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(03/02/2010 16:03:03)

Tukwila, la dernière puce Itanium d'Intel, arrive enfin

Après de nombreux retards et des problèmes de développement reportant sa sortie depuis plusieurs semestres, Intel a déclaré mardi avoir commencé la fabrication de son processeur Itanium connu sous le nom de code Tukwila. En février dernier, Intel avait déjà reporté la sortie de la puce pour y ajouter des interconnexions plus rapides et un support pour la mémoire DDR3 notamment. En octobre, la sortie avait à nouveau été retardée pour permettra l'ajout d'éléments améliorant l'évolutivité des applications. Selon le blog d'Intel, le lancement officiel de la puce est cette fois fixé pour le premier trimestre de cette année. « Tukwila sera probablement lancé lundi, » a déclaré Nathan Brookwood, analyste chez Insight 64, ajoutant qu'il était « plus qu'un peu tard, », mais pas trop tard. Le marché des processeurs haut de gamme évolue à un rythme glaciaire, et les architectures complexes comme celles des Itanium demandent du temps pour la mise point et la fabrication. «Dans cette catégorie de marché, il est plus important de livrer la bonne puce plutôt que de la lancer trop tôt, » a ainsi déclaré Nathan Brookwood. « Les systèmes fonctionnant avec des architectures haut de gamme comme celles de l'Itanium doivent être robustes et fiables » précise-t-il encore. Cette annonce arrive peu avant l'International Solid State Circuits Conference, qui se tiendra à San Francisco du 7 au 11 février prochain, et où Sun Microsystems et IBM seront présents pour discuter de leurs processeurs pour serveurs haut de gamme. Intel fera une conférence de presse lundi, pour annoncer un nouveau produit, mais un porte-parole a refusé de confirmer s'il s'agissait de Tukwila. Une puce pour serveurs à haute disponibilité Processeur 64 bits gravé en 65 nm, Tukwila a été conçu pour fonctionner sur des serveurs à faible tolérance de pannes nécessitant. C'est le plus rapide des processeurs Intel Itanium, « jamais réalisé, » précise le constructeur. Il apporte de nombreuses performances et une architecture améliorée qui dynamisent les fonctions système. « Tukwila fait plus que doubler les performances de l'Itanium précédant et apporte plus d'évolutivité, de fiabilité ainsi que des fonctions de virtualisation», indique Intel. La puce qui intègre quatre coeurs , est une sérieuse remise à niveau de l'actuelle puce Itanium série 9100, nom de code Montecito, introduite en 2006. Elle est en concurrence directe avec les processeurs des serveurs haut de gamme proposés par Oracle/Sun (Sparc) et IBM (Power7 bientôt dévoilé). Même si Intel n'a pas eu beaucoup de succès avec son processeur Itanium - seuls quelques fournisseurs comme HP - qui a abandonné son PA-Risc - ont intégré ce type de puces dans leurs systèmes,« les fournisseurs attendent une mise à jour de l'Itanium pour rester en compétition avec le prochain Power7 d'IBM, » a indiqué Nathan Brookwood. « Malgré le retard, il n'y a pas d'incertitude sur l'avenir de l'Itanium : Intel a défini une feuille de route de six ans pour son processeur, » a-t-il ajouté. Poulson le successeur de Tukwila, qui sera gravé en 32 nanomètres, est déjà sur les rails (Intel n'a pas fourni de calendrier pour la livraison de Poulson) et Kittson déjà nommé pour lui succéder. Au cours du premier semestre 2010, Intel doit lancer d'autres puces serveur. Sont attendues les Westmere pour serveurs bas et milieu de gamme, mais surtout la Nehalem-EX, « la puce serveur la plus rapide d'Intel à ce jour, » selon Paul Otellini PDG d'Intel. Nehalem-EX, une puce huit coeurs, destinée aux systèmes haut de gamme gérant les bases de données, « fait nettement évoluer les serveurs x86, mais n'égale pas l'Itanium en matière d'architecture et de robustesse, » selon Nathan Brookwood. Les puces Itanium ont toujours été destinées à concurrencer les mainframe et grands systèmes Unix avec des solutions comme la gamme Integrity NonStop Server de HP. (...)

