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(01/12/2009 16:43:45)

SAP diffère l'augmentation de tarif de son contrat de maintenance

SAP reporte pour l'instant l'augmentation de tarif de son contrat de maintenance avancée « Enterprise Support » qui devait entrer en vigueur début 2010. Le programme d'évaluation de ce service, engagé en avril dernier et auquel participent 43 entreprises européennes, n'a en effet pas encore livré ses résultats, ceux-ci devant attester de l'amélioration du support délivré. Or, il a été convenu entre l'éditeur allemand et ses utilisateurs que la hausse du tarif de maintenance, étalée sur sept ans, serait conditionnée à ces mesures qui s'appuient sur onze indicateurs clés de performances. Dans un communiqué publié aujourd'hui, SAP remercie pour leur contribution active à ce programme d'évaluation le Sugen (SAP User Group Executive Network, qui regroupe douze de ses clubs d'utilisateurs dans le monde), ainsi que tous ses clients qui y participent, parmi lesquels sept entreprises françaises. L'éditeur estime que le programme a avancé de façon significative dans un délai réduit et prévoit de communiquer les résultats du groupe de travail au début de l'année prochaine. Mais d'ici là, il n'y aura donc pas d'augmentation de tarif. SAP souligne que cette décision atteste du sérieux avec lequel il prend en compte les préoccupations de ses clients dans un environnement économique dégradé. Depuis l'annonce, début 2008, de la mise en place de ce nouveau contrat de maintenance, l'éditeur affirme que ce service contribuera à réduire le coût total des opérations pour ses clients, grâce à une efficacité renforcée. Alan Bowling, président du club des utilisateurs britanniques et irlandais de SAP, également membre important du Sugen, n'est pas mécontent de la décision. Il apprécie, d'une part, que SAP reconnaisse le travail accompli sur le programme d'évaluation d'Enterprise Support, et d'autre part, que l'éditeur affirme se soucier des difficultés économiques rencontrées par ses clients. « Nous avons toujours dit que ce programme de benchmarking serait difficile à mettre en oeuvre, en particulier dans les délais impartis ». La prochaine réunion programmée entre SAP et le Sugen doit se tenir à Boston la semaine prochaine. En France, en octobre dernier, l'USF, le club des utilisateurs de SAP francophones, qui fêtait son 20e anniversaire, s'est posé en outil de dialogue constructif entre l'éditeur et ses clients. Jean Leroux, son président, prend part aux réunions du Sugen. (...)

(29/10/2009 15:44:43)

Le FSI va investir 117 millions d'euros au capital de l'éditeur français Cegedim

L'éditeur Cegedim, 5e au classement EuroSoftware des éditeurs français de logiciels, vient d'annoncer un projet d'augmentation de capital de 180 M€. Ce projet est soutenu par la famille Labrune et par le FSI, fonds stratégique d'investissement. Ce dernier prévoit d'investir un montant maximum de 117 M€ dans l'opération. Il deviendra ainsi le deuxième actionnaire de Cegedim derrière la holding contrôlée par la famille Labrune qui détient actuellement 67% du capital. C'est la troisième fois ce mois-ci que le FSI manifeste un intérêt pour une entreprise du secteur des TIC. Il y a une semaine, son entrée au capital de la plateforme de vidéos en ligne Dailymotion, pour 7,5 M€, avait déjà été remarquée. En septembre, ce fonds, détenu à 49% par l'Etat et à 51% par la Caisse des Dépôts, avait déjà investi 3 M€ dans l'opération capitalistique d'OpenPortal, éditeur de logiciels de gestion des ressources humaines. Conforter sa position sur le CRM pharmaceutique et relancer sa croissance externe Spécialisé dans les logiciels destinés au secteur de la santé, Cegedim édite des solutions de gestion pour les pharmaciens, médecins et paramédicaux, ainsi que des outils de CRM pour l'industrie pharmaceutique (à la suite du rachat de Dendrite en 2007). Le groupe a plusieurs autres activités : études de marché, prestations en marketing, externalisation de la paie et des ressources humaines ou encore, notamment, location financière pour les professionnels de la santé. En 2008, il a réalisé globalement 849 M€ de chiffre d'affaires. 136 M€ ont été générés par son activité de logiciel, 44% de ces ventes étant réalisées en France. Avec le renforcement de ses fonds propres et l'accueil de FSI dans son capital, Cegedim veut poursuivre son développement dans ses secteurs de prédilection : CRM pharmaceutique, données stratégiques, services pour le secteur de la santé. L'éditeur entend aussi relancer ses projets de croissance externe. Le FSI, qui a été constitué pour soutenir les PME de croissance, dispose de 20 milliards d'euros d'actifs, dont 6 milliards de liquidités immédiatement mobilisables. Il a signé en juin dernier un partenariat avec l'Afdel, association française des éditeurs de logiciels, qui lui a transmis plusieurs dossiers d'éditeurs, parmi les cinquante premiers du secteur en France. (...)

