Flux RSS

ERP

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1519 documents trouvés, affichage des résultats 601 à 610.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(20/05/2008 13:05:37)

Exchange Online gèrera des dizaines de millions de boîtes d'ici 5 ans

Chez Microsoft, l'offre Cloud Computing commence par les serveurs de messagerie. D'ici cinq ans, Microsoft prévoit que son offre Exchange Online hébergera des dizaines de millions de boîtes à lettres professionnelles. C'est la première annonce de la mutation d'une offre entreprise du modèle logiciel à celui de "logiciel et services" que Microsoft met progressivement en place. Chez Microsoft France, on insiste sur le fait que l'offre s'adresse à des entreprises qui disposent d'un service informatique. Il faudra toujours un informaticien pour paramétrer les services proposés. "D'ici cinq ans, la moitié des boîtes Exchange seront sur Exchange Online", a déclaré Chris Capossela, qui préside aux destinées de la ligne de produits Office. Cela représente effectivement des dizaines de millions de comptes si l'on considère les chiffres communiqués par les analystes de Radicati. Pour eux, 210 millions d'utilisateurs professionnels sont gérés par un serveur Exchange cette année et ce chiffre atteindra 319 millions en 2012. Microsoft affirme qu'il étoffe chaque mois ses datacenters de 10 000 serveurs. Microsoft brandit déjà le succès qu'il a remporté avec Exchange Online auprès de Coca Cola. Le plus gros producteur mondial de sodas vient d'abandonner IBM Lotus Notes pour confier ses 70 000 adresses mails aux soins de Microsoft Online. Pour les entreprises, le glissement vers une solution hébergée pourra se faire soit en gardant le modèle de facturation à la licence, soit en optant pour un modèle basé sur l'abonnement. Si Microsoft envisage une réduction de ses marges, il prévoit une augmentation de son chiffre d'affaires. Il n'y a pas que le serveur Exchange qui entame sa mutation du logiciel vers le service. Les variantes hébergées des serveurs Sharepoint, Office Communication Online et Office Live Meeting sont en phase bêta. Microsoft France précise que les dates des bêtas francisées (y compris pour Exchange Online) ne sont pas encore connues. (...)

(15/05/2008 12:43:09)

Coda livre son application développée sur Force.com

Comme prévu, l'éditeur britannique Coda vient de livrer une première version de l'application financière Coda 2go qu'il a conçue en s'appuyant sur Force.com, la plateforme de développement proposée en ligne 'comme un service' par l'éditeur Salesforce.com. Il s'agit d'un processus intégré permettant de gérer une commande depuis la saisie de l'opportunité commerciale dans Salesforce (application de gestion de la relation client -GRC) jusqu'au règlement de la facture. Un processus qui fait intervenir plusieurs utilisateurs à différents niveaux (équipe commerciale, administration des ventes). Coda 2go est aujourd'hui livrée en anglais, mais sera disponible en français dans le courant de cette année. Elle s'utilise sur la base d'un abonnement mensuel actuellement tarifé à 85 euros (125 dollars) par utilisateur et par mois. Coda a prévu de livrer d'autres processus fonctionnels dont les tarifs pourront varier. A noter que l'acquisition de Coda par le groupe néerlandais Unit 4 Agresso, en février dernier, ne modifie en rien les plans de développement de l'éditeur britannique sur cette application. Les ambitions de Salesforce.com autour de Force.com Salesforce.com a fondé de grandes ambitions sur sa PaaS (plateforme as a service) Force.com sur laquelle il compte attirer de nombreux éditeurs. Ces derniers peuvent y bâtir des applications à exploiter en ligne de façon indépendante ou de façon intégrée avec les processus de GRC de Salesforce ainsi qu'avec les applications d'autres éditeurs présents sur Force.com. Lors de l'annonce de ses résultats annuels, en février, Marc Benioff attribuait en partie la progression annuelle de son chiffre d'affaires 2007 (+51% à 748,7 M$) à l'adoption massive de Force.com. Rappelons qu'en avril, l'intégration des outils de productivité de Google dans Salesforce ont élargi les possibilités de développement des éditeurs indépendants sur Force.com en donnant accès aux interfaces de programmation des Google Apps. (...)

(14/05/2008 16:44:28)

Une console décisionnelle pour JD Edwards EnterpriseOne

Oracle propose aux utilisateurs de JD Edwards EnterpriseOne versions 8.11 SP1 et 8.12 un outil décisionnel. Cette "Financial Management and Compliance Console" permet d'afficher en standard une quarantaine d'indicateurs et propose aussi sept alertes en regard avec la conformité de leur activité. Oracle souligne la facilité d'utilisation et d'implantation de cette console qui s'installe directement sur EnterpriseOne. Il est bien sûr possible de paramétrer cette console pour adapter le recueil des informations aux besoins spécifiques d'une entreprise. (...)