(29/01/2010 16:57:04)

Trimestriels Microsoft : résultats en hausse grâce à Windows 7

Le géant de Redmond affiche de bons résultats pour le deuxième trimestre de son année fiscale 2010. Une hausse largement portée par les ventes de son système d'exploitation Windows 7. Avec 6,7 milliards de dollars de bénéfice net soit 60 % plus qu'en 2008 à la même période, Microsoft peut se féliciter du bon accueil de son système d'exploitation Windows 7 sur le marché depuis octobre dernier. L'éditeur annonce que 60 millions de Seven ont déjà été vendus (OEM et retail). « Le meilleur score de vente jamais atteint en un trimestre ! » ajoute Bill Koefoed, Directeur général des relations ente investisseurs pour Microsoft. Microsot peut dire merci aux pré-ventes de Seven Pourtant, si le chiffre d'affaires (arrêté au 31 décembre 2009) a atteint 19,02 milliards de dollars (+14% par rapport à 2008), il est en réalité enjolivé par le milliard sept générés par les pré-ventes du système d'exploitation de Microsoft. Sans ce revenu différé, le bilan de Redmond atteint 17,31 Md$ et offre un bénéfice par action de 60 cents. Cela correspond aux prévisions des analystes financiers qui prévoyaient un chiffre d'affaires de 17,9 Md$ et un bénéfice par action de 59 cents selon Thomson Reuters. L'action Microsoft a gagné 62 % au cours des 12 derniers mois, à comparer à un gain de 40% pour le Nasdaq. Enfin, malgré la hausse générale, toutes les branches de Microsoft ne se portent pas aussi bien: la division entreprise et le secteur consoles (jeux et périphériques) enregistrent une baisse de leurs chiffres d'affaires respectifs : 4,7 Md$ (-2,8%) et 2,9 Md$ (-10,9%). En revanche la division serveurs et outils de développement se porte bien et affiche un chiffre d'affaires de 3,8 Md$ (+2,3 %). La section Windows et Windows Live reste la plus porteuse: les bénéfices atteignent 6,9 Md$, soit une progression de 72 % du chiffre d'affaires, l'équivalent du bénéfice net de l'entreprise. Office 2010 devrait fortement impacter l'année en cours Ce fut la dernière clôture fiscale dirigée par Chris Liddell qui a quitté le poste de directeur financier de Microsoft le 31 décembre 2009. C'est Peter Klein, son remplaçant qui en commente le bilan: « Ces bons résultats n'ont été possibles que parce qu'il y a eu une demande plus forte de la part des utilisateurs de PC ». L'éditeur estime en effet que le nombre de clients augmente de 20% d'une année sur l'autre, mais les ventes de PC sont, quant à elles, restées les mêmes qu'en 2008. De plus, le marché des netbooks, pourtant en pleine expansion, ne représente aujourd'hui que 11% des ventes de Microsoft, exactement comme en 2008 à la même période. L'entreprise affirme cependant que la hausse devrait reprendre avec la sortie de nouvelles gammes :« Même si nous ne savons pas le temps que cela prendra, nous devrions réussir à générer de nouveaux profits dès que le marché sera relancé » affirme Peter Klein. Le nouveau directeur financier a ensuite indiqué que la sortie de Microsoft Office 2010 en juin prochain constituerait l'une des principales sources de revenus de l'année, tout comme la plate-forme cloud Azure et le système de commandes pour Xbox, un projet pour l'instant connu sous le nom de code « Natal ». (...)

(27/01/2010 17:13:37)

L'AFNIC améliore les temps de réponse des sites en .fr

Depuis plusieurs années, l'AFNIC utilise la technologie anycast, qui permet d'augmenter les performances et la sécurité des infrastructures DNS. Elle améliore en particulier, au fur et à mesure de l'extension de la couverture géographique, la qualité du service DNS en terme de temps de réponse et de solidité. En multipliant les serveurs, elle offre en effet une meilleure résistance aux attaques par saturation. Tout en maintenant une couverture mondiale avec près de 60 noeuds, l'AFNIC a placé de nouveaux serveurs DNS à plusieurs endroits en France et en Europe, notamment Lyon qui est bien placé d'un point de vue réseau car proche de la Suisse et de l'Italie. C'est ainsi que depuis le 4 décembre dernier, l'AFNIC dispose d'un cloud anycast sur les infrastructures de Rézopole/Lyonix, le GIX de Lyon. Ce nuage entièrement géré par l'AFNIC couvre aussi La Réunion et prochainement d'autres villes comme Bruxelles et Paris. L'objectif est double : - acquérir la maîtrise de cette technologie afin de pouvoir ouvrir de nouveaux sites en complément de ceux gérés actuellement par ses prestataires. - déployer les infrastructures DNS afin d'augmenter leur densité au plus près des utilisateurs sur le territoire français. (...)

