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(06/04/2006 20:25:53)

Les abonnés à Free bientôt en Wimax

Toujours plus de primes pour les abonnés à Free qui auront sous peu un accès gratuit au réseau Wimax d'IFW, autre filiale d'Iliad, maison mère du FAI. Selon le communiqué, "Concrètement, l'abonné Free Haut Débit, équipé d'un terminal compatible avec le réseau IFW, pourra bénéficier d'un service d'accès à Internet sans fil dans les grandes villes métropolitaines." Iliad avait hérité d'une licence Wimax - permettant l'exploitation de la la bande de fréquences 3,5 GHz - après le rachat d'Altitude Télécom en septembre 2005. A cette occasion, Xavier Niel, le directeur général en charge de la stratégie, expliquait que "Le WiMAX est une option pertinente à horizon 3-5 ans pour le développement du Groupe en complément des activités actuelles de Free". Soutenue par plusieurs géants de l'électronique et des télécoms comme Intel, Alcatel, Nortel ou Motorola, la technologie WiMax (802.16d et 802.16e à l'IEEE) n'a plus grand chose à voir avec la BLR de grand papa. Comme auparavant la technologie permet de couvrir une large zone en haut débit internet sans avoir à tirer de nouvelles lignes. En fait dès qu'une zone est couverte par WiMax, elle devient virtuellement dégroupée, car son opérateur peut se passer des lignes filaires de l'opérateur historique. Mais ce qui explique le nouvel engouement pour WiMax ce sont les nouvelles possibilités de mobilité. Dès maintenant, le standard 802.16d supporte des formes de nomadisme limitées. Par exemple, la connexion est possible depuis tout point disposant d'un émetteur actif. On peut ainsi déplacer un PC portable Wi-Fi de la maison au bureau et y retrouver une connexion, alors que le service ADSL est aujourd'hui lié à la ligne de téléphone. Dans un scénario optimiste, WiMax pourrait tout d'abord s'imposer en zones rurales comme l'alternative à l'ADSL puis, dès le début 2007, cannibaliser une partie des usages du Wi-Fi et de la 3G dans les zones urbaines, grâce au support de la mobilité. Il s'imposerait alors comme une alternative ou un complément aux deux technologies pour les utilisateurs Internet, notamment les nomades. C'est le genre de scénario sur lequel mise Intel en pronostiquant l'intégration dans les prochaines versions de Centrino( à horizon 2007/2008) de cartes radio WiMax en plus des actuelles radios Wi-Fi. Côté FAI c'est également le pari que fait Free en préemptant un marché naissant. Dans son communiqué Iliad explique que, dès lors que son offre sera opérationnelle, "la France deviendra le premier pays européen en terme de couverture Wimax avec plus de 1,6 millions d'utilisateurs concernés". (...)

(06/04/2006 17:35:10)

Microsoft lance un site dédié à Linux

A l'occasion de LinuxWorld, Microsoft devrait aujourd'hui dévoiler un portail web censé détailler ses efforts d'interopérabilité avec Linux et l'open source. Baptisé http://port25.technet.com, - le port 25 est le port de communication par lequel transitent les emails- , le site représente la porte d'entrée de tous les travaux d'interopérabilité entrepris dans les laboratoires Microsoft, explique l'éditeur de Redmond. Et de s'assurer au final que sa stratégie en la matière est bien comprise, «en toute transparence ». Cette semaine, Microsoft avait également ouvert son nouvel environnement de virtualisation Virtual Server 2005 R2 à la plupart des distributions Linux de Red Hat et Novell. Rappelons que l'interopérabilité des protocoles propriétaires de Microsoft est notamment un point de friction entre l'éditeur et la Commission Européenne. (...)