(09/05/2008 18:28:04)

Une voiture Google parcourt Paris afin de cartographier la ville

Le service Street View de Google nécessite qu'un véhicule se déplace dans les rues des villes afin de disposer d'images vues du sol. L'information provient du site zorgloob.com, spécialisé dans les informations sur Google et qui publie une photo de la voiture en question. Il s'agit d'un modèle Opel, doté d'un impressionnant appareillage de prise de vues sur son toit. Un discret logo Google apparaît sur la portière du véhicule. D'autres villes européennes sont cartographiées de façon similaire. Par le plus grand des hasards Par un hasard des plus étonnants, un véhicule de Google est passé vers treize heures par Puteaux, juste en face des bureaux de notre publication, LeMondeInformatique.fr. Ce véhicule ne possède pas de logo Google sur ses portières, c'est son chauffeur - très pressé alors qu'il était en train de retirer la housse de protection de l'appareillage de prise de vues - qui nous a confirmé travailler pour Google. Un de nos journalistes, Peter Sayer, a eu tout juste le temps de prendre les photos de la voiture afin d'illustrer cet article. Le droit à l'image en France Les prises de vue destinées au service Street View viennent compléter les images par satellite offertes par le service Google Maps. Si ce service va ramener énormément de données à Google, la société risque aussi de récolter quelques poursuites vu le contexte particulier des lois sur le droit à l'image en France, et selon la manière dont les images seront exploitées.[[page]]Vu le beau temps qui règne sur Paris, les terrasses des cafés risquent d'être pleines de monde et elles vont être captées par les appareils photo de Google. Or, vu les règles sur le droit à l'image en France, il est interdit de publier ces photos sans l'accord des intéressés. Les photos incriminées retirées Jusqu'alors, Google attend afin de ne lancer le service en Europe que lorsqu'il a pu s'assurer de respecter les législations locales, a assuré un porte parole officiel du groupe à l'agence de presse IDG News Service. Aux Etats Unis, le service Street View a déjà entraîné quelques poursuites judiciaires depuis son lancement en Mai 2007. La réponse de Google a été de retirer les images incriminées. (...)

(09/05/2008 17:25:45)

Les actionnaires de Google le questionnent sur les droits de l'Homme

Au cours de leur réunion annuelle, les actionnaires de Google ont fini par rejeter deux propositions sur la politique de l'entreprise en matière de droits de l'Homme. Ce faisant, ils ont suivi l'avis du conseil d'administration. Malgré le vote, le sujet a dominé l'ensemble de la réunion. Sergey Brin, co-fondateur et président des technologies, s'est abstenu sur les deux propositions. Il a expliqué être en accord avec leur esprit mais pas complètement avec leur formulation. La première idée des actionnaires provenait d'un fonds de pension des employés de la ville de New York qui représente 200 M$ chez Google. Présenté par Tony Cruz, représentant d'Amnesty International, elle suggérait que Google institue des politiques de protection de la liberté d'accès à Internet. Ce qui aurait impliqué que l'Américain use de tous les moyens légaux pour refuser d'appliquer la censure, qu'il informe les utilisateurs lorsqu'il aurait dû céder sur le sujet, qu'il conserve les informations permettant d'identifier les utilisateurs uniquement dans les pays qui ne restreignent pas l'accès à Internet. Peut nettement mieux faire La seconde proposition refusée à la réunion des actionnaires réclamait la création d'un comité des droits de l'Homme chez Google. Celui-ci aurait vérifier les implications en la matière de la politique globale de l'entreprise. Comme l'a expliqué Tony Cruz, Google participe à une initiative pour définir des règles quant à la façon dont les entreprises devraient répondre aux demandes de censure dans des pays comme la Chine. Un pas dans la bonne direction, comme le confirme le représentant d'Amnesty International, mais Google n'a par ailleurs procédé à aucune amélioration depuis son installation en Chine. Plusieurs entreprises technologiques américaines ont elles-aussi, récemment, été critiquées pour leurs activités en Chine. Et Google était en première ligne avec une version de son moteur de recherche qui se conforme à la censure exercée dans l'Empire du Milieu. Il s'est défendu, arguant qu'il valait mieux avoir une présence dans le pays et offrir un peu d'information à la population plutôt que de ne pas être présent du tout. Google aurait inspiré Baidu vers plus d'ouverture [[page]]Pour défendre les activités de Google en Chine, Sergey Brin assure que l'entreprise veille, bien plus que d'autres éditeurs de moteurs de recherche, à ce que l'information soit librement accessible. Il a sans doute ainsi fait référence à Yahoo qui a fourni aux autorités chinoises des informations qui ont conduit à l'emprisonnement d'un écrivain. Selon son co-fondateur, Google aurait même influencé Baidu, le moteur de recherche local. A l'instar de son homologue américain, ce dernier aurait ainsi commencé à indiquer à ses utilisateurs quand il omettait une information sur demande du gouvernement. Sergey Brin assure que Google ne s'est pas installé en Chine pour les revenus qu'il pourrait en tirer. "Notre objectif premier dans des pays comme celui-là n'est pas de générer le maximum de chiffre d'affaires, affirme-t-il. Nous pourrions abandonner notre site demain sans que cela n'ait aucun effet sur nos résultats. En Chine, notre but était de faire ce qu'il y avait de plus positif. » Une remarque qui fut loin d'apaiser l'ensemble des actionnaires présents dans la salle. (...)

