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Cloud computing

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(13/10/2011 16:17:24)

Partage de fichiers dans le cloud : Citrix s'offre ShareFile

Citrix Systems vient d'acquérir la société ShareFile et ses services de synchronisation et de partage sécurisé de fichiers en ligne. Le spécialiste des solutions de virtualisation s'ouvre ainsi à des usages plus personnels et adaptés aux besoins des petites et moyennes entreprises. Ce rachat, dont le montant n'a pas été révélé, s'opère au moment où Apple ouvre iCloud, un service de stockage de fichiers en ligne qui s'adresse aux utilisateurs de terminaux sous iOS.

Un nombre croissant d'utilisateurs se sert maintenant de plusieurs terminaux, ce qui suscite de nouvelles demandes sur les modes de conservation et de partage des données et donne un essor au cloud personnel, souligne effectivement Citrix. L'éditeur explique qu'il a acquis ShareFile parce qu'il considère que ce secteur en devenir devrait représenter plusieurs milliards de dollars d'ici 2015. Un marché où, en dehors d'iCloud, on trouve aussi l'offre de Dropbox, une société fondée en 2007 par deux étudiants du MIT.

Citrix crée une entité dédiée au partage des données

ShareFile présente son service (du même nom) comme une alternative plus sure que les échanges basés sur FTP pour les PME et les TPE. Il permet aux entreprises de centraliser le stockage de fichiers sur l'espace qu'il propose dans le cloud, puis d'y accéder avec les bons certificats à partir de différents terminaux : PC, smartphone, tablettes. La tarification du service comporte actuellement quatre niveaux : Basic, Professional, Enterprise et Entreprise Gold. Elle diffère suivant le nombre de comptes utilisateurs, le volume de données stockées et transférées et les fonctionnalités utilisées. Par exemple, le niveau Professional revient à environ 60 dollars par mois pour dix comptes, avec 10 Go de données transférées et 10 Go de stockage. Les quatre niveaux comprennent un accès illimité pour les clients et partenaires.

Citrix rachète ShareFile, service de partage de fichiers en ligne
Illustrations : le service de partage de fichiers en ligne ShareFile est compatible avec le standard FTP pour les utilisateurs qui veulent se servir de leurs outils FTP. Un plug-in pour Outlook est disponible. (cliquer ici pour agrandir l'image)

Jesse Lipson, PDG de ShareFile, va devenir vice-président et directeur général de l'entité Data Sharing, tout juste créée par Citrix pour gérer cette ligne de produits. Cette entité prendra en charge la stratégie visant à fournir aux utilisateurs professionnels un accès à leurs contenus où qu'ils se trouvent, à partir de différents terminaux, et à favoriser la collaboration entre eux.

Des détails sur ses projets pour ShareFile seront donnés par Citrix du 26 au 28 octobre prochain à Barcelone, à l'occasion de la conférence Synergy.

(...)

(13/10/2011 13:03:50)

PASS Summit 2011 : Microsoft saute dans le wagon Hadoop avec Hortonworks

Microsoft va collaborer avec Hortonworks pour développer la mise en oeuvre du framework Apache Hadoop sur son environnement Windows Server et sa plateforme cloud Azure. Cette société, issue de Yahoo, lui apportera son expertise pour intégrer Hadoop dans Windows. On savait depuis cet été que l'éditeur de Redmond s'était attelé à ce projet, l'équipe de SQL Server ayant publié un billet à ce sujet sur son blog officiel.

Une pré-version du service pour Azure est prévue pour la fin de cette année, a indiqué Microsoft sur sa conférence utilisateurs PASS Summit consacrée à SQL Server (du 11 au 14 octobre à Seattle). Tandis que celle destinée à Windows Server arrivera courant 2012 et fonctionnera avec les outils de Business Intelligence de Microsoft. Ces outils permettront aux clients de l'éditeur de mieux appréhender la prise en compte des Big Data (flux d'informations remontés des capteurs, des connexions web, données non structurées provenant des réseaux sociaux, fichiers vidéo, etc.), a confirmé Ted Kummert, vice-président corporate de la division Plateforme Business de Microsoft.

Oracle a aussi adopté Hadoop et IBM racheté Platform Computing

La semaine dernière, dans ce domaine, Oracle a annoncé la solution Big Data Appliance (matériel + logiciel) qui exploite également Hadoop, ainsi qu'une base de données NoSQL maison et une distribution du langage de programmation R pour l'analyse statistique, afin de pouvoir traiter les volumes de données importants.

