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Cloud computing

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(20/04/2010 11:30:21)

Aux Etats-Unis, le cloud progresse, mais les frustrations aussi

Aujourd'hui, le cloud se développe un peu de manière anarchique, mais cette croissance entraîne une certaine frustration, un mot que l'on entend de plus en plus dans les discussions sur les services hébergés. Par exemple, les clients du cloud et aussi certains fournisseurs, tempêtent contre le manque d'information sur les données et sur les standards de sécurité. Certains pointent du doigt l'absence de règles qui imposent aux fournisseurs de services hébergés d'indiquer la localisation des données des clients, surtout si elles sont hébergées hors des Etats-Unis et donc non soumis à la loi américaine sur la sécurité.

Lors de la SaasCon 2010, qui s'est tenu au début du mois, Ed Bellis, responsable de la sécurité du système d'information chez Orbitz, agence de voyage en ligne, a expliqué le choix de son entreprise d'utiliser le cloud pour améliorer la productivité et recentrer les managers sur leur coeur de métier. Néanmoins, le dirigeant interpelle les différents acteurs en demandant d'urgence des standards de sécurité pour le cloud. Orbitz, qui est à la fois utilisateur et fournisseur de services cloud, indique qu'il doit répondre à des exigences de sécurité à tous les niveaux, allant de l'enquête sur site à l'inspection des datacenters.

Des standards et du poids


Les normes élaborées par la Cloud Alliance Security, un groupe sans but lucratif financé par les utilisateurs et les fournisseurs de cloud pourrait constituer une solution. Les normes devraient afficher les données dans un format commun, permettant aux clients, selon Ed Bellis de savoir exactement « quelle est notre position sur la sécurité ». Le responsable indique que l'existence de telles normes réduirait d'un tiers son travail d'enquête.

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De son côté, Keith Waldorf, vice-president des opérations de Doctor Dispense, spécialiste dans la e-prescription, a été très critique sur l'inflexibilité et les termes des contrats de certains fournisseurs. Il donne comme exemple, un accord passé dans le domaine matériel et logiciel qui était tellement verrouillé qu'il lui interdisait de profiter des améliorations ou des nouveautés du fournisseur. « Nous avons cassé ce contrat pour chercher un nouveau prestataire » souligne le dirigeant, et de préciser « aujourd'hui les accords sur le cloud sont tous sur le même modèle, à la discrétion des fournisseurs ».

Il est probable que les grandes entreprises infléchiront cette orientation lors de la négociation de leur contrat. Ainsi, dans le contrat pour l'utilisation des Google Apps, la ville de Los Angeles a demandé à Google d'accepter le paiement de dommages en cas de violation de l'accord de non divulgation. Mais la plupart des utilisateurs n'ont pas le même poids, explique Jim Reavis, fondateur de la Cloud Security Alliance.

(...)

(16/04/2010 17:18:27)

Citrix annonce son hyperviseur Xen 4.0

Pour lutter contre VMware et Microsoft, Citrix introduit plusieurs améliorations substantielles à son hyperviseur maison avec la version Xen 4.0. Les principales modifications portent sur la gestion de la mémoire vive avec l'utilisation d'algorithmes comme Transcendent Memory et Page Sharing pour améliorer les performances. D'autres évolutions incluent une tolérance aux pannes renforcée avec une meilleure synchronisation des échanges entre VM et serveurs physiques et le support des fonctions Race introduites sur les derniers Intel Xeon 7500 (Nehalem-EX). Un nouveau gestionnaire de disques durs virtuels baptisé Blktap2 permet de fournir des snapshots des VM et l'introduction de NetChannel2, améliore les capacités de traitement de données des cartes réseaux. Xen 4.0 prend également en charge une nouvelle option du noyau Linux, le PVOps, qui permet aux administrateurs d'accéder aux périphériques les plus récents.

Ian Pratt, fondateur et président de Xen.org explique à cette occasion que l'explosion du cloud computing dans l'industrie et la demande croissante des entreprises sont les moteurs du développement de la technologie dans la communauté Xen. « Notre hyperviseur est déjà utilisé dans la plupart des clouds  de la planète et nos utilisateurs attendent les avancées de la communauté Xen pour poursuivre le développement de leurs infrastructures virtualisées. L'arrivée de  Xen 4.0 vient répondre à ces attentes. »

(...)

(14/04/2010 16:22:08)

Leo Apotheker retrouve du travail dans le cloud

L'annonce est en ligne sur le site de GT Nexus. Leo Apotheker, ancien dirigeant de SAP AG (qu'il a quitté depuis le mois de février 2010), rejoint le comité exécutif du fournisseur de plate-forme à la demande dédiée à la logistique. Il propose via un portail, une suite logicielle, un réseau pré-connecté de transporteurs et des services de gestion de données.

