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Développement durable
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(09/09/2009 12:58:00)
MonExTel propose une réutilisation durable des téléphones mobiles
La jeune pousse française Recommerce Solutions incubée par l'Institut Télécom, accompagnée par la start up Tic Ethic, a mis au point le système MonExTel pour donner une deuxième vie aux mobiles (mise à jour). Il suffit à l'internaute d'enregistrer son mobile sur le site pour en connaître la valeur, pour faire bénéficier une association des fruits de cette vente et d'envoyer sans frais son téléphone vers un circuit de réutilisation qui emploie des personnes handicapées. Modèle économique durable, réduction de l'impact environnemental et accompagnement social, tous les ingrédients du green IT sont là. Et la démarche s'applique aussi bien aux entreprises qu'aux particuliers. L'internaute qui souhaite se débarrasser de son portable sans le jeter à la poubelle, ni le voir partir dans des circuits de recyclage qu'il ne maîtrise pas, commence par saisir les caractéristiques sur le site MonExTel. Un moteur de calcul établit alors la valeur de reprise de l'appareil. « Cette technologie de Real-Time Pricing, explique Benoît Varin, gérant de Tic Ethic et fondateur de MonExTel, analyse de manière automatique les transactions effectuées sur les différentes places de marché C2C comme eBay et B2B. Une approche sémantique permet d'identifier les spécificités de chaque vente et le prix d'un même modèle peut varier sensiblement en fonction d'une multitude de facteurs tels que l'état, la garantie, les accessoires fournis, le 'désimlockage' éventuel, etc. » « Favoriser le réemploi des téléphones et rendre facile le geste de renvoi du produit » Les téléphones sont vendus au prix ainsi déterminé à des boutiques d'occasion, à des associations d'insertion ou encore à des pays en développement en particulier en Afrique. Le produit de la vente est presque totalement reversé à l'association préalablement choisie par l'internaute parmi celles proposées par MonExTel. L'autre partie de la somme sert à rembourser les frais de fonctionnement et de logistique de la jeune pousse. Les associations inscrites (une dizaine actuellement) sont sélectionnées pour leurs actions environnementales, sociales, humanitaires, etc. Le propriétaire du mobile reçoit ensuite rapidement une enveloppe pré-affranchie (il peut aussi imprimer un bordereau d'affranchissement) dans laquelle il glisse le mobile sans autre frais avant de le renvoyer. Le matériel arrive alors dans un atelier de tri (recyclage ou réemploi) qui n'emploie que du personnel handicapé. Bien sur, conformément à la directive européenne sur les DEEE (déchets d'équipements électriques et électroniques), les distributeurs de produits électroniques ont l'obligation de reprendre, pour le compte des fabricants, les anciens mobiles lors d'un nouvel achat. Mais Benoît Varin rappelle que rien ne leur impose d'envoyer les produits vers un circuit de réutilisation. « Notre initiative vise justement à favoriser le réemploi de téléphones portables usagés, explique-t-il, mais aussi à rendre facile le geste de renvoi d'un produit. » Le principe (rachat de téléphone, envoi de dons aux associations, etc.) existe déjà par exemple sur le site « mobile-recyclage »mais il s'appuie généralement sur des points de collecte physiques, obligeant le propriétaire du téléphone à s'y rendre. « Au sein de Tic Ethic, nous développons cinq ou six autres projets dans les mêmes domaines de déchets électroniques, raconte Benoît Varin. Nous en étudions tous les enjeux juridiques, économiques, techniques, organisationnels et autres. » L'entreprise, créée en 2005, a développé une expertise du sujet qui lui vaut d'être consultée par l'Ademe, le Programme des Nations-Unies pour l'environnement (PNUE), et même de piloter pour l'Unesco un programme concernant le recyclage des PC. (...)
