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(26/08/2008 17:58:38)

Tech'Lotus : La DSI d'IBM partage son expérience du collaboratif

Pour marquer les esprits, IBM n'hésite pas à s'offrir en exemple. En ouverture des Tech'Lotus (26-27 août à Paris), la DSI de la filiale française a démontré pourquoi et comment ses propres outils de collaboration, Notes, Domino et Sametime notamment, constituaient la pièce maîtresse de la communication interne d'IBM. Les 380 000 employés de Big Blue à travers le monde sont tous des utilisateurs de Lotus Notes, client intégré de messagerie donnant accès aux outils de collaboration. Après sa descente aux enfers de 1992, le géant américain a dû rapidement se réinventer. « D'un modèle où tout se faisait aux Etats-Unis, nous avons déplacé les centres de décision au plus près des clients, dans les pays, tout en globalisant les fonctions de support, rappelle Didier Roche, DSI d'IBM France. La culture de la collaboration était devenue vitale, avec des outils accessibles 24 h/24. » Le fonctionnement hiérarchique a laissé place aux équipes. L'intranet est le poste de travail de tous les IBMers avec un accès constant à la messagerie instantanée, pour une prise de décision rapide. Toute recrue passe par la case Second Life Toute nouvelle recrue est rapidement dans le bain, c'est-à-dire en ligne, avec une visite au site d'IBM sur Second Life en guise d'entrée en matière. Si ce monde virtuel ne représente pas l'image du futur, « c'est un format qui y ressemble davantage que l'Internet d'aujourd'hui, commente Didier Roche. C'est donc intéressant à suivre. » Les nouveaux arrivés passent ensuite directement sur l'intranet d'IBM. « Nous avons intégré 600 personnes l'an dernier en France, des profils génération Y, qui privilégient le partage d'informations et la valorisation d'équipes, alors que la génération X est plutôt centrée sur elle-même, poursuit le DSI. Leur communication s'appuie essentiellement sur la messagerie instantanée et Internet. » D'autant que la mobilité est devenue une seconde nature chez IBM France. « Plus de 70% du personnel est mobile et équipé de portables ThinkPad », indique Didier Roche. Une mobilité très supérieure à la moyenne mondiale d'IBM qui s'établit à 40%. Quand IBM s'inspire des communautés du libre Chez Big Blue, une personne sur neuf vient d'une société rachetée et 45% des collaborateurs ont moins de cinq ans d'ancienneté. Autant d'arguments en faveur d'une adoption rapide du mode de communication interne. La VoIP est aux premières loges. « Nous avons intégré la voix partout, assure le DSI. Nous pouvons faire du click-to-call sur de nombreuses applications. » Mais avec la messagerie instantanée, le téléphone n'est plus une priorité sauf pour les conférences téléphoniques, poursuit-il. « Nous utilisons de plus en plus de wikis, de blogs aussi, notamment pour des communications d'intérêt général. » Didier Roche se dit aussi de plus en plus interpelé à propos des réseaux sociaux qui permettent de créer des communautés auxquelles IBM laisse une plus grande place. « On s'est inspiré des communautés du libre, confie le DSI. Beaucoup d'IBMers y travaillaient déjà avant qu'IBM ne le sache. Maintenant, nous fédérons. » (...)

(26/08/2008 15:40:33)

Gestion de contenu : Alfresco Labs 3 en version bêta

Dans sa version 3 téléchargeable en mode bêta, Alfresco Labs, solution Open Source de gestion de contenu d'entreprise (ECM), fournit un référentiel compatible avec le logiciel de collaboration et de gestion documentaire MS SharePoint. Une ouverture qu'Alfresco a pu mettre en oeuvre à la suite de la livraison, par Microsoft, de la documentation technique des protocoles utilisés par SharePoint 2007 (une publication qui a fait suite au bras de fer entre l'éditeur de Windows et Bruxelles). Pour Alfresco, l'argument de la compatibilité avec Microsoft n'est pas accessoire quand on sait que SharePoint réalise depuis quelques mois une percée remarquable dans les entreprises (de taille moyenne notamment). 

Alfresco Surf, plateforme de réseau social

La version communautaire d'Alfresco a été téléchargée un million de fois selon le décompte de l'éditeur. En France, le logiciel Open Source a été retenu ces derniers mois par une dizaine de clients français des secteurs privé et public (Plastic Omnium, La Poste, le Ministère de la Justice, l'INRIA...). Cette offre répond notamment aux besoins des entreprises qui recherchent des services de contenu 'basiques'.

La version 3 de la solution comprend la plateforme Alfresco Surf destinée à créer des applications Web dynamiques (orientées REST) et des sites Web collaboratifs. Elle comporte aussi des interfaces de programmation RESTful qui permettront aux développeurs d'ajouter des services personnalisés de gestion de contenu et de collaboration. Enfin, cette version bêta inclut la plateforme de réseau social Alfresco Share, ainsi qu'une bibliothèque pouvant stocker quelque 100 millions de documents. (...)

