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(07/05/2008 11:39:32)
Adobe veut diffuser Flash gratuitement sur les mobiles
Les formats Flash utilisables sans restriction et le lecteur diffusable sans royalties : voilà les principales inflexions de la stratégie d'Adobe pour s'imposer dans les appareils mobiles. L'éditeur a pris conscience de la nécessité de proposer une expérience utilisateur unique pour les contenus riches quelle que soit la plateforme utilisée par l'internaute. Et n'allez pas dire que cette nouvelle politique d'Adobe a été aiguillonnée par l'apparition d'une version mobile de Silverlight et l'accord entre Microsoft et Nokia. Pour Frédéric Massy, directeur marketing Europe de l'Ouest d'Adobe, il s'agit simplement de suivre l'évolution du marché : « Flash est présent sur 98% des ordinateurs personnels Mac et Windows, dit-il. Or aujourd'hui, il y a davantage d'appareils mobiles connectés que de PC. » Cette stratégie d'uniformisation est la suite logique d'une réorganisation intervenue quelques semaines plus tôt, explique de son côté Kevin Lynch, directeur technique d'Adobe, qui a regroupé les équipes de développement desktop et mobile en une entité unique qu'il dirige : Experience and Technology Organization. Pas d'Open Source, mais des protocoles et API ouverts Concrètement, Adobe publiera les spécifications de l'API de son Flash Player (pour en simplifier le portage), ainsi que les protocoles de Flash Cast (interface pour délivrer des services via un portail sur mobile) et AMF (format du langage ActionScript), annulera les restrictions sur l'utilisation des formats Flash (SWF et FLV/F4V) et éliminera les royalties sur les prochaines versions du Flash Player et du lecteur AIR (son offre d'application Internet riche). Pas de standardisation ni de mise en Open Source dans l'immédiat, donc. « Nous sommes un peu dans la situation que nous avons connue il y a quelques années avec PDF », commente Frédéric Massy. [[page]]L'ouverture de PDF a été progressive, et le format n'a été soumis à l'ISO que quand Adobe a jugé que son évolution devenait marginale. « On n'en est pas encore à ce niveau de maturité pour Flash. » Ces annonces font partie d'une initiative plus globale intitulée Open Screen Project, à laquelle sont conviés les fabricants d'appareils mobiles, les opérateurs, les fournisseurs de contenu, etc. Ont déjà répondu à l'appel, notamment, les opérateurs japonais NTT DoCoMo et taiwanais Chunghwa Telecom, et les industriels Nokia, Sony Ericsson, Samsung, Motorola et LG. Adobe espère que cette alliance inclura aussi des opérateurs européens. « C'est un écosystème excessivement complexe, note Frédéric Massy, particulièrement en Europe. » Un milliard de mobiles équipés de Flash Lite d'ici à 2009 Adobe comptabilise aujourd'hui 500 millions d'appareils embarquant sa technologie Flash Lite. Et il estime que fin 2008 ou début 2009, ce nombre devrait doubler. D'ici là, le projet Open Screen aura peut-être aussi abouti à un système de mise à jour automatisée des lecteurs Flash sur les mobiles, pour éviter les désagréables écrans noirs. « C'est très important », confirme Kevin Lynch, qui reconnaît : « Nous ne pouvons faire cela tout seuls. » Apple, qui refuse pour l'instant de voir Flash Lite s'installer sur l'iPhone, le jugeant trop léger justement, ne fait pas partie de la liste des partenaires. Cette annonce favorisera-t-elle un rapprochement ? « La balle est avant tout chez Apple, répond Frédéric Massy. Il n'y a rien de spécifique lié au lancement de ce projet. Mais le fait de fédérer plusieurs acteurs pourrait jouer... » (...)
(07/05/2008 11:07:28)La distribution doit se tourner vers les réseaux sociaux, mais avec prudence, dit Gartner
D'après Gartner, les réseaux sociaux représentent une véritable opportunité financière pour la distribution, toutes activités confondues. Jusqu'à présent, les acteurs du secteur s'en sont servi pour cibler leurs campagnes publicitaires à une population relativement jeune. Aujourd'hui, il leur faut élargir cette cible. A ses recommandations, le cabinet d'études adjoint néanmoins quelques conseils de prudence. Le cabinet d'études insiste sur la mine d'informations concernant les consommateurs que représente les réseaux sociaux. Bien sur, ces données sont parfois difficiles à obtenir, et suscitent de nombreuses controverses quant à la protection des données personnelles. Gartner souligne toutefois que les consommateurs sont prêts à lâcher un peu de leur intimité en échange d'un service ou d'une réduction - un peu comme pour le système des cartes de fidélité des magasins. Selon Gartner, l'arrivée des réseaux sociaux sur les mobiles représentera une autre manne pour la distribution. Il ne s'agit que d'un marché émergent pour le moment, mais promis à un bel avenir, selon le cabinet. Ce dernier cite ainsi l'exemple d'un consommateur qui pourrait bénéficier d'une promotion en magasin à condition de diffuser l'information à quelques amis de son réseau via son portable, et attirer ainsi plus de trafic. Attention, la popularité d'une marque se fait et se défait très vite Le cabinet invite néanmoins les distributeurs à la prudence, en listant aussi une série de risques. La popularité d'une marque ou d'un produit se répand en effet de manière virale. Mais si ce bouche à oreille numérique comporte bien évidemment des revers. Un échange entre amis mentionnant une erreur de prix, de promotion, voire d'adresse du site Web se propagera à grande vitesse, tout comme la critique d'un produit par un internaute. Enfin, trop d'informations tuent l'information. Si un site communautaire fournit un trop grand nombre de publicités, l'internaute peut se retrouver perdu face à cet amoncellement d'offres, et tout bonnement quitter le site. Gartner conseille aux distributeurs de préférer des applications interactives, dans lesquelles le consommateur aura l'impression de participer à la conception ou à l'amélioration d'un produit par exemple. (...)
