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(03/07/2008 16:15:06)

Micro Focus et Microsoft activent la modernisation des applications Cobol

Les applications Cobol sont toujours d'actualité et tiennent résolument leur cap. Pour accélérer leur insertion dans les architectures actuelles, l'éditeur Micro Focus collabore avec Microsoft afin d'étendre la palette d'outils proposés à leurs clients engagés dans la modernisation de ces applicatifs. Spécialisé sur ce marché, Micro Focus va ajouter à ses produits pour Windows (Net Express, SOA Express, Entreprise Server) des solutions 64 bits tirant pleinement parti de la plateforme .Net de Microsoft et de ses outils d'infrastructure, d'intégration et de développement SQL Server, Team Foundation Server, BizTalk Server et System Center Operations Manager. L'objectif vise à accélérer la modernisation des applications Cobol stratégiques avec de nouveaux outils de développement, de test (à exploiter dans un environnement Visual Studio) et de déploiement. Selon Peter Duffell, vice président de l'activité solutions Microsoft chez Micro Focus, il reste encore 200 milliards de lignes de Cobol actuellement en exploitation. Un CICS.Net prévu pour 2009 En complément, Microsoft et Micro Focus prévoient, d'ici 2009 une adaptation pour Windows du système transactionnel CICS OLTP (l'« ancêtre » Customer Information Control System, Online transaction processing). Le produit devrait s'appeler CICS.Net. Il permettra de moderniser les applications CICS, soit en les faisant migrer sur Windows, soit en les maintenant sur mainframe, a indiqué Peter Duffell, en ajoutant que les processus de modernisation permettaient aussi d'optimiser le code des applications. (...)

(01/07/2008 11:37:55)

Le contenu Flash accessible aux moteurs de Google et Yahoo

Un des gros handicaps des interfaces Internet riches est en voie de résorption : Adobe a signé un accord avec Google et Yahoo pour rendre le contenu des animations Flash accessible aux moteurs de recherche. Jusqu'à présent, il était possible d'indexer du contenu statique et des liens fournis avec les RIA (applications Internet riches), mais pas le contenu dynamique lui-même. Dorénavant, les contenus SWF (le format de fichier utilisé par Flash) sont ouverts aux requêtes Google. La technologie sera aussi mise en place par Yahoo, à une date non précisée. Adobe se dit bien sûr ouvert à d'autres partenariats. Les développeurs et éditeurs de sites qui se réfrénaient jusqu'à présent sur l'usage des RIA par peur d'être mal indexés se voient ainsi retirer une sérieuse épine du pied. L'autre bonne nouvelle, précise Adobe dans une foire aux questions, est que cela fonctionne dès à présent, avec tous les fichiers SWF existants, sans modification. A titre d'exemple, Adobe cite l'utilisation de Flash pour un site de commerce électronique : tous les produits présentés, leurs caractéristiques et leur prix seraient alors indexés par les moteurs de recherche. Cela ne change rien, en revanche, en ce qui concerne les vidéos jouées dans un lecteur Flash. (...)

(25/06/2008 17:02:21)

Allié à Google, Salesforce.com affirme disposer d'une plateforme en ligne complète

