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(06/04/2006 17:40:23)
SugarCRM propose de nouveaux services de support pour sa suite CRM libre
L'éditeur de logiciels de GRC libre SugarCRM a profité de Linuxworld, pour annoncer mercredi le lancement d'un ensemble de services de support et de formation destiné aux utilisateurs de la version libre et gratuite de son logiciel Sugar CRM. L'éditeur a également annoncé la disponibilité de la version 4.2 du logiciel Baptisé Sugar Network, le package de services lancé par la société est facturé au prix de 99 $ par an et par utilisateur. Pour ce tarif, l'utilisateur bénéficie notamment de plug-ins permettant d'intégrer les fonctions de Sugar CRM avec les principaux composants de la suite Office (Outlook et Word) ainsi que d'un accès à des modules de formation en ligne. La version 4.2 de Sugar CRM se distingue des précédentes par un plug-in Outlook sensiblement amélioré qui permet d'accéder aux fonctions du CRM au travers du client collaboratif de Microsoft. Il est à noter que Sugar CRM 4.2 est disponible en version libre et gratuite, mais aussi dans deux versions commerciales plus complètes, Sugar Professional 4.2 et Sugar Enterprise 4.2 vendues respectivement à partir de 239 $ et 449 $ par utilisateur. Une version hébergée de la suite est également proposée à partir de 39,95 $ par utilisateur et par mois... La version libre est téléchargeable sur le site de l'éditeur à l'adresse http://www.sugarforge.org/. (...)
(06/04/2006 12:04:08)Ingres développe une appliance Linux
Ingres veut revenir sur le devant de la scène. L'éditeur open source a déclaré à LinuxWorld travailler au développement d'une appliance combinant sa base de donnée et un OS Linux. Pour l'heure à l'état de prototype, l'ensemble baptisé Ingres Software Appliance est attendu avant la fin de l'année. Cela servira de socle pour d'autres appliances, explique Ingres. Les constructeurs pourront alors y reposer une couche applicative supplémentaire, et ainsi développer leur propre boitier. Pour Ingres, le concept de "pile" devrait également faciliter la maintenance de l'ensemble et alléger les procédures d'intégration. L'OS Linux embarqué est un dérivé d'une distribution connue, mais Ingres n'a pas souhaité en dévoiler le nom. (...)
(06/04/2006 10:58:09)Bouygues Télécom retient Nortel et Ericsson pour la 3G
Bouygues Télécom a retenu Nortel et Ericsson pour fournir son réseau de téléphonie 3G. Les deux équipementiers auront la charge de fournir les équipements nécessaires au déploiement du réseau 3G de Bouygues Télécom au plus tard au mois d'avril 2007. Le 3e opérateur mobile français a donc choisi de continuer à travailler avec Nortel, qui fournit déjà près de 90% de son réseau radio GSM/EDGE, et avec Ericsson, le numéro un mondial des systèmes 3G. Au passage, il élimine son second partenaire GSM, Nokia, ainsi que les autres constructeurs en lice dont Alcatel et Siemens. Il est à noter que Bouygues Télécom lancera directement ses services avec le standard 3G haut débit HSDPA, contrairement à Orange et SFR qui avaient fait le choix de se lancer avec la version initiale de la 3G. Ses objectifs de licence imposent à Bouygues Télécom de couvrir au moins 20 % de la population avant le 30 avril 2007, ce qui ne veut pas dire que l'opérateur ne déploiera pas la technologie plus rapidement s'il le juge nécessaire, d'autant que la perspective de réutiliser certaines fréquences GSM pourrait lui faciliter la tâche... (...)
(06/04/2006 10:58:29)Cisco met fin à la commercialisation du Cisco 2600
Cisco a décidé de retirer du marché sa gamme de routeurs d'accès de la série 2600 . la gamme sera toutefois supportée jusqu'au 25 Mars 2012. Cisco recommande à ses clients de migrer vers sa gamme Integrated Services Router (ISR) et notamment vers les séries 2800 ou 3800 qui apportent des fonctions de sécurité et de VOIP en plus des fonctions habituelles de routage des 2600. Les routeurs 2600 ont été l'un des grandes vaches à lait de Ciso sur le marché des enreprises avec près de 2 millions d'unités vendues dans le monde. Mais il ont progressivement été supplantés par la gamme ISR qui s'est déjà vendue à 500 000 exemplaires et a rapporté plus de 1Md $ de CA à Cisco. Cisco reste le leader mondial du routage d'agence avec près de 70 % de parts de marché mais il cède peu à peu du terrain à ses concurrents. Juniper, par exemple, a récemment lancé sa gamme SSG, qui combine les fonctions d'un routeur Juniper avec les fonctions de sécurité et de pare-feu d'une appliance NetScreen... (...)
(06/04/2006 10:59:24)Apple offre un nouveau support à Windows
Une page historique de l'informatique vient de se tourner. Apple, qui fête ses trente ans, lève le voile sur une version de test de Boot Camp, application permettant de faire cohabiter MacOS X et Windows XP en dual-boot sur les dernières machines MacIntel. Pour l'heure en béta librement téléchargeable (83 Mo) et limitée dans le temps , l'outil devrait rejoindre la prochaine mouture de MacOS, nom de code « Leopard ». Ce « camp retranché » pour Windows -et très probablement Vista- prépare le terrain à l'OS Microsoft : Boot Camp crée une partition pour héberger XP puis lance la gravure de pilotes nécessaires à la reconnaissance par Windows de la plateforme Mac. Le processus reste toutefois réversible, Boot Camp autorisant l'effacement de la partition Windows. Là s'arrête ses fonctionnalités. Et Apple de préciser d'emblée qu'en aucun cas il ne supporte Windows, ni ne fournit l'OS. Cette initiative ouvre en grand la porte de l'environnement Mac aux utilisateurs Windows. Car pour Apple, il s'agit bien d'élargir sa base installée en accueillant l'OS n°1 et ses utilisateurs. L'objectif : « la rendre plus attractive aux utilisateurs Windows susceptibles de switcher ». Un point sur lequel semblent s'accorder les cabinets de recherche Jupiter Reasearch et Gartner. Selon eux, ce dual-boot permet bien d'isoler le meilleur des deux mondes : posséder deux systèmes pour deux utilisations différentes (au travail ou à la maison). Mais surtout, explique Jupiter Research, il lève l'un des principaux obstacles à l'adoption du Mac par le monde PC : le manque d'applications. Coup double pour la firme à la Pomme, rapporte Gartner, pour qui Apple, jusqu'alors cantonné à un marché de niche, se retrouve en concurrence directe avec Lenovo, Dell ou HP, tous géants de l'industrie du PC. Microsoft, de son côté, pourrait également tirer son épingle du jeu. Et pourrait dans la foulée voir gonfler ses ventes de licences Windows, achetées soit par des utilisateurs PC ne disposant que d'une version OEM - non supportée par Boot Camp-, ou par les utilisateurs Mac, soucieux de profiter d'un double OS. Reste pourtant quelques problèmes de compatibilité tant logicielle que matérielle. Notamment dans la gestion des périphériques Bluetooth et de l'USB. Et côté logiciel, le formatage de la partition Windows, qui une fois en NTFS n'autorisera pas un utilisateur un mode Mac la option « Ecriture ». Et surtout, « comment utiliser Windows avec une souris à un seul bouton », ironise David Bradshaw, analyste chez Ovum. (...)
(05/04/2006 17:59:22)MIX 06 (French Remix feat. S. Ballmer)
Suite au succès du MIX 06 aux USA le mois dernier (voir MIX06 : Microsoft remixe le web, Microsoft France organise une édition française de cette conférence destinée aux développeurs et designers web nouvelle génération. Profitant de la venue en France de Steve Ballmer, PDG de Microsoft, le MIX06 français se déroulera le 27 avril à Paris. Si la version US restait relativement discrète sur le terme Web 2.0, parlant plutôt du futur du web (the next web now), l'édition française du MIX 06 mise à fond sur cette thématique à la mode, comme on peut le constater sur le programme de la journée. L'enjeu est de prendre la main sur un mouvement naissant. Car hormis quelques présentations confidentielles pour initiés, le Web 2.0 n'avait pas encore fait l'objet d'événement d'envergure dans l'hexagone. Il s'agit pour l'éditeur de montrer qu'il est maintenant présent à la fois dans l'offre de services et dans la fourniture d'outils de développement pour le Web 2.0. L'offre de services, c'est la stratégie Windows Live que présentera MSN France. Mais ce qui intéressera surtout les développeurs, ce sont les nouveaux outils pour développer des sites Web 2.0. Les designers web pourront découvrir Expression, une gamme d'outils pour concevoir les interfaces utilisateurs. Les développeurs pourront découvrir Atlas, le framework Ajax ainsi que WPF/E (Windows Presentation Framework Everywhere), le plugin multinavigateurs et multiplates-formes embarquant une CLR et les technologies de présentation de Vista. Steve Ballmer interviendra dans l'après-midi pour présenter la stratégie de la société et répondre aux questions. La conférence est gratuite et l'on encore s'inscrire ici : http://www.microsoft.com/france/mix/programme.mspx. (...)