Hier, IBM a de son côté annoncé le rachat de l'éditeur canadien Platform Computing, spécialisé sur la gestion des clusters et des traitements en grille dans les environnements distribués, dans lesquels Hadoop est typiquement exploité. Ce framework Open Source, qui supporte les applications portant sur les Big Data, suscite de plus en plus l'intérêt des responsables informatiques pour ses capacités à traiter les énormes flux de données qu'ils doivent prendre en compte. Un nombre croissant d'entreprises cherche à les collecter afin de les analyser pour en tirer des informations significatives pour les activités. Jusqu'à présent, elles se trouvaient limitées pour le faire par les limites des bases de données relationnelles traditionnelles, avant tout conçues pour manipuler les données structurées.

Les premiers à l'avoir adopté, parmi lesquels Yahoo, AOL, Google et d'autres, se sont servis d'Hadoop pour stocker et analyser des petaoctets d'informations non structurées. Les autres technologies de datawarehouse se sortent moins bien de ce type de traitements.

Une belle visibilité pour Hortonworks

Pour Merv Adrian, analyste au Gartner interrogés par nos confrères de Computerworld, l'alliance entre Microsoft et Hortonworks n'est pas surprenante. Pour lui, chacun des principaux fournisseurs de base de données doit prendre garde de ne pas amener les clients qui voudront s'atteler aux Big Data à puiser dans d'autres offres. La question principale restant : vont-ils aller seuls sur ce terrain ou vont-ils s'attacher l'expertise d'un spécialiste. Merv Adrian souligne que le partenariat avec Microsoft constitue un « plus » important pour l'éditeur Hortonworks qui réunit une équipe d'experts très spécialisés sur la technologie Apache Hadoop. Cette entreprise, fraîchement émoulue de Yahoo, a pris son indépendance cette année, rappelle l'analyste de Gartner. Sur le marché commercial des systèmes Hadoop, le leader est actuellement Cloudera, cite par ailleurs Merv Adrian. 

Selon l'analyste de Gartner, il est probable que de nombreux clients de Microsoft qui commencent à pense aux Big Data pour la première fois n'auront pas entendu beaucoup parler d'Hortonworks. Voilà qui devrait donner une belle visibilité à cette société. 

De son coté, Stephen O'Grady, analyste chez Red Monk, considère qu'il est important pour Microsoft de disposer d'une solution compétitive pour mettre en oeuvre Hadoop sur sa plateforme. Il est clair que Microsoft estime qu'il est important d'optimiser et d'ajuster sa plateforme dans ce domaine pour se différencier.

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(12/10/2011 15:36:02)

IBM acquiert Platform Computing, spécialiste de la gestion du HPC

Les logiciels développés par Platform Computing permettent aux entreprises de gérer des noeuds de serveurs comme une entité unique, et d'obtenir de grandes puissances de traitement. Les clusters peuvent alors réaliser de gros efforts de calcul, démultipliant les capacités des serveurs. C'est le cas dans la recherche mathématique, quand il s'agit de développer de nouveaux matériaux par exemple, ou pour le suivi en détail des marchés financiers. Selon IDC, les entreprises vont dépenser 14 milliards de dollars pour acquérir des matériels et des logiciels qui répondent aux besoins de cette informatique technique.

Le logiciel de Platform Computing est utilisé par les services financiers, les industriels, les médias numériques, le gouvernement et la recherche. L'entreprise basée à Toronto avait une position dominante dans le domaine très académique de l'informatique partagée, mais a récemment adapté ses produits pour le déploiement de services Cloud. L'entreprise compte plus de 2 000 clients, au nombre desquels Citigroup, Red Bull Racing, l'Université de Tokyo, ou encore le CERN (Organisation européenne pour la recherche nucléaire).

Courtisé de longue date

« Du point de vue d'IBM, cet achat est une bonne opportunité, car IBM pourra utiliser le logiciel de Platform de différentes manières », fait remarquer Charles King, président et analyste principal de Pund-IT. Le logiciel pourrait jouer un rôle clé dans la stratégie d'IBM pour bâtir des services Cloud multiplateformes. L'analyste souligne également que, au cours des 10 dernières années, IBM s'est associé à la plateforme dans diverses applications et travaux HPC mettant en oeuvre l'informatique partagée, si bien que la technologie de Platform Computing est devenue très complémentaire de celle d'IBM.

« IBM courtise Platform Computing depuis longtemps, » a déclaré Charles King. Les activités de l'éditeur, qui emploie 500 personnes dans le monde, seront intégrées dans la division Systems and Technology Group de Big Blue. Ce dernier pense finaliser son achat d'ici la fin de l'année.

Une intégration déjà bien avancée


Le marché du HPC « est en pleine expansion dans un secteur où les charges de travail intenses, très gourmandes en capacité de calcul, sont à la mesure de la demande en traitement de données, et va devenir la norme au cours de la prochaine décennie. L'entreprise canadienne a bâti sa réputation sur un logiciel de planification des tâches, mais propose aussi de très solides solutions construites autour du middleware Symphony. « IBM pense que son expertise dans le HPC sera potentiellement bénéfique au-delà de ce marché, » a déclaré Dave Jursik, président des ventes de HPC au niveau mondial chez IBM. Jusqu'ici, le HPC était « un domaine principalement réservé aux grandes institutions de recherche universitaires et gouvernementales », a-t-il ajouté. Aujourd'hui cependant, des industries très différentes peuvent avoir accès au calcul haute performance, grâce au logiciel d'analyse d'IBM qui permet de traiter de vastes quantités de données et résoudre des problèmes nécessitant du calcul intensif.