(27/01/2010 17:07:10)

HP annonce des offres globales sécurité

Les services sécurité proposés par HP «  concernent les applications, la continuité de l'activité, les contenus, l'intégrité des données, les centres de calcul, les terminaux, les réseaux, la gestion des identités et le contrôle d'accès, la gestion du risque et la sécurité opérationnelle, » comme le détaille HP dans son communiqué. Selon la compagnie de Palo Alto, « ce vaste portefeuille de services doit permettre aux entreprises et aux administrations de mettre en place une stratégie de sécurité complète afin de réduire l'exposition de leurs infrastructures aux risques ». Ainsi que l'a déclaré Chris Whitener, en charge de la stratégie du programme HP Secure Advantage « cette offre intègre les domaines clé de l'infrastructure technologique, depuis les postes de travail et les imprimantes jusqu'au datacenter et au cloud. Cela concerne aussi bien le conseil que les services gérés en interne et l'externalisation,» ajoutant que « les produits tiers inclus dans le package seraient pré-testés afin de garantir leur compatibilité et leur intégration. » HP veut désormais proposer un point d'entrée unique pour de nombreux besoins de sécurité, aidant ainsi les entreprises à réduire complexité, risques, et coûts. Une offre sécurité packagée De fait, la gamme de services « HP Security, Compliance and Continuity Services » se présente comme un «modèle de référence commun» mis à la disposition des 10 000 professionnels de la sécurité de HP et des consultants répartis dans le monde (depuis l'acquisition de EDS en août 2008). Bien que la marque EDS, acquise pour 13,9 milliards de dollars, n'est plus utilisée officiellement, elle a transformé HP en acteur majeur des services d'entreprise et d'externalisation, avec IBM comme seul concurrent. «Aujourd'hui, nous avons des milliers de clients à la fois HP et EDS dans le secteur public, ce qui n'était pas le cas auparavant», souligne Chris Whitener. « En proposant des offres de sécurité en « groupes de services et en catégories bien identifiables, » dit-il, « l'objectif de HP, transformé depuis l'intégration de EDS, est de rendre l'évaluation des besoins et l'estimation du coût des projets aussi simple que possible pour les clients. » [[page]] La sécurité et la conformité figurent parmi les principales préoccupations des entreprises, que celles-ci soient portées par des menaces ou par la pression réglementaire. Le "Cloud Computing Security Assessment» a été mis en place pour « aider les clients à comprendre quelles transformations ils doivent réaliser pour parvenir jusqu'au cloud" explique Chris Whitener. Cela les conduits à examiner dans quelle mesure les applications qu'ils utilisent dans leurs services, peuvent encore fonctionner de manière optimale dans un environnement cloud, ou encore de s'interroger sur les questions posées par la violation des règles relatives à la vie privée ou à la confidentialité des données, ou bien de prendre en compte les exigences de sécurité dans le domaine du paiement par carte bancaire, par exemple. L'accès non autorisé à certaines informations peut en effet conduire à des infractions qui ont un coût pour l'entreprise et peut engendrer des pertes commerciales. Par exemple, les solutions intégrées aux environnements d'impression - HP Access Control Printing Solution Suite et HP Scanjet Enterprise 7000n Document Management Workstation Series - permettent de réduire ces risques à l'aide de fonctions d'administration avancées. Des solutions adaptées à des failles bien ciblées Le « HP Enterprise Secure Key Manager » est là pour centraliser et renforcer la sécurisation des données, afin de limiter les coûts liés au risque de vol ou de perte d'informations sensibles. Cette solution dirige les clients vers des politiques de sécurité et fournit une administration cohérente et unifiée des clés de chiffrement sur l'ensemble de l'infrastructure informatique. "Application Security Center of Excellence Services" vient quant à elle empêcher les attaques ciblées sur des applications web. Elle aide aussi les clients à définir une stratégie rapide en fonction des risques commerciaux, mais les conseille aussi sur la technologie adéquate à utiliser. Enfin, une offre "SAS Project Services for Application Security Center" prend en charge la mise en oeuvre de ces initiatives de sécurité dans une configuration entretenue et gérée par HP. (...)

