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(08/09/2010 15:55:47)

Un partenaire SAP lance une plate-forme d'applications mobiles en mode cloud

Baptisé Mobile Enterprise Platform, le service proposé par Leapfactor coûte 9,99 dollars par utilisateur et par mois pour développer, élaborer et déployer des applications fonctionnant sur Android, BlackBerry et iOS.  Le mode cloud sera utilisé pour stocker en toute sécurité et transférer du contenu vers les terminaux mobiles. « Cela permet de déployer des applications de productivité auprès de milliers d'utilisateurs sans avoir les coûts liés à une implémentation traditionnelle » a déclaré Lionel Carrasco PDG de Leapfactor et d'ajouter «nous fournissons la bande passante, l'administration et des ressources, sans vous préoccuper du reste. La plate-forme Leapfactor est dans le cloud pour éviter de faire appel à du middleware de développement d'applications mobiles. Les entreprises que nous adressons ont déjà des architectures SOA (architecture orientée service) et dialoguent en XML, il suffit alors simplement de pousser l'application dans notre cloud. » L'éditeur complète ce service avec une bibliothèque d'interfaces utilisateur gratuites pour aider les clients à construire et déployer leurs applications mobiles.

Une solution polyvalente

Le service pourrait être utilisé pour des applications métiers, comme la vente de produits et le suivi de l'inventaire des stocks. Il pourrait également être utilisé dans le BtoC pour étoffer des catalogues de produits via des appareils mobiles.  Les micro applications gratuites dans l'App Store ont été téléchargées par plus de 3 000 utilisateurs depuis mai dernier. Trois de ces programmes portent sur des alertes, des indicateurs économiques et des propositions commerciales. Une autre de ces applis, baptisée SAP EcoHub, fournit une une place de marché de solutions certifiées SAP.

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(07/09/2010 11:13:34)

3Par, Antemeta décrypte la bataille HP/Dell

33 dollars par action soit 2,4 milliards de dollars pour une entreprise, spécialisée dans le stockage virtualisé dont l'action cotée au début août, 9 dollars, la bataille entre HP et Dell pour s'approprier 3Par a été épique. Au-delà de la joute financière que se ont livrés les deux sociétés, cette opération apporte quelques éclairages sur l'avenir de l'informatique en entreprise. Pour Bernard Bombes de Villiers, directeur marketing et commercial d'Antemeta, revendeur exclusif de 3Par en France, "le premier enseignement est l'excellent positionnement de l'offre 3Par sur le marché du stockage, ensuite la firme représentait le seul acteur indépendant et coté sur ce marché". L'intégrateur insiste sur les récentes technologies mises en avant par la société de Fremont, optimisation à travers le partionnement sur une même baie, le thin provisionning et la gestion de classes de services (bascule d'un mode de stockage à un autre en fonction des besoins), bien adaptées à l'évolution vers le cloud computing. Ces fonctionnalités sont très demandées par les fournisseurs de services, comme les FAI, les opérateurs et Bernard Bombes de Villiers de citer que les baies 3Par sont présentes chez Verizon et AT&T.

Autre enseignement, la nécessité pour les deux protagonistes de se renforcer sur le marché du stockage. HP et Dell disposait d'accords OEM avec respectivement HDS et EMC. " HP avait pris du retard sur le stockage dans le moyen de gamme et l'arrivée de David Donatelli, ancien de chez EMC, chez HP a probablement poussé vers cette acquisition » souligne Bernard Bombes de Villiers. Pour Dell, après cet échec, il est probable que l'entreprise s'intéressera à des concurrents de 3Par, comme Egnyte ou Pillar Data, même si le rappelle Bernard Bombes de Villiers « ces sociétés ne travaillent pas sur le même marché que 3Par ».

Un club utilisateurs bientôt formée et une distribution à redéfinir


Il y a quelques mois suite à un entretien avec David Scott, CEO de 3Parm, les responsables d'Antemeta réfléchissaient à la création d'un club des utilisateurs 3Par en France. Ce sera chose faite le 17 septembre prochain à Roland Garros. « Avec la couverture médiatique, les demandes de renseignements sur les technologies proposées par 3Par ont explosé et la naissance du club utilisateurs suscite beaucoup d'intérêt » explique le responsable commercial d'Antemeta.

Sur la suite de l'acquisition, il rappelle qu'elle ne sera effective qu'après approbation des autorités de la concurrence. « Pour l'instant, nous sommes revendeurs exclusifs, mais il est probable qu'HP élargira son partenariat » souligne Bernard Bombes de Villiers. Il se veut rassurant, car, pour la plupart, les personnes chez Antemeta ont travaillé avec HP. Pour mémoire, David Scott a été pendant quelques années, responsable de l'activité stockage chez HP. Le revendeur est donc confiant dans l'avenir de son activité.

Illustration : Bernard Bombes de Villiers, directeur marketing et commercial d'Antemeta

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(06/09/2010 16:22:08)

Les clients de VMware restent méfiants vis à vis de Hyper-V

Les clients de VMware venus assister au salon VMworld 2010, ont finalement pu voir de près la plate-forme de virtualisation Hyper-V de Microsoft. Comparée avec la solution du leader, ils estiment que la technologie de l'éditeur de Redmond manque un peu d'ampleur et qu'il leur serait difficile de reprendre tout à zéro après avoir investi massivement dans la solution de VMware. Cet investissement implique non seulement de l'argent, mais aussi le temps et les formations qu'il leur a fallu pour améliorer leurs connaissances du système de virtualisation sur x86 le plus répandu au monde. "En quelque sorte, c'est comme si nous dirigions une boutique VMware. Nous tenons à l'expérience que nous possédons dans ce domaine, à ce que nous savons faire le mieux," a, par exemple, déclaré Chris Bennett, administrateur VMware ESX pour le cabinet d'avocats londoniens Linklaters.

