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(17/03/2008 16:33:33)

Coda réunit ses utilisateurs sur fond de rachat par Unit 4 Agresso

L'éditeur britannique Coda, éditeur de solutions comptables et financières qui compte 2 600 clients dans le monde, réunit aujourd'hui, lundi 17 mars, et demain, les membres de son club utilisateurs français à Charenton. Ce rendez-vous annuel, qui rassemble généralement entre 100 et 150 clients, s'inscrit cette année dans un contexte particulier, puisque le groupe néerlandais Unit 4 Agresso, éditeur de progiciels intégrés, a fait en février une offre de rachat à Coda, après l'avoir une première fois approché en décembre dernier.

Unit4 Agresso, dont l'offre s'adresse en particulier aux fournisseurs de services, a précisé qu'il comptait poursuivre le développement et le support de tous les produits de Coda. Jeremy Roche, PDG de Coda, a fait le déplacement à Charenton pour répondre aux questions de ses utilisateurs français. Outre ses fonctions à la tête du fournisseur britannique, il préside également l'European Software Association qui regroupe des éditeurs de logiciels avec l'objectif de représenter ce secteur d'activité auprès des instances européennes (parmi ces éditeurs figurent notamment les Français Cegid, Business Objects, Dassault Systèmes, aux côtés de Microsoft, SAP et Oracle).

Rappelons que Coda, qui s'adresse principalement aux grandes et moyennes entreprises, a également annoncé, en septembre dernier, qu'il développait une solution de comptabilité, baptisée Coda 2go, en s'appuyant sur la plateforme Force.com de l'éditeur américain Salesforce. Une offre qui sera donc destinée à être exploitée en ligne et qui visera cette fois des structures de toute taille (de 10 à quelques milliers de salariés). (...)

(14/03/2008 11:19:00)