Le logiciel de planification de tâche de Platform Computing, mais aussi son expertise dans le middleware Symphony, pourrait aider IBM à mieux servir ces entreprises. « La base commune de ces technologies va contribuer à élargir notre rôle sur le marché et à approfondir l'expertise et la valeur de ce que nous pouvons apporter», a déclaré Dave Jursik.

(...)

(12/10/2011 10:13:45)

Telehouse lance une offre cloud en marque blanche

L'hébergeur Telehouse surfe sur la méfiance des revendeurs envers les politiques commerciales des fournisseurs de services cloud pour lancer une offre IaaS (Infrastructure as a Service) en marque blanche. Baptisée Cloud Automation, elle permet aux partenaires de piloter librement la distribution de machines virtuelles hébergées dans le cloud public de Telehouse, sans compétences particulières, à travers une interface web. Libre à eux de fixer le prix du service et de contrôler l'utilisation des ressources par leurs clients. La facturation des entreprises est également réalisée directement par les revendeurs à travers un système de facturation intégré.

Pour commercialiser ce service qui permet de proposer une offre IaaS sans investissement en matériel, l'hébergeur cible les agences web, les éditeurs indépendants, les VARs, les SSII et les intégrateurs. Il organisera une démonstration de sa solution lors des salons IP Convergence et Cloud and IT Expo qui se tiendront du 18 au 20 octobre au parc des expositions de la porte de Versailles à Paris. (...)

(10/10/2011 14:52:50)

L'Open Group publie un guide sur le cloud

Le guide Cloud Computing for Business jette un regard en profondeur sur le cloud et expose comment les entreprises peuvent en tirer des bénéfices. Cette publication est née de l'initiative de l'Open Group, un consortium réunissant des utilisateurs et des fournisseurs qui travaillent sur des offres de cloud sécurisées, sur l'évolutivité et l'agilité des entreprises ainsi que sur leurs avantages financiers. L'organisme inclut des fournisseurs (SAP, IBM, Oracle, Capgemini et HP) et compte également des utilisateurs français (Agilecom, Arismore, BNP-Paribas, le Ceisar ou encore France Télécom). Quant à l'ouvrage, il est destiné aux cadres supérieurs, aux chefs et aux architectes d'entreprise, ainsi qu'aux directions informatiques et marketing. Chris Harding, directeur de l'interopérabilité au sein de l'Open Group, a déclaré: « Ce livre accorde une attention particulière aux exigences techniques et commerciales des entreprises. Il vise à aider ses lecteurs à tirer le plus de profit possible de leurs projets clouds. »

Acheter des services, maîtriser les risques, établir un ROI

Les principaux thèmes abordés dans cet ouvrage concernent la vision qu'ont les entreprises du cloud computing, l'achat de services, la compréhension des risques, la construction d'un ROI, et les défis d'autres offres de cloud.

Dans un récent sondage, plus de la moitié des entreprises  déclaraient que leur priorité absolue était de se préparer à passer au cloud computing, plutôt que d'envisager une migration complète. Lors du forum annuel du World Cloud Computing qui s'est déroulé en juin dernier à Londres, le spécialiste des services d'infrastructures Computacenter avait interrogé plus de 200 décideurs IT sur le sujet. Globalement, 51 % des entreprises avaient déclaré que leur principale priorité cette année était de rendre leur infrastructure informatique prête pour le cloud.

L'enquête a également révélé que 28% des organisations cherchaient à migrer plusieurs de leurs traitements informatiques dans le cloud. Plus prudentes, 72% des entreprises interrogées indiquaient préférer s'en tenir aux fonctions de tests individuels, telles que la messagerie électronique, le testng/développement et l'hébergement.

Les membres de l'Open Group peuvent télécharger gratuitement le guide Cloud Computing for Business. Une copie papier de l'ouvrage est disponible au Royaume-Uni pour 37 £.

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(10/10/2011 10:28:08)

OpenWorld 2011 : Benioff défend son cloud multi-tenant

«Larry just cancelled my keynote tomorrow! Sorry #oow11! Join me @ St. Regis AME Restaurant at 10:30AM! The cloud can't be stopped!» C'est dans ces termes que Marc Benioff, CEO de Salesforce.com, a annoncé mardi soir sur Twitter que sa conférence prévue le lendemain dans le cadre de l'Oracle OpenWorld avait été annulée, et qu'il la remplaçait par une présentation sauvage dans le restaurant du tout proche hôtel St. Regis.