Le cabinet, qui a virtualisé 80% de ses serveurs avec VMware, avait récemment envisagé d'adopter la technologie Hyper-V - l'utilisation de l'add-on gratuit pour Windows Server, aurait notamment permis d'économiser un peu d'argent - pour virtualiser les serveurs de ses petites succursales à travers le monde. Mais Linklaters est finalement resté fidèle à VMware afin d'éviter des complications de gestion informatique. Ainsi, le cabinet peut utiliser les mêmes modèles de machine virtuelle dans ses antennes régionales que celles de son datacenter principal. "C'est essentiellement la connaissance que nous possédions de VMware en interne qui a motivé notre choix de ne pas nous orienter vers Hyper-V," a déclaré Chris Bennett. "Mise à part la connaissance que les clients ont de la technologie VMware, les accords de licence entreprise (ELA) passés sur le long terme pour l'utilisation du logiciel de virtualisation rend la transition difficile," explique Nik Gibson, consultant pour les usages bureautique chez Forsythe, un cabinet de conseil en technologie et par ailleurs ancien de VMware et de Citrix.  "VMware a fait une belle opération en liant ses clients par des accords de licence de ce type. Il est clair que, lorsque l'on a investi lourdement, on est moins tenté d'introduire un autre hyperviseur," explique-t-il. "VMware a fait un excellent travail de verrouillage qui engage de nombreux gros clients."

Hyper-V, un bon produit pour le test

Pour Chris Bennett, Hyper-V est un bon produit dans l'ensemble et certains membres de son équipe l'utilisent même de manière informelle, notamment pour le test et le développement. Le seul problème majeur tient, selon lui, à la manière dont le logiciel de virtualisation de Microsoft organise le stockage, qui, estime-t-il, est plus compliquée et plus difficile à gérer qu'avec VMware. Josh Gray, ingénieur système à la banque Aurora de Denver, qui a installé VMware pour le déploiement de ses serveurs virtualisés, fait la même remarque: «Je me suis brièvement amusé avec Hyper-V lors d'une session Microsoft, et je me suis rendu compte qu'il fallait plus d'étapes pour connecter des unités de stockage à des machines virtuelles dans Hyper-V que dans VMware." Du coup, il juge le processus de gestion un peu plus compliqué. "Microsoft a un long chemin à parcourir dans la virtualisation, un peu comme pour leurs téléphones mobiles", a-t-il estimé. "Il faudra vraiment qu'il apporte quelque chose de plus révolutionnaire pour prendre des parts de marché."

Raci Dearmas, ingénieur principal à l'Overlake Hospital de Bellevue (Washington), a également testé la technologie Hyper-V: "Elle est beaucoup plus complexe à gérer. Mais ce n'est pas tout. Nous avons déjà une équipe très habituée à VMware. Aller vers quelque chose de totalement différent et avoir deux systèmes distincts à gérer n'était pas idéal pour nous." D'autant que pour lui, la configuration des réseaux locaux virtuels s'avérait problématique avec Hyper-V. "C'est juste un produit moins mature,» a commenté son collègue, Joseph Wolfgram, directeur informatique de l'hôpital. Jason Morris administrateur systèmes chez Fermilab, un autre client VMware basé dans la banlieue de Chicago, affirme qu'il n'a pas encore essayé Hyper-V, mais considère que le prix élevé de VMware fait de Microsoft une alternative. L'ajout récent de la migration en direct rend aussi le produit plus viable. "Le coût de VMware rend sans aucun doute Hyper-V un peu plus intéressant et je vais le considérer de plus prêt,» a-t-il déclaré.

Des clients mis en avant par Microsoft

Microsoft tente de faire valoir que Hyper-V peut même être adoptée par les plus gros clients, signalant que CH2M Hill, une entreprise classée 520 au Fortune 500, envisage de délaisser progressivement VMware pour Microsoft. Mais CH2M Hill précise qu'il faudra trois à cinq ans à l'entreprise pour réaliser cette mutation, notamment à cause des licences logicielles et des contrats de maintenance existant. Mike Neil, le patron de la virtualisation chez Microsoft, affirme que la part de marché d'Hyper-V croit plus rapidement que celle de VMware. "Je suis assez confiant, nous sommes sur la bonne voie,' a-t-il déclaré. "Nous avons réussi à convaincre certains clients à le déployer dans leurs environnements." Paul Maritz, le PDG de VMware, s'est empressé de tempérer l'argument des parts de marché, faisant valoir que VMware était encore le leader incontesté en matière de déploiements de systèmes de virtualisation à grande échelle. Pour lui que l'augmentation des parts de marché de Microsoft tient essentiellement au nombre de personnes qui font appel à la technologie Hyper-V pour de petits projets. «En termes d'utilisation, nous possédons, et de très loin, la plus grosse part du marché des hyperviseurs installés dans les grandes entreprises », a t-il déclare lors d'une session de questions/réponses avec les journalistes. "Cela étant dit, Microsoft est clairement une entreprise qui dispose d'énormes ressources." Rappelons que Paul Maritz a travaillé de 1986 à 2000 pour l'éditeur de Redmond. Il connaît très bien  la firme et son mode opérationnel...

