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Développement durable

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(16/07/2009 15:00:46)

Près de 200 000 tonnes de déchets électroniques collectées en France en 2008

L'éco-organisme Eco-systèmes annonce dans son rapport annuel, paru le 15 juillet, avoir collecté 192 808 tonnes de déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) en 2008. L'an dernier, le public a ramené 16 millions d'appareils électriques et électroniques usagés dans les points de collecte. Le dépôt des matériels usagés a permis l'économie de 113 021 tonnes de CO2. Eco-systèmes se félicite de ce résultat soulignant avoir dépassé son objectif de 4 kg de DEEE collecté par habitant et par an. Pour 2009, l'éco-organisme espère collecter 250 000 tonnes de déchets électriques et électroniques, soit l'équivalent de 5,4 kg par habitant et par an. (...)

(03/07/2009 17:46:31)

Les chutes du Niagara alimenteront le prochain datacenter Yahoo!

Yahoo! a révélé cette semaine son intention d'installer son prochain datacenter à Lockport, dans l'état de New-York. Rien de très original, si ce n'est que 90% des serveurs seraient alimentés par la puissance hydroélectrique des chutes du Niagara. Qui plus est, le datacenter devrait, comme cela se pratique de plus en plus, être complètement refroidi à l'air ambiant, profitant du microclimat local. Le design du bâtiment s'apparenterait à celui d'un poulailler (il s'appelle le 'computer coop' par analogie avec le 'chicken coop'). Inutile ainsi pour Yahoo ! d'investir dans un système de climatisation coûteux et gourmand en électricité. Selon le numéro deux de la recherche en ligne, le PUE (power usage effectiveness) de l'ensemble devrait à peine dépasser 1,1, attestant de son extrême efficacité énergétique. (...)

(03/07/2009 16:49:52)

HP, Dell et Lenovo montrés du doigt par Greenpeace

HP, Dell et Lenovo continuent d'accumuler les mauvais points dans la 11ème édition du Guide pour une high-tech responsable de Greenpeace, paru le 1er juillet. Comme en mars dernier, les trois constructeurs chutent, (respectivement à la 13ème, 14ème et 16ème place) notamment pour ne pas avoir tenu leurs promesses de supprimer de leurs produits le plastique PVC et les retardateurs de flamme bromés. Nokia conserve sa première place et Nintendo, pour sa part, s'installe maintenant depuis plus d'un an à la dernière position. Le "Guide pour une high-tech responsable" répertorie les principaux fabricants mondiaux d'électronique selon leur politique de respect de l'environnement. L'ONG souligne aussi la dégringolade de Sony qui se retrouve à la 12e place après avoir occupé le 5e rang en mars dernier. La politique de recyclage de l'entreprise lui vaut de perdre sept places. Nokia, Samsung et Sony Ericsson sont les trois premiers de ce nouveau classement quand Lenovo, Fujitsu et Nintendo se partagent les trois dernières positions. Le guide "Pour une high-tech responsable" attribue une note sur 10 aux dix-huit plus gros fabricants mondiaux de téléphones mobiles, d'ordinateurs, de téléviseurs et de consoles de jeux selon 3 types de critères : gestion des substances chimiques toxiques, gestion des déchets électroniques, prise en compte de l'enjeu climatique. (...)

(25/06/2009 16:48:43)

Les femmes toujours sous-représentées dans les TIC en Europe

Une étude réalisée par EUN Schoolnet montre sans surprise que les femmes sont sous-représentées dans le secteur des TIC en Europe. En France, l'analyse révèle que si 49% des étudiantes se déclarent intéressées par une carrière dans ce domaine, elles ne sont plus que le quart à poursuivre dans cette voie. Le facteur le plus démotivant est le sentiment que les TIC constituent un secteur d'activité essentiellement réservé aux hommes. L'étude pointe du doigt une déperdition des talents pour l'industrie informatique. Moins d'un tiers des responsables informatiques sont des femmes. Parmi les ingénieurs en informatique, on dénombre seulement 9,6% de femmes. Et dans l'enseignement supérieur, seules 5,8% de femmes occupent des postes de professeurs dans le domaine informatique. Pour les jeunes filles en phase d'orientation, le nombre de modèles à qui elles pourraient s'identifier est donc fort restreint. Selon l'étude, pouvoirs publics et industries devraient collaborer afin de faire évoluer la perception des TIC auprès des étudiantes car, à défaut d'éducation, de soutien et d'encouragement, cette situation devrait perdurer. (...)