(26/01/2010 15:17:02)

Oracle et Sun peaufinent le lancement de leur cloud

Après avoir reçu l'approbation de la Commission européenne pour sa prise de contrôle de Sun la semaine dernière, Oracle n'a pas tardé à annoncer un point presse pour le mercredi 27 janvier à 9h00, au cours duquel Larry Ellison exposera son plan d'intégration. Andrew Milroy, analyste chez Frost & Sullivan, a déclaré que la fusion entre les deux géants de l'industrie permettra de consolider leurs services, mais qu'elle est également susceptible de les orienter vers la fourniture de Cloud privé. Un programme engagé chez Sun bien avant le rachat de la société par Oracle. « Le développement des nombreuses solutions de virtualisation a mis à mal les ventes de licences Oracle et Sun a été pris de cours sur le marché de la virtualisation et des serveurs», a déclaré Andrew Milroy. « Oracle et Sun vont donner naissance à un fournisseur de solutions qui fonctionnera un peu comme IBM ou HP. Les clients de Sun vont avoir affaire à un fournisseur tout à fait différent, Oracle, lequel disposera d'un éventail de solutions qui va des « applications jusqu'au disque » comme l'a déclaré Larry Ellison. » Les clients de Sun rassurés par les prochaines annonces Andrew Milroy prévoie que l'arrivée de Sun dans le giron 'Oracle donnera plus d'ampleur à son développement. « Oracle et Sun veulent offrir le cloud privé à des organisations et entrer dans le marché du cloud en adossant les applications Oracle sur le kit Sun », pense -t-il. « Nombre d'entreprises se dirigent vers des solutions de cloud privé. C'est ce secteur qu'Oracle et Sun sont en train de viser. Et je crois aussi qu'ils ont une meilleure opportunité d'y parvenir ensemble. » Matt Oostveen, analyste chez IDC, a déclaré que « si Sun va probablement accueillir la nouvelle de la Commission européenne avec «dégoût», les clients de Sun qui sont liés à la plate-forme, devraient, dans l'ensemble, se réjouir. Même si les questions sur l'avenir des produits haut de gamme de Sun, sur Sparc et et x86, demeurent». Les annonces récentes d'Oracle faisant savoir qu'elle maintiendra une base Sun devrait contribuer à alléger les tensions. (...)

(18/01/2010 14:15:59)

OVH va lancer des offres cloud à 2 euros par mois

Un hébergeur comme OVH ne pouvait rester longtemps à l'écart de la folie du cloud. Fidèle à sa tactique de proposer des offres avec des entrées de gamme à prix plancher, OVH compte facturer 1,99 € HT par mois pour une machine virtuelle (VM), apprend-on à la lecture d'une annonce sur le forum faite par le fondateur de l'hébergeur, Octave Klaba. Avec 1,5 million de noms de domaine gérés, 380 000 clients et 7,6 millions de sites répartis sur 3 datacenters (soit 65 000 machines), OVH estime être le premier hébergeur de France. A ce titre, lit-on dans l'annonce d'Octave Klaba, il maîtrise déjà les technologies du cloud, et tout un chacun peut s'en emparer pour mettre un cloud en place. En revanche, OVH ne le proposait pas en tant que solution packagée. Ce qui apparemment lui demanderait peu d'effort, pour un résultat intéressant en termes de visibilité sur le marché : « Ca ne nous coûte pas cher en temps [de développement] de vous proposer ces offres qui en plus sont à la mode... et au niveau du marketing le mot "Cloud" a une certaine puissance. » Deux types d'offres sont envisagés : des classiques (miniCloud et coreCloud) avec facturation à l'usage pour des VM supportant jusqu'à 48 coeurs, et un mode personnel ('myCloud'), où le client sera maître de son cloud. L'offre de base comporte toutefois quelques spécificités, la tarification étant dégressive dans le temps, mais exponentielle au fur et à mesure des ressources consommées. Octave Klaba explique que le marché visé devrait se situer aux alentours des 2 à 20 euros HT par mois. Des tests privés devraient démarrer sous peu. (...)