(26/08/2008 10:34:49)

Infosys rachète le spécialiste anglais du monde SAP Axon

Les rumeurs lui prêtaient l'intention de racheter CapGemini... C'est finalement l'anglais Axon qui tombe dans l'escarcelle de l'indien Infosys. Axon est un spécialiste du monde SAP. La vente sera officialisée définitivement au mois de novembre prochain après l'aval des autorités de régulation. Le prix serait de 753 millions de dollars (...)

(25/08/2008 17:22:58)

IBM accueille les Tech'Lotus 2008 à Paris

Les Tech'Lotus qui se tiennent mardi 26 et mercredi 27 août, au siège social d'IBM France (la Défense), accueilliront 550 développeurs et chefs de projets autour d'une cinquantaine d'ateliers consacrés à l'offre Lotus. Deux séances plénières ouvriront ces journées. La première verra la DSI d'IBM partager ses bonnes pratiques pour l'entreprise. La seconde sera conduite par Douglas Heintzman, directeur de la stratégie de Lotus, et Ron Sebastian, architecte technique, qui lèveront le voile sur les recherches en cours dans les laboratoires de Lotus. Dans leurs cartons se trouvent les produits qui devraient être présentés au prochain Lotusphere, grand rendez-vous annuel de la division d'IBM qui se tient traditionnellement à Orlando en janvier. Des éléments sur la stratégie Software as a Service Parmi les projets les plus avancés figure le fameux Bluehouse, déjà évoqué en janvier dernier, qui doit mettre en oeuvre la stratégie « Software as a service » d'IBM. « Nous allons d'abord livrer des services collaboratifs, explique Douglas Heintzman, ainsi que des services de voix sur IP et de connexions qui permettront aux utilisateurs d'avoir des activités de réseaux sociaux professionnels en dehors de l'entreprise ». [[page]]Les services de collaboration (partage de fichiers, réunions en ligne, dialogue en direct, enquêtes en ligne, gestion de contacts et d'activités, outils de visualisation graphique), première étape de cette stratégie, seront commercialisés sous la marque Bluehouse et seront également proposés en marque blanche à des partenaires. Mais « Bluehouse, ce sera aussi une plateforme sur laquelle nous allons livrer des interfaces de programmation afin que d'autres services puissent être appelés. » Pour soutenir cette stratégie de services en ligne qui a vocation à se développer à grande échelle, IBM est en train de construire des centres de données sur différents sites. « Nous avons probablement la plus grande capacité du monde », estime le directeur de la stratégie Lotus. (...)

(21/08/2008 13:09:10)

Annuels Open Text : +20% sur les ventes de logiciels

Open Text, dernier grand éditeur indépendant parmi les leaders de la gestion de contenus d'entreprise (ECM), tire encore son épingle du jeu sur son année fiscale 2008 (échue fin juin). Même si la progression du chiffre d'affaires (CA) et des ventes de licences n'est pas aussi remarquable que l'an dernier (+45% et +49% au 30 juin 2007), le Canadien enregistre tout de même +22% sur un CA de 725,5 M$ et +20% sur des ventes de licences de 219 M$. Ces dernières pèsent 30% de ses revenus globaux. Quant à son bénéfice net, il a augmenté de 44%, à 108 M$, par rapport à l'an dernier (rappelons que 2007 était le premier exercice réalisé avec Hummingbird). Déjà deux rachats sur le nouvel exercice En juillet dernier, Open Text a complété son catalogue par deux acquisitions : Spicer Corporation et ses outils de visualisation de fichiers, puis eMotion LLC, division de Corbis spécialisée dans la gestion de médias numériques. Ce deuxième rachat vient enrichir la division Artesia du Canadien qui commercialise des solutions de gestion de contenus pour les départements marketing et les agences de publicité. Elle sera également mise à profit dans le cadre de la stratégie Enterprise 2.0 annoncée par Open Text en mars dernier, mettant l'accent sur la gestion des vidéos, des images et des contenus riches. Un marché ECM dominé par IBM, Open Text et EMC Le marché ECM, estimé à 2,9 Md$ en 2007 par Gartner (qui évalue une progression moyenne de 12,9% jusqu'en 2011), est dominé par IBM, Open Text et EMC (IBM et EMC ayant racheté les spécialistes FileNet et Documentum). Il voit aussi se développer un certain nombre de solutions en Open Source (celle d'Alfresco notamment). Par rapport aux grands concurrents IBM et EMC, qui disposent d'un catalogue foisonnant (le premier en particulier), Open Text présente une offre fonctionnelle centrée sur l'ECM (cf analyse de Forrester), bien placée sur plusieurs domaines. L'éditeur vient notamment d'être distingué par Gartner sur son offre de conservation légale des enregistrements (records management). Rappelons par ailleurs que le Canadien a renforcé depuis deux ans son partenariat avec SAP, ce dernier revendant des applications donnant accès à LiveLink ECM depuis son progiciel de gestion intégré. (...)