Un public déjà conquis pas les outils VMware

Certes, il n'est pas étonnant que les participants du VMworld 2010, une manifestation destinée à la clientèle de VMware, disent se méfier d'Hyper-V de Microsoft. Mais presque toutes les sociétés du classement Fortune 1000 utilisent VMware, et toutes les entreprises du Fortune 100 sont aussi des clients VMware. Microsoft aura du mal à convaincre la majorité de ces clients à changer, mais la solution de Microsoft est certainement une option pour les petites entreprises qui commencent à aller vers la virtualisation. "La clientèle qui s'intéresse à Hyper-V est généralement motivée par l'avantage financier. Ce sont aussi de nouveaux clients qui mettent en oeuvre leur premier déploiement de virtualisation," explique Anoj Willy, chef de projet pour INX, un revendeur, partenaire de Microsoft et de VMware. Pour Chris Bennett, s'il devait aujourd'hui démarrer un projet de virtualisation, entre VMware, Microsoft et Citrix XenServer, il choisirait quand même VMware à cause de ses applications de production.

Selon Anoj Willy,"même si Microsoft a amélioré la technologie Hyper-V, celle-ci reste en deçà de VMware en termes de taux de disponibilité et de stabilité. Malgré la migration en direct qu'elle offre aujourd'hui, Hyper-V ne peut pas déplacer en même temps autant de machines virtuelles contrairement à VMware," a-t-il ajouté. "En terme de capacité de production, ce n'est tout simplement pas comparable," a déclaré Anoj Willy, qui note cependant que "Microsoft est un géant" qui dispose d'un gros budget marketing et R & D, et une «capacité à se faire une place sur des marchés» dominés par d'autres. Mais pour le moment, Nik Gibson constate que la demande pour la solution Microsoft reste faible, en tout cas quand il s'agit de la plate-forme de virtualisation serveur que les clients utilisent en back-end de leurs déploiements de bureaux virtuels. «Je n'ai pas vu beaucoup d'Hyper-V," a-t-il déclaré. Mais "c'est sans doute aussi parce que nous traitons principalement avec de grands comptes."

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(02/09/2010 16:44:22)

3Par : HP propose 33 dollars et Dell renonce (MAJ)

A quelques minutes de la fin de la période pour surenchérir sur l'offre d'HP, qui était de 30 dollars par action, Dell a proposé 32 dollars (soit 2,3 milliards de dollars). Mais HP entend bien ne pas lâcher l'affaire et offre à 33 dollars par action (soit 2,4 milliards de dollars). Le conseil d'administration de 3Par n'a pu que constater que l'offre d'HP était supérieure. Dell a annoncé qu'il renonçait. Certains analystes estimaient récemment que 33 dollars seraient le prix plafond pour une telle opération.

3Par poursuivit pour violation de brevet


Effet d'aubaine ou réalité, une entreprise du nom de Crossroads Systems a déposé une plainte pour violation de brevets contre plusieurs sociétés D-Link, Rorke Data, Chelsio Communications, DataCore Software, iStor Networks, American Megatrends et surtout 3Par. Pour ce dernier, l'infraction concerne 7 modèles de serveurs de la gamme InServ, ainsi que l'Inform OS de 3Par. Crossroads Systems produit des routeurs et des ponts de stockages, une appliance de sécurisation des bases de données, des solutions de chiffrement et de migration des données.

Aucun commentaire n'a été apporté par 3Par, qui on s'en doute, a d'autres préoccupations actuellement.

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(02/09/2010 16:11:08)

VMworld 2010, le salon des rivalités VMware/Microsoft, a fermé ses portes

Retour en 10 points sur le VMWorld 2010 qui clôture ses portes ce jeudi.

1. Cette année, le VMworld a attiré 17 021 participants inscrits, soit en nette progression par rapport aux 12 488 inscrits de l'année dernière. Parmi eux, 4 000 n'avaient jamais participé à la manifestation auparavant et 55 n'ont jamais raté un seul VMworld depuis sa création en 2004. Le salon les a distingués en leur offrant une place spéciale sur la scène pendant le keynote.

2. L'exposition a également attiré plus de 200 sponsors et exposants, dont des sponsors de premier plan comme Cisco, Dell, EMC et NetApp. 170 sessions ont été consacrées à expliquer le fonctionnement de la technologie de virtualisation à ceux qui le souhaitaient, et surtout à parler de VMware.

3. L'une des sessions intitulées "L'avantage de VMware sur Microsoft pour la mise en place d'un cloud privé : un comparatif point par point," visait, avant tout à éclairer les clients afin de leur permettre de "prendre des décisions fondées sur des faits pour savoir où investir." La séance, dirigée par des cadres de VMware, a permis d'exposer de manière "tout à fait impartiale" les technologies de VMware et de Microsoft.

4. Pendant ce temps, Microsoft faisait paraître un encart pleine page dans le journal USA Today pour déconseiller aux clients de signer des contrats de trois ans avec VMware. Paul Maritz, le PDG de VMware, et ancien dirigeant de Microsoft Windows, a qualifié la pub de "témoignage sincèrement flatteur," tout en faisant remarquer que " en parlant de verrouillage (lock-in), Microsoft s'affiche comme l'hôpital qui se moque de la charité." Au passage, Microsoft n'a pas manqué d'égratigner son concurrent, faisant valoir que VMworld limitait les règles de concurrence. Mais l'éditeur a finalement offert des démonstrations de sa plate-forme cloud Windows Azure aux participants.