(07/05/2008 09:49:03)Le fondateur de TomorrowNow s'attaque au support de SAP R/3
Des prestations de maintenance autour des applications de gestion SAP R/3 qui diviseraient par deux les dépenses annuelles consacrées à ce poste. C'est l'offre que vient de constituer, aux Etats-Unis, la société Rimini Street en profitant, pour l'annoncer discrètement, de la tenue concomitante à Orlando de la conférence utilisateurs Sapphire de l'éditeur allemand SAP (04-07 mai 2008). Rimini Street a été créée en 2005 par Seth Ravin, qui n'est pas un inconnu pour SAP. C'est lui qui, cette année-là, avait revendu à l'éditeur allemand la société TomorrowNow, spécialisée dans la maintenance des applications Oracle. Une acquisition qui, par la suite, devait causer bien des tracas à SAP, accusé par Oracle de vol d'informations par son intermédiaire (l'instruction est en cours). La société dirigée par Henning Kagermann aimerait bien, depuis quelques mois, se séparer d'une filiale devenue plutôt embarrassante. Une prestation à prix cassé alors que SAP augmente ses tarifs En s'attaquant au support de SAP R/3, Rimini Street espère tirer profit de la récente décision de SAP de supprimer son option de « Basic Support » tarifée à 17%, en faveur d'une option plus complète, proposée à 22%. Prévue pour démarrer début 2009, la prestation de support de Rimini Street vise en effet les entreprises qui répugnent à lâcher des versions de progiciels qui leur conviennent encore parfaitement, même si elles commencent à dater. Des utilisateurs qui, toutefois, ne sont pas prêts à débourser plus que de raison pour conserver ces applications. (...)
(02/05/2008 18:04:17)IBM ouvrira une place de marché applicative pour les PME
IBM poursuit ses grandes manoeuvres en direction des PME. Le fournisseur a annoncé jeudi 1er mai qu'il préparait pour cette cible d'entreprises une place de marché proposant un catalogue d'applications développées par des éditeurs indépendants. Ce projet, appelé Blue Business Platform (ou encore Global Applications Marketplace), est destiné à faciliter la recherche de solutions informatiques pour des structures de moins de 500 salariés, segment encore largement inexploré pour IBM. L'initiative implique évidemment les partenaires de Big Blue qui déploieront ensuite les logiciels auprès des clients. Son succès dépendra beaucoup de l'adhésion des éditeurs puisque ces derniers devront intégrer un jeu d'API pour que leurs solutions figurent sur cette place de marché. En présentant ce projet, IBM l'a comparé à Amazon.com en précisant que la description des produits pourra s'accompagner d'avis d'utilisateurs. Par ailleurs, en osant une autre comparaison, à l'instar d'iTunes qui s'adresse aux utilisateurs de matériels Apple, la Blue Business Platform vise uniquement les utilisateurs de matériels IBM. D'autres éditeurs ont déjà ouvert des places de marché en ligne. Précurseur en ce domaine, Salesforce dispose d'un catalogue de plus en plus étoffé. Et Microsoft a créé sa propre place, Small Business Center. IBM devra aussi compter avec Intel qui vient de présenter un projet similaire. Sur la place Intel Business Exchange, on également annoncée jeudi,pourra de la même façon explorer un catalogue d'applications, fonctionnant cette fois-ci dans les environnements Intel. Une place de marché où, entre autres, on trouvera à la fois des solutions développées par Salesforce.com et Microsoft. (...)
(02/05/2008 16:55:47)Microsoft débauche un pilier de Photoshop et de Lightroom
Après avoir passé 17 ans chez Adobe, Mark Hamburg vient de se faire recruter chez Microsoft. Bien qu'il soit considéré comme un des principaux développeurs de Photoshop et, dernièrement de Lightroom, il ne travaillera pas sur des projets concurrents de Microsoft. On lui prête plutôt une mission sur l'amélioration de l'interface de Windows. Outre Atlantique, on parle de "user experience". (...)
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