(26/08/2009 12:21:05)Intel veut entrer dans les smartphones dès 2010 avec Moorestown
A l'occasion de la conférence Hot Chips qui s'est déroulée du 23 au 25 août à l'université de Stanford en Californie, Intel a donné quelques précisions sur les fonctions d'économie d'énergie des prochaines moutures de ses puces Atom. Objectif avoué : proposer rapidement une version suffisamment petite et économe pour s'intégrer dans un smartphone. Il y a quelques semaines, des rumeurs laissaient encore entendre que le fondeur ne s'intéresserait pas à ce marché, dominé par ARM, avant 2011 et la sortie de son Medfield. Finalement, c'est Moorestown, dont la sortie est prévue en 2010, qu'Intel présente désormais comme une puce spécifiquement conçue pour les smartphones et les MID (Media Internet Device). Selon Rajesh Patel, architecte principal du system-on-a-chip (SOC) Lincroft chez Intel, la puce pourrait consommer moitié moins d'énergie en mode actif que ses prédécesseurs et près de 50 fois moins en mode inactif. « Nous nous sommes concentrés sur le mode inactif des smartphones, détaille l'architecte, car c'est l'état dans lequel ces mobiles se trouvent le plus souvent. » La puce sera, par ailleurs, deux fois plus petite que les précédents Atom. Quasiment tous les composants peuvent être désactivés individuellement Moorestown comprend l'Atom au nom de code Lincroft et son chipset au nom de code Langwell. Lincroft est un SOC qui regroupe sur une même puce un accélérateur graphique 2D/3D, un contrôleur mémoire et d'autres composants. Avec ce type de puces, quand le smartphone n'est pas utilisé, le processeur peut être presque complètement désactivé. Le SOC est en effet divisé en plusieurs « îlots » de consommation électrique dans chacun desquels, comme l'explique Rajesh Patel, « quasiment tous les composants peuvent être désactivés individuellement lorsqu'ils ne sont pas utilisés pendant un certain temps. » Seuls les éléments destinés à réveiller le processeur restent actifs. Intel ne donne d'ailleurs aucune information concernant le temps nécessaire à ce retour « à la vie. » Moorestown est aussi capable de réduire sa vitesse d'horloge jusqu'à des seuils prédéfinis en fonction de l'usage du périphérique qu'il anime. Enfin, Moorestown utilise la technologie en 45 nm avec l'isolant « high-K metal gate ». Ce processus permet de réduire la taille de l'Atom par une gravure plus fine mais il réduit aussi la consommation énergétique en empêchant les déperditions électriques dans le processeur. (...)
(24/08/2009 15:32:35)Mozilla organise une semaine solidaire autour du Web
La communauté Open Source Mozilla, à l'origine d'environnements tels que Firefox et Thunderbird, appelle les internautes à une semaine solidaire entre le 14 et le 21 septembre. Au travers de cette opération appelée « Mozilla à votre service », elle a décidé d'ouvrir le mode de fonctionnement du Libre à la société tout entière. Mozilla demande aux internautes, quel que soit leur niveau de technicité, de partager bénévolement et gratuitement avec d'autres leurs compétences sur le Web. Parmi les exemples donnés sur le site, on trouve la formation au Web des personnes âgées, l'installation d'un réseau sans fil dans une école et, même, le reconditionnement de matériel informatique pour une association. Pour expliquer sa démarche, Mozilla en explique l'esprit et l'objectif sur son site : « Mozilla pense que tout le monde devrait pouvoir accéder à Internet, savoir comment l'utiliser correctement et en avoir une expérience enrichissante. En tirant partie des compétences de notre communauté en ce qui concerne l'écriture, la conception, le développement et les nouvelles technologies, nous pensons que nous pouvons faire du Web un endroit meilleur pour tout le monde. » Un site par pays pour déposer sa promesse de projet Chaque pays dispose d'un site Web réservé à cette opération et d'un lieu pour déposer les promesses de projet. Pour participer, il suffit ainsi d'inscrire son projet ainsi que les heures que l'on compte y consacrer dans la « promessothèque ». Pour les internautes en mal d'imagination, Mozilla propose de consulter les missions de ceux qui participent déjà. Le principe est jusqu'au bout celui de l'Open Source. Mozilla compte ainsi sur les internautes pour utiliser leurs blogs, le micro-blogging ou les réseaux sociaux afin de relayer l'opération. Il propose des bannières pour communiquer sur les sites. Il s'appuie aussi sur les internautes pour traduire les instructions dans un maximum de langues différentes. (...)