(06/04/2006 17:39:55)

Evangélisation : Silogic parle de son métier dans les Zep

La SSII Silogic participe ce jour, avec une cinquantaine d'entreprises et d'établissements scolaires a une initiative originale: un forum des métiers organisé par les quatre collègues ZEP (zone d'éducation prioritaire) du quartier du Mirail à Toulouse. C'est une démarche concrète en faveur de la lutte contre la discrimination et l'égalité des chances. Elle vise à faire découvrir des métiers aux jeunes et à atténuer les représentations négatives réciproques des collégiens et des entreprises. Silogic adhère à ce projet. Elle y participe pour montrer son implication dans la vie et le développement local et faire connaître son métier. La SSII n'a pas d'objectif de recrutement étant donné l'âge des collégiens. Mais une rencontre suffit parfois à susciter une envie, une vocation. Et cette présence aura de toute façon pour effet de donner un visage et un sens au service informatique, pour les jeunes. (...)

(06/04/2006 17:39:34)

Recrutement : 12 minutes pour faire tomber les préjugés

Les jeunes diplômés présentant un handicap devraient s'inscrire au prochain «Job dating» (rendez-vous de recrutement) organisé par l'association Adapt (insertion sociale et professionnelle des handicapés) le 8 juin. Selon l'association, les profils du secteur informatique font en effet parti des plus demandés par les recruteurs qui s'adressent à elle. Gratuite pour les candidats, cette opération présente par ailleurs des particularités intéressantes. Contrairement aux opérations de recrutement habituelles, c'est le candidat qui reçoit le recruteur et non pas l'inverse, ce qui crée un petit handicap pour lui aussi et donne une situation d'échange équilibrée. Le recruteur n'a ensuite que douze minutes pour s'entretenir avec le candidat, ce qui vise à le conduire à l'essentiel sans s'attarder sur le handicap et ses éventuelles contraintes. un tiers de candidats dans l'informatique Adapt a mis en place cette opération il y a deux ans, après avoir testé des dîners sans grand succès. « Les jeunes diplômés intimidés par les DRH osaient aborder la question de l'emploi au dessert. Les recruteurs de leur côté avaient peur de parler du handicap », explique Adapt. Elle poursuit aujourd'hui cette initiative qui a des résultats. Le dernier Job Dating (14 novembre 2005) a réuni 30 candidats, dont près d'un tiers dans l'informatique et 60 recruteurs de 45 entreprises, essentiellement des représentants de grandes structures (Alcatel, Areva, Axa, Cetelem, Caisse d'épargne, DirectAssurances, Ikea, La Poste, Groupe PPR, etc). Selon l'Adapt, elle a permis à 20% des candidats de trouver un poste dans un délai d'un mois après l'opération et à 60% d'entre eux cinq mois après. (...)

(06/04/2006 17:39:14)

Le projet Portland rapproche KDE et Gnome

L'OSDL (Open Source Development Labs) et freedesktop.org ont dévoilé leurs premiers développements du projet Portland (« Portland Project »). Ce dernier a pour objectif de lier les API des deux environnements graphiques Linux, Gnome et KDE. Afin de fluidifier les travaux des développeurs, généralement obligés de choisir l'un ou l'autre pour interfacer leurs développements. Le projet, lancé en décembre 2005 par les architectes de l'OSDL, se compose d'outils en ligne de commande et d'une série d'API. Ils sont actuellement testés auprès de développeurs. Mais une première version béta est prévue pour la fin mai. Et la version 1.0, dès juin. (...)

(06/04/2006 17:40:47)

Red Hat ferme la Fedora Foundation

Quelques mois seulement après sa création, Red Hat vient de décider de fermer la Fedora Foundation. L'éditeur estime aujourd'hui que le rôle de cette fondation, créée en juin dernier, est inutile quand elle n'entrave pas tout simplement l'avancée du projet Fedora. La fondation n'a pas su trouver son rôle propre. Ainsi, elle aurait pu servir à la communauté Open Source pour déposer des brevets mais la croissance fulgurante de l'Open Invention Network lui a enlevé ce rôle. De même, la fondation n'a pas su devenir une force par rapport aux tribunaux. Enfin et surtout, la création de Fedora Foundation était le résultat d'une demande expresse de la communauté pour ouvrir Fedora. Mais ce but n'a pas été atteint : la partie commerciale de Red Hat est fondée sur Fedora et il lui est impossible de ne pas avoir un droit de veto. Pour compenser la fin de la fondation est morte, Red Hat vient de muscler le projet Fedora avec de nouvelles ressources. Reste à maintenir le fragile équilibre entre développeurs de la communauté et édition "commerciale" de distributionx linux. (...)

