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(24/02/2010 13:04:19)
Maintenance SAP : le piège du retour au contrat standard
Il reste encore trois semaines à certains clients de SAP pour prendre une décision délicate. Doivent-ils revenir à un contrat de maintenance standard, facturé chaque année 18% du prix payé pour les licences qu'ils ont achetées (avec des ajustements réguliers en fonction de l'inflation)? Ou ont-ils au contraire intérêt à opter pour le contrat d'assistance avancée, Enterprise Support, tarifé à terme à 22%. Depuis janvier dernier, l'éditeur de solutions de gestion intégrées leur donne de nouveau ce choix, à l'issue de longues discussions avec ses clubs d'utilisateurs, un an et demi après la migration forcée vers une formule unique à 22%. Chaque client de la version Enterprise pourra même, au début de chaque année, décider de revenir à la version Standard s'il le souhaite.
Il y a des différences majeures entre les deux formules. SAP Standard Support fournit des services distants et des outils d'évaluation technique des systèmes, ainsi qu'une assistance 24 h/24 pour la résolution des problèmes techniques. Avec SAP Enterprise Support, l'éditeur s'engage à apporter une assistance pro-active, incluant l'accès aux extensions de fonctionnalités des 'Enhancement packages'. Et, surtout, le contrat est assorti d'un engagement de service (SLA) pour assurer la continuité des activités. Les entreprises concernées pèsent donc prudemment le pour et le contre avant de prendre leur décision.
Enterprise Support : plein tarif après le 15 mars
Revenir au contrat de base n'est pas sans risque. Et SAP ne se prive pas de le souligner. En effet, si les entreprises changent d'avis après le 15 mars, le coût d'accès à Enterprise Support sera directement facturé à 22%. Alors qu'en optant aujourd'hui pour ce service avancé, les entreprises ayant signé leur contrat de licences avant le 5 juillet 2008 (*) sont assurées que le coût du service n'atteindra 22% qu'à partir de 2016. SAP leur rappelle qu'en passant à Enterprise Support au 15 mars 2010, leur redevance ne sera que de 18,36% cette année et qu'elle n'augmentera ensuite que progressivement.
A l'occasion d'une Webconférence avec le club des utilisateurs américains de SAP, cette semaine, Ray Wang, analyste d'Altimater Group a distingué quatre groupes de clients :
- Les aguerris : ceux qui ont d'anciens systèmes SAP, stables, dont ils ne souhaitent pas étendre les fonctions et qui ont peu de contact avec l'éditeur. Ray Wang estime qu'ils peuvent se contenter du contrat Standard à court terme. Il leur suggère même d'étudier la possibilité de prendre en charge eux-mêmes leur maintenance ou de faire appel à un autre prestataire (comme Rimini Street aux Etats-Unis).
- Les indécis : ils ont quelques projets d'extension fonctionnelle autour de SAP, peu nombreux, mais qui nécessitent de faire appel au support. L'analyste d'Altimater leur conseille de tester Enterprise Support pendant un certain temps pour juger de l'intérêt du service pour eux.
- Les engagés mais 'a minima' : ils projettent des investissements supplémentaires dans leurs applications SAP et recourent aux services de support. Ray Wang leur recommande de conserver la formule Standard.
- Enfin, les inconditionnels, porte-drapeaux de l'offre : ils viennent de déployer leurs applications ou s'apprêtent à étendre celles qu'ils ont. Il est préférable qu'ils optent pour Enterprise Support dès maintenant. Mais ils pourraient aussi en profiter pour renégocier leur contrat de licences si certaines d'entre elles sont inutilisées.
(*) Tous les contrats de licences signés après le 5 juillet 2008 sont assortis d'une maintenance avancée à 22%. (...)
OpenERP lève 3 millions d'euros pour poursuivre son expansion
Fruit d'un projet Open Source lancé en 2005 par le Belge Fabien Pinckaers, le progiciel de gestion intégré OpenERP (initialement TinyERP) vient de bénéficier d'un apport financier appréciable. Son éditeur, désormais renommé OpenERP, a décroché 3 millions d'euros auprès de trois investisseurs : d'une part, la société de capital risque Sofinnova Partners, principal contributeur, et d'autre part, le fondateur de Free Xavier Niel et Olivier Rosenfeld, administrateur de Free. Reçus sous forme d'augmentation de capital, ces fonds permettront à la jeune pousse de renforcer ses efforts de développement et la qualité de son logiciel, ses services de maintenance et la version SaaS de son offre (commercialisée en mode locatif et hébergée sous le nom d'Odoo). Ils lui serviront aussi à densifier son réseau international d'intégrateurs pour se concentrer sur son métier d'éditeur.