5. La cérémonie d'ouverture a été animée par les grandes vedettes, tentées par quelques entrées en scène humoristiques : Herrod Stephen, CTO de VMware et d'autres ont enfourché des scooters pour se déplacer d'un côté à l'autre de la scène. Ou encore, cette vidéo inspirée du film Matrix, où Oracle explique que le cloud est partout et que nos esprits sont tout simplement devenus des «terminaux passifs». Elle compare également le cloud computing avec le déroulement d'une commande de pizzas, des gags à l'américaine plutôt bien accueillis par le public.

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6. EMC, le propriétaire de VMware, a figuré en bonne place en tant que sponsor, mais pour l'essentiel, sa participation majoritaire dans l'éditeur Palo Alto n'a pas été évoquée. EMC s'est simplement positionné comme un partenaire de Vmware - certes le plus important - apparaissant même sur un panneau comme "EMC : n° 1 du stockage pour VMware."

7. Comme toujours, l'exposition a étalé quelques présentations délirantes. Le vendeur Kingston Technology a accueilli un concours Guitar Hero; le stand de CA Technologies a mis des femmes sur des échasses, et le stand géant de VMware arborait une page du playbook d'Apple affublé d'un Genius Bar.

8. Le réseau qui a alimenté les sessions de travail était composé d'une infrastructure à 10 Gigabits, agrémenté de liaisons directes avec Terremark et les installations de Verizon en Floride et en Virginie; il offrait une capacité de stockage de 244 To; sans compter les 352 serveurs, les 736 sockets CPU et les 3072 coeurs de processeur. Globalement, 125 000 machines virtuelles ont été déployées au cours de la conférence pour satisfaire 12 500 sessions de travail.

9. 3Par, un vendeur de solutions de stockage, qui fait actuellement l'objet d'une guerre aux enchères à coup de milliards de dollars entre HP et Dell, avait beaucoup d'argent à dépenser au VMworld pour faire la promotion du stockage virtualisé dans son immense stand. Il a même offert une télévision 3D.

10. VMware s'est vanté d'avoir 190 000 clients, de "AstraZeneca à Zappos" et a fait remarqué que 2009 a été la première année où le nombre de serveurs d'applications déployés sur des infrastructures virtualisées dépassait le nombre d'applications déployées sur des machines physiques. «Le nombre de systèmes d'exploitation tournant sur des machines virtuelles dépasse désormais celui des systèmes tournant sur des machines physiques," a déclaré Paul Maritz.

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(02/09/2010 16:27:56)

WMworld 2010 : Les annonces produits du salon

VMware vCloud Director


Anciennement connu sous le nom de Projet Redwood, vCloud Director de VMware étend les capacités de mise en commun des ressources dans la plate-forme de virtualisation vSphere avec pour objectif de construire des réseaux cloud. VMware mentionne que cela permet aux équipes informatiques de créer "des groupes logiques de calcul, une mise en réseau, des ressources de stockage avec des politiques de gestion, des niveaux de service SLA et des prix définis". La solution vCloud Director délivre des services informatiques aux utilisateurs dans un système en libre-service totalement automatisé.


Prix
: à partir de 3 750 dollars pour 25 VM


Citrix XenDesktop 4 Feature Pack 2



Citrix cible la sécurité des PC portables dans la dernière version de son logiciel de virtualisation du poste de travail. XenVault sauvegarde automatiquement les données créées par les applications professionnelles dans un dossier chiffré. XenClient est quant à lui un hyperviseur installé directement sur le matériel de la machine, qui isole les postes de travail de l'entreprise des applications personnelles de l'utilisateur.

Prix : de 75 dollars à 350 dollars par utilisateur


RSA Solution for Cloud Security and Compliance



L'offre de RSA (filiale de EMC, tout comme VMware) est un service gérant la sécurité, le risque et la conformité réglementaire dans les infrastructures de cloud computing. Ce service fournit des tableaux de bord de la sécurité et de la conformité à travers l'infrastructure physique et virtualisée. La solution propose également une bibliothèque de contrôles de sécurité dans le logiciel RSAArcher, qui comprend plus de 100 contrôles spécifiques pour VMware, ainsi qu'un workflow et des processus de notification automatisés afin de simplifier la réponse aux problèmes de sécurité.

Prix : à partir de 110 000 dollars

HP  CloudStart



Cette solution proposée par HP est une combinaison de matériel, de logiciels et de services dédiée à la construction de clouds privés. La solution comprend des services d'intégration et de conseil ainsi que la plate-forme de convergence BladeSystem Matrix de HP qui réunit un serveur, du logiciel, du stockage et du réseau. Avec cet outil, un cloud privé peut être monter en 30 jours selon HP.

Prix : à partir de 250 000 dollars

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VMware vShield



La ligne de produits de sécurité vShield de VMware s'élargit avec de nouveaux outils dont vShield App. Ce dernier protège les applications des menaces internes en s'assurant qu'elles sont correctement segmentées et en faisant respecter les règles définies par l'entreprise en matière de groupes de sécurité. Un autre outil, vShield Edge, crée des services analogues aux périmètres d'une DMZ (zone de sécurité démilitarisée, entre l'entreprise et internet) et fournit des services réseau tels que DHCP (Dynamic Host Protocol Network), des VPN (Virtual Private Network), du NAT (Network Adress Translation) ainsi que de l'équilibrage de charges.