L'éditeur Salesforce.com, le champion de la gestion de la relation client (CRM en anglais) en ligne, intègre toutes les applications hébergées de Google à sa plateforme Force.com qui accueille 800 applications développées par 460 partenaires. L'ajout de Google Data API au métalangage APX permet à ces partenaires, via AppExchange, d'intégrer à leurs propres développements la bureautique partagée de Google (traitement de texte, tableur), Gmail, Google Talk et l'application calendrier. Cette annonce fait suite à celle d'avril, lorsque Salesforce.com avait intégré la bureautique en ligne de Google à sa propre application de CRM. Salesforce.com donne comme exemple de l'intérêt de Google Data API le cas de l'éditeur de PGI Coda. Ce dernier a fait la démonstration d'une récupération automatique de données contenues dans le tableur Google par Coda2go, sa solution financière en ligne. Les données du tableur viennent s'insérer dans le module de paiement de Coda. Quatre cumulo-nimbus dans le 'cloud computing' Cette annonce traduit l'inflexion de la stratégie de Salesforce.com qui étend son activité de logiciel en ligne à celle de plateforme en ligne. Un élargissement du spectre que le PDG de Salesforce.com qualifie de Web 3.0. Marc Benioff identifie quatre cumulo-nimbus dans le 'cloud computing' du Web 3.0. Outre sa société et Google, il cite Amazon, avec son Amazon Elastic Compute Cloud (EC2) et son Simple Storage Service (S3), ainsi que Facebook. Parmi eux, Salesforce.com est le seul à se focaliser sur les entreprises et leurs applications. Ces quatre 'pure players' ne sont pas assis entre deux chaises contrairement à IBM, Microsoft, Oracle, HP/EDS, Sun et d'autres comme EMC. Ceux-là, à entendre Marc Benioff, restent viscéralement liés à l'architecture client-serveur et ne s'intéressent aux logiciels en ligne que par opportunisme. A l'assaut d'IBM Lotus Notes [[page]]Salesforce.com poursuit sa progression en promettant des outils de migration pour s'attaquer aux 140 millions d'utilisateurs qui utilisent encore IBM Notes. Contrairement à l'alternative proposée par le couple Microsoft/Exchange, le projet de Force.com permettrait de conserver les applicatifs développés sous Notes. Il reste que le premier défi des champions du "en ligne" comme SalesForce.com, Google et Amazon est de convaincre les futurs clients. Au-delà de la crainte de la nouveauté, il faut les rassurer sur la sécurisation et la garantie d'accès à leurs données, leur faire envisager de quitter des applicatifs dont on connaît déjà les défauts, et, enfin et surtout, les amener à envisager de s'en remettre pieds et poings liés à un fournisseur vital pour la survie de l'entreprise tout entière. Une architecture d'avenir malgré les risques qu'elle présente L'arrêt, en avril, de la messagerie Gmail pendant 30 minutes, ou les quelques interruptions de services dont a déjà pâti l'application Salesforce sont la preuve concrète que le pire cauchemar d'un DSI peut devenir une réalité. Google, malgré ses efforts techniques...[[page]] et l'annonce de plus de 200 grandes sociétés en phase d'évaluation, ne parvient toujours pas à engranger des clients. Toutefois, CapGemini, partenaire de Google pour séduire les grands comptes, se dit sur le point d'annoncer une signature. Et Salesforce.com ne peut pas titiller le milliard de dollars de chiffre d'affaires sans plus de 43 000 clients satisfaits. Les points forts du "en ligne" indiquent bien qu'il s'agit d'une architecture d'avenir. La mutualisation des ressources d'immenses datacenters est la seule issue pour supporter des montées en puissance rapides quasi-instantanées. Elles préfigurent un accès aux ressources informatiques comme on reçoit l'électricité aujourd'hui. La métaphore s'étend au point crucial du coût. Forrester Research estime ainsi que le prix de revient de 400 $ d'un serveur opérationnel en entreprise tombe à 70 $- 150 $ en optant pour l'EC2 d'Amazon. L'économie saute d'autant plus aux yeux que les fournisseurs en ligne facturent leurs services à l'usage effectif et non sur un abonnement mensuel. (...)

(23/06/2008 18:29:38)

Microsoft dévoile ses avancées dans le parallélisme

Le parallélisme est l'avenir du code... même si les développeurs français semblent en douter. Microsoft avait insisté sur le sujet lors de son dernier Tech'Ed, il y a deux semaines aux Etats-Unis, et deux responsables produits de l'éditeur sont venus ce lundi à Paris, au centre de conférences Microsoft, présenter les dernières avancées de l'équipe Visual Studio, devant un public très clairsemé, malgré l'entrée gratuite. Il est vrai qu'écouter Microsoft - connu pour avoir empilé les couches de code et fait de Windows un monstre à l'appétit gargantuesque - parler d'optimisation du code a quelque chose de comique. Néanmoins, l'éditeur semble avoir compris que l'ère du « free lunch » est terminée, pour reprendre les propos de Steve Teixeira, un des deux animateurs de cette après-midi consacrée à la parallélisation du code. Pour lui, l'ère du « free lunch » correspond à une attitude où le développeur n'optimise pas son code, dans la mesure où il considère que le fait d'ajouter par la suite des ressources machine suffira à le rendre performant. C'est ce qui semble avoir présidé jusqu'à présent aux développements de Windows, comme le dénonçait récemment Gartner. Le parallélisme obligatoire pour tirer parti du multi-coeur Les fabricants de processeurs ont, malheureusement pour les éditeurs, dû rompre l'enchantement du « free lunch ». Les performances des CPU ne pouvaient en effet continuer de croître qu'en multipliant le nombre de coeurs en leur sein. Or les applications, telles qu'elles sont conçues actuellement, ne savent pas tirer parti des architectures multi-coeurs. Pour de vrais gains de performance, les applications doivent être programmées avec des mécanismes de parallélisme. Mais comme le souligne Steve Teixeira, il s'agit d'un travail extrêmement complexe, réservé aux développeurs les plus brillants. Microsoft propose depuis le début du mois un outillage spécifique pour masquer cette complexité. Comme Keith Yedlin, responsable de ce programme d'extensions pour le parallélisme le reconnaît, le kit Parallel Extensions (disponible en téléchargement en version CTP, donc pas encore finalisée) ne répond pas encore à toutes les problématiques introduites par la parallélisation. Ne serait-ce, par exemple, que parce que les outils ne savent pas aujourd'hui rendre compte de façon visuelle de la concomitance d'activités (le public français a d'ailleurs eu un aperçu du prochain débogueur, conçu en WPF, l'interface graphique riche de Microsoft) ; or le parallélisme consiste justement à découper un programme de façon à l'exécuter sur tous les coeurs en même temps. Une CPU utilisée à fond multiplie par 5 les performances [[page]] Il faut savoir aussi comment gérer l'intégrité de données manipulées par deux processus en parallèle. Autre limite, certaines applications dépendent d'actions séquentielles. Néanmoins, lorsque les scénarios s'y prêtent, les performances sont impressionnantes. Parmi les démonstrations, une simple requête sur une base, écrite en Linq, et qui consommait 25% de la CPU (un quadricoeur), demandait par exemple 10,27 secondes. La même requête en PLinq - donc avec une instruction rendant le code parallèle - consommait 98% de la CPU mais donnait la réponse en seulement 2,11 secondes. Fait notable, les démonstrations étaient réalisées sur Vista : le système lui-même n'est pas spécialement optimisé pour les multi-coeurs, mais une application optimisée parvient tout de même à en tirer parti. Des opportunités à inventer et à saisir pour les développeurs d'applications Si tout n'est pas résolu, les opportunités sont déjà nombreuses, souligne Steve Teixeira. On peut ainsi imaginer de passer à de nouvelles interfaces homme-machine, impensables avant car bien trop gourmandes. On peut aussi imaginer des applications répondant de façon immédiate, reléguant l'irritant sablier aux oubliettes. Et à la fin, la nature du développeur reprendra ses droits : « on pourra ramener le free lunch : une application écrite pour du double-coeur fonctionnera encore mieux avec du quadri-coeur, de l'octo-coeur, etc. » (...)

(18/06/2008 17:07:55)

Red Hat rend JBoss disponible sur Amazon EC2

Un peu plus de 6 mois après son Linux, Red Hat met désormais son serveur d'applications Java Open Source JBoss sur la grille en ligne d'Amazon, EC2. L'Elastic Compute Cloud d'Amazon est une offre d'informatique à la demande, permettant d'utiliser une infrastructure matérielle et logicielle pour une tarification à l'usage. Le serveur d'applications JBoss pourra ainsi être facturé 119$ par mois, ou bien à partir de 1,21$ par instance et par heure, en sus des frais facturés par Amazon pour l'utilisation de la bande passante et des capacités de stockage. Les clients actuels de JBoss pourront aussi choisir de payer leur licence et d'héberger l'application sur la grille d'Amazon. Côté tarifs, explique Sacha Labourey, directeur technique de la division middleware de Red Hat, « la facture sur un an est évidemment plus élevée que si on achetait tout soi-même, mais avec environ 15 000 dollars pour un an d'utilisation du matériel, de Linux et du serveur d'applications, nous restons dans des prix tout à fait abordables. » La promesse d'affecter souplement de nouvelles ressources à une application De toute façon, l'ambition de cette offre n'est absolument pas de remplacer tous les usages du middleware Java. « Nous n'avons pas encore complètement codifié tous les cas d'utilisation pour le 'cloud computing', mais il y en a déjà un certain nombre », avance Sacha Labourey. Qui cite « toutes les tâches limitées dans le temps comme, par exemple, la billetterie de l'Euro 2008. Cela dure quatre mois, donc est-il nécessaire d'investir ? Probablement pas. » [[page]] Les solutions d'informatique à la demande telles qu'EC2 permettent en effet de créer ce type d'application sans investir outre mesure. En outre, les capacités peuvent être étendues simplement pendant les heures où sont prévues les pics d'affluence. « On ne parle pas de milliseconde, précise Sacha Labourey, mais le provisioning [réservation des ressources, NDLR] est très rapide. » Plutôt pour des besoins précis et des applications autonomes L'offre est donc plutôt destinée à des applications autonomes, dans des start-up ou de grandes entreprises souhaitant tester un projet ou déployer rapidement une application pour un besoin précis. « Il serait vain d'imaginer pouvoir sauter dans le cloud avec des données qui resteraient à des milliers de kilomètres de là dans un progiciel », reconnaît le directeur technique de JBoss. Toutefois, l'application peut aussi être ouverte aux échanges de données : tout dépend, explique Sacha Labourey, d'une chose, le temps de latence. « Si c'est un élément critique, alors il sera probablement difficile de déployer l'application dans le 'cloud'. » Cette offre de JBoss à la demande est aujourd'hui en bêta. Cela dit, EC2 lui-même est un service proposé en bêta par Amazon. A noter, EC2 héberge un autre système d'exploitation Open Source que Red Hat : OpenSolaris de Sun. (...)

(16/06/2008 16:18:50)

eBay ouvre son application marchande aux développeurs

eBay poursuit ses efforts pour susciter la création d'applications autour de son site de vente en ligne. Il doit annoncer, à l'occasion de sa conférence développeurs qui débute aujourd'hui à Chicago, l'ouverture de son outil Selling Manager, l'un des plus appréciés des marchands présents sur son site. Selling Manager est utilisé par 700 000 d'entre eux pour gérer leurs listings de produits et de clients. eBay reconnaît maintenant qu'il ne peut pas, à lui seul, développer toutes les fonctionnalités souhaitées par ses utilisateurs. En faisant de cet outil une plateforme ouverte, le site de vente veut encourager l'arrivée d'applications complémentaires. Des logiciels qu'il se propose en outre de faire connaître aux marchands par l'intermédiaire d'une communication contextuelle et ciblée. Les développeurs devraient ainsi gagner en efficacité dans la commercialisation de ces add-ons. Parmi les applications développées autour d'eBay, signalons, en France, celle de Neteven, une start-up créée en 2005. Son logiciel de gestion permet de gérer de façon centralisée des activités de vente de produits s'effectuant en parallèle sur plusieurs sites d'achat/vente : eBay, mais aussi Amazon, PriceMinister, Alapage ou encore PixMania. Désormais, Neteven livre aussi des API pour susciter des ajouts externes à son application. Citons également le cas de l'éditeur français Ciel qui permet, depuis peu, de vendre sur eBay depuis son logiciel de gestion commerciale. Coup de pouce aussi aux développeurs PayPal La semaine prochaine, c'est l'opérateur de paiement en ligne PayPal (une division d'eBay) qui annoncera l'ouverture, en juillet, d'un nouveau portail pour renforcer le soutien à ses développeurs. 'Developer Central portal' comprendra des kits techniques, des exemples de code, des outils de formation et de marketing, ainsi que des forums de discussion. Il permettra aussi aux marchands d'entrer en contact avec des développeurs certifiés par PayPal. A ce jour, le programme de développement de PayPal, lancé en 2001, compte 35 000 personnes, dont 300 sont certifiés. Le programme d'eBay, créé en 2000, en rassemble près de 70 000. (...)