(16/10/2009 17:10:32)

L'USF veut conduire un dialogue constructif entre SAP et ses clients

L'USF, le club des utilisateurs de SAP francophones, a fêté son 20e anniversaire lors de sa convention annuelle, qui a réuni 1 600 participants cette semaine à Paris (14-15 octobre, La Défense). Après la récente crise de confiance entre les utilisateurs de SAP et l'éditeur autour de la hausse du tarif du contrat de maintenance (Enterprise Support), tout le monde semble -du moins publiquement- réconcilié après l'accord survenu au printemps dernier. Le programme de benchmark et de contrôle du ROI (retour sur investissement) semble aussi donner entière satisfaction aux utilisateurs. Le président de l'USF, Jean Leroux, s'est réjoui que SAP soit le premier éditeur à s'être ainsi engagé formellement à progresser sur des critères mesurables. Par ailleurs, Jean Leroux n'a pas souhaité donner un avis tranché sur la nécessaire (ou non) migration de modèle économique des éditeurs vers un modèle de revenu récurrent avec abandon de la licence initiale. L'essentiel est pour lui que le produit continue de faire durablement ce pour quoi il est acheté... « A 20 ans, on est adulte : si l'on a un point de désaccord, on peut se le dire sans se fâcher », a martelé Jean Leroux, président de l'USF. Le club se pose donc en « outil de dialogue constructif » entre SAP et ses clients, outil capable de structurer un discours commun avec ses homologues à travers le monde grâce au club des dirigeants de clubs utilisateurs (le Sugen). L'une des forces de l'USF est sa capacité à réunir des groupes de travail et à faire profiter l'ensemble de ses adhérents des meilleures pratiques constatées sur le terrain. Il publie ainsi régulièrement des livres blancs en collaboration avec des cabinets d'études, comme récemment celui sur le Support Utilisateur et celui sur la Business Intelligence. (...)

(09/10/2009 12:03:31)

SAP France veut rallier de nouveaux partenaires autour de l'ERP Business ByDesign

