. » Sans compter les 4 millions de spams journaliers. « Au départ, nous ne savions pas ce qui se passait sur notre propre réseau. Aujourd'hui, nous rendons compte chaque jour au PDG de ce qui s'y passe », a t-il déclaré.  Une manière de dire que le soutien des instances dirigeantes était la clé de la sécurité informatique.

 

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(13/10/2011 16:22:43)

IBM élargit sa gamme SmartCloud pour aller vers les métiers

IBM fait évoluer ses offres SmartCloud, des solutions packagées pour permettre aux entreprises de s'adonner aux bienfaits du cloud quel que soit le modèle, IaaS, PaaS et SaaS. Pour Fady El Kaddoum, responsable des offres cloud computing chez IBM, « après un an de lancement des différentes offres, nous avons enrichi notre gamme et capitalisé sur les retours d'expérience ». Ainsi, pour l'offre SmartCloud Foundation qui intègre la partie technologique, un nouveau moteur de cloud baptisé ISAAC (IBM service agility accelerator for cloud). Ce dernier permet notamment de faire du multiprovisionning en quelques secondes.

Fady El Kaddoum précise « il s'agissait d'une demande des établissements bancaires que l'on a adaptée ». Par ailleurs, dans Foundation, Big Blue a intégré des « starters kits » qui sont des solutions pré-configurées. Deuxième étage des offres, SmartCloud Application qui va intégrer plus d'intelligence. Le responsable informatique pourra configurer certains éléments comme le nombre de connexions simultanées ou le niveau de latence attribuée ou le calibrage des serveurs.

Cibler les métiers

L'offre inédite est SmartCloud Solutions qui intègre les services de Sterling, société acquise en mai 2010. Ainsi, on peut citer la solution Configure Price Quote, qui permet aux équipes commerciales d'une entreprise de configurer, d'obtenir un prix, d'établir des devis et de commander des services et produits complexes sur l'ensemble des canaux. Le service Coremetrics Digital Marketing s'intéressera plus à l'optimisation des pages web en étudiant différents critères (chaîne de navigation, centre d'intérêt de l'internaute, etc). Fady El Kaddoum indique : « nous visons plutôt les grandes entreprises avec ses offres, car le ticket d'entrée est de 1 million d'appels serveurs ».

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