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(26/10/2006 17:16:31)

Java sera open-source d'ici 30 à 60 jours

Confirmant son intention de publier le code source de Java avant la fin de l'année, Jonathan Schwartz, le patron de Sun a profité de son Keynote à Oracle OpenWorld pour annoncer la disponibilité sous 30 à 60 jours du code source de Java Standard Edition. Selon Schwartz, cette publication se fera sous une licence compatible avec les règles de l'OSI (Open Source Initiative), vraisemblablement la même que celle attachée à Solaris. Schwartz a profité de la conférence pour se féliciter du succès de son programme Open Source et notant qu'il a accéléré l'adoption de ses outils. Il a notamment cité en exemple Solaris, l'OS maison, qui a passé la barre des 6 millions de licences actives dans le monde. 70% de ces licences seraient déployées sur des machines signées Dell, HP et IBM, selon Schwartz. (...)

(26/10/2006 17:07:30)

Oracle lance Unbreakable Linux 2.0 dans les jambes de Red Hat

Après avoir officiellement effectué la clôture du NASDAQ pour le 20e anniversaire de la cotation d'Oracle en bourse, Larry Ellison a annoncé hier le lancement d'Oracle Unbreakable Linux 2.0. Cette offre, qui se présente en surface comme une offre de support Oracle pour le système d'exploitation Linux de Red Hat, marque en fait l'entrée officielle d'Oracle sur le marché des distributions Linux. Selon Larry Ellison, deux obstacles entravent encore la progression de Linux dans les entreprises. Le premier est l'absence d'un véritable support entreprise pour l'OS. Oracle indique notamment que les entreprises doivent souvent attendre la prochaine version du kernel linux pour bénéficier d'un correctif, sans possibilité de régression sur le kernel existant. "Pour les grands comptes, c'est tout simplement inacceptable. Un vrai support entreprise nécessite des correctifs pour la mouture en production et non pas sur une version à venir". L'autre obstacle selon Ellison est le coût élevé du support Linux et la menace de violation de propriété intellectuelle qui pèse toujours sur l'OS. "Accélérer l'adoption de Linux dans les entreprises" C'est officiellement pour résoudre ces problèmes et accélérer la diffusion de Linux dans les entreprises qu'Oracle lance Unbreakable Linux 2.0. La nouvelle offre résonne comme un défi à Red Hat. Ce que propose en effet Oracle est de supporter la distribution du numéro un mondial Linux pour 50 à 66% moins cher que Red Hat. Le programme n'est pas limité aux clients des autres produits Oracle, mais ceux-ci bénéficient d'une période d'essai gratuite de 50% sur les tarifs de lancement Concrètement quand Red Hat facture 999$ par serveur bi-processeur pour son support de base, Oracle propose une offre équivalente pour 399$. Pour un nombre illimité de processeurs, le prix d'Oracle est de 999$ contre 2499$ pour Red Hat. Oracle propose aussi un support "Premier" 24/24 au niveau mondial avec notamment la correction des bugs, l'indemnisation et la protection juridique contre toute violation de propriété intellectuelle et le portage des correctifs sur les versions existantes ou antérieures du Kernel. Ce support est facturé 1199$ quelque soit le nombre de CPU. Plus qu'un programme de support, une vraie distribution Dans la pratique, Oracle supporte l'ensemble des versions de Red Hat advanced Server (3 et 4) sur plates-formes x86 32 et 64 bit (le support d'autres plates-formes comme Itanium et Power est à l'étude). L'éditeur fournit un programme de configuration qui en quelques secondes reparamètre l'OS pour aller chercher ses mises à jour et correctifs sur l'Unbreakable Linux Network (ULN) en lieu et place de Red Hat Network (RHN). Oracle ne s'arrête toutefois pas là et propose sa propre version de Red Hat sous la forme de binaires et d'images ISO. Selon Oracle, il ne s'agit pas d'un fork (une version autonome parallèle). Comme l'explique Wim Coekaerts le vice-président de l'ingénierie Linux de la firme, "Nous récupérons le code source de Red Hat et en retirons les marqueurs ainsi que les éléments copyrightés [tels que les logos, NDLA]. Ce code est ensuite recompilé pour générer nos exécutables". Coekaerts assure qu'Oracle synchronisera systématiquement les correctifs qu'il apportera à "son" Linux avec le code de Red Hat de façon à éviter la fragmentation. Oracle communiquera également le code source de ses correctifs dès leur publication aux autres distributeurs Linux ainsi qu'à la communauté. Menace pour l'avenir de Red Hat ? Interrogé sur le risque d'affaiblir voire à terme de menacer l'existence de Red Hat, Larry Ellison, provocateur, a rappelé que le but d'Oracle est "d'accélérer l'adoption de Red Hat Linux. Je ne pense pas que cela va tuer Red Hat. Cela relève la barre du support et les amènera peut-être à revoir leurs prix. C'est le capitalisme. C'est la concurrence". A un utilisateur qui l'interrogeait sur la volonté d'oracle de baisser les coûts de support de ses propres produits, Ellison a également rétorqué, moqueur, qu'Oracle " étudie toujours la baisse de ses prix". Comme le rappelle dans son blog Dave Dargo, le CTO d'Ingres, il est facile de mettre en avant des économies de quelques centaines de dollars sur le support Linux quand on continue à facturer 35000 dollars pour le support de sa propre base de données. Et Oracle ne court aucun risque que Red Hat vienne riposter sur son terrain. Le code source de son SGBD et de ses logiciels est fermé et les dirigeants de la firme ont confirmé que cela n'était pas près de changer. En attendant, l'action Red Hat plongeait de plus de 10% dans les transactions après la clôture du NASDAQ effectuée par Ellison. (...)