Deux ans après son lancement, l'ERP en mode hébergé Business ByDesign de SAP ne compte qu'une dizaine de clients en France. Etonnant, lorsque l'on sait que ce progiciel de gestion intégré destiné aux sociétés de 100 à 500 postes devait représenter de 15 à 20% du chiffre d'affaires réalisée auprès des PME par SAP France en 2008. « Nous avons volontairement limité le nombre d'entreprises qui souscrivent jusqu'ici à notre offre, justifie Ludovic Lapeyre, le responsable de l'offre SAP Business ByDesign pour la filiale française. Cela nous a permis de constituer une base de belles références clients, avec, certes, des ventes réalisées en direct, mais auxquelles nous avons associé des partenaires ». Aujourd'hui, l'éditeur pense avoir suffisamment trouvé ses marques. Il se prépare à entrer dans une nouvelle phase de son offensive commerciale début 2010 en déployant une stratégie de « volume » dans laquelle les partenaires vont jouer un rôle central. Le logiciel fourni « comme un service » ouvre de nouvelles filières de partenaires «Notre objectif est de compter sur un réseau de plusieurs dizaines de prestataires. Nous ne pouvons pas adresser les PME sans leur proposer un réseau de proximité composé d'acteurs locaux ou nationaux présents en région », explique Ludovic Lapeyre. Rien n'empêche évidemment l'éditeur de les trouver dans son réseau de distribution existant. Toutefois, l'absence de prestation d'intégration à réaliser autour de la mise à disposition de son offre en mode SaaS (software as a service) lui ouvre de nouvelles perspectives en terme de cible de revendeurs. « Nous pourrions typiquement nous appuyer sur les experts comptables, indique Ludovic Lapeyre. Ils peuvent parfaitement assurer le paramétrage de l'application et, surtout, mener la conduite du changement qui sont les deux grandes interventions à pratiquer autour de Business ByDesign ». Les éditeurs indépendants constituent une autre des populations visées par SAP pour l'aider à augmenter les souscriptions à son offre hébergée. Par les applications spécifiques qu'ils proposent, ces derniers peuvent permettre à SAP de toucher les clients en misant sur une approche métier. Comme cela semble devenir la règle dans le monde du SaaS, le mode de rétribution que SAP devrait proposer autour de Business ByDesign relève du principe de l'apport d'affaires. Les partenaires devraient percevoir un pourcentage supérieur à 5% pour une souscription annuelle signée par un client, et toucher une nouvelle commission, inférieure à la première, en cas de renouvellement de contrat. (...)

(08/10/2009 11:55:27)

Coheris cède son activité de SSII et se recentre sur son métier d'éditeur

Le Français Coheris se concentre sur son activité d'éditeur, ciblée sur les solutions de CRM et le décisionnel et qui pèse 78% de son chiffre d'affaires. Il vient en revanche de vendre son activité de SSII à trois sociétés. Cette cession était prévue depuis quelques mois. Sur son exercice 2008, Coheris a réalisé un chiffre d'affaires de 32,2 millions d'euros, en baisse de 1% par rapport à 2007. La partie SSII, dite 'Global Services' (CA de 7,85 M€) était moins rentable que la partie édition (24,33 M€). La décision fut prise d'en adapter les structures pour la rendre plus performante. Une autre hypothèse avait également été envisagée. En communiquant leurs résultats en début d'année, les dirigeants de Coheris avaient en effet indiqué qu'une opération de restructuration restait toujours possible, même si le contexte économique et financier ne s'y prêtait pas. Au 1er octobre dernier, c'est donc cette hypothèse qui s'est concrétisée puisque Coheris a cédé son activité « global services » à la SSII Sikia, en Ile-de-France, et à Aldheris, à Lyon. Une autre activité de services, dite de « support nomade » pour l'assistance et le dépannage des utilisateurs en mobilité, est vendue à la société DS-Line. 24e au classement EuroSoftware 2008 des éditeurs français Marc Stanciu, directeur général délégué de l'activité « global services » et membre du comité de direction quitte Coheris. La société se concentre donc sur son activité d'éditeur « où une partie du chiffre d'affaires est récurrent, contrairement à l'activité de SSII, plus variable, surtout en ce moment », nous explique le directeur financier de Coheris, Jean-François Ménager. L'éditeur s'est spécialisé depuis sa création en 1994 sur les solutions de centres d'appels et de gestion de la relation client (CRM), avant d'étendre ensuite son champ d'action aux logiciels d'analyse décisionnelle (Business Intelligence), par le rachat de Harry Software fin 2004, et au datamining, avec l'acquisition de Spad en mars 2007. La société figure à la 24e place au classement EuroSoftware 2008 des éditeurs français de logiciels. Elle développe en ce moment la commercialisation de ses produits en mode indirect. (...)

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