En quelques années d'existence, la société belge a réussi un joli parcours. Son logiciel rassemble une communauté de trois cents personnes et dispose d'intégrateurs dans 26 pays. Ce progiciel de gestion intégré (développé en Python sur base de données PostgreSQL) fournit toutes les fonctions de base pour gérer une PME, jusqu'à 500 personnes : de la comptabilité au suivi des stocks, en passant par la gestion de la relation client. Il s'adresse aussi aux toutes petites entreprises, à partir d'un salarié. Le logiciel à installer sur site se télécharge gratuitement et les services d'accompagnement (formation, support, maintenance...) sont facturés. Il rassemble maintenant quelque 500 modules et son éditeur dénombre quotidiennement un millier d'installations. Dans la foulée, Fabien Pinckaers, PDG fondateur, dit enregistrer chaque jour plus de cent demandes de renseignements pour des services d'intégration, d'où la nécessité de conforter le maillage de partenaires. Depuis l'été 2009, l'éditeur propose aussi une version en ligne, Odoo (Open ERP On Demand), facturée à partir de 39 euros par mois sur un semestre pour un utilisateur.
Une communauté dynamique de développeurs
« Nous avons vu beaucoup de dossiers dans l'Open Source en 2009 et c'était le meilleur, explique Olivier Sichel, associé de Sofinnova. OpenERP arrivait avec une offre existant à la fois sous une forme classique et en mode SaaS. La qualité du logiciel nous a convaincus. » Celui qui fut PDG de Wanadoo de 2002 à 2004 met aussi en avant « la richesse de la solution en nombre de modules fonctionnels », ainsi que « la vision de Fabien Pinckaers et sa capacité à animer une communauté extrêmement dynamique de développeurs ». Parmi les clients de l'éditeur figurent déjà des utilisateurs tels que l'ENA, La Poste ou le Canton de Vaud. Mais, au-delà des clients, ce sont surtout les partenaires intégrateurs qui ont confirmé « que l'offre se détachait du lot, par sa flexibilité, son caractère modulaire et son architecture, pointe Olivier Sichel. Nous avons vu beaucoup de partenaires, fait plusieurs entretiens avec chacun d'eux ». Il cite notamment Smile, en France, ou Akretion, au Brésil, qui ont sélectionné l'offre. « Pour eux, ce sont des choix qui sont autant d'implications que pour nous ».
Sur son blog, Fabien Pinckaers souligne l'importance d'avoir ouvert le capital de son entreprise à des actionnaires ayant une bonne connaissance des contraintes et des objectifs de l'édition de logiciels en Open Source et qui « partagent notre vision ». La société compte ouvrir prochainement un bureau aux Etats-Unis. Elle s'est déjà implantée en Inde. Sur le terrain des ERP en Open Source évoluent depuis plusieurs années déjà les offres françaises ERP 5 (de Nexedi) et Neogia, le projet américain Compiere, ADempiere (fork de Compiere), qui a pris son envol il y a un peu plus de trois ans et vient de lancer sa communauté francophone, ou encore l'Espagnol OpenBravo (lui aussi basé au départ sur Compiere).
(...)(18/02/2010 12:07:18)Un club indépendant pour regrouper les utilisateurs de Neolane
L'éditeur de logiciels pour la direction marketing Neolane a annoncé la création d'un club d'utilisateurs de ses produits. Il a été constitué sous forme d'association 1901 financé par des cotisations des adhérents, donc indépendant de l'éditeur, et fondé le 21 janvier 2010. Le club réunit des entreprises, pas des individus. Comme tous les clubs d'utilisateurs de logiciels, le Club Utilisateurs Neolane a pour objectif « de favoriser les échanges sur les innovations et les tendances marché, ainsi que le partage d'expériences et de bonnes pratiques autour de l'utilisation de la solution Neolane. Il a également pour vocation d'être un lieu d'échange et de réflexion à la fois sur les aspects opérationnels, stratégiques et techniques. » Bien entendu, il sera aussi le laboratoire d'idées pour l'évolution des produits de Néolane afin que ceux-ci soient plus proches des aspirations des utilisateurs. Il est ouvert autant aux directions métier utilisatrices directes (marketing, communication, relation client) ainsi qu'à la DSI. Pour l'instant, les réunions trimestrielles du club seront uniquement en Français. En dehors de ces réunions, les membres pourront rester en contact via un site web. Une conférence utilisateurs sera également organisée une fois par an. Le club est animé par un bureau composé de 3 membres : - Président : Mathieu Staat, Directeur Marketing - Fnac.com - Secrétaire : Elisabeth Gelot, Responsable Marketing Online - 1001 listes - Trésorier : Vincent Mantran, Chef de projet - Canalce (...)