Pour Leo Apotheker « la prochaine vague des logiciels entreprises sera sur des réseaux de plates-formes comme celle de GT Nexus » et d'ajouter « ces nouveaux systèmes basés sur le cloud ont été conçus pour dépasser les frontières de la simple entreprise en s'interconnectant avec les spécialistes mondiaux du commerce, procurant ainsi une agilité aux sociétés. GT Nexus est à la pointe de cette révolution avec comme axe, le commerce mondial et la logistique ».

Du côté du fournisseur de solutions, on se réjouit de cette arrivée, avec l'expérience de l'ancien responsable de SAP AG.

(...)

(13/04/2010 16:59:16)

SpringSource s'offre un système d'échange entre applications

SpringSource, l'éditeur d'outils Java racheté en août 2008 par VMware, vient d'annoncer l'acquisition de Rabbit Technologies. Ce dernier a développé RabbitMQ, une solution d'échange de messages entre systèmes hétérogènes, applications, bases de données, plateformes de stockage... C'est donc une pierre de plus qui s'ajoute à l'offre de cloud computing que construit VMware. Il s'agit toutefois d'une petite opération financière puisque la société Rabbit, basée à Londres et créée en 2007, ne compte que dix salariés.

L'objectif de VMware consiste à fournir la technologie de virtualisation sous-jacente aux offres de PaaS (platform-as-a-service). Sur le marché du cloud, ces plateformes en ligne proposent des outils pour bâtir des applications que, par la suite, elles pourront aussi héberger. Dans cette stratégie, SpringSource apporte ses outils de développement Java, tandis que l'offre de messagerie RabbitMQ, qui repose sur le standard AMQP (Advanced Message Queuing Protocol), permettra aux applications ainsi mises au point d'interopérer et de ne pas rester enfermées dans un système propriétaire.

Une prochaine annonce avec Salesforce.com

Les systèmes d'échange de messages ont toujours constitué un élément clé de l'infrastructure applicative des entreprises. Rod Johnson (photo ci-dessus), directeur général de SpringSource, souligne toutefois que le cloud requiert des solutions de messagerie interapplicative différentes. L'offre de Rabbit permet aux développeurs de créer des applications complexes en découplant les composants, l'échange de données s'effectuant ensuite entre ces composants, sans nécessité d'en connaître le statut, la disponibilité ou la mise en oeuvre. Rabbit Technologies avait déjà noué des partenariats avec VMware, mais aussi avec Microsoft, Novell et plusieurs autres fournisseurs.

L'annonce de ce rachat par SpringSource vient faire écho aux informations distillées par Salesforce.com au sujet d'un partenariat que la société de Marc Benioff prévoit de dévoiler le 27 avril, conjointement avec VMware.

Illustration : Rod Johnson, directeur général de SpringSource, filiale de VMware


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(13/04/2010 16:53:52)

Google convie 400 CIO pour promouvoir Docs 2.0

Le temps où Google admettait que ses Docs ne possédaient pas la sophistication ou les fonctionnalités de Microsoft Office, appartient au passé. Désormais la suite bureautique en ligne est construite pour pouvoir supporter des améliorations rapides et importantes explique Anil Sabharwal, chef de produit chez Google Enterprise. « Pour les Docs 2.0, nous avons créé une base technologique entièrement nouvelle qui nous permet d'être innovant plus rapidement. »

Pendant longtemps, Google a surtout vanté les capacités collaboratives que son modèle SaaS (Software-as-a-Service) apporte à Docs. Mais la suite bureautique manque de fonctionnalités, empêchant les entreprises de l'utiliser comme une alternative possible à Microsoft Office. En particulier, les utilisateurs se sont plaints des difficultés de mise en forme des documents dans le traitement de texte, les forçant à exporter des fichiers Docs vers MS Office pour résoudre des problèmes de pagination et de réglage de marges. Jusqu'à présent, seule la composante Gmail de Apps a réussi à s'imposer comme une alternative viable aux plateformes de messagerie MS Exchange ou IBM Lotus Notes. Pour ne pas rester un simple outil de complément sur le web, Google entend maintenant pousser Docs pour vraiment concurrencer MS Office.[[page]]Ainsi, Google a annoncé des améliorations des fonctions de mise en forme dans son application de traitement de texte Docs, y compris une meilleure «fiabilité» lors de l'importation et de l'exportation de documents vers et depuis Microsoft Office. L'amélioration des réglages de marges et des taquets de tabulation, un meilleur traitement d'image et une amélioration de la gestion des commentaires dans le document sont également annoncés. L'éditeur de traitement de texte gèrera aussi ce que Google appelle l'édition collaborative en temps réel, ce qui signifie qu'un groupe d'utilisateurs pourra suivre « caractère par caractère » les changements effectués par l'un d'eux sur un document partagé. D'autant que, autre nouveauté, une fenêtre de discussion permet aux collaborateurs de communiquer en direct via la messagerie instantanée.