(10/06/2008 13:39:51)

SOA : Sun met du MDM et du CEP dans sa suite Java Caps

La plateforme de Sun pour les architectures orientées services (SOA) passe en version 6. A cette occasion, Java Caps (pour Composite application platform suite) s'enrichit d'une suite de gestion des données de référence (MDM, master data management) et d'un moteur de corrélation des événements (technologie généralement désignée par CEP, pour complex event processing, et que Sun nomme IEP, pour intelligent event processor). La suite de MDM constitue un sous-ensemble de la suite Java Caps : elle peut être souscrite indépendamment. Il ne s'agit, précise Xavier Gérard, responsable de l'offre SOA chez Sun France, « ni d'un rachat ni d'un partenariat, mais d'un développement interne ». La suite s'appuie tout de même sur un composant hérité de SeeBeyond pour l'extraction et le chargement de données. Sun lui a ajouté « des couches d'orchestration, pour collecter et propager les données de référence, des fonctions de qualité et de nettoyage des données, mais aussi une vue unique des clients, à l'aide d'un moteur de 'matching' qui permet de retrouver le nom de quelqu'un en temps réel ». Ce dernier élément, précise Xavier Gérard, est en production en Grande-Bretagne, dans le cadre du projet de gestion de la santé : « cela concerne 60 millions de patients, pour un temps de réponse inférieur à la seconde ». Du BAM à la gestion des événements complexes L'IEP est quant à lui une évolution du module de BAM (Business activity monitoring, supervision de l'activité métier) de Java Caps. Le premier rôle d'un outil de BAM est d'établir un tableau de bord regardant le fonctionnement d'une application. Mais la multiplication des événements à superviser impose un certain automatisme, tant pour corréler ces événements que pour prendre des décisions en fonction de leur occurrence. [[page]]C'est le rôle des outils de type CEP, qui surveillent les événements, et peuvent aussi bien envoyer des alertes que lancer des processus. IBM, Oracle, BEA, Tibco ou Progress ont tous déjà inclus des offres de CEP dans leurs solutions SOA. Sun dit s'être « dans un premier temps concentré sur les performances du moteur ». Glassfish et OpenESB comme briques de base Cette version 6 de Java Caps démontre aussi clairement la façon dont Sun infuse ses technologies et ses standards dans la suite héritée de SeeBeyond, pourtant « la première certifiée J2EE en 2003 », comme le rappelle Xavier Gérard. Pour son exécution, Java Caps repose en effet sur deux éléments majeurs réalisés par Sun en Open Source : le serveur d'applications Glassfish et le bus de services d'entreprise Open ESB. Ce dernier marque aussi l'apparition de JBI (Java Business Integration) dans Java Caps, un protocole présenté en 2005 au moment du rachat de SeeBeyond, et implémenté depuis dans plusieurs ESB Open Source. Pour Xavier Gérard, l'arrivée de JBI ne devrait pas perturber les développeurs. « Cela offre simplement une flexibilité supplémentaire, dit-il, et cela répond à une volonté de standardiser encore plus les solutions. » L'ensemble de l'offre n'est toujours pas gratuite ; la vision du patron de Sun, Jonathan Schwartz, mettra un certain temps à s'accomplir. Plusieurs éléments sont toutefois disponibles d'ores et déjà en Open Source, et Sun a lancé, pour soutenir son offre de MDM, une nouvelle communauté d'utilisateurs et de développeurs, Mural. (...)

(10/06/2008 12:21:33)

Index Freelance.com : la demande en administrateurs confirmés sur AIX, Unix et Websphere reste soutenue

L'index Freelance.com des compétences recherchées est marqué cette semaine par le retour des spécialistes de DB2, la bases de données d'IBM. Dans cette catégorie, les analystes programmeurs représentent deux tiers de la demande. Les compétences XML font par ailleurs leur entrée à la huitième place du palmarès, avec une recherche orientée en grande majorité vers des développeurs. En tête du classement, Unix, Oracle et SAP campent, sans surprise, sur les mêmes positions depuis plusieurs semaines. Les spécialités les plus recherchées sont les administrateurs Unix et AIX (l'Unix d'IBM). Les candidats devront être confirmés et maîtriser Websphere Application Server (WAS). Des profils ayant une expérience significative du pilotage et du tuning des systèmes AIX/Unix, ainsi que des candidats expérimentés dans la mise en oeuvre de Websphere Extended Deployment (XD) et dans la gestion et la mise en oeuvre d'AIX sont également demandés. Applications sous Oracle, connaissance de VBA et d'OWB Sur Oracle, les préférences des recruteurs vont aux administrateurs des bases de données (DBA). Il s'agit de profils confirmés, certifiés (Oracle) et connaissant VBA (Visual Basic for Applications). Leur mission pourra consister à optimiser et renforcer le mode de fonctionnement d'une application développée sous Oracle (aspects fonctionnels et techniques), auditer l'architecture et analyser le système de gestion des utilisateurs et des habilitations. Les offres des recruteurs concernent aussi des administrateurs ayant suivi les formations d'Oracle et ceux qui maîtrisent l'ETL OWB (Oracle Warehouse Builder). Enfin, sur Java /J2EE, les connaissances techniques exigées concernent, outre ces deux langages et les frameworks associés, C#, PHP, HTML Unix, Linux, et Windows. Méthodologie les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 478 offres de projets informatiques disponibles au 9 juin 2008. (...)

(09/06/2008 17:26:08)

Microsoft fait un petit pas vers la parallélisation du code

Microsoft a consacré des sessions de sa conférence développeurs TechEd tenue la semaine dernière à Orlando pour faire le point sur ses avancées en matière de parallélisation du code. Pour Brian Harry, un des pontes du développement chez Microsoft, il s'agit d'une tendance inéluctable. Tout ce qu'il était possible de faire au niveau de l'exploitation des systèmes multi-coeurs par le matériel a été fait, estime-t-il. Il reste à assurer une programmation parallèle, ce qui est loin d'être aisé, dans la mesure où une même donnée peut subir plusieurs opérations en même temps. Afin de simplifier l'écriture d'un code parallèle au-dessus de sa plateforme .Net 3.5, Microsoft propose donc une boîte à outils, dite « Parallel Extensions », disponible dès aujourd'hui en mode 'technology preview' (donc à des fins de tests uniquement). Pour Sivaramakichenane Somasegar, vice-président responsable de la division développeurs de Microsoft, il s'agit juste d'un petit pas (en VO, un « baby step »). La prochaine étape sera de faire en sorte que la parallélisation du code soit accessible à tous les développeurs, et pas seulement à une élite. Parmi les bénéfices de la programmation parallèle, on relève bien sûr les gains de performance, puisque tous les coeurs disponibles d'une machine sont alors mis à contribution. Le blog de Microsoft consacré à la parallélisation montre ainsi comment écrire en C++ un ensemble de Mandelbrot (du nom de Benoît Mandelbrot, qui a le premier défini les fractales). Mais cela a aussi une incidence d'un point de vue écologique : une meilleure exploitation des processeurs s'inscrit typiquement dans la liste des meilleures pratiques du Green IT. (...)

(09/06/2008 11:19:56)

Silverlight 2 pourra être programmé en Ruby ou Python

Les langages de script Ruby et Python pourront être utilisés pour développer des interfaces en Silverlight. Microsoft l'a annoncé en fin de semaine dernière, lors de sa conférence TechEd pour les développeurs à Orlando. Brian Goldfarb, responsable de la division développeurs de Microsoft, a même parlé d'Apax (pour Python) et d'Arax (pour Ruby), en référence à Ajax (Asynchronous Javascript and XML), la solution pour dynamiser des pages Web à l'aide du langage Javascript. Silverlight est une technologie de Microsoft concurrente du Flash d'Adobe, se présentant sous la forme d'un plug-in pour navigateurs, permettant d'afficher de la vidéo et du contenu dynamique. La version 2, aujourd'hui en bêta, intégrera la plateforme .Net, ce qui permettra de réaliser des interfaces Silverlight à l'aide des outils de développement classiques, typiquement Visual Studio. Et parmi les langages de cet atelier, C# et Visual Basic. Ruby et Python s'ajouteront donc à la liste, et Brian Goldfarb a en outre indiqué que Microsoft mesurait actuellement le niveau d'intérêt des communautés Perl et PHP pour supporter également ces langages dans Silverlight 2. (...)

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