Prix : à partir de 1 250 dollars pour 25 VM


FalconStor Network Storage Server SAN Accelerator pour VMware View



Ce système de stockage sur disques SSD est conçu pour accroître la performance des postes de travail virtuels créés avec VMware View, tout en fournissant une protection des données à plusieurs rangs (multi-tiers) pour tous les réservoirs de données des utilisateurs, ainsi que la sauvegarde et la restauration pour chaque poste de travail virtuel. La restauration de fichiers en mode libre-service est aussi fournie aux utilisateurs individuels de postes de travail virtualisés.

Prix : 35 dollars en moyenne par poste de travail virtuel

Gluster VMStor



Ce logiciel réduit les frais de stockage de machines virtuelles en supprimant le besoin d'utiliser des systèmes basés sur un SAN (réseau de stockage) qui s'avèrent toujours très coûteux. La solution, qui fonctionne sur des baies x86 très répandues, offre des copies instantanées (snapshots) des répertoires de VM, une sauvegarde sur un cloud ainsi que l'intégration avec une interface utilisateur VMware.

Prix : à partir de 1 500 dollars par noeud de stockage par année

MokaFive Suite avec BareMetal Player



Ce logiciel de virtualisation du poste de travail "bare-metal" de MokaFive s'installe directement sur le matériel d'un PC, plutôt qu'au dessus d'un système d'exploitation, fournissant potentiellement une meilleure isolation entre les machines virtuelles. MokaFive revendique le fait que BareMetal Player va simplifier la gestion des postes de travail tout en permettant aux employés d'amener leur propre PC portable au travail.

Prix : 150 dollars par utilisateur par an

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Cloud.com CloudStack



Ce logiciel Open Source de création de cloud supporte désormais le logiciel de virtualisation vSphere 4.1 de VMware ainsi que les outils de gestion vCenter Server.

Prix : gratuit en tant qu'Open Source et 10 000 dollars par an pour l'enterprise edition


SolarWinds VM Console



Cet outil de gestion de la virtualisation crée un tableau de bord qui suit les machines virtuelles et permet de les éteindre et de les redémarrer sans avoir besoin d'un professionnel de l'informatique pour se connecter au superviseur de VMware. L'outil est conçu pour accélérer le processus de réanimation des machines virtuelles, présentes dans des environnements VMware, qui ne répondent plus.

Prix : gratuit

Akorri BalancePoint



Cette version de BalancePoint de Akorri utilise des analyses prédictives pour détecter automatiquement des problèmes de performance des centres informatiques. D'autres caractéristiques comprennent l'analyse de l'utilisation du disque, le support pour Hyper-V de Microsoft et un support étendu du stockage multi-fournisseurs.

Prix : à partir de 8 750 dollars pour 5 To.


Isilon Systems OneFS



Le protocole iSCSI est désormais intégré au système d'exploitation OneFS d'Isilon. Ce dernier permet aux utilisateurs de "consolider les applications basées sur le mode fichier ou sur le mode bloc dans un stockage unique et partagé", ce qui améliore les performances de stockage pour les machines virtuelles. Le support du iSCSI, basé sur le mode bloc, a été ajouté au support existant pour les protocoles basés sur le mode fichier tels que CIFS, NFS, HTTP ou FTP.

Prix : à partir de 50 000 dollars

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Integrien Corporation AliveVM



Les outils de gestion de la performance en temps réel AliveVM d'Integrien Corporation pour les administrateurs VMware fournissent davantage de visibilité sur des performances grâce à de l'analytique et à des visualisations conçues pour accélérer la résolution de problème. "Ce nouveau logiciel effectue une analyse comportementale continue et détaillée de l'ensemble de l'environnement virtuel et affiche ses résultats dans une interface en fournissant des données critiques de la performance sur la santé, la charge de travail et la capacité de chaque élément virtuel" annonce le fournisseur.

Prix : 2 500 dollars pour 100 VM

Aspera faspex Server 2.0



Le logiciel de livraison de fichiers faspex Server d'Aspera crée une interface e-mail simple pour les utilisateurs et utilise le logiciel de transfert de fichiers de l'éditeur en arrière-plan pour permettre un transfert rapide de fichiers volumineux. "Les utilisateurs ont accès à faspex Server via une interface web ou un logiciel client sur un PC de bureau, et envoient des données de la même manière qu'ils envoient un e-mail" selon l'éditeur. "Les destinataires sont informés par e-mail et peut rapidement télécharger les fichiers via Aspera".

Prix : 11 000 dollars pour une licence 10 Mbit/s et 20 comptes

Embotics V-Commander 3.6



Cette version du système de gestion de la virtualisation V-Commander supporte désormaise jusqu'à 15 000 machines virtuelles. Elle fournit une gestion de la capacité, de la configuration et de la performance, ainsi qu'un portail en libre-service, des rapports automatisés, une gestion des VM en temps réel, une gestion du cycle de vie des VM avec une automatisation déterminée par la politique définie par l'administrateur, ainsi que la gestion des changements et leur audit, et un support pour VMware et Hyper-V de Microsoft.