(25/10/2006 17:43:27)

OpenWorld : John Chambers enjoint le DSI d'innover

Suivant l'exemple de Mark Hurd, patron de HP, John Chambers, le patron de Cisco a plaidé devant les participants d'OpenWorld pour plus d'innovation et pour un peu plus de courage de la part des responsables informatiques. "Mon rôle est de bousculer votre façon de penser" a lancé Chambers en expliquant que la plupart des dirigeants informatiques ont une aversion au changement alors que c'est l'innovation qui permet aux sociétés de rester concurrentielles. Prêchant pour sa paroisse, Chambers a explique que de plus en plus l'intelligence du SI résiderait dans le réseau, allant jusqu'à parier qu'une partie des applications, middleware et OS résideraient sur des équipements réseaux, comme c'est déjà le cas pour certains outils de virtualisation de stockage. Chambers a aussi présenté le nouveau système de visioconférence haut de gamme de la marque, baptisé Telepresence. Lancé la veille, Telepresence est un système de visioconférence haute définition (1080P) dont chaque unité est vendue entre 79000$ et 299000$ selon la version. L'installation de tels systèmes à travers ses sites devrait permettre à Cisco "d'économiser 120M$ par an en voyages", a expliqué le patron de Cisco. Et comme, la dernière mode en Californie est à l'éco-responsabilité, la firme ne manque pas de rappeler que Telepresence permettra de réduire de 10% des émissions de CO2 de la marque. Vu le prix du système, il n'est pas sûr que cet argument suffise à séduire les clients. On se souvient ainsi du lancement fin 2005 par HP des studios de visioconférence HALO (500 000$ l'unité). Des studios dont l'adoption est restée confidentielle. (...)

(25/10/2006 17:59:06)

Borland n'abandonne pas Core SDP

Lancé en grande pompe en mars 2005, la plate-forme Core SDP concrétisait une vision ambitieuse de l'ALM (Application Lifecycle Managment) qui devait aboutir à un véritable ERP du développement logiciel. Fin septembre 2006, Brad Johnson, directeur marketing produit de Borland a confié au magazine SD Times que l'éditeur allait abandonner la suite d'outils Core SDP parce qu'elle était basée sur les rôles. En fait, les outils de Core SDP ne vont pas disparaître mais être regroupés et commercialisés « à la carte ». Le concept de suite basée sur les rôles sera mis de côté pour faire place à la nouvelle solution de gestion de cycle de vie, LQM (Lifecycle Quality Managment) basée sur la gestion de la qualité. Cette approche permet selon l'éditeur d'abolir les frontières organisationnelles entre équipes métier, développement et assurance qualité et correspond mieux à la réalité des clients en entreprise qui ont tous une définition différentes des rôles. Le cabinet Forrester a même trouvé une appellation pour cette nouvelle génération de solutions ALM : ALM 2.0. Oui, il fallait le trouver ! Dans cet autre article de SD Times, Marc Brown, directeur du marketing produit, confirme que Core SDP sera découpé et remarketé sous la nouvelle ligne de produits ALM. Nous avons contacté Borland France pour plus de précisions. Bruno de Combiens, chef produit est formel : l'abandon de Core SDP est une fausse rumeur. En réalité, l'offre Core SDP continuera d'exister et d'évoluer. La nouvelle ligne de produit correspond à une nouvelle vision du cycle de vie du développement, induite par l'introduction de nouveaux outils dédiés à la qualité, suite à l'acquisition de l'éditeur Segue. La suite LQM correspond en quelque sorte à un nouveau rôle de Qualiticien, qui vient donc s'ajouter à celui d'Analyste, d'Architecte, de Développeur, de Testeur. Sans doute les responsables marketing de Borland devraient accorder leur violons, afin d'éviter de donner une image erratique de la stratégie de la compagnie. (...)

(25/10/2006 17:58:30)

ObjectWeb Lomboz 3.2, du portail à la SOA

Le consortium Open Source Objectweb et l'éditeur eteration annoncent conjointement la sortie de ObjectWeb Lomboz version 3.2. Cet ensemble de plugins pour Eclipse Callisto (V 3.2) se veut le premier outil Open Source couvrant les besoins de développement Web, Java EE, EJB, de développement de Web Services, de portails d'entreprise et d'architecture SOA. ObjectWeb Lomboz est un environnement populaire. Au cours des deux dernières années, il a été téléchargé près de 2 million de fois. La version 3.2 ajoute le support du développement de portail (ObjectWeb eXo Platform), des technologies provenant de la fondation Apache (Struts, XMLBeans), des runtimes Service Component Architecture (Apache Tuscany) et un ESB (ObjectWeb Celtix). Eteration, spécialiste des technologies Java et Open Source, assure le support pour les particuliers et les entreprises. (...)

(25/10/2006 17:57:47)