(25/06/2009 15:29:44)

Les pays émergents en passe de devenir des poubelles à PC usagés

En devenant le réceptacle de nombreux PC de seconde main, les pays émergents courent le risque de devenir de gigantesques décharges IT des économies occidentales. Ce constat alarmant est dressé par Gartner, qui met en garde les pays développés et les encourage à changer leurs méthodes de gestion de leurs matériels obsolètes. Selon le cabinet d'études, plus de 37 millions d'ordinateurs ont fini leur vie dans un pays pauvre en 2008, un chiffre qui pourrait atteindre 69 millions en 2012. A titre de comparaison, il s'est vendu 302 millions de PC neufs dans le monde en 2008. Sous couvert d'envoyer les machines usagées dans les pays les plus pauvres afin qu'elles soient réutilisées, ces exportations peuvent constituer des prétextes dissimulant une volonté de jeter, voire de se décharger de la responsabilité du traitement de ce type de déchets électroniques sur les économies émergentes, « rarement équipées pour les traiter de façon responsable tant au point de vue social qu'environnemental », explique Gartner. Au-delà des légitimes considérations écologiques, Gartner met en garde les constructeurs contre le déficit d'image dont elles pourraient pâtir. « Rien ne nuit plus aux efforts déployés par les fabricants pour paraître vert que la découverte de machines portant leur marque, jetées dans un pays émergent en Asie ou en Afrique », conclut le cabinet d'études. (...)

(24/06/2009 10:56:22)

France Télécom formalise le télétravail

France Télécom et les organisations syndicales du groupe (CFDT, CFE-CGC, CFTC et FO) ont signé hier un accord sur le télétravail. Ce dernier repose sur trois principes : le volontariat, la possibilité de retourner à une position classique dans des délais raisonnables et le maintien du lien social (par la formation ou par une présence dans les locaux de l'entreprise deux jours par semaine). De son côté, le salarié demandeur doit être autonome et exercer une activité quantifiable et contrôlable à tout moment. En France, le groupe compte près d'un millier de télétravailleurs (à domicile ou dans un bureau au sein de l'entreprise, mais autre que le lieu habituel), soit moins de 1% de ses effectifs. A travers cet accord, il souhaite encadrer un mode de fonctionnement qui existe donc déjà, mais aussi se donner davantage de moyens techniques pour permettre aux salariés d'effectuer tout ou partie de leur travail à distance. Le groupe leur fournira un bouquet de technologies à cet effet (xDSL, Business Everywhere, Internet Everywhere , la 3G, le WiFi...). Au début du mois de juin, les députés français ont adopté une proposition de loi visant à consacrer l'entrée du télétravail dans le Code du travail. L'Hexagone est en retard à ce sujet. Seuls 7% des salariés bénéficient d'un tel type d'aménagement des conditions de travail, contre 13% dans l'ensemble de l'Union européenne. (...)

(17/06/2009 18:01:38)

Energy Star renforcé pour les équipements informatiques au 1er juillet

Les ordinateurs, photocopieurs et imprimantes devront se conformer à une norme Energy Star plus exigeante à partir du 1er juillet prochain. Un accord vient d'être signé dans ce sens entre la Commission européenne et l'Agence américaine pour la protection de l'environnement (EPA), gardienne du standard. La mise en application de ces nouvelles spécifications pour les équipements informatiques de bureau ou pour la maison devraient induire, selon les organismes concernés, des économies d'énergie de près de 22 TW/h sur les 4 à 6 ans de durée de vie des produits - soit environ la consommation annuelle de l'Irlande selon la Commission. Les ordinateurs devraient représenter 18 de ces 22 TW/h. D'ores et déjà, 70 PC, 43 portables et tablettes, 18 photocopieurs, 32 imprimantes, 19 scanners et 14 fax ont déjà reçu le label. Energy Star est un programme, né en 1992, d'identification et de labellisation de l'efficacité énergétique des équipements de bureau. Il s'est intéressé tardivement à l'informatique et ne tient compte des serveurs que depuis mai 2009. Il inclura bientôt le stockage et les consoles de jeu. (...)