(05/04/2006 17:57:37)Compuware : MDA et ALM sur Eclipse
Moins de six mois après son ralliement à la fondation Eclipse en tant que membre stratégique, Compuware annonce coup sur coup une nouvelle version d'OptimalJ 4.1 et le projet Tools Services Framework. Annoncé à l'occasion de la conférence EclipseCon 2006, la nouvelle version d'OptimalJ 4.1 introduit la démarche MDA dans Eclipse. Basée à l'origine sur NetBeans, la version professionnelle d'OptimalJ s'invite désormais dans l'IDE dominant. L'approche MDA (Model Driven Architecture) de l'OMG s'appuie sur les modèles pour définir les fonctionnalités d'une application et sur des transformations pour générer du code à partir des modèles. OptimalJ est une implémentation de MDA en Java. Elle intègre des fonctionnalités de modélisation UML avec l'atelier MagicDraw UML de No Magic. Les design patterns de l'entreprise peuvent ainsi être visualisés sous forme de diagramme UML 2.0. Parmi les nouveautés, citons l'importation directe des Use Cases et des Class Cases vers les modèles de domaine et une meilleure traçabilité des spécifications. Compuware annonce également le lancement du projet Tools Services Framework (Corona), un outil de gestion du cycle de vie des applications (ALM, Application Lifecycle Management). Ce framework côté serveur permet aux outils fonctionnant sous Eclipse de collaborer er de partager des ressources sur les projets, les applications ou les événements. (...)
(05/04/2006 17:56:18)BEA Dev2Dev 2006 : pour la mixité
La conférence développeurs BEA Dev2Dev 2006 est en tournée mondiale de 24 dates à travers les Etats-Unis, l'Asie et l'Europe. L'édition française s'est tenue aujourd'hui à Paris au CNIT. Est-ce l'effet grève anti-CPE de la veille ou le souvenir encore chaud de BEAWorld Paris (octobre 2005), seule une soixantaine de personnes sur les 300 inscrits avaient fait le déplacement. Formatée à l'identique pour toutes les dates, cette journée était axée sur l'approche « blended » de BEA : mixer les outils Open Source et les produits commerciaux. A travers un exemple d'application de gestion d'une ligue de football, les présentations passaient en revue les différents outils Open Source et leurs interactions avec les produits BEA. Si la cohabitation de l'Open Source et du propriétaire est aujourd'hui une réalité incontournable, surtout dans le monde Java, la démarche de BEA veut aller plus loin en intégrant dans ses produits commerciaux des points d'ancrage avec les outils Open Source. Ainsi Workshop Studio 3.0 est une plate-forme de développement basée sur Eclipse et qui s'interface avec des frameworks Open Source tels que Struts, Tiles, Hibernate et Spring. Le conteneur Spring est de plus particulièrement bien intégré avec WebLogic Server (administration des objets Spring à travers WLS, WebLogic JMS intégré dans Spring, etc.). Workshop Studio s'ouvre également à la spécification EJB 3.0 (encore en phase de finalisation) par le truchement de Kodo, le moteur de persistance EJB 3.0 issu de l'acquisition de SolarMetric en 2005 par BEA. Kodo qui par ailleurs a été donné à la communauté Open Source avec le lancement du projet Open JPA (Java Persistence API). BEA ne pouvait ignorer le buzzword Ajax. Bien que n'ayant encore rien à proposer, Ajax faisait partie des slides, en gras et en rouge. Les futures versions de WebLogic Portal 9.2 et de Workshop supporteront Ajax. BEA présentait également AppXRay, un moteur d'intelligence intégré à Workshop et qui vérifie la cohérence d'un développement en analysant les dépendances entre artefacts. AppXRay s'intercale entre Eclipse et les différents frameworks Open Source. Avec l'arrivée imminente de JavaOne en mai, BEA devrait annoncer encore des nouveautés. (...)
(05/04/2006 17:51:18)Présentez-vous un handicap ?