Prix : 400 dollars par socket par an

Wanova Mirage 1.5



Cette mouture de la plate-forme de virtualisation du poste de travail Mirage 1.5 de Wanova pour la gestion des ordinateurs distants et des PC portables travaille désormais avec Windows 7, et intègre un assistant pour migrer les PC de XP vers Seven via un réseau longue distance WAN. Elle offre également un usage plus efficient du stockage.

Prix : à partir de 200 dollars


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System Generation 4 Recerunner Operating




La quatrième génération de l'OS de WhiTail Tech sera disponible sur la solution de virtualisation Virtual Dektop XLR8r du même fournisseur et le Datacenter XLR8r pour du SAN. Cette version du système d'exploitation accélère les entrées/sorties, réduit le délai de latence et améliore les performance de duplication.

Prix
: à partir de 49 000 dollars pour 1,5Tb

HyTrust Appliance



La mise à jour de l'appliance HyTrust apporte l'adoption de modèles de service de Cloud privé, fournit un contrôle d'accès et ajoute des capacités pour une infrastructure plus flexible et une segmentation de réseau virtuel, un mode libre-service contrôlé ainsi que des journaux d'historique détaillés.

Prix : 750 dollars par processeur

Zetta Data Protection



Ce service de protection des données hors-site "comprend l'agent ZettaMirror, qui protège instantanément les données en répliquant de manière sécurisée des sources des données disparates issues de l'entreprise vers le service Zetta Storage, en créant une copie en ligne, disponible, et vérifiée des données des clients" explique le fournisseur. Parmi les caractéristiques il y a également le chiffrement hors site et un historique sur 7 ans.

Prix : à partir de 256 dollars par To par mois

NetApp/Syncsort Integrated Backup



Ce package de sauvegarde associe le matériel NetApp et le logiciel de protection des données de Syncsort pour offrir aux distributeurs de matériel informatique "une solution complète et intégrée afin d'aider des PME à résoudre un large éventail de problèmes de protection des données pour des environnements virtualisés".

Prix : à partir de 70 000 dollars pour 8 To

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Virtensys VIO-4004



Le système de virtualisation I/O VIO-4004 de Virtensys "consolide et virtualise la connectivité au réseau pour un rack de serveurs et fournit jusqu'à 80 Gbit/s de débit soutenu sur Ethernet par serveur" déclare Virtensys. La solution permet une reconfiguration dynamique des serveurs, en complément des déploiements de la virtualisation de serveurs.

Prix : à partir de 25 000 dollars

Wyse PocketCloud for Android



L'application pour poste de travail distant PocketCloud de Wyse est maintenant disponible pour les smartphones Android. Elle donne aux utilisateurs un accès aux fichiers, aux postes de travail et aux applications "sur n'importe quelle infrastructure physique ou virtualisée via un choix de plusieurs protocoles".

Prix : 15 dollars

F5 Networks BIG-IP Management Plug-in for VMware vSphere



Le module complémentaire pour la solution BIG-IP Local Traffic Manager de F5 Networks simplifie les tâches administratives communes pour les clients utilisant la plate-forme de virtualisation vSphere de VMware. Il réduit le risque d'erreur et permet une automatisation basique.

Prix : à partir de 18 000 dollars

Aria Systems Cloud Revenue Adapter for vCloud Director



La plate-forme de paiement d'Aria Systems intégrée au logiciel vCloud Director de VMware facilite l'implémentation de paiement à l'usage pour les fournisseurs de services en délivrant "une information sur l'usage, dont le nombre d'instances virtualisées, la mémoire, le stockage, la bande-passante du réseau utilisés ainsi que les processeurs".

Prix : 500 dollars par mois

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(02/09/2010 11:40:35)

PAC : les logiciels et les services français revigorés

Sur le marché informatique, les indicateurs repassent au vert, les uns après les autres. Le 25 août dernier, le cabinet Gartner annonçait que le marché français des PC était le plus dynamique en Europe et qu'il devançait en volume - grâce à une croissance de 29% pour le 2ème trimestre 2010 par rapport à la même période de 2009 - les ventes en Allemagne.

Aujourd'hui, c'est le cabinet Pierre Audoin Consultants qui apporte une note supplémentaire d'optimisme. Lui aussi estime que, dans le secteur des logiciels et des services informatiques cette fois, le marché reprend son souffle et se porte mieux que ses homologues européens. « Les petites et moyennes structures sont une nouvelle fois celles qui profitent les premières du regain des commandes, précise Simon Philibert, Responsable des Etudes chez PAC. Elles ont pu être plus réactives pour réduire leurs besoins en trésorerie et ont été les premières à embaucher à nouveau. La manoeuvre est logiquement plus complexes pour les grandes SSII, qui doivent gérer une inertie plus ample ne lancent qu'aujourd'hui de nouveaux programmes de recrutements ».

En ce qui concerne le nombre de défaillances d'entreprises, PAC note également une nette amélioration après une année 2009 particulièrement difficile. « Les moyennes et grandes SSII résistent cette année beaucoup mieux que nous ne l'imaginions, explique Simon Philibert. Quant à l'amélioration pour les petites structures, elle est évidente mais difficile à quantifier précisément, car elle concerne principalement les indépendants, free lances et auto-entrepreneurs qui se sont multipliés en 2009 et dont le suivi est très complexe ». En d'autres termes, les statistiques resteraient « plombées » par les résultats en demi-teintes des principales SSII, dont la communication vers les cabinets d'étude est évidemment la plus structurée.