Documation 2008 : maîtriser la chaîne documentaire de l'entreprise

Pour la 14e édition de Documation, le salon des solutions de gestion de documents et de contenus (12-13 mars, Cnit), les visiteurs ont arpenté les allées avec des projets en poche et, pour nombre d'entre eux, une vision assez précise des outils qu'ils sont venus chercher et évaluer sur les stands d'une centaine d'exposants. « Les clients ont une meilleure connaissance de leurs besoins, confirme Sylvy Bikok, responsable marketing de Pertimm, éditeur français spécialisé dans les moteurs de recherche. Sur les applications de recherche dans les documents d'entreprise, elle constate que les utilisateurs s'attendent à avoir accès aussi facilement aux données qu'avec un outil comme Google. « Les demandes formulées par les visiteurs sont donc plus précises sur l'expression des besoins. » De nombreux acteurs des moteurs de recherche ont présenté leurs offres sur le salon. Outre Pertimm, figuraient Sinequa, Exalead, Antidot, Polyspot ou encore Lingway, qui présentait une solution axée sur le traitement des CV. Lancement de Microsoft Search Server Sur ce marché de la recherche en entreprise, Microsoft a également choisi d'officialiser sur le salon le lancement de sa solution Microsoft Search Server 2008 qui, rappelons-le, comprend une déclinaison gratuite, Express, limitée à un seul serveur, alors que la version payante permet d'indexer un nombre illimité de documents. [[page]] Sur Documation 2008, conférences et ateliers (proposés par les fournisseurs) ont connu une belle fréquentation, notamment celle sur les projets de collaboration, animée jeudi matin par l'ADBS (association des professionnels de la documentation), ou encore celle conduite par Doc@Post sur la gestion du document. Doc@Post, qui disposait d'un des plus grands stands du salon, regroupe depuis octobre dernier neuf filiales de La Poste ayant développé une expertise dans l'un des domaines de la gestion documentaire : lecture automatique de documents (LAD), archivage électronique, gestion de certificats, échange de données informatisés... Un marché de 1,94 milliard d'euros en 2008 Jean-François Rodriguez, directeur général de ISC (Ingénierie Solutions Courrier), l'une des offres de Doc@Post, a redit en préambule que seuls 19% d'échanges étaient déjà dématérialisés dans l'entreprise, ce qui laisse une belle marge de progression dans ce domaine. Zélateur de la dématérialisation des documents, il a également pointé le coût de traitement classique d'une facture (17 euros) et rappelé que le législateur n'était pas le dernier à inciter à l'adoption des nouvelles technologies sur les processus de gestion de documents, « notamment en recourant à des formes simples de manipulation documentaire comme les fichiers PDF ». Rien d'étonnant à ce que La Poste valorise son savoir-faire auprès de clients externes : le marché de la gestion de l'information dans l'entreprise (EIM) connaît une croissance de 14% (à comparer aux 6 à 7% de croissance du marché global) et devrait atteindre 1,94 milliards d'euros en 2008, selon une récente étude du cabinet Markess. [[page]] A noter, à propos du format PDF, la présence sur le salon du « PDF/A Competence Center », un stand de belle taille où les partisans de PDF/A se relayaient pour promouvoir ce format défini pour l'archivage, désormais norme ISO. Nouveaux venus sur Documation : Xythos et Anakeen Sur Documation 2008, comme à l'accoutumée, aux côtés des acteurs français de la gestion de documents comme Ever ou Docubase Systems, se tenaient les ténors mondiaux de la gestion des contenus d'entreprise (ECM). Les IBM/Filenet, EMC/Documentum et Open Text présentaient les dernières évolutions de leurs plateformes globales qui couvrent un large spectre fonctionnel et dont la mise en place s'inscrit généralement dans des projets de grande envergure. A leur côté figurait également Oracle, avec l'offre qu'il vient de recomposer à la suite du rachat de Stellent. A noter cette année, la présence d'un nouvel acteur, le Californien Xythos, distribué en France par Arsys. Cet éditeur, créé en 2000, développe des applications exploitées en OEM par des fournisseurs tels qu'Oracle, SAP ou SAS. Depuis trois ans, il a ajouté une interface utilisateur à son offre qu'il commercialise désormais directement (sous Linux, Windows, Unix ou sur Mac) et fournit en standard avec une base SAP DB. Dans le camp français, un nouveau venu sur Documation espère également faire la différence. Anakeen a été fondé en 1998 par l'équipe du pôle GED de Steria. Son offre de gestion documentaire, Freedom, est proposée en Open Source. Développée en PHP et installée principalement en PME, pour l'instant, l'offre se personnalise par paramétrage en limitant les développements spécifiques, ce qui permet une mise en place rapide. (...)

(13/03/2008 14:36:55)