"Les salariés présentant un handicap sont invités à prendre contact avec la direction des ressources humaines pour valider leur situation sous le sceau de la confidentialité, s'ils le souhaitent». Pour le moins atypique, mais sans équivoque, voici la teneur du message qu'ont reçu hier les salariés de la société Silogic. La SSII s'est adressée à ses collaborateurs en vue de l'aider à remplir ses obligations légales d'emploi de 6% d'handicapés en leur expliquant ses motivations. Celle-ci rencontre des difficultés pour recruter ces populations dans les métiers dont elle a besoin, notamment des développeurs et des chefs de projets (30 postes sont à pourvoir d'ici au mois de juin). Elle souhaite pour autant éviter de subir la sanction financière prévue par la loi si elle ne remplit pas ses obligations. La voix interne lui apparaît donc une autre piste à explorer pour trouver des profils d'handicapés. Cette initiative pose la question du sens et de l'esprit de la loi relative à l'obligation d'emploi des travailleurs handicapés. Celle-ci s'est récemment durcie (loi du 11 février 2005) en augmentant la contribution financière des entreprises si elles ne respectent pas leurs quotas, pour les inciter à ouvrir davantage de postes aux handicapés. Or, si elle est appliquée à des personnes en emploi, son esprit n'est pas tout à fait respecté. Toutefois si les entreprises ont des difficultés à trouver des personnes handicapées, elles ne peuvent remplir leurs obligations. Or cette difficulté semble aujourd'hui prégnante dans le secteur informatique. Le taux de chômage des handicapés est pourtant élevé, de l'ordre de 20% sur une population active estimée à 900 000 personnes (source Agefiph, association pour l'emploi des handicapés). Mais le problème est lié à plusieurs facteurs, notamment au trop faible nombre d'handicapés ayant un niveau de qualification adapté aux besoins des entreprises du secteur. Les chiffres de l'Agefiph l'attestent. Seuls 2,8% des chômeurs handicapés recensés ont au moins un Bac +3, 7,3% un bac +2 et 19% au moins le Bac. "Nous sommes justes en qualification pour les prestataires informatiques", confirme Sylvain Vacheresse, directeur de Cap Emploi Côte d'Or (réseau de placement d'handicapés). Le constructeur IBM et la Conférence des grandes écoles ont fait le même constat. Ils ont récemment lancé des chantiers pour accroître le nombre d'handicapés dans l'enseignement supérieur. L'autre facteur concerne peut-être la façon de recruter des entreprises. "Celles-ci doivent avoir une approche différente que sur des postes pour lesquels elles vont recevoir 200 ou 300 CV", estime Fabienne Duboscq, directrice du Développement associatif et de la communication de l'association Adapt (insertion des handicapés). " Elles ont moins de candidatures et doivent systématiser la rencontre avec les candidats afin d'examiner les possibilités d'emploi et les adaptations possibles chez elles". Pour Patrick Pedersen, directeur des opérations chez Monster, ayant lancé Monster Handicap en septembre dernier. "Les SSII doivent aussi ouvrir leur réflexion à d'autres métiers que ceux sur lesquels elles ont des tensions et par exemple embaucher dans les métiers des services généraux, les hôtesses, etc". Certes, mais à suivre ce conseil, les informaticiens handicapés pourraient ne pas profiter pleinement de cette loi qui fait bouger les acteurs de la vie économique sur le problème de leur insertion. (...)
(05/04/2006 17:39:45)Infosec: Les stratégies de sécurité doivent rester simples et ciblées
"Choisissez vos batailles", explique Anish Bhimani, DSI de JPMorgan Chase & Co, à l'audience d'une conférence organisée dans le cadre du salon Infosec d'Orlando. Selon lui, il est urgent de ne pas élaborer une « liste de courses » de points de mise en conformité trop précise qu'il sera ensuite difficile de contrôler. Anish Bhimani encourage en revanche à l'établissement d'objectifs « limpides comme de l'eau de roche », verbalisés d'une manière simple à lire et à comprendre par tout un chacun. Et d'expliquer comment JP Morgan Chase a adopté une liste relativement courte de règles de sécurité ne tolérant aucune entorse, assortie d'une seconde liste de règles moins impératives. Charles Pask, directeur général de ITSec Associates, va plus loin : selon lui, les « stratégies de sécurités ne tolèrent aucune entorse » et doivent se limiter aux règles dont le respect est impératif. Philip Maier, vice-président en charge de la sécurité de l'information chez Inovant, la division SI de Visa International, partage ce point de vue. Selon lui, les stratégies de sécurité doivent être facilement applicables pour être efficaces. Il encourage d'ailleurs les entreprises à mettre en place des groupes chargés du contrôle de l'application des règles de sécurité, contrôle associé une validation par des experts. Pour Sandy Bacik, DSI chez Tekelec, il est en outre nécessaire de dissocier les règles de sécurité, qui doivent guider des comportements, des standards et contraintes de sécurité réglementaires qui relèvent, eux, des programmes de gestion de risques. Enfin, Charles Pask souligne la difficulté de rédiger des règles de sécurité dans le contexte d'une entreprise multinationale. Et d'attirer l'attention des DSI sur les problèmes éventuels de traduction et, plus loin, d'adaptation des textes aux environnements culturels et linguistiques pour lesquels ils sont prévus. (...)
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