Le tableur disposera d'une barre de formule pour éditer les cellules, de même que des fonctionnalités de remplissage automatique et de glisser-déposer. L'outil de dessin permettra aussi aux utilisateurs de travailler ensemble en temps réel. Enfin, les documents de ces versions revisitées du traitement de texte, du tableur et de l'outil de dessin seront modifiables simultanément par 50 collaborateurs au plus, et, d'une manière générale, Docs sera aussi, grâce à sa nouvelle infrastructure, plus rapide. A noter cependant, même si ce ne sera que temporaire, que Google prévoit de désactiver la technologie Gears en mode hors connexion de Docs à partir du 3 mai, pour la rétablir dès que celle-ci pourra fonctionner en HTML 5. Les outils Gmail et Calendar continueront eux à utiliser Google Gears.

Déplacer l'usage de la bureautique vers le cloud

Rebecca Wettemann, analyste chez Nucleus Research, qualifie les améliorations apportées à Docs de nécessaires et progressives, sans les juger exceptionnelles. « Ce sont des fonctionnalités que tout le monde attend de ce genre de produits. Elles ne rendent pas les Docs plus utiles que Microsoft Office au point de s'y substituer, » dit-elle. « Néanmoins, ces mises à jour font de Docs une alternative plus crédible à MS Office, et peuvent favoriser Google dans sa campagne de promotion de ses applications en environnement Cloud dans l'entreprise, » ajoute t-elle. « Avec son modèle, l'objectif de Google est d'amener les gens à déplacer leur usage des applications bureautiques vers le cloud. Et plus ses outils seront attractifs, plus Google aura d'arguments pour convaincre les entreprises et les institutions, » poursuit Rebecca Wettemann. Google espère en effet que ses Apps, déjà principalement adoptées par les petites entreprises, gagneront en popularité auprès des grandes organisations. Notamment son édition Premier, dont la licence a été fixée à 50 dollars US par utilisateur et par an, qui, en matière de mode de gestion, de sécurité et de caractéristiques, apporte aux départements informatiques des entreprises ce dont ils ont besoin.
[[page]]Google soutient que ses Apps, développées depuis l'origine sur une architecture informatique Cloud, sont la meilleure alternative - la moins onéreuse aussi - aux plateformes collaboratives et bureautiques traditionnelles de Microsoft, IBM et Novell, d'abord conçues pour être installées chez sur les serveurs des clients. Mais ces fournisseurs réaménagent également leurs logiciels pour tirer parti du modèle Cloud. « Il est important et significatif de voir Google continuer à améliorer ses Docs, a déclaré Ted Schadler, analyste chez Forrester Research. « Google continue d'investir dans ce produit et n'a pas l'intention de le laisser en l'état. Le modèle Cloud lui permettra d'innover plus rapidement, » a-t-il dit. « Ces améliorations régulières vont se poursuivre et accompagner la volonté de faire entrer Docs et Apps dans l'environnement d'entreprise, même si Docs n'est pas encore au même niveau de fonctionnalités que Microsoft Office, » a t-il ajouté.

Les CIO ne cherchent pas forcément à lâcher Office

« Je ne vois pas cela comme une stratégie de remplacement, mais plus comme une stratégie d'augmentation, » précise encore Ted Schadler. « Les CIO et les responsables informatiques ne désirent pas forcément se débarrasser de Microsoft Office. Ils recherchent des solutions aux problèmes de leurs salariés/utilisateurs qui ne sont pas suffisamment bien résolues par Office. L'un d'entre eux, et il est de taille, concerne les fonctionnalités collaboratives au sein de l'entreprise. » En tant que tel, Docs procure aux entreprises une suite bureautique qui facilite la collaboration entre les salariés. « Ils remplacent les échanges par emails et le va-et-vient de multiples fichiers qui restent stockés sur leur PC. Docs offre donc une meilleure solution. »