Convergence 2008 : Microsoft affirme l'importance de son offre progicielle

« On me demande souvent si Microsoft est sérieux dans le domaine des applications d'entreprise. C'est critique pour nous. » C'est avec ces mots que Steve Ballmer a lancé l'édition 2008 de sa conférence Convergence à Orlando (Floride), consacrée à sa gamme de progiciels de gestion d'entreprise, Dynamics. Dans son discours d'introduction, le patron de Microsoft a encore expliqué : « La décision la plus importante que j'ai prise - à moins que l'affaire avec Yahoo se fasse - a été d'impliquer [Microsoft] dans le domaine des applications d'entreprise. » Aujourd'hui, a-t-il affirmé, Microsoft est, en termes de chiffre d'affaires, « le premier fournisseur de logiciels d'entreprise ». Les trimestriels de janvier avaient d'ailleurs fait apparaître une nette progression des ventes de Dynamics. Le coeur du discours portait tout de même sur l'évolution de l'offre Dynamics et sur les services créés autour (en vertu de la stratégie Software + Services). Les participants ont ainsi eu droit en primeur à quelques informations sur Dynamics AX 2009, dont le lancement est prévu avant cet été. Parmi les nouveautés, on note l'intégration avec les solutions de communications unifiées de Microsoft, un module de gestion de la conformité, un outil de création de workflow afin que les utilisateurs puissent eux-mêmes définir leurs processus, ou encore l'extension des possibilités d'adaptation du produit à différentes langues et zones horaires. Microsoft dit également avoir tenu compte d'avis externes, au travers d'un portail, Microsoft Connect, ainsi que via un partenariat avec le département IT de l'Université de Copenhague (l'offre Dynamics étant développée à l'origine, et encore aujourd'hui en partie, au Danemark). Ce travail d'écoute se retrouve dans une trentaine de rôles, définis en fonction des types d'utilisateurs du progiciel. Il y a par exemple deux rôles pour les dirigeants, dont l'un concerne la gouvernance : en se connectant, ce dirigeant de société aura un accès direct à des indicateurs de performance et des informations liées à la conformité. [[page]] Steve Ballmer a aussi levé un coin du voile sur l'évolution de l'offre de gestion de la relation client hébergée, Dynamics CRM Live, prévue pour le troisième trimestre. Cinq cents clients seraient déjà en train de la tester, d'après le CEO de Microsoft. D'autres services en ligne devraient être disponibles pour accompagner le lancement de Dynamics AX 2009, dont des modules de paiement. Dans tous les cas, Steve Ballmer a promis que Microsoft continuerait de faire évoluer tous les logiciels de la gamme Dynamics, constituée par le rachat de plusieurs solutions. Face à Oracle, décrit comme essentiellement un concurrent, et SAP, partenaire et compétiteur, Steve Ballmer a expliqué que Microsoft pouvait très bien cohabiter dans les entreprises. Il y a, dit-il, « des divisions ou des processus pour lesquels il est franchement plus simple de prendre Dynamics AX ou un de nos quatre autres PGI et de l'adapter pour un processus spécifique ». Microsoft lui-même utilise SAP en interne pour ses principales opérations (paie, ressources humaines, comptabilité, etc.), mais a déployé Dynamics AX pour gérer la fabrication de ses consoles de jeu Xbox. Aux côtés de Microsoft pour délivrer ce message se tenait Ron Rittenmeyer, CEO d'EDS, qui a assuré que la société de services « gère plus de logiciels Microsoft que n'importe quelle entreprise dans le monde », quelque 3 millions de postes clients et 100 000 serveurs. EDS et Microsoft ont annoncé à cette occasion un élargissement de leur partenariat, EDS s'engageant à pousser l'offre de gestion de la relation client de Microsoft en Amérique du Nord et en Europe de l'Ouest. (...)

(12/03/2008 17:32:25)