(19/02/2010 11:54:34)Focalisés sur le business, les DSI de la distribution sont peu sensibles aux sirènes du cloud
A travers le monde, les DSI du secteur de la distribution sont plus nombreux à estimer que leur budget va monter (26%) que ceux qui pensent qu'il va baisser (21%), même si la majorité vote pour la stabilité (53%). C'est le premier enseignement de l'enquête Global Retail CIO Survey 2010 (voir fiche technique ci-dessous). Le deuxième concerne la nature des investissements et des préoccupations. Très clairement, leur préoccupation est avant tout : « comment faire plus de business ? ». Au coeur de la réponse, on trouve une meilleure gestion des promotions (36% des répondants envisagent une mise à niveau de leur solution), l'amélioration de la gestion automatique des réassorts (30%), l'optimisation de l'assortiment (29%), la mise à niveau des communications marketing par des voies électroniques (28%) et des sites web transactionnels (27%). De nouveaux systèmes devront aussi être mis en place dans les prochains mois : une gestion de la relation client multi-canal (42% des répondants, preuve que cela reste donc un souhait dans beaucoup de cas), un système de fidélisation et d'adaptation du marketing en fonction des habitudes d'achat (38%), le M2M, un outil d'optimisation des promotions et des démarques (respectivement 32% et 31%). A l'inverse, les DSI de la distribution sont poliment indifférents à des concepts comme le cloud computing (60% des répondants n'utilisent pas et n'envisagent pas d'utiliser) ou le développement coopératif des produits (49%). (...)
(18/02/2010 15:34:02)SalesForce.com distille du réseau social avec la bêta de Chatter
Collaboration, réseaux sociaux privées, le monde professionnel cherche le meilleur moyen pour optimiser la communication des collaborateurs au sein des entreprises. Si plusieurs outils existent déjà comme SharePoint ou Lotus Note, certains éditeurs parient sur des solutions originales pour les concurrencer. C'est le cas de la plateforme de collaboration Chatter, proposée par SalesForce.com et dévoilée à la fin 2009. Aujourd'hui, le fournisseur d'applications en mode SaaS annonce la mise à disposition de la version beta de Chatter auprès de 100 entreprises. La solution proposée par l'éditeur américain comprend des fonctionnalités traditionnelles de collaboration comme la gestion des profils, la mise à jour des statuts, le partage de documents et d'applications et des passerelles avec des réseaux sociaux existants comme Facebook, Twitter et Google Buzz. D'autres applications sont vendues sur la plateforme AppXchange de SalesForce.com avec la possibilité de l'intégrer dans Chatter, mais également de les porter sur des téléphones mobiles. En parallèle, des « composants sociaux » vont être fournis aux programmeurs, qui utilisent la plateforme de développement Force. com pour créer des applications collaboratives ou améliorer celles existantes. La version finale de Chatter sera disponible avant la fin de l'année, elle sera incluse dans l'application CRM de SalesForce.com, mais il sera également possible d'obtenir une édition à part pour 50 dollars par mois et par utilisateur au sein d'une offre groupée, Chatter, Salesforce Content et Force.com (...)
(01/02/2010 10:00:15)LeMondeInformatique.fr recherche un chef des informations
Rattaché à la rédaction en chef, vous prendrez en charge les missions suivantes : - Participation à l'élaboration du contenu éditorial du site, - Sélection et répartition du traitement des sujets d'actualité entre les journalistes de la rédaction, - Supervision de la production d'actualités, - Suivi de la rédaction des Newsletters Pour occuper ce poste, vous êtes nécessairement passionné(e) par les nouvelles technologies, l'ingénierie du logiciel et l'écosystème informatique. Vous faites preuve d'autonomie, de réactivité, de rigueur et d'un grand sens des responsabilités dans votre travail. Vous disposez d'excellentes aptitudes rédactionnelles, et maîtrisez la langue anglaise (notamment technique). Vous avez impérativement déjà assumé des fonctions comparables (chef des informations ou rédacteur en chef adjoint) au sein d'une rédaction dédiée à l'univers des technologies de l'information/nouvelles technologies (pendant 3 à 5 ans minimum). Votre expérience de l'encadrement vous permet d'établir un relais avec votre équipe, et de seconder le rédacteur en chef dans les missions qu'il vous confie. Ce poste est à pourvoir à Puteaux (92), et comprend des déplacements occasionnels en France ou à l'étranger. Les fonctions de chef des informations sont éligibles à la Carte de presse, et aux avantages associés. Salaire à négocier selon profil. Merci d'adresser vos candidatures par mail incluant CV, lettre, prétentions et idéalement références) à l'adresse suivante : sleblal@lemondeinfomatique.fr (...)
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