(06/04/2006 17:38:00)

SNW San Diego : Les utilisateurs accusent les constructeurs de stockage d'abus

Les responsables informatiques interrogés lors d'un panel durant le salon Storage Networking World de San Diego, ont très largement accusés les fournisseurs d'équipements et de logiciels de stockage d'être responsables de la croissance des coûts du stockage de leurs données. Todd Thomas, le CIO de l' Austin Radiological Association, a expliqué que son principal problème est aujourd'hui la croissance des coûts de maintenance de ses équipements. Lorsque l'on regarde les coûts de maintenance de nos équipements, il serait plus économique pour nous de remplacer notre environnement SAN par un neuf. Le problème est que sa société n'a pas le besoin d'un nouveau SAN et que son défi est donc de contrôler les coûts de maintenance facturés par ses fournisseurs. Charles Inches, le directeur informatique de Corner Banca, une société basée en Suisse, à Lugano, met de son côté en avant le coût d'administration de son stockage. "Cela devient un cauchemar de gérer tous les éléments, que ce soit d'un point de vue coût, d'un point de vue organisationnel ou d'un point de vue interopérabilité". Pour Inches, il n'y a plus de distinction entre données de productions et données non-critiques. "...de nos jours, même l'e-mail est devenu une donnée de production". Globalement, les responsables informatiques interrogés, n'ont pas un grand amour pour les pratiques de facturation des éditeurs qui licencient leur logiciels d'administration en fonction de la capacité gérée. "Je crois que cela devrait être compris dans le prix du matériel" indique ainsi Todd Thomas. "C'est tout simplement scandaleux" explique de son côté Oliver Fischer-Samano, le directeur informatique de Baerlocher Productions USA à Cincinnati. Interrogés par le modérateur sur le caractère prédictible de la facturation du stockage, Inches a comparé les pratiques des fournisseurs à ceux de vendeurs de tapis dans un "bazar turc". Tout semble en fait affaire de négociation. "Vous pouvez faire baisser fortement les prix du matériel". Fischer-Samano indique de son côté que les rabais atteignent facilement 50% sur le matériel dès que l'on agite le spectre de la concurrence. "Mais les négociations s'arrêtent lorsque l'on discute des contrats de service. C'est là que les fournisseurs vous tiennent". Jerry Bartlett, le CIO d'Ameritrade Holding, explique quand à lui que si sa société tente de rester agnostique en matière de technologie afin de pouvoir maintenir des appels d'offres ouverts, son principal fournisseur est EMC. "c'est un peu problématique car cela limite notre choix. C'est un obstacle à la flexibilité. Le jour où nous pourrons migrer vers un environnement plus hétérogène, nous pourrons introduire une vraie concurrence entre fournisseurs plutôt que d'agiter l'éternelle menace de basculer vers le concurrent". En fait, les dirigeants interrogés sont globalement sévères quant aux efforts d'interopérabilité des fournisseurs. "Je suis très, très critique" indique ainsi Charles Inches. Même si tous les fournisseurs sont réunis au sein de la SNIA, ils n'ont pour l'instant pas livré grand chose". Sur une échelle de A à E, Todd Thomas note quant à lui les fournisseurs avec un E, "comme effort, précise-t-il avec malice"... adapté d'un article en anglais de Lucas Mearian, le correspondant de Computerworld à SNW San Diego (...)

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