(15/01/2010 17:10:28)

Pour 2010, Atos Origin mise sur le cloud et l'informatique verte

« Certains de nos clients pensent déjà à l'après crise et nous interrogent sur les solutions qui leur permettront d'assurer la croissance de demain » a expliqué Thierry Breton, le PDG d'Atos Origin. « Et pour faire face aux indispensables ruptures auxquels nos clients devront faire face cette année, nous allons leur proposer une série de quatre nouvelles offres en 2010 » poursuit l'ex-ministre des Finances. Premières annonces hier, jeudi 14 janvier, avec Atos Sphere, une plate-forme cloud reposant sur le savoir- faire et les ressources internes (45 datacenters répartis dans le monde dont 8 globaux notamment à Aubervilliers ou Hong Kong), et Ambition Zéro Carbone, combinant conseil en développement durable et services pour optimiser les infrastructures. Suivront dans l'année la présentation des offres applicatives packagées (Smart Utilities), de l'ECM et de la Collaboration, puis du Context aware Computing (les applications mobiles tenant compte du contexte, à savoir la localisation, les ressources et les personnes disponibles), et enfin du Social Computing (le développement des réseaux sociaux dans et en dehors des entreprises). Réduire le coût de son système d'information avec un cloud Dans le domaine du cloud computing, Atos Origin exploite le savoir-faire issu de l'acquisition de Wordline pour proposer des services à la demande facturés à l'usage. « Les technologies mises en place dans le domaine du cloud vont nous permettre de proposer de nouvelles approches à nos clients avec à la clef des économies substantielles puisque l'investissement sera beaucoup moins lourd qu'avec une infrastructure classique » a précisé Thierry Breton. « Évolutivité, paiement à l'usage, expertise technologique, souplesse de mise en oeuvre... le cloud n'est pas une vague comme les autres. Nous changeons de modèles économique et technologique ». Une bibliothèque avec une centaine de modules applicatifs accompagne l'offre Sphere qui ambitionne de fournir des plates-formes fonctionnelles dans des environnements hétérogènes. Et ce, dans un domaine privé ou public. « Bien souvent nos clients commencent par nous demander un cloud privé avant d'accepter de mutualiser certaines ressources pour réduire les coûts » poursuit le PDG d'Atos Origin. Parallèlement, Atos étudie également la mise en place de services spécifiques à destination des grosses PME comme la gestion de postes clients, la migration de données ou encore des tests de non-régression (par exemple avec SAP). « Des services hier inaccessibles financièrement aux PME en raison des investissements qu'ils impliquent » a précisé Thierry Breton. [[page]] Interrogé lors de cette conférence de presse sur la récente union sacrée de Microsoft et de HP autour du cloud, le PDG d'Atos Origin a élégamment botté en touche en expliquant que « cette annonce de Microsoft et de HP pour simplifier la mise en place de cloud reste une offre propriétaire. Nous sommes partenaires de Microsoft et nous proposons aujourd'hui notre propre cloud (...) avec des services de gestion et de migration reposant sur VMware. Nous sommes bien placés pour offrir la solution la plus riche à nos clients ». Arnaud Ruffat, président d'Atos Origin France précise encore que « la multiplication des solutions est une bonne chose, mais que la question de l'interopérabilité reste très importante. Attention aux solutions verrouillées. Si un client nous le demande pourquoi pas, mais nous nous efforçons toujours de bien évaluer les besoins pour proposer la meilleure solution». Face aux solutions d'Amazon, de Google ou de Microsoft, Atos Origin met en avant son expertise en terme d'intégration pour assurer la sécurité, la qualité de service, la conformité et la gestion des incidents. Et pour répondre aux contraintes géographiques concernant l'hébergement de données sensibles, Atos peut compter sur ses datacenters régionaux disséminés à travers le monde. Enfin comme avec ses contrats d'infogérance, Atos s'engage à compenser les émissions carbones liées aux prestations green cloud fournies à ses clients. Pour une informatique plus verte La compensation de l'empreinte carbone informatique est d'ailleurs le deuxième cheval de bataille d'Atos Origin avec le programme Ambition Zéro Carbone. Une cinquantaine d'experts, relayés par des consultants généralistes suivront la quinzaine de projets Green IT en cours. Plusieurs outils sont proposés aux entreprises : mesure de la consommation énergétique, amélioration des infrastructures, diagnostic carbone et enfin réduction et compensation de ce maudit CO2. Partenaire infrastructures des Jeux Olympiques de Vancouver, Atos Origin développe par exemple une architecture pauvre en carbone et s'engage à compenser les émissions de CO2 avec des projets environnementaux (plantations d'arbres, éoliennes...). Une démarche pro-active qui peut être appliquée à tous les nouveaux projets informatiques ou simplement adaptée à des infrastructures existantes. (...)