(21/08/2009 17:35:34)Microsoft rejoint le "Power IT Down Day"
Tout comme Citrix, HP et Intel précédemment, Microsoft a décidé de soutenir cette année le 'Power IT Down Day'. Le 27 août prochain, les utilisateurs seront invités à éteindre leur poste de travail, leur écran et leur imprimante avant de partir du bureau. Réservée aux habitants des Etats-Unis, et plutôt tournée vers les employés de la fonction publique, cette démarche se veut surtout une opération de sensibilisation. Simple mais clair, le site Power IT Down affiche un compteur en temps réel du nombre d'inscrits et surtout l'économie d'énergie qui sera réalisée s'ils éteignent tous effectivement leurs équipements de bureau. Une sensibilisation des utilisateurs individuels L'industrie informatique a beaucoup insisté sur la nécessité de réduire la consommation gargantuesque des datacenters, mais a quelque peu négligé les utilisateurs individuels. Power IT Down veut, entre autres, montrer que si un grand nombre de ces derniers éteignaient leurs configurations, l'énergie économisée pourrait se révéler colossale. Ainsi, les 1 928 inscrits de Power IT Down à l'heure où cet article est publié, représenteraient quelque 25 000 kWh économisés. En rejoignant l'opération, Microsoft -comme les autres sponsors- compte aussi mettre en avant ses propres technologies destinées à économiser l'énergie. Et, en particulier, les fonctions qu'il a ajoutées à son futur Seven. Le système d'exploitation proposera par exemple une gestion de la luminosité de l'écran en fonction de l'éclairage ambiant ou du temps d'utilisation, ainsi que le diagnostic de consommation des différents composants de la machine utilisée ou la désactivation automatique de services comme Bluetooth, inutilement gourmands. (...)
(19/08/2009 12:15:05)Fracture numérique : les élus locaux se mobilisent autour du haut débit
Les élus locaux connaissent bien la fracture numérique. Ils la retrouvent dans la téléphonie mobile, la télévision numérique terrestre (TNT), le haut débit par ADSL et bientôt par fibre optique. Elle représente pour eux un danger en éloignant de certaines zones géographiques les entreprises, les touristes, les propriétaires de résidences secondaires, ou plus simplement les autochtones et surtout les plus jeunes d'entre eux. Le plan numérique 2012 du gouvernement, qui prévoit pourtant le haut débit universel en 2010, n'a pas convaincu. Si l'ambition est louable, l'absence de financement laisse les élus locaux sur leur faim. Le lancement d'un projet d'emprunt national a réveillé leurs ardeurs. Impatients de voir leurs territoires désenclavés, ils souhaitent voir cet argent également utilisé pour le très haut débit. Quatre associations sont donc montées au créneau : l'AMF (Association des maires de France, qui représentent tous les maires, surtout ceux des petites communes), l'ADF (Association des départements de France), l'ARF (Association des régions de France) et l'Avicca (Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l'audiovisuel). Les adhérents de l'ADF et de l'ARF sont à l'origine de la plupart des RIP, réseaux d'initiative publique (voir encadré). L'Avicca regroupait initialement les collectivités locales développant des réseaux câblés. Elle rassemble aujourd'hui toutes celles lancées dans les réseaux à haut débit (à base de câble ou pas) et, surtout, elle organise une veille juridique et économique sur ces sujets. Bref, ces quatre associations regroupent bien le pouvoir local en matière de haut débit. Une proposition de loi du sénateur Xavier Pintat Le 10 juillet dernier, ces associations ont signé une plateforme commune. Elles avancent quatre propositions : la création d'un fonds de péréquation en faveur des collectivités locales moins favorisées, la création de schémas directeurs nationaux et régionaux, l'utilisation du dividende numérique pour les territoires qui ne seraient pas fibrés rapidement et, enfin, des mesures financières pour abaisser les taux d'emprunt. Les quatre insistent beaucoup sur l'aspect financier du sujet. Un précédent fonds d'investissement pour le haut débit avait vu le jour en 2003, avant que l'argent affecté lui soit en grande partie retiré un an après. Elus échaudés craignent l'Etat froid ! Une deuxième initiative a conduit le sénateur Xavier Pintat à déposer une proposition de loi reprenant les suggestions de cette plateforme. Proposition adoptée au Sénat. Si l'Assemblée nationale et le Gouvernement le décident, cette proposition, en étant adoptée, pourrait donner le vrai coup d'envoi d'un développement équitable du haut débit en France. Plusieurs collectivités locales ont également lancé des schémas directeurs régionaux pour le haut débit. C'est le cas du département du Loiret et des régions Auvergne et Aquitaine. Le poids du haut débit en France Fin 2008, 76 collectivités locales avaient déployé des réseaux par elle-même (en exploitation totale ou partielle), 20 avaient attribué leur marché, 15 en attendaient l'attribution. 50% de ces réseaux concernent des villes, 43% des départements et 7% des régions. Ils représentent 3 670 zones d'activité raccordées, 9 377 établissements publics raccordés, 3 062 NRA (noeuds de raccordement d'abonnés) dégroupables, 32 000 kilomètres de câbles optiques. En terme financier, ces réseaux représentent 2 613 milliards d'euros, 48% provenant de financement public (source Avicca). (...)
(14/08/2009 09:18:07)Le standard environnemental Epeat validera la conformité des produits pour 40 pays
Les déclarations de produits conformes au standard Epeat (Electronic Product Environmental Assessment Tool) se feront désormais pour 40 pays dont la France, et non plus seulement pour les Etats-Unis. Ce programme établit en effet depuis 2006 une base de données de produits électroniques décrits avec des critères environnementaux. Ces informations sont remplies directement par les fournisseurs. Avec l'extension internationale de cette base accessible en ligne, les entreprises clientes et les consommateurs sauront si les machines qu'ils souhaitent acquérir respectent aussi dans leur pays les critères environnementaux du programme. Cela se traduit entre autres par l'ajout du pays dans les formulaires de recherche de produits sur le site. Mais pour cela, il n'a pas suffi à Epeat d'ajouter un lien vers la donnée « pays » de chaque produit dans sa base de données. En effet, quand un constructeur déclare par exemple que son PC ne contient pas de pièces de plus de 25 g en PVC, a priori, cette déclaration vaut dans tous les pays où le produit est vendu. Et dans la base, il suffit donc de valider le produit dans tous ces Etats. Mais Epeat tient aussi compte de certains services proposés par les constructeurs, comme la reprise ou le recyclage des matériels. Et dans ce cas, la validation du critère par pays ne peut être automatique. Le fournisseur doit confirmer qu'il assure la prestation décrite partout où il est présent pour que la validation fonctionne. Epeat en appelle à toutes les bonnes volontés La porte-parole d'Epeat, Sarah O'Brien, explique que cette démarche n'est que le début de l'ouverture du programme à l'international, qui espère en particulier attirer des acteurs locaux des TIC. « A la création, en 2006, nous avions 3 fournisseurs inscrits avec seulement une cinquantaine de produits. Aujourd'hui, nous comptons 35 inscrits et près de 1 300 produits. Mais nous avons ouvert une porte, et il va falloir assurer beaucoup de travail pour soutenir notre démarche. » L'organisme réalise ainsi, par exemple, des vérifications aléatoires des déclarations des fournisseurs inscrits. Avec l'internationalisation du système, il va faire en sorte de former des personnes qui puissent s'occuper de contrôles locaux. Le standard doit aussi être mis à jour en fin d'année (il est révisé tous les trois ans). « Nous cherchons des gens pour soutenir le système en général », résume Sarah O'Brien. Epeat ne compte que quatre permanents, mais a la particularité de s'appuyer sur un grand nombre de participants externes qui garantissent la qualité et la neutralité du programme : des entreprises, des administrations (la ville de Portland où Epeat a son siège, par exemple), des associations de défense de l'environnement, etc. Et l'organisme compte bien en recruter davantage, dans le monde entier. « Nous convions tous ceux qui sont intéressés par le soutien à notre programme à participer, où qu'ils soient dans le monde », insiste Sarah O'Brien. (...)