(14/08/2008 09:36:42)

Hausse des tarifs SAP : les clubs utilisateurs en ordre dispersé

Dans les clubs utilisateurs de SAP, des voix se font encore entendre : la décision de l'éditeur allemand de basculer tous ses contrats sur le tarif de maintenance le plus élevé a encore du mal à passer. Néanmoins, le ton déjà résigné de certains clubs ne va guère dans le sens d'un recul de SAP. Qui de son côté explique, par la voix de son porte-parole, Bill Wohl : « Nous sommes toujours très satisfaits des réactions des clients que nous voyons sur le marché. Bien que les clients disent ne jamais aimer devoir payer plus, ils voient la valeur ajoutée. » Le caractère incrémental de la hausse déjà négocié par les utilisateurs Le 16 juillet dernier, SAP annonçait qu'il ne proposerait plus que son tarif le plus élevé pour la maintenance, soit 22% du prix de la licence. L'éditeur du progiciel de gestion intégré le plus répandu parmi les grands comptes soulignait alors que tous les clients bénéficieraient ainsi d'un meilleur niveau de support. Pour Bill Wohl, il s'agissait non pas d'améliorer les revenus de SAP, mais de mettre en adéquation le niveau de service offert avec le niveau de complexité actuel des systèmes d'information. Pour les clients déjà sous contrat et payant pour un support basique (17% du prix de la licence), la hausse des tarifs sera incrémentale, entre 2009 et 2012 - sachant que pour les clients français ayant plafonné, par contrat, l'augmentation des tarifs, la hausse pourrait être plus douce et s'effectuer sur une dizaine d'années. Le club américain se refuse à négocier un rabais collectif [[page]] Les clubs utilisateurs ont réagi diversement à cette annonce. Le club américain (Americas SAP Users Group, Asug), qui avait été consulté avant la décision de SAP, dit qu'il veut se donner le temps d'étudier les expériences des utilisateurs, et d'y trouver des preuves de ce qu'avance SAP sur l'amélioration significative du niveau de support. Le club explique qu'il veut déterminer à terme « ce qui fonctionne et ce qui aura besoin d'un ajustement, et ainsi pouvoir s'appuyer sur [son] importante base installée pour influencer SAP, qu'il s'agisse de modifier les tarifs ou les offres, le cas échéant ». Le président de l'USF se dit « déçu mais attentif » Steve Strout, président de l'Asug, souligne qu'il a déjà remporté une bataille, en convainquant SAP de n'augmenter ses tarifs que de façon incrémentale. Quant à demander à SAP de rester à 17%, il ne voit pas comment il pourrait faire ça : « Ce serait agir en tant que négociateur pour un rabais collectif, et nous ne sommes pas légalement autorisés à faire cela. » Interrogé par LeMondeInformatique.fr, le président de l'USF (le club des utilisateurs francophones) Jean Leroux a adopté un ton diplomatique très similaire. Il se déclarait ainsi « déçu » mais « attentif », et affirmait sa volonté de mener un audit sur la valeur réellement ajoutée par l'offre premium : « Tout n'est pas dit dans l'annonce, et chaque client est un cas particulier. Il y a donc certainement des choses à négocier, notamment sur les niveaux de service et les pénalités. Notre rôle est de vulgariser ces aspects et de préparer au mieux les clients à tirer un maximum de valeur de cette augmentation de prix. » Pour l'USF aussi, SAP devra faire ses preuves sur le terrain, et les utilisateurs y veilleront. Le club des utilisateurs germanophones encore très combatif [[page]] La tâche ne sera pas forcément aisée, car, comme le souligne l'analyste de Forrester Ray Wang, il faudra que les entreprises utilisatrices soient transparentes sur leurs relations avec SAP (problèmes survenus, correctifs installés...) et sur leur TCO (coût de possession total). Plutôt virulent au début, le club des utilisateurs du Royaume-Uni se dit aujourd'hui, comme l'USF, « en contact constant avec SAP à propos de cette question du support ». Le DSAG, club des utilisateurs germanophones, le plus important des clubs avec 25 000 membres dans 2 100 entreprises, notamment en Allemagne, Autriche et Suisse, reste en fait le plus combatif. Il continue aujourd'hui encore de déclarer son opposition à ce changement unilatéral des conditions de support. Y a-t-il suffisamment de compétences SAP sur le marché ? « L'impression que nous avons, et le retour que nous avons de nos membres, est que l'opposition reste très forte, explique Andreas Oczko, vice-président du DSAG. Le sentiment qui domine chez les utilisateurs, notamment parmi les PME, est que leurs systèmes sont très simples et qu'ils les connaissent très bien. Ils ne voient donc pas pourquoi ils auraient maintenant besoin d'un support de niveau entreprise. » Malheureusement pour ces utilisateurs, ils ont peu de leviers sur lesquels agir. Ray Wang leur conseille bien de ne pas signer de contrats pluri-annuels, de façon à pouvoir s'orienter vers des tiers, mais les éditeurs tiers proposant du support SAP ne sont pas légion. En outre, il risque de se poser un problème de compétences disponibles sur le marché : si SAP doit assurer pour tous un support premium, les ressources disponibles risquent d'être rapidement asséchées, les experts SAP étant déjà difficiles à trouver. (...)

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