Main d'oeuvre : une nouvelle pénurie ?

Dans ce contexte, PAC anticipe d'ailleurs une prochaine pénurie de main d'oeuvre sur le marché des logiciels et services IT, ce qui ne manque pas de surprendre après les discours pessimistes qui ont prévalu au cours des derniers trimestres. En fait, le mécanisme de cette raréfaction serait pourtant relativement logique : les recrutements ont essentiellement été le fait de petites et moyennes SSII et ont concerné les secteurs les plus dynamiques, tous liés à l'externalisation des systèmes d'information (SaaS, virtualisation, cloud computing, administration des grands datacenters, etc). Aujourd'hui que les grands noms des services IT lancent leurs propres campagnes de recrutement sur ces profils, les réserves de compétences dans ces domaines commencent déjà à se faire rares.

« Ces deux dernières années, le marché avait d'abord été porté par le secteur public et les acteurs des « utililities » (NDLR : c'est-à-dire principalement les filières de l'énergie). On observe aujourd'hui un rebond de la demande dans les secteurs banque-finance-assurance, y compris dans le domaine du conseil qui avait été le premier touché fin 2008. Il y a deux principales explications à cela : d'une part, les entreprises de ces filières constatent qu'elles ont moins souffert qu'elles ne le craignaient ; d'autre part, de nouveaux impératifs réglementaires, comme Bâle III, les obligent à engager de nouveaux dans les TIC. », conclut Simon Philibert.

 

Crédit Photo: D.R

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(01/09/2010 14:46:57)

VMworld 2010 : Dell repense ses datacenters modulaires

Les premiers datacenters modulaires, y compris celui présenté par Dell il y a deux ans, utilisaient des conteneurs de transport standard pour abriter des serveurs et autres matériels informatiques. Les conteneurs sont certes robustes, relativement bon marché et très faciles à transporter, mais certains vendeurs les trouvaient trop rigides. Le dernier modèle de Dell a abandonné le concept conteneur pour un squelette en acier supportant 12 racks serveurs standard répartis sur deux rangs, avec un espace central pour la maintenance. Dell a indiqué qu'il était possible d'assembler trois ou quatre structures de ce type selon les besoins en calcul. Les unités électriques et de refroidissement sont également modulaires. Les éléments de refroidissement par évaporation ou à base d'eau - le choix dépend du climat local - sont fixés au sommet de la structure et une alimentation redondante est accrochée en bout de ligne. «Ces unités sont produites pour un nombre limité de clients", a déclaré Steve Schuckenbrock, responsable du département Grands Comptes chez Dell, lors d'une conférence qu'il a tenu lors de la convention VMworld 2010 à San Francisco. Les systèmes sont vendus par le groupe Data Solutions Center de Dell, qui fournit également des serveurs personnalisés, et vise uniquement les très grandes entreprises. Mais Dell a vendu certains de ses serveurs DCS à de petites entreprises et pourrait éventuellement faire de même avec ses datacenters modulaires si la demande est suffisante.

Une offre qui s'étoffe

Des fabricants de serveurs comme Hewlett-Packard, IBM et SGI, mais aussi des fournisseurs d'équipements électriques comme APC et Active Power, vendent également des centres de calcul modulaires. Le fournisseur de services de colocation i/o Anywhere, qui s'est aussi placé sur ce marché, a de la même façon laissé de côté les conteneurs standard pour leur manque de souplesse. Les datacenters modulaires ont trouvé leur créneau, car ils permettent d'apporter de la capacité de calcul sans que l'entreprise ait à construire un centre de données coûteux avec plancher surélevé. "Un des clients de Dell les stocke dans un entrepôt," a même indiqué Steve Schuckenbrock. Ces unités, capables de concentrer beaucoup de puissance de calcul dans un petit espace, ont également un haut rendement énergétique. Elles attestent aussi d'un changement, au moment où les entreprises veulent construire des clouds privés et publics tout en cherchant à maintenir leur capital et à réduire leurs coûts opérationnels. HP a franchi une étape supplémentaire, proposant un datacenter modulaire de 24 000 mètres carrés qui peut être assemblé sur place à partir d'éléments préfabriqués. «L'infrastructure va changer à mesure que nous construisons ces clouds publics et privés," a ajouté le responsable de Dell, annonçant que "les centres de calcul vont évoluer de façon spectaculaire."

Illustration : Steve Schuckenbrock, responsable du département Grands Comptes chez Dell, crédit D.R.

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(01/09/2010 11:37:55)

VMWorld 2010 : VMware place Java dans le cloud

La plateforme d'application cloud de VMware  s'appuie sur le célèbre Framework de Spring pour le développement Java et sur le dernier produit de la société, vFabric. Ce dernier propose déjà des outils de SpringSoruce tels que la gestion des données, la messagerie et la répartition de charge dynamique. Les 2,5 millions d'utilisateurs de Spring seront les premiers à inaugurer cette plateforme. «In fine, nous pensons apporter une architecture de cloud computing  propice à l'avenir de Java », a déclaré Shaun Connolly, vice-président produit d'EMC VMware et d'ajouter « jusqu'à présent, il n'y avait pas de vision claire pour le cloud à destination des développeurs Java ».

