Flux RSS
Externalisation

164 documents trouvés, affichage des résultats 1 à 10.
Les 10 documents suivants > |
(02/04/2012 10:46:18)
OBS et JTI renouvellent leur partenariat télécoms
L'opérateur Orange Business Services a annoncé hier le renouvellement d'un contrat d'externalisation d'envergure avec Japan Tobacco International (JTI), pour une durée de cinq ans et un montant supérieur à 100 millions de dollars. Cet accord prévoit qu'Orange fournira à JTI l'essentiel de ses services et de son infrastructure de télécommunication dans plus de 50 pays. A l'heure actuelle, relève Orange, JTI s'appuie déjà, depuis son siège de Genève, sur les solutions d'Orange dans différents domaines, comme les services managés LAN et WAN, le trafic voix et données, la sécurité, ou encore les centres d'appel et téléphonie IP.
Le premier partenariat entre Orange et JTI remonte à 1995, et un premier contrat d'externalisation pour différents services de télécommunication avait été signé en 2004. Orange avait par la suite remporté un nouvel appel d'offre WAN en 2009. Ces dernières négociations de renouvellement placent Orange dans une position très favorable pour ce nouveau contrat d'évolution vers un environnement mono-fournisseur. Diego De Coen, CIO de JTI, est d'ailleurs revenu sur la longévité de ce partenariat : «De telles relations à long terme sont aujourd'hui assez rares et la reconduction du contrat n'était pas acquise d'avance. Orange Business Services a parfaitement joué le jeu ».
ICTJournal.ch
Terreal confie l'infogérance de son parc informatique à SCC
La société Terreal, qui fabrique des matériaux (essentiellement en terre cuite) d'enveloppe du bâtiment (toiture, façade...), dispose de 16 sites en France représentant 1200 utilisateurs de postes de travail (dont 20 VIP), 110 serveurs, 20 routeurs et 140 switches.
Dans le cadre d'une démarche d'amélioration continue de la qualité de service rendue aux utilisateurs et d'optimisation des coûts, l'entreprise a décidé d'externaliser l'administration de ce parc matériel ainsi que le support aux utilisateurs. Ce support inclut l'accueil des demandes et incidents, la résolution de niveau 1 des incidents applicatifs et bureautiques, la gestion de l'escalade vers les niveaux de support 2 et 3, la supervision et l'administration du parc matériel... La prestation devait aussi inclure l'analyse et le reporting de la qualité de service dans le cadre d'une démarche d'amélioration continue.
Après appel d'offres, le contrat a été confié à SCC à compter de janvier 2012. La qualité reconnue de l'offre d'infogérance, sa complétude et l'acceptation de la démarche participative d'amélioration continue ont été des critères majeurs de choix.
La SSII est aussi intervenue en appuis sur de la négociation avec Microsoft sur les tarifs de licences et, via sa filiale Recyclea, sur le recyclage des déchets informatiques. Enfin, la communication de la DSI autour du lancement du nouveau service de support aux utilisateurs a été gérée en partenariat avec SCC à partir de novembre 2011 : informations via e-mail, vidéos... Le coût de la prestation n'a pas été communiqué. (...)
Une filiale informatique commune entre CMA CGM et IBM
CMA CGM est le troisième armateur mondial et le premier français pour le transport maritime par conteneurs avec ses 18000 collaborateurs présents dans 650 sites et 150 pays. Avec ses 390 navires, il dessert 400 ports et transporte 9 millions de conteneurs par an (en équivalents 20 pieds).
Le groupe vient de décider de créer une filiale nommée CMA Systems pour assurer l'ensemble des prestations informatiques au sein du groupe. Cette filiale est une co-entreprise montée avec IBM Global Services sur le modèle déjà employé par BNP Paribas pour BP2I. CMA Systems est directement rattaché à la présidence du groupe et est placée sous l'autorité de Jacques R. Saadé, PDG de CMA CGM.
Cette co-entreprise est destinée à remplacer au maximum les autres sous-traitants et prestataires opérant au sein du groupe en matière de services IT. Le but est de réduire les coûts dès l'année 2012 tout en développant de nouveaux services, notamment dans le cloud et l'analytique. CMA Systems regroupe la DSIO interne et une précédente co-entreprise montée avec IBM il y a cinq ans, CMA CGM Systems, qui avait un périmètre d'intervention moindre. Le montant du contrat n'a pas été dévoilé. (...)
Closer IT, le spécialiste marocain du nearshore créé une filiale en France
Basée à Casablanca, créée au mois de juillet 2011, la société Closer IT ouvre une filiale à Paris pour démarcher des clients. Au Maroc, elle va assurer des prestations d'assistance technique. Ce centre de développement sera spécialisé sur quatre technologies : java, .Net, SharePoint et les technologies de test. Closer IT promet des prestations 40% moins cher et aligne une équipe de jeunes ingénieurs, soit issus des écoles marocaines, soit venus de France avec une expérience de l'assistance technique déjà éprouvée.
La société compte deux partenaires opérationnels : Oceane Consulting et Integritis. Elle a été créée par deux associés, un ancien de Cap Gemini, Christophe Maleuvre, un autre de Logica, Khalid Solh.
(...)