Markess estime le marché de la gestion d'informations à près de 2 MdE

Pour Markess, le marché des logiciels et services autour des solutions d'EIM se montera à 1,940 milliard d'euros en 2008. Il faut dire que la définition du cabinet d'étude est large et laisse entrevoir plus d'opportunités pour les intégrateurs que pour les éditeurs. La gestion d'information d'entreprise, ou EIM (enterprise information management), regrouperait : moteurs de recherche en entreprise, gestion de contenu, décisionnel, analyse et traitement de l'information, KM (knowledge management, gestion de la connaissance), veille. D'après Markess, qui se base sur 200 interviews menées au mois de février, le marché de l'EIM devrait passer à 2,420 MdE en 2010. C'est 4% du marché total des logiciels et services en France, mais avec une croissance de 14% alors que le marché global croît de 6 à 7%. Ce marché est composé pour 60% de ventes de logiciels et pour le reste de prestations de conseils, d'hébergement, d'intégration. L'étude montre nettement la nécessité qu'ont les entreprises de recourir à des prestataires extérieurs sur ce marché. « Trois entreprises sur quatre recourent ou vont recourir à des prestataires extérieurs », estime Hélène Mouiche, auteur de l'étude. Et ce, pour une raison de fond : c'est un marché difficile à cerner, la gestion de l'information est à la fois structurée et non structurée, localisée en interne comme en externe et très mal partagée. [[page]]Pour les entreprises clientes, le besoin est donc difficile à formaliser, observe Markess. Seul le secteur banque-finance semble sensible à ce type de solutions. Le recours à la sous-traitance concerne d'abord le conseil pour des audits fonctionnels ou techniques, un travail sur les informations et l'accompagnement au changement. C'est 69% des demandes enregistrées dans l'étude. Viennent ensuite plusieurs prestations qui recueillent un peu plus d'une quarantaine de pour cent dans l'étude : le développement d'applicatifs spécifiques pour se rapprocher des problématiques métier, l'intégration (car il y a toujours un existant), la formation aux outils. Un tiers des entreprises interrogées souhaitent enfin passer par de l'hébergement, dont les ASP / Saas, pour des raisons qui tiennent aux volumes traités et au poids des informations. Dans deux tiers des cas, ces prestataires externes seront au moins deux, dans 60% des cas l'éditeur est accompagné d'u autre prestataire, le plus souvent un intégrateur, certains secteurs comme l'industrie, les médias, l'administration sont plus sensibles. Le salon Documation, sur la gestion de l'information et des documents, se tient jusqu'à demain soir au Cnit de Paris-La Défense. (...)

(10/03/2008 17:38:05)

Forrester et le CXP pointent le coût de support révisé de SAP

SAP vient de modifier les modalités de maintenance de ses applications de gestion pour ses nouveaux clients, avec le programme Enterprise Support. Certains analystes, parmi lesquels figurent Forrester et le CXP, jugent que les utilisateurs risquent de surpayer le service fourni. A partir du deuxième trimestre de cette année, les nouveaux ralliés aux progiciels de SAP ne pourront en effet plus bénéficier du support de base (Basic support), facturé annuellement 17% du prix de la licence payée. A la place, ils se verront proposer un support 7j/7 et 24h/24 certes plus étendu -comportant notamment un engagement de service (SLA) sur les temps de réponse, mais aussi plus coûteux, correspondant à un taux annuel de 22% (un prix équivalent à l'actuel support Premium de SAP). En revanche, il n'est pour l'instant pas prévu que les conditions changent pour les clients ayant déjà contracté leur maintenance. Les analystes font évidemment remarquer qu'à 22%, le coût de support des solutions SAP se retrouve au niveau de celui d'Oracle, l'offre de l'éditeur allemand perdant dès lors cet avantage compétitif sur son rival américain. Sur son blog, Vincent Lieffroy, analyste au CXP, précise qu'il juge « insuffisante » la proposition de valeur de la maintenance de la plupart des éditeurs, parmi lesquels Oracle et SAP. S'il considère tout à fait « justifié de payer pour un service de support », il rappelle que le coût de la maintenance est aussi censé inclure des évolutions fonctionnelles et technologiques. A cet égard, il juge que les nouveautés apportées dans le cadre de la maintenance par les éditeurs ne justifient généralement pas un tarif aussi élevé. Quant à Ray Wang, analyste chez Forrester, il met en garde les actuels bénéficiaires d'un contrat de support Basic à 17%. Selon lui, l'éditeur allemand pourrait bien chercher à harmoniser ses taux de maintenance à 22% sur l'ensemble de sa base. Bill Wohl, vice-président de SAP, rappelle que rien de tel n'est actuellement prévu. Lui ne présente pas ce nouveau programme de support comme une augmentation de tarif mais comme une adaptation de l'offre à la demande des clients. Selon une récente enquête de Forrester, un peu plus de la moitié des 215 professionnels interrogés estiment que 16% constituerait le plus juste taux de maintenance annuel pour les applications, alors que 1/5e des sondés situent plutôt ce seuil entre 10 et 12%. (...)

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