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(23/03/2005 18:18:52)

Le rachat de Peoplesoft dope le CA d'Oracle, mais plombe son bénéfice net

Pour son troisième trimestre fiscal 2005, Oracle a annoncé des ventes de 2,95 Md$ en hausse de 17,5% par rapport à l'année précédente et un bénéfice net de 540 M$, en recul de 15% sur un an.

Cette diminution du bénéfice s'explique selon Oracle par une hausse de ses coûts commerciaux et marketing ainsi que par les frais engagés pour la restructuration de la société après l'acquisition de Peoplesoft. La prise en compte comme dépenses des rémunérations en action a aussi affecté les comptes.

Comme au cours des trimestres précédents, les ventes de son SGBD-R ont tiré le chiffre d'affaires. Les ventes de nouvelles licences ont ainsi progressé de 12% à 795 M$ tandis que les revenus issus des contrats de maintenance et des activités de services progressaient de 6% à 1,3 Md$. Les ventes d'applications ont, quant à elles, bondi à 851 M$ dont 374 M$ pour le seul PeopleSoft. Les ventes de nouvelles licences ont représenté 121 M$ côté Oracle Applications et 31 M$ côté PeopleSoft.

Selon Larry Elisson, Oracle estime que sa croissance sur le marché des applications devrait ralentir au cours des prochains trimestres, largement du fait de PeopleSoft. Avant son acquisition, l'éditeur a en effet fait le forcing auprès de ses clients pour engranger des ventes et il a eu un trimestre record, près de 100 M$ supérieur aux attentes d'Oracle. Cette performance a asséché le pipeline de commandes et Oracle estime qu'il faudra un ou deux trimestres pour voir les ventes de PeopleSoft revenir à un niveau plus habituel. Il sera toutefois difficile de faire le point sur les progrès de PeopleSoft dans Oracle, l'éditeur ayant annoncé qu'il ne séparera plus les ventes des deux lignes de produits lors des prochaines publications de résultats...

Terminons en signalant qu'Elisson a commenté le rachat de Retek, en expliquant qu'il était largement défensif. " Nous pensions réellement pouvoir faire une pose dans nos acquisitions après le rachat de PeopleSoft. Le timing pour l'achat de Retek n'a pas été déterminé par nous. SAP a annoncé le rachat de Retek, et nous avons dû répondre dans la mesure où le marché du commerce de détail et de la distribution est stratégique pour nous. Nous aurions toutefois préféré ne pas avoir à faire ce mouvement si tôt". (...)

(22/03/2005 18:06:51)

Oracle coiffe SAP sur le poteau pour le rachat de Retek

SAP a tenu parole et n'a pas surenchéri sur l'offre d'Oracle pour le contrôle de Retek. L'éditeur américain spécialisé dans les logiciels destinés au commerce de gros et de détail tombe donc dans l'escarcelle de son concitoyen pour la somme impressionnante de 630 M$, ce qui valorise son action à 11,25 $ contre un cours de 6$ lors du début des hostilités SAP et Oracle. Cette acquisition coûteuse s'explique par la peur d'Oracle de voir son concurrent allemand menacer sa suprématie auprès des entreprises nord américaines.
SAP et Oracle n'ont pas fini d'en découdre puisque les deux multinationales ont d'ores et déjà annoncé leur intention de poursuivre leur croissance externe. (...)

(18/03/2005 18:59:11)

Oracle et SAP font monter les enchères sur Retek

Oracle et SAP ont, semble-t-il, bien l'intention d'en découdre pour mettre la main sur Retek, un spécialiste américain des progiciels pour le secteur de la distribution et du commerce de détail. Après l'offre initiale de SAP sur Retek, le 28 février dernier, Oracle avait mis moins d'une semaine pour riposter par une contre-offre. Alors que SAP proposait à l'origine 8,5 $ par action Retek, Oracle avait rétorqué avec une offre à 9 $

Mercredi 16 mars, SAP avait finalement décidé de riposter en faisant monter les enchères à 11 $ par action Retek, en ajoutant toutefois que ce serait sa dernière et meilleure offre. La proposition valorisait Retek à 616 M$.
Las, SAP ne sera resté le mieux disant qu'une journée. Jeudi soir, Oracle a en effet amélioré l'offre de l'éditeur allemand en proposant 11,25 $ par action pour Retek. Oracle a par ailleurs confirmé, qu'il détient déjà près de 10 % du capital de son homologue américain.

Aujourd'hui, un porte-parole de SAP, Frances Bell, a annoncé que l'éditeur allemand étudiait la situation. La dernière et meilleure offre pourrait finalement être revue à la hausse... (...)

(18/03/2005 19:17:25)

Harry You quitte la direction financière d'Oracle pour diriger BearingPoint

Harry You, le directeur financier d'Oracle, va quitter l'éditeur pour prendre la direction de BearingPoint. Il remplacera l'actuel CEO par interim, Rod McGeary, qui conservera la présidence du conseil d'administration de la société de consulting.
Harry You ne sera resté chez Oracle que huit mois, après être arrivé pour remplacer Jeff Henley nommé en juillet 2004 à la tête du conseil d'administration de la firme. Il ne devrait pas être dépaysé chez BearingPoint puisqu'il a par le passé été directeur financier d'Accenture).
Le DAF sera provisoirement remplacé chez Oracle par Safra Catz la co-présidente de la société. Oracle doit publier ses résultats trimestriels mardi prochain. (...)

(16/03/2005 18:45:13)

SAP recrute le chantre de Java

SAP a annoncé le recrutement de George Paolini en tant que vice-président senior, sous la responsabilité de Shai Agassi, pour le développement des produits de la firme allemande.
George Paolini est connu pour avoir fait de la communauté Java l'une des plus vastes de développeurs au monde. Il travaillait pendant les deux dernières années au sein du groupe Borland et était auparavant resté huit ans chez Sun où il avait développé et popularisé le Java Community Process.
Le nouveau vice-président s'occupera tout particulièrement de développer le réseau gravitant autour de NetWeaver, la plate-forme d'intégration d'applications de l'éditeur. SAP a en effet lancé, depuis la fin 2003, des initiatives visant à établir une véritable communauté technique pour NetWeaver, qui supporte à la fois les technologies SAP (Abap) et Java.
L'expérience de celui qui a su créer un essaim de développeurs autour de Java lui sera très probablement utile pour transformer l'essai chez SAP et attirer partenaires et développeurs. Il devra faire face à une concurrence sévère avec Microsoft, IBM et surtout Oracle-PeopleSoft. (...)

(14/03/2005 18:15:26)

IBM acquiert Ascential Software et se dote d'un ETL

Plus d'un milliard de dollars (1,1 Md$) : c'est le montant, en numéraire, que va débourser IBM pour s'offrir la société américaine Ascential Software, spécialiste de l'ETL (extraction, transformation et chargement des données). Une fusion qui fait suite à plusieurs années de proche collaboration.
Au moment de racheter Informix, en avril 2001, Big Blue s'était fait d'Ascential un allié. Il s'agissait notamment d'intégrer DataStage – développé par ce dernier - à Warehouse Manager, l'application de gestion d'entrepôt de données d'IBM. Depuis, les deux partenaires ont développé ensemble une base de quelque 550 clients, Ascential intégrant WebSphere dans le cadre d'architectures SOA.

A travers ce rachat, IBM hérite d'un portefeuille de 3 000 clients Ascential, mais également des produits de la marque, qui intégreront à terme le portefeuille IBM. Notamment Entreprise Integration Suite, et surtout ProfileStage et QualityStage, outils de "contrôle de qualité" des données en environnements hétérogènes.
"Les offres d'Ascential viennent s'appuyer, en complément, sur WebSphere Information Integrator", indique IBM.
Et d'ajouter : "la technologie Ascential devrait également renforcer IBM dans l'intégration de données depuis des sources IBM et non-IBM". Notamment depuis des systèmes Oracle, poids lourd du genre.

Encore sujette à l'approbation des actionnaires d'Ascential et des autorités compétentes, la transaction doit être finaliser au second trimestre 2005.
A terme, les activités d'Ascential - qui concurrence directement SAS ou encore FirstLogic, Trillium - seront regroupées au sein de la division Information Management de Big Blue. Les offres des deux sociétés seront commercialisées dans le monde par les réseaux de distribution et les partenaires des deux groupes. (...)

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