« Le déménagement des données de leurs serveurs vers les machines de fournisseurs de services Cloud comme Google reste la grande préoccupation des entreprises », avance Rebecca Wettemann. La firme de Mountain View devra probablement répondre à cette question épineuse, lors de sa conférence Atmosphere cloud computing, à laquelle elle a convié près de 400 CIO. Au-delà de l'annonce des améliorations apportées à Docs, Google a prévu de mettre en avant quelques hauts responsables pour répondre à ses invités, y compris Bradley Horowitz, vice-président Gestion produits chez Google, Mario Queiroz, VP Gestion produits Android, Marissa Mayer, VP, chargée de la recherche Produits et Expérience utilisateurs, et Dave Girouard, président de Google Enterprise. Prendront également la parole, Alan Eustace, VP de l'ingénierie et de la recherche, Jeff Huber, VP senior de l'ingénierie et Vint Cerf, promoteur attitré de l'Internet chez Google. Enfin, ce panel sera complété par Marc Benioff, président-directeur général de Salesforce.com et de Vogels Werner, CTO d'Amazon.com.

 

(...)

(13/04/2010 10:00:11)

Vers un standard de migration des données pour le cloud

Avec la spécification CDMI (Cloud Data Management Interface), l'industrie du stockage propose une solution à la migration de données d'un cloud à un autre, qu'il soit de type privé, public ou hybride. Cette norme vise à préserver les métadonnées et les informations que les entreprises stockent dans des clouds. La SNIA travaille à l'établissement de normes pour définir les classes de service pour les données stockées dans un cloud comme la durée de maintien, le nombre de copies devant être conservés et si ces copies doivent être réparties géographiquement, a expliqué Wayne Adams, président du conseil d'administration du SNIA.

Comme les dossiers utilisés pour organiser les données sur le disque dur d'un PC, ces métadonnées peuvent être de type critiques et leur déplacement ne doit pas interrompre le fonctionnement du système d'informations poursuit Wayne Adams. Mais il n'y avait pas encore de normes communes pour la structuration des métadonnées que tous les systèmes de cloud puissent comprendre, précise-t-il.

Les cloud de stockage recueillent des données dans une infrastructure qui peut être répartie sur plusieurs endroits et accessible par un réseau public ou privé. Produits et services se multiplient dans ce domaine pour offrir plusieurs options aux entreprises qui désirent stocker leurs données. Mais si une société souhaite passer d'un service cloud à un autre, ou transférer des données entre des clouds publics et privés, elle peut perdre des informations cruciales quant à l'organisation et la gestion de ces données, pointe le dirigeant de l'association. Le CDMI définit donc des méthodes standards pour créer ces métadonnées afin de ne pas les réécrire à chaque fois. Cette norme comprend également un format de données commun d'échange pour déplacer les data primaires et des métadonnées de cloud à cloud.

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Le SNIA annoncera cette norme CDMI à l'occasion du Storage Networking World (SNW), qui commence le 12 avril à Orlando, soit un an après la création d'un groupe de travail sur le sujet. Certaines implémentations du CDMI dans des offres de service devraient être mises en oeuvre dans la seconde moitié de cette année.

Entre autres choses, les types d'information définie par le CDMI peuvent être utilisés pour la mise en place de facturation en fonction des capacités et des ressources de stockage utilisées, selon Mark Carlson, président du groupe de travail cloud de stockage du SNIA. C'est un des éléments essentiels de ce projet, permettre aux entreprises de facturer précisément leurs départements utilisant ces services de stockage, ou au moins estimer les coûts d'utilisation poursuit Mark Carlson. Cette norme est justement conçue pour permettre une comparaison directe entre le coût du stockage sur un cloud public et sur un nuage privé.

Plus ou moins de transparence

Les fournisseurs de produits et les prestataires de services cloud peuvent choisir de mettre en oeuvre les éléments de la norme qui les intéressent, mais ils seront obligés de divulguer les composants qu'ils supportent, souligne Wayne Adams. Ces entreprises pourraient soit divulguer sans contrepartie ces informations ou bien réserver ces dernières aux clients potentiels qui auront créé un compte, poursuit-il.

Toujours durant le SNW d'Orlando, le SNIA annoncera qu'il a commencé à tester la conformité des produits en vertu de la spécification SMI-S 1.4 (Storage Management Initiative Specification). Cette dernière est un standard dédié à la gestion de nombreuses pièces de l'infrastructure de stockage, tels que les switch fabric et les baies de stockage. Cette version 1.4 ajoute des composants pour la gestion du thin provisioning, les services de copie à distance, les contrôleurs RAID et des switchs virtuels.

Après avoir annoncé que les tests avaient déjà commencé, la SNIA a également précisé qu'EMC, Hewlett-Packard, Hitachi Data Systems et Hitachi Ltd avaient passé la suite de tests d'interopérabilité pour SMI-S 1.4.

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