IE7 et Firefox 2.0, des navigateurs pour les développeurs

Il est encore trop tôt pour dresser un bilan définitif. Mais si la nouvelle mouture d'IE montre un bond saisissant par rapport à la version 6, le navigateur de la fondation Mozilla semble conserver son avance technologique. Largement couverte par la presse en ligne, la comparaison entre les deux navigateurs passionne déjà les partisans de Microsoft et ceux du logiciel libre. Au-delà de ces polémiques de religion, le développeur Web se retrouve face à une nouvelle problématique : intégrer ces deux nouveaux navigateurs dans ses tests et dans ses outils de développement. Les nouvelles améliorations vont-elles lui faciliter la vie ? Ses applications seront-elles toujours compatibles ? Vont-elles s'afficher de la même manière ? Les développeurs sont face à un vaste chantier. Pour IE7, Microsoft fournit une check-list de points à vérifier, des articles et des outils pour tester la compatibilité des sites et des applications. On y trouve notamment l'Application Compatibility Toolkit, un lien vers la procédure de détection d'IE7 décrite dans le Internet Explorer Blog, la barre d'outil Internet Explorer Developer Toolbar... Microsoft propose également une collection d'add-on pour IE7 sur le site Add-Ons for Internet Explorer. On s'intéressera plus particulièrement aux outils pour développeurs. Hélas, le choix est bien maigre, on y trouve pour l'instant quelques 13 outils dont près de la moitié sont payants. Retenons par exemple Fiddler, un proxy de débogage HTTP qui permet d'observer tout le trafic HTTP, de poser des points d'arrêt, etc. Pour Firefox 2, les ressources pour développeurs de manquent pas. Sur le wiki de Mozilla Developer Center, on trouvera une liste de ressources Firefox 2 pour les développeurs. Firefox en lui-même arrive avec plusieurs outils pour développeur en standard : un visualisateur de source étendu, la possibilité d'afficher les informations détaillées d'une page web, un débogueur JavaScript, un inspecteur et un éditeur DOM temps réel. Le code du navigateur et de son API étant ouvert, les développeurs s'en sont donnés à coeur joie pour développer des extensions pour eux-mêmes ou pour les utilisateurs. Sur le site de Mozilla, on ne dénombre pas moins de 227 add-ons destinés aux développeurs. On y trouve de tout : formatteur de source, pipette à couleur, barre d'outils pour développeur web, débogueur AJAX, DHTML et JavaScript, filtre de console JavaScript, validateur HTML, etc. FireFox est un vrai bonheur pour les développeurs. La version 2 du navigateur de Mozilla introduit cependant quelques incompatibilités avec les extensions. On estime à 80% le taux de compatibilité. Au lancement de cette nouvelle version, les extensions incompatibles sont automatiquement désactivées. Gageons qu'avec la réactivité de la communauté Firefox, toutes les extensions ne tarderont pas à s'adapter à la nouvelle mouture. Au final, les deux navigateurs offrent un confort accru pour les développeurs : meilleur respect des standards, vitesse améliorée dans le rendu JavaScript, meilleure sécurité, etc. Une nouvelle ère commence pour les développeurs Web. (...)

(25/10/2006 17:49:15)

OpenWorld : Mark Hurd veut plus d'innovation dans les budgets informatiques

Les entreprises ne consacrent que 10% de leur budget informatique à l'innovation et les 90% restant à la maintenance de leurs opérations existantes et aux salaires. Pour Mark Hurd, le patron d'HP, cela revient largement à appliquer au quotidien un emplâtre sur une jambe de bois. S'exprimant lors d'un Keynote d'OpenWorld, la conférence utilisateurs Oracle, à San Francisco, Hurd a expliqué qu'il avait découvert une situation similaire lors de son arrivée chez HP. 50% de nos équipes informatiques étaient affectées à des travaux de maintenance de l'existant tandis que l'autre moitié travaillait sur des projets innovants. "Notre objectif est de ramener ce ratio à 20/80 en deux ans" a expliqué Hurd. Selon Hurd, la rationalisation de son informatique va permettre a HP de couper ses coûts mais aussi d'améliorer ses relations et son service aux clients. Et quelle rationalisation ! HP va concentrer sa production informatique sur trois datacenters mondiaux contre 85 aujourd'hui et ramener son nombre de serveurs de 22000 à 14000, réduisant au passage sa consommation électrique de moitié. Cette réduction s'opérera sur des serveurs "standards" (x86 et Itanium en langage HP) et sur des OS tels que Linux. Une autre victime de la concentration va être le nombre de datamarts de la firme. HP entend construire un gigantesque datawarehouse mondial pour unifier ses quelques 762 datamarts actuels. HP va également réduire le nombre de ses applications à 1500 contre 5000 aujourd'hui. "Je pourrai vous faire peur en vous disant combien de fournisseurs nous avons utilisé au cours des deux dernières années" a expliqué Hurd en indiquant que le nombre de ses fournisseurs et de ses partenaires serait largement revu à la baisse : "Nous allons nous concentrer sur un nombre limité de partenaires clés", a-t-il ajouté. Dans cette réorganisation, qui coûtera 1 Md$ sur 3 ans et qui laissera sans emploi une partie des équipes informatiques d'HP, Oracle sera un parrtenaire précieux a indiqué Hurd. Le constructeur californien utilise en effet la base Oracle comme son principal moteur de SGBD et est en passe de standardiser ses instances de bases de données sur Oracle 10g RAC. HP utilise aussi le middleware Fusion d'Oracle au côté de WebLogic et les outils de PeopleSoft pour ses ressources humaines, ainsi que ceux de Siebel pour son CRM. (...)