Les applications sur la plateforme de cloud de VMware peuvent partager des informations avec l'infrastructure sous-jacente pour dynamiser les performances des logiciels, la qualité de service et de l'utilisation des infrastructures. Les techniciens peuvent déployer vFabric l'intérieur d'un centre de calculs, dans les clouds publics tels que VMforce ou des fournisseurs de services vcloud.

Cette plateforme comprend :

-TC serveur, une version entreprise du serveur Apache Tomcat Java

- les logiciels de gestion des données GemFire

-RabbitMQ, serveur de messagerie, de communication entre les applications à l'intérieur et à l'extérieur du datacenter

-ERS (Enterprise Ready Server), qui est une version entreprise du serveur Web Apache capable de gérer dynamiquement la répartition des charges.

-Hyperic, pour la gestion des performances applicatives

« VFabric VMware peut fonctionner avec la solution  vSphere, qui automatise le provisionning et la configuration, a dit Shaun Connolly. Spring et VMware Application Platform Services sont disponibles en téléchargement. VMware prévoit que le service basique vFabric  débutera à 500 dollars par CPU. « Cette plateforme est destinée au marché des clouds privés », indique l'analyste Karin Kelley, du cabinet 451 Group et de compléter, « elle est la base de la couche middleware nécessaire à la création d'un cloud privé  d'entreprises souhaitant faire des applications Java ».

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(31/08/2010 12:25:32)

Une solution EMC/Intel/VMware pour géolocaliser les VM

A l'occasion de la convention VMWorld à San Francisco (du 30 aout au 2 septembre), EMC met en avant une technologie permettant de suivre et de vérifier la position des machines virtuelles dans les réseaux de cloud, résolvant potentiellement un des principaux problèmes freinant les clients potentiels de ce type de services. A cause du FISMA, le Federal Information Security Management Act, les clients plaçant des données sensibles dans des solutions Cloud ont besoin de savoir que les machines virtuelles accueillant leurs données restent dans leur pays, explique Chad Sakac, vice président de l'alliance technologique VMware chez EMC. Ce qui est un problème pour des fournisseurs de solutions Cloud à l'instar de Terremark, partenaire d'EMC, qui gère des centres informatiques sur plusieurs continents et qui utilise une technologie de migration en temps réel pour déplacer des machines virtuelles d'un pays à l'autre.

Suivre à la trace ses VM

« Aujourd'hui, il n'y a rien qui permette de vérifier où se trouvent les machines virtuelles », reconnaît Chad Sakac. « Il n'y a rien qui vous empêche de transférer une machine virtuelle d'un endroit à un autre dans le monde, et plus important, il n'y a aucun moyen de savoir ou vous l'avez déplacée quelle que soit l'échelle de ce déplacement », poursuit-il.
Lors du salon VMworld de San Francisco, EMC devrait montrer en avant-première une technologie qui combine ses propres outils de sécurité RSA avec des logiciels de virtualisation de VMware et des fonctionnalités de sécurité basées sur du matériel Intel« pour assurer l'isolation des charges de travail encadrées et du matériel de confiance ». La technologie, que EMC décrit comme étant de la « géolocalisation » puisqu'elle s'assure que les machines virtuelles restent dans un espace géographique prédéterminé, devrait arriver sur le marché au début de 2011.

Illustration : Chad Sakac, vice président de l'alliance VMware chez EMC, crédit photo D.R

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En théorie, la combinaison de technologies pourrait être utilisée automatiquement pour éviter les mouvements des machines virtuelles d'un endroit à un autre au cas où les règles du FISMA sont violées. Mais Chad Sakac affirme que les clients EMC ont émis un avis mitigé sur le fait qu'ils veulent un contrôle soit automatisé soit manuel. « En ce qui concerne la sécurité le plus important est de pouvoir vérifier et de laisser la décision à l'humain vue la complexité de la situation », poursuit Chad Sakac.

Cette annonce particulière s'est construite autour d'une démo à la RSA Conference qui a eu lieu plus tôt dans l'année, qui avait combiné de la technologie RSA avec celle d'Intel et de VMware pour créer des règles de confiance sur les serveurs virtualisés. La colonne vertébrale de la technologie est fournie par la technologie TXT, ou Trusted Execution Technologie, d'Intel qui crée un système dans lequel les applications peuvent fonctionner dans un espace protégé qui est isolé de tout autre logiciel.

Google travaille aussi sur une solution de ce type

Le triumvirat EMC/VMware/Intel n'est pas la seule association de fournisseurs à travailler sur le problème de la conformité FISMA dans le Cloud et les infrastructures virtualisées. Google a annoncé que ses application en Cloud Google Apps étaient certifiées FISMA mais seulement pour les clients gouvernementaux. EMC espère que son système permettra aux fournisseurs de Cloud public de promettre une conformité FISMA à un plus grand nombre de clients.

Le géant du stockage, qui possède VMware, va faire une autre annonce cette semaine au VMworld au sujet de la conformité au-delà de la régulation avec des standards tels que  HIPAA ou PCI-DSS. « Le problème réside dans la création d'une attestation pour montrer que les fournisseurs de services vont passer un contrôle qui démontre leur conformité » relève Chad Sakac. EMC va lancer « La solution RSA pour la sécurité et la conformité du Cloud » qui utilise la technologie Archer de RSA pour fournir un tableau de bord permettant de contrôler la sécurité et la conformité des infrastructures physiques ou virtuelles, une bibliothèque de contrôle de sécurité spécifique aux environnements virtualisés ainsi que plusieurs outils d'automatisation et de notification.



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