(15/06/2009 12:12:04)

Forrester IT Forum : l'écologie est bonne pour le business

Qu'y a-t-il de mal à ce que les entreprises se mettent au développement durable et au Green IT uniquement parce que cela leur rapporte ? Bien sûr, cela peut froisser la sensibilité des intégristes de l'écologie. Mais au final, cela profite à tout le monde. Le tout est de savoir bien présenter la chose, a expliqué Doug Washburn, analyste de Forrester Research, lors de la dernière conférence IT Forum du cabinet. L'analyste a d'ailleurs commencé son intervention en citant une enquête du journal The Economist : « Les entreprises qui se sont attribuées la meilleure évaluation en matière d'efforts 'green' ont vu leurs profits augmenter de 16% et le cours de leur action croître de 45%, alors que celles qui se sont données la moins bonne note affichaient des croissances, respectivement, de 7% et 12%. » En outre, a insisté Doug Washburn, s'occuper dès à présent du Green IT met les entreprises en bonne position par rapport à des réglementations qui se durcissent Pour l'analyste de Forrester, non seulement le Green IT est bon pour le business, mais la crise n'est pas un obstacle aux projets verts, au contraire. Les technologies vertes, dit-il, « peuvent aider les DSI à atteindre leurs objectifs financiers ». A titre d'exemple, Doug Washburn a expliqué que l'opérateur télécoms Sprint a économisé 14 M$ de dépenses de fonctionnement pour son datacenter rien qu'en rationalisant son portefeuille d'applications - la suppression de 127 applications obsolètes permettant de décommissioner des serveurs. Il a aussi cité Enterprise rent-a-car qui a remplacé les PC de ses agences de location de voiture par 45 000 clients fins, beaucoup moins gourmands (13,6 W contre 77,1 W pour les desktops). Résultat : 2,9 tonnes de CO2 en moins par an, mais surtout 362 000 euros économisés par an sur la facture d'électricité. Green IT 2.0 : ce que l'IT peut faire pour diminuer l'impact de l'entreprise sur l'environnement Parvenir à ces résultats demande « une approche globale, dans et hors du datacenter (1.0), et au travers de toute l'entreprise (2.0) », plus une démarche de communication appuyée sur chaque succès enregistré. Par Green IT 1.0, l'analyste désigne tout ce que le département informatique peut faire pour diminuer son impact sur l'environnement en général, et sa consommation d'énergie en particulier. Par Green IT 2.0, il vise tout ce que l'informatique rend possible comme pratiques, services ou produits ayant un impact positif sur l'environnement, tels que la visioconférence. Commencer par des mesures qui ne coûtent pas cher et rapportent gros [[page]] Mais avant de viser des projets nécessitant des investissements, Doug Washburn conseille de commencer par des mesures qui ne coûtent pas cher et permettent d'afficher des résultats prometteurs : instaurer dans les datacenters des zones qui ne demandent pas de refroidissement particulier, éteindre PC et moniteurs la nuit... Un léger investissement dans un logiciel d'administration peut s'avérer nécessaire, mais les résultats sont bluffants. La banque Washington Mutual, par exemple, utilise un tel outil pour éteindre les PC des employés en front-office (au contact de la clientèle) à 18 heures, tandis qu'en back-office, les moniteurs sont éteints après 20 minutes d'inactivité et les PC mis en veille après 30 minutes. L'économie n'est que de 49 euros par PC et par an, mais sur 44 000 PC, cela représente plus de 2 M€ ! AT&T a également mis en place un programme pour éteindre ses 310 000 PC la nuit : l'économie se monte à 6,2 M€. Des bénéfices collatéraux pour chaque projet vert Après ces premières mesures, des budgets peuvent être dégagés, explique Doug Washburn, pour monter d'autres projets, plus restructurants : achat de clients fins, de serveurs consolidés, virtualisés... Sachant, insiste-t-il, que chacun de ces projets présente aussi des bénéfices collatéraux : non seulement les clients fins consomment moins mais ils ont aussi une durée de vie plus longue (réduisant le problème du e-waste, les déchets électroniques). De son côté la virtualisation implique moins de serveurs, donc moins de consommation, moins de climatisation... C'est la communication de ces succès en interne et en externe, a conclu Doug Washburn, qui permettra de passer à la deuxième phase du Green IT. Le DSI devra alors identifier, avec les directions métier, quels projets verts peuvent être mis en oeuvre (pour le bien de la planète mais aussi celui des actionnaires) : la visioconférence ? Une filière de recyclage ? Une chaîne d'approvisionnement plus écolo ? Le télétravail ?... (...)

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