(09/05/2008 13:53:52)

Henning Kagermann évoque l'avenir de SAP, un an avant son départ

Les conférences Sapphire qui réunissent en ce mois de mai les utilisateurs des applications de gestion de SAP (à Orlando, du 04 au 07, à Berlin du 18 au 21) figurent parmi les dernières auxquelles Henning Kagermann assistera comme PDG de l'éditeur allemand, numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Il est en effet prévu que le dirigeant transmette les rênes de l'entreprise l'an prochain à Léo Apotheker. Henning Kagermann se dit sur la même longueur d'ondes que son futur successeur avec lequel il a déjà travaillé pendant de longues années. Depuis un mois déjà, les deux hommes co-dirigent la société, à la demande d'Henning Kagermann lui-même. « Cela me permettra de transmettre mes responsabilités tranquillement. Je n'ai aucun souci, » a-t-il confié à IDG News Service. Avec son équipe, [Léo Apotheker] fera en sorte d'atteindre les objectifs fixés pour 2010. » L'éditeur devrait attendre l'an prochain pour dévoiler sa stratégie au-delà de 2010. « J'aurais pu le faire cette année, mais j'estime qu'il faut impliquer la nouvelle équipe dans cette démarche ». Un dirigeant qui connaît bien SAP SAP a toujours compté de nombreux ingénieurs et scientifiques dans son encadrement. Pour autant, le profil plus commercial de Léo Apotheker ne gêne pas le futur retraité. « SAP est une entreprise différente maintenant. Grande, équilibrée. Les enjeux technologiques sont pris en charge par un très grand nombre de collaborateurs. La responsabilité n'en incombe plus à une seule personne. Partant de là, nous avons davantage besoin d'un dirigeant qui comprend SAP et les problèmes de ses clients, et qui soit capable de rassembler une bonne équipe autour de lui. C'est ce qui me paraît le plus important à l'avenir. » Pour Henning Kagermann, il n'est pas nécessaire d'être ingénieur pour conduire une entreprise d'édition de logiciels. Le concept de co-PDG, très particulier, fonctionnerait sans doute moins bien aux Etats-Unis où l'on trouve de fortes personnalités comme Larry Ellison ou Steve Ballmer. Henning Kagermann reconnaît que les dirigeants américains avec qui il s'entretient sont plutôt surpris de cette direction partagée. Mais « pour SAP, ce n'est pas exceptionnel. Moi-même, j'ai co-dirigé l'entreprise entre 1998 et 2003 avec Hasso Plattner [NDLR, l'un des cinq co-fondateurs de la société en 1972] » Il s'agit avant tout de bien préparer la transition, d'assurer une succession sans rupture. Cette année de co-direction, c'est un « bon signal » que SAP envoie pour montrer qu'il n'y aura pas de changement radical. « Les décisions prises aujourd'hui sont soutenues par le prochain PDG, c'est nettement mieux, » juge Henning Kagermann. Il n'y a personne qui ne puisse être remplacé en interne[[page]] Interrogé sur le départ, l'an dernier, du directeur technique Shai Agassi, forte personnalité qui aurait dû le remplacer, le dirigeant dit respecter les décisions de chacun. Il fait aussi remarquer que SAP compte dans ses rangs de très nombreux talents et souligne qu'il n'y a personne qui ne puisse être remplacé en interne. « Si une entreprise ne peux pas faire cela, c'est qu'elle a un problème. Il doit en être ainsi. » Et s'il devait dresser un bilan de son action, le dirigeant retient que, depuis 2002, alors que le contexte économique était particulièrement difficile, l'éditeur allemand est revenu à une croissance à deux chiffres et a gagné des parts de marché. Le rachat de Business Objects [NDLR, éditeur français, spécialiste des applications décisionnelles] a constitué la plus importante acquisition de l'histoire de la société. Enfin, Henning Kagerman, rappelle l'ampleur du projet SAP Business ByDesign [NDLR : solution de gestion hébergée pour les PME qui, tant par la nature de son modèle économique qu'au niveau technologique, constitue un défi de taille pour SAP]. Le dirigeant estime qu'il partira en laissant l'entreprise dans une bonne position pour croître sur de nouveaux secteurs et dotée d'un bon portefeuille de produits pour les cinq à dix ans à venir. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >