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(30/09/2008 16:28:15)

Entrepôt de données HP Oracle : les concurrents réagissent

A côté d'éditeurs comme Teradata, implantés depuis longtemps sur les grands entrepôts de données (datawarehouses), ces dernières années ont vu des acteurs de niche tels que Netezza et Datallegro investir le terrain des appliances décisionnelles (couplant matériel et logiciel) avec des technologies brevetées. Pour certains d'entre eux, la réaction ne s'est pas fait attendre à l'annonce de la 'HP Oracle Database Machine', une solution associant dans le même châssis des serveurs de bases de données et des serveurs de stockage. Par communiqué, Christian Raza, directeur des opérations de la filiale française de Netezza (ouverte en juin dernier), estime ainsi que le produit d'Oracle « n'est rien d'autre que du packaging autour de la base de données traditionnelle Oracle 11g ». Une offre, juge-t-il, conçue pour profiter du secteur en pleine expansion « des appliances décisionnelles dont on nous reconnaît la paternité ». Ce fournisseur américain est effectivement installé sur ce créneau depuis sa création, avec une technologie propre d'alimentation rapide de datawarehouse (streaming analytics) et de traitement massivement parallèle. « Nous sommes partis d'une feuille blanche », poursuit Christian Raza, tant sur le matériel que sur le logiciel, soulignant ainsi qu'Oracle n'aurait fait qu'installer sa base sur un serveur HP. Créer un marché de volume sur les appliances décisionnelles [[page]] Indéniablement, le secteur du datawarehouse bouge. « Datallegro, qui ne fonctionne que sur matériel Bull et Dell, a été racheté par Microsoft cet été, et Sun a fait le chemin inverse avec MySQL », rappelle Jean-Michel Franco, directeur des offres chez Business & Decision. Il y a quinze jours, des rumeurs de rachat par SAP ont fait monter l'action de Teradata. Cette hypothèse qui aurait semblé saugrenue il y a quelques semaines apparaît plausible désormais, évalue cet expert en solutions décisionnelles. Tout cela révèle un sérieux changement du marché et préfigure peut-être de nouvelles consolidations, juge-t-il. L'arrivée d'Oracle sur les appliances décisionnelles montre que les grands éditeurs n'entendent plus laisser les petits acteurs seuls sur ce terrain, souligne Jean-Michel Franco. « Il s'agissait d'un marché de niche, même si Teradata y est depuis longtemps et s'il y a beaucoup de nouveaux entrants, comme Greenplum, Vertica ou Cognito de Neocog. Les grands acteurs vont faire en sorte qu'il se transforme un peu plus en marché de volume. » Pour le directeur des offres de B&D, la solution d'Oracle va cibler les datawarehouses de 5 à 10 To pour lesquels Teradata apparaît trop haut de gamme. Il considère qu'en France, les produits de Teradata et Netezza concernent une trentaine de gros prospects. Et d'ajouter : « Microsoft a bien joué aussi, ils vont approcher les très gros ». Teradata : « Notre cible n'est pas tout à fait la même » Interrogé sur la HP Oracle Database Machine, Michel Bruley, directeur marketing de Teradata France, reconnaît qu'il s'agit forcément d'une offre concurrente, « même si notre cible n'est pas tout à fait la même, pas tant en termes de volumes que d'usage, précise-t-il. Nous cherchons à construire des entrepôts de données d'entreprise couvrant l'ensemble des départements -direction commerciale, marketing, logistique, finance, ressources humaines- pour effectuer des croisements et réaliser des analyses transversales. Ce n'est donc pas tant un problème de volumétrie que de complexité de l'usage. » [[page]] A sa création, Teradata s'est effectivement positionné sur les gros volumes (comme l'atteste d'ailleurs son nom). « Jusqu'à la fin des années 90, il y avait peu de systèmes au-dessus du Téraoctet, rappelle Michel Bruley. En France, nos grands datawarehouses atteignent 10 To comme chez Leroy Merlin, et les très gros gèrent entre 50 et 100 To -chez SFR et IBP, par exemple. Mais à l'étranger, nous en avons constitué d'énormes, dépassant les 200 To, et celui d'eBay monte jusqu'à 1 500 To. » Ce dernier, d'ailleurs, viendra témoigner le 19 novembre, lors de la conférence utilisateurs de Teradata. Par rapport aux datawarehouses qui autorisent des analyses de données sur une fonction de l'entreprise (la gestion de la relation client par exemple), Teradata insiste sur sa capacité à permettre à différents profils d'utilisateurs d'accéder simultanément à un entrepôt d'entreprise, insiste Michel Bruley. « Les uns effectueront de l'analyse standard, tandis que d'autres feront du datamining, éditeront des tableaux de bord préparamétrés ou lanceront des requêtes ad hoc, énumère Michel Bruley. Pendant que d'autres utilisateurs, encore, dans un centre d'appels, par exemple, effectueront du scoring sur des clients et que, dans le même temps, il sera possible de lancer des traitements par lots sur certains types de données. » Des traitements qui requièrent que le système supporte une mise à jour des données en temps réel. (...)

(29/09/2008 16:01:25)

Serena ajoute OpenProj à sa gestion de portefeuille de projets

Serena Software annonce le rachat de Projity, éditeur du logiciel de gestion de projets en Open Source OpenProj et de l'application en ligne Project-ON-Demand. Ces deux solutions destinées à des gestionnaires de projets individuels constituent un point d'entrée pour Serena Mariner, l'offre de PPM (Project and portfolio management, gestion de portefeuille de projets) constituée par Serena à la suite de l'acquisition de Pacific Edge, en 2006. Compatible avec Microsoft Project OpenProj se pose clairement en concurrent de Microsoft Project dont il accepte les fichiers. Il s'installe sur Windows, Linux ou Mac OS et s'utilise avec les suites bureautiques Open Source déclinée d'OpenOffice, en particulier IBM Symphony. Quant à l'offre Project-ON-Demand, elle vise la collaboration autour d'un projet, notamment en PME. Dans les plus grandes entreprises, elle vient en complément d'une utilisation individuelle d'OpenProj en apportant des fonctions pour collaborer et pour suivre des projets multiples et pour collaborer. (...)

(24/09/2008 09:56:52)

OpenWorld : Oracle accoste le cloud d'Amazon et complète 11g

Il en va d'OpenWorld, la conférence utilisateurs d'Oracle (21-25 septembre, San Francisco), comme du catalogue de solutions de l'éditeur. Le foisonnement de produits génère une cascade de mises à jour et d'avancées, dans les trois catégories d'offres investies par Oracle : applications, middleware et base de données. Conjointement, Charles Phillips, président d'Oracle, et Chuck Rozwat, vice-président, responsable du développement des produits, ont annoncé la possibilité d'utiliser désormais la base de données 11g et l'offre Fusion Middleware dans un environnement de 'cloud computing' permettant une facturation du produit à l'usage. L'environnement d'Amazon, EC2 (Elastic compute cloud), est le premier sur la liste d'Oracle. D'autres environnements seront supportés par la suite, a précisé Chuck Rozwat lors d'une session de questions/réponses. « Pour l'instant, notre objectif est de permettre aux clients d'accéder facilement à ce type de services », a ajouté le vice-président. Oracle ne prévoit pas à court terme de 'cloud' à son nom Oracle lui-même n'envisage pas, pour l'instant, de fournir une plateforme purement matérielle de 'cloud computing'. Même si, rappelle Chuck Rozwat, les services d'informatique à la demande qu'il propose déjà depuis dix ans à ses clients ont beaucoup de points communs avec les offres actuelles d'informatique dans les nuages. Le ralliement à Amazon comporte une deuxième déclinaison, elle aussi conçue comme un accès facile au 'cloud'. Le logiciel Secure Backup Cloud Module, basé sur Oracle Secure Backup, permettra d'automatiser la sauvegarde de données encryptées sur le service Simple Storage d'Amazon. En attendant 11g R2 [[page]] Chuck Rozwat a également confirmé la disponibilité d'une mise à jour importante - 11.1.0.7 - pour la base de données Oracle 11g (livrée il y a un peu plus d'un an). En revanche, le vice-président ne communique pas de date pour la version 2 de 11g - même si les développements semblent bien avancés (Oracle serait en quête de bêta testeurs). Chuck Rozwat insiste : « L'important, c'est de fournir aux clients les informations dont ils ont besoin aujourd'hui sur les produits qu'ils peuvent concrètement déployer. » Pas de date, non plus, pour la version gratuite de la base, 11g Express Edition (XE), qui devrait suivre 11g R2. L'intervention, toujours attendue, de Larry Ellison, fondateur d'Oracle, s'intitule cette année « Extreme Performance » et pourrait porter sur les technologies permettant d'améliorer les performances de la base de données. Oracle VM supporte le clustering Parmi les évolutions de produits figure aussi celle d'Oracle VM, l'offre de virtualisation de serveur. Dans sa version 2.1.2, le produit apporte des fonctions de migration sécurisée (avec encryptage des données). Il est maintenant certifié avec la technologie RAC (Real application clusters) d'Oracle, ce qui permet de combiner virtualisation et clustering, en exécutant une application répartie sur plusieurs serveurs dans une infrastructure en grille (de type grid). Oracle devrait maintenir sa cadence de livraison dans les prochains mois. Charles Phillips, président d'Oracle, a en effet mentionné dans son discours d'ouverture, lundi dernier, que la société allait investir 3 milliards de dollars en R&D sur son nouvel exercice (2,7 Md$ l'an dernier) pour faire évoluer son portefeuille de produits et en concevoir de nouveaux. Ses innombrables acquisitions lui apportant régulièrement de nouvelles équipes, Oracle s'appuie actuellement sur quelque 20 000 développeurs. (...)

(23/09/2008 12:25:32)

Oracle et ses partenaires de nouveau réunis pour recruter des consultants

Les entreprises ont de plus en plus de mal à recruter des profils spécialisés sur les applications d'entreprise. Dans un contexte où la demande ne cesse de croître, Accenture, IBM, KSA, Logica, Stéria, Capgemini, et Sopra, partenaires d'Oracle, ont donc décidé de se retrouver pour recruter des consultants métiers. Ces rencontres font partie du programme Oracle Community, dispositif conçu il y quatre ans par l'éditeur pour aider ses partenaires à former et embaucher des spécialistes des ERP en ressources humaines, en CRM (Gestion de la relation clients) et en marketing relationnel. 170 consultants métiers recrutés depuis la création du programme [Depuis sa création, le programme mis sur pied par Oracle a permis de recruter et former 170 consultants en ERP, en s'appuyant sur un dispositif qui se démarque des événements de recrutement plus axés sur la communication, telles les soirées festives « salsa », « poker », et autres, organisées ces derniers temps par des SSII, et dont certaines se sont avérées catastrophiques. [page]]Dès le 15 septembre les candidats pourront s'inscrire sur le nouveau site d'Oracle Community pour passer les étapes de présélection orchestrées depuis le début de l'initiative par un cabinet de recrutement indépendant (Alter Ego Solutions) et découvrir les différentes entreprises. Sur la page d'accueil du site, un mur vidéo proposera à chaque entreprise de se mettre en scène afin de fournir aux candidats une vision plus réelle de l'ambiance et l'environnement de travail qu'ils pourront trouver. (...)

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