«Rien ne peut arrêter le cloud»

Mercredi matin donc, l'entreprise a organisé une action coup de poing, des collaborateurs de Salesforce.com défilant devant le St. Regis avec des pancartes annonçant «Benioff trop innovant pour l'Oracle OpenWorld» ou «rien ne peut arrêter le cloud».

Dans le restaurant rempli à craquer, Marc Benioff est revenu sur l'annulation de sa conférence, qu'il attribue à ses remarques désobligeantes à propos du discours inaugural de Larry Ellison et à des divergences de vue sur ce qu'est le cloud computing - Oracle et Salesforce.com arguant chacune que l'autre ne propose qu'une contrefaçon de cloud.

Dans la version de Benioff, le cloud est par essence multi-tenant et implique de se débarrasser du hardware et du software, précisément les domaines d'où Oracle tire ses revenus. Le CEO de Salesforce.com a également expliqué sa vision de la "social enterprise" en s'appuyant sur des cas concrets de clients tels que Burberry et KLM.

«J'ai été à bonne école»

Très fier de son action coup de poing organisée dans l'urgence «à l'aide des réseaux sociaux», Marc Benioff a reconnu qu'au final l'annulation avait été plutôt bénéfique pour son entreprise et négative pour Oracle du fait de son impact médiatique. Il a ajouté que sa manoeuvre était très proche des pratiques de Larry Ellison avec lequel il a travaillé chez Oracle. «J'ai été à bonne école», a-t-il conclu.

ICTJournal.ch

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(10/10/2011 09:59:31)

UrbanDive de Pages Jaunes se ressource dans le cloud d'Amazon

Pages Jaunes est bien sûr connu pour ses annuaires téléphoniques. Or son modèle économique repose sur les publicités passées par les entreprises répertoriées. L'intérêt de l'entreprise est donc de multiplier les occasions de faire voir des publicités par ses utilisateurs. Dans ce cadre, Pages Jaunes a réalisé un site de navigation immersive avec réalité augmentée, UrbanDive. L'internaute se déplace donc dans une ville et peut accéder à des informations publicitaires sur les enseignes présentes sur son parcours (en plus d'autres types d'informations d'intérêt général). Aujourd'hui, 150 villes sont répertoriées et il y aura 200 villes pour 50 To de données à la fin 2011.

Des besoins en ressources à géométrie variable

Or un tel service très innovant ne pouvait pas monopoliser des ressources informatiques importantes et surtout de façon continue alors qu'aucune certitude n'existait quant au trafic sur le service. Pages Jaunes a donc décidé de profiter de la souplesse offerte par le cloud computing.

L'architecture technique a été réalisée par la SSII spécialisée Ysance dans le cadre de son offre Ycloud. L'hébergement en lui-même a été confié à Amazon. Ces choix permettent de garantir une évolutivité des moyens techniques en toute souplesse mais aussi en garantissant la qualité des ressources.

Le coût du projet n'a pas été révélé.

(...)

(06/10/2011 08:12:35)

Eric Haddad : Les trois ambitions de Google dans le cloud, SaaS, PaaS et DaaS

Le responsable de l'activité entreprise chez Google France, Eric Haddad dresse un premier bilan de son arrivée récente au sein de l'éditeur. Google Apps, App Engine, stratégie Device as as Service, les sujets ne manquent, ni les ambitions.

Pouvez-vous nous faire un point sur les activités de Google Entreprise sur le marché français ?


Nous ne communiquons pas de chiffres sur le marché français, mais sur le plan mondial, nous disposons de 4 millions d'entreprises clientes. Je remarque que nos marchés (le SaaS avec Apps et le PaaS, App Engine) ont timidement démarré il y a 3 à 4 ans avec quelques réalisations importantes, comme la signature d'un contrat avec Valeo (38 000 utilisateurs de Google Apps). Ces pionniers nous ont beaucoup apporté en retour d'expérience. Mais depuis quelques mois, je ressens dans mes dialogues avec les DSI Français, une phase de prise de décision beaucoup plus importante.

Comment expliquez-vous ce changement ?


Il existe plusieurs facteurs. Ainsi, les investissements massifs, rigides sont de plus en plus difficiles à faire passer au sein des entreprises. Nos solutions sont rapides à installer et s'adaptent aux évolutions des sociétés. En deuxième lieu, est-ce que le DSI doit être le patron de la messagerie ? Ce n'est pas sûr, il est peut-être là pour la gouvernance de l'IT. Enfin, la consumérisation des usages fait que l'utilisateur veut retrouver au sein de l'entreprise son environnement de messagerie et collaboratif.

Avec ces paramètres, nous nous attendons à une accélération de la signature des contrats pour les Google Apps. (...)

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