(14/01/2010 13:44:38)

Cloud : Microsoft et HP annoncent des offres packagées

Lors d'une conférence téléphonique, les dirigeants des deux sociétés, qui ont à plusieurs reprises insisté sur la nature très substantielle de l'accord, ont laissé entendre que la combinaison de services va beaucoup plus loin qu'un partenariat classique. Cet accord consiste en fait à proposer des offres packagées combinant des solutions serveurs, du stockage, le réseau ainsi que l'apport logiciel. L'ensemble sous forme de forfaits clés en main qui facilitent le déploiement. Mark Hurd, le PDG de HP a ainsi déclaré que, « l'accord supposait un haut degré de collaboration et des stratégies d'intégration, y compris dans la mise en oeuvre technique. Et ce à un niveau impliquant les acteurs de manière très conséquente. » Quant à Steve Ballmer, PDG de Microsoft, il a parlé d'une percée pour l'entreprise qu'il représente, ajoutant : « Je ne suis pas ici pour faire un simple communiqué de presse concernant HP et Microsoft. Il s'agit de bien plus que cela. » Mark Hurd a précisé que l'accord doit être considérée comme une évolution de la relation entre HP et Microsoft, sans rapport avec les événements du marché, notamment le rachat possible de Sun Microsystems par Oracle, en attente de l'accord des autorités anti-trust européennes. " Je suis ici pour parler de Microsoft», a déclaré Hurd. "Mais Oracle continuera à être un partenaire très important pour HP," a t-il indiqué.   Le Cloud au coeur de l'annonce des deux sociétés Dans la passé, HP et Microsoft avaient déjà réalisé des partenariats en proposant des bundles de produits à leurs clients, mais, comme l'a précisé Mark Hurd, «il y a une différence entre offrir un package et apporter un service global d'intégration et d'ingénierie aussi avancé,» dont la force motrice repose sur le Cloud Computing. « Certaines compagnies accepteront de déployer leurs applications au sein du service Azure de Microsoft, mais d'autres préfèreront disposer de leur propre infrastructure, » a déclaré Steve Ballmer. «L'intégration consistera à superposer la couche matérielle et les fonctions d'administration en fonction du modèle applicatif choisi, » a t-il expliqué. "Notre projet consiste à proposer aux entreprises d'installer et de diffuser le même modèle applicatif, que se soit pour l'accueillir ensuite dans le Cloud ou pour monter un site particulier. » Microsoft va utiliser du matériel HP pour soutenir le déploiement d'Azure, et HP fournira les services nécessaire à la plate-forme Cloud du géant de Redmond. « Plus tard dans l'année, le partenariat consistera à déployer des produits autour de Microsoft Exchange et des solutions d'hébergement de données pour Serveur SQL, » a déclaré Bob Muglia, président du département serveur et business tools chez Microsoft.   [[page]] L'accord fait également de Microsoft "le fournisseur privilégié" de la technologie de virtualisation de HP. Les deux partenaires prévoient aussi de distribuer une série de "Smart Bundles" destinés aux petites et moyennes entreprises. Ces packages comporteront des solutions serveurs HP, des solutions de stockage et la technologie réseaux, le tout combiné à la plateforme de virtualisation Hyper-V de Microsoft et au support logiciel Insight de HP. Enfin, HP va également proposer le System Center de Microsoft sur ses plateformes matérielles et améliorer l'intégration d'Insight avec le System Center. Suite à cette annonce, les réactions commencent à arriver. Certaines SSII réagissent déjà à l'annonce du partenariat HP/Microsoft. Atos Origin qui présentait ce matin sa propre plate-forme Cloud baptisée Atos Sphere, explique, par la voix de son président, Thierry Breton que « l'annonce de Microsoft et de HP pour simplifier la mise en place de Cloud reste une offre propriétaire. Nous sommes partenaires de Microsoft et nous proposons aujourd'hui notre propre Cloud (...) avec des services de gestion et de migration reposant sur VMware. Nous sommes bien placés pour offrir la solution la plus riche à nos clients ». Arnaud Ruffat, président d'Atos Origin France précise encore que « la multiplication des solutions est une bonne chose mais que la question de l'interopérabilité reste très importante. Attention aux solutions verrouillées. Si un client nous le demande pourquoi pas mais nous nous efforçons toujours de bien évaluer les besoins pour proposer la meilleure solution». (...)

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