(24/10/2006 17:44:55)

Microsoft ouvre les spécifications de SenderID

Microsoft vient d'ajouter SenderID à la liste de ses spécifications accessibles librement via le programme Open Specification Promise (OSP). Lancé en septembre dernier, le programme OSP rassemble les technologies mises au point par Microsoft et exploitables librement par des tiers pour leurs développements. SenderID est une solution imaginée par le géant de Redmond pour lutter contre les pourriels. Elle doit notamment permettre de déterminer la légitimité d'un courriel en vérifiant si l'adresse d'expédition a été usurpée ou non. Cette ouverture ressemble à une tentative de Microsoft pour donner une seconde chance à SenderID. En effet, l'IETF a abandonné en septembre 2004 ses travaux de standardisation de cette technologie antispam en raison d'un conflit lié à la licence imposée par Redmond. Le projet Debian estimait par exemple que cette licence violait les « Debian Free Software Guidelines ». La fondation Apache, parmi d'autres, la jugeait en contradiction avec l'esprit du logiciel libre. Après avoir adopté SenderID en juillet 2004, AOL avait à son tour tourné les talons au bout de mois. En avril dernier, l'IETF a accepté de prendre en compte SenderID sous la forme d'un RFC (Request For Comment) expérimental. Microsoft revendique 600 millions d'utilisateurs pour SenderID, répartis sur plus de 5 millions de domaines. (...)

(25/10/2006 08:50:29)

Des paramétreurs de progiciels formés à l'université

L'IUT de Paris-5 (Université René Descartes, Paris 16e), en association avec l'IUT de Villetaneuse (Paris-13, Seine-Saint-Denis), a profité de la réforme LMD (licence, mastère, doctorat) pour donner une tournure "progiciel" à ses enseignements. Les bac+2 diplômés (DUT, BTS) peuvent compléter leur bagage par une année de licence professionnelle qui les mène aux métiers de développeurs (parcours applications informatiques et internet) ou de paramétreur de progiciels de gestion (parcours PGI/ERP). Pour ces derniers, le cursus d'un an, qui comporte dix-huit modules d'enseignement de 25 heures, dédie une centaine d'heures (quatre modules) aux aspects de cartographie, de conduite du changement, de modélisation des processus de gestion, de cadrage des projets et de paramétrage de progiciels de gestion intégrés. Pour Daniel Alban, professeur de l'IUT parisien, "l'approche pratique liée au paramétrage, qui correspond par ailleurs à une demande croissante des entreprises, est une expérience positive pour les étudiants qui se sentent plus en confiance lorsqu'ils abordent le monde de l'entreprise". Avec ce projet pédagogique, l'IUT parisien met à profit un partenariat développé depuis septembre 2005 avec l'éditeur Sage autour de la gamme Adonix X3, implantée principalement dans les entreprises de taille moyenne. Un partenariat qui fait partie du programme "Education" initié dès 1999 par l'éditeur avec une école d'ingénieurs, le Cesi de Rouen, puis en 2001 avec l'IUT de Paris-5 (mise à disposition des logiciels et intervention de consultants Sage). Dans le cadre de cette licence professionnelle, la formation de développeur/paramétreur est ouverte aux étudiants selon la modalité classique (trois trimestres d'enseignement, avec projet tutoré) puis un stage d'un trimestre, ou en formule d'apprentissage (alternance de trois semaines de cours et de cinq semaines en entreprise) avec le Centre de formation par apprentissage CFA-Sup2000. Le même programme est proposé aux professionnels en formation continue (sélection sur CV et dossier de Validation des Acquis, VAE) par les deux IUT (Paris-5 et Paris-13) (...)

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