(06/08/2009 17:48:57)L'informatique indienne veut une réglementation sur les déchets électroniques
L'industrie informatique indienne (MAIT, Manufacturers Association of Information Technology) et Greenpeace se sont réunis à Delhi pour réfléchir à des solutions concernant les déchets électroniques en Inde. Aujourd'hui, les seules réglementations existant dans le pays s'attachent surtout au recyclage et à l'élimination des déchets industriels, laissant de coté les TIC, si l'on en croit Ramapati Kumar, conseiller de campagne pour Greenpeace. Les industriels de l'informatique et l'association écologiste proposent donc ensemble une législation spécifique aux TIC sous le nom de E-waste Management and Handling Rules 2008. « Les nouvelles règles devraient exiger une responsabilité étendue des fournisseurs tout au long du cycle de vie des produits », explique Vinnie Mehta, directeur exécutif au MAIT, sans plus de précisions. Elles pourraient aussi entraîner l'interdiction de l'importation en Inde d'équipements électroniques destinés au recyclage ou à la destruction. Les matériels d'occasion réutilisables et destinés à des oeuvres ou des associations caritatives, par exemple resteraient les bienvenus. L'Afrique par exemple, ou les pays émergents comme l'Inde ou la Chine, restent encore souvent de véritables poubelles pour un grand nombre de résidus de l'industrie électronique mondiale. (...)
(04/08/2009 11:54:01)Greenpeace tague « Hazardous Products » sur le toit de HP
"Hazardous Products". Cette inscription en lettres géantes qui réinterprète les initiales de HP et qui a décoré le toit du siège de la société à Palo Alto la semaine dernière était signée Greenpeace. "Hazardous Products", qui signifie « produits dangereux », fait référence à la décision du constructeur de reporter à 2011 le retrait des retardateurs de flamme bromés et du PVC de ses machines. Selon HP, il n'y aurait à ce jour pas de solution de rechange suffisamment efficace pour ces produits pourtant toxiques. Difficile de comprendre l'argument pour le PVC, un matériau déjà remplacé chez nombre de fabricants. En revanche, le numéro un mondial de l'informatique avait déjà expliqué ses difficultés à remplacer les retardateurs de flamme bromés (BFR), dont la fonction est tout simplement d'empêcher les PC de trop chauffer, voire de finalement prendre feu. Pour Greenpeace, ces arguments ne tiennent pas et HP n'a pas de raison de renier sa promesse faite en 2007 de se débarrasser de telles substances avant fin 2009. Selon l'organisation de défense de l'environnement, Apple par exemple aurait déjà sorti plusieurs produits exempts aussi bien de PVC que de BFR. Un temps mis en cause lui aussi par Greenpeace, le constructeur de l'iPhone publie sur son site un état des lieux détaillé de son utilisation de produits toxiques. Il y précise avoir mis au point des solutions de remplacement pour les BFR en particulier qui ne nuiraient pas à la qualité de ses machines. Apple devait effacer toute trace de retardateurs de flamme bromés dans sa gamme dès la fin de l'année dernière. Dans une déclaration, HP a confirmé la date de 2011 pour le retrait du PVC et des BFR. Dans ce même texte, l'entreprise estime que « les singeries peu constructives qui ont eu lieu au siège de HP n'aident en rien à atteindre les objectifs que partagent tous ceux qui se préoccupent de l'environnement ». (...)
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