Canal+ confie l'infogérance de son mainframe à Volvo IT
Présent sur les cinq continents, Canal+ est un groupe qui est éditeur de contenus au travers de sa chaîne de télévision historique, des chaînes du bouquet, des offres non-linéaires (VOD...), etc. Il a également des activités de distribution audiovisuelle, y compris de films de cinéma avec Studio Canal. Son activité de distribution grand public (abonnements aux chaînes) est actuellement gérée par un mainframe. Canal+ désirait accroître sa qualité de service et baisser ses coûts. A cette fin, l'entreprise lance un appel d'offres afin d'externaliser l'hébergement, l'exploitation et la maintenance de son mainframe.
En décembre 2010, Canal+ a choisi Volvo IT. Cette société, filiale des automobiles Volvo, gère avant tout l'informatique de sa maison mère et ses autres filiales mais vise également à mutualiser ses moyens, comme son parc mainframe, avec d'autres entreprises non-concurrentes. La culture de service en milieu industriel a été un critère essentiel du choix de ce prestataire. La bascule vers l'infogérance est effective en juin 2011 et est éprouvée dès l'automne suivant, période traditionnelle de forts volumes d'abonnements. Canal+ a été satisfait des niveaux de service atteints. Le contrat d'infogérance a été conclu pour trois ans minimum pour un coût non communiqué. (...)
Infogérance, les DSI tentent de renégocier les contrats
Ce marché est l'objet de facteurs contradictoires, et même, de plus en plus contradictoires. Les DSI vont par exemple infogérer leurs infrastructures qui constituent un gouffre financier. Inversement, ces DSI s'échinent à renégocier leurs contrats d'infogérance, dont elles contestent le manque de flexibilité. Les contrats d'infogérance, bâtis sur plusieurs années, correspondent mal aux cycles économiques et aux révisions budgétaires que doivent consentir les DSI.
Contradiction entre DSI et infogéreurs
Les spécialistes de l'infogérance, en revanche, assurent leurs assises et leur traversée de la crise par ces contrats d'infogérance qui leur assurent des revenus réguliers sur plusieurs années. Une contradiction s'insinue entre DSI et infogéreurs, elle ne peut que perdurer.
Quant au sujet d'actualité, pour ne pas dire à la mode, du cloud computing, il pèse encore peu sur ce marché. « Ce n'est pas tout à fait le même périmètre et nous n'avons pas connaissance de contrat d'infogérance transformé en contrat cloud » note Katharine Dalka, consultante chez PAC. Le risque de cannibalisation semble écarté.
La SNCF annonce la fin de son partenariat avec IBM
Le projet Ulysse, la co-entreprise Noviaserv créée en janvier 2010 entre IBM et la SNCF, vient de passer à la trappe. Dans un communiqué de presse Sud-Rail annonce que le partenariat est rompu et que la SNCF reprendra 100% des parts dans la filiale Noviaserv. Le projet Ulysse apportait la gestion de la sous-traitance des prestations informatiques de la SNCF à IBM pour un montant de 1,6 milliard d'euros sur 6 ans. Mais la Fédération Syndicale des Cheminots (regroupant CGT, UNSA, Sud-Rail et la CFDT) s'était toujours inquiétée de la rentabilité du projet qui passait par le recours à l'offshore dans des pays à bas coût et impactait au final l'emploi chez les sous-traitants SSII de la SNCF. Depuis les appels à la grève s'étaient multipliés.
Selon Sud-Rail, c'est dans un email aux cheminots ce matin que la direction de la SNCF - le DSI en fait Gilles Albertus - a annoncé que la SNCF et IBM mettaient un terme à leur partenariat concernant la sous-traitance des prestations informatiques via leur filiale commune, Noviaserv. Les discussions vont toutefois se poursuivent sur les modalités de rupture du contrat et la reprise en main des activités par la SNCF. La compagnie ferroviaire nationale entend cependant poursuivre la mise en place de centres de services. Et toujours selon Sud-Rail, la direction de la SNCF appelle les cheminots informaticiens à rejoindre les filiales créées dans le cadre de ce partenariat.
Suite à cette annonce, la fédération Sud-Rail demande plusieurs choses :
« La réunion dans les meilleurs délais d'une table ronde avec les organisations syndicales cheminotes pour échanger sur les suites à donner.
- La réinternalisation des filiales Stelsia et Noviaserv
- L'arrêt des délocalisations alors que récemment la décision a été prise de délocaliser le pilotage de certaines installations en Europe de l'Est.
- Une enquête parlementaire sur d'éventuelles malversations et un fiasco organisationnel et financier qui va coûter plusieurs dizaines de millions d'euros d'argent public à la SNCF.»
Interpellé sur le sujet en juillet dernier, Guillaume Pépy, PDG de la SNCF s'était voulu consensuel : « L'enjeu est de faire des économies sur notre sous-traitance informatique, sachant que les cheminots qui sont à l'informatique, qui font le travail pour le compte de la SNCF ne sont pas en cause. » Le dirigeant avançait en terrain miné sur le plan social, en rappelant la volonté de l'entreprise « de garder à la SNCF des informaticiens qui sont des cheminots, et qui ont le statut de cheminots ». Le message n'était jamais passé dans les rangs des cheminots.
Nous reviendrons sur le sujet dès que nous aurons récolté les réactions des deux protagonistes.
(...)(02/12/2011 10:40:04)30% des banques suisses refusent encore l'outsourcing
Seul 30% des banques suisses se refusent à outsourcer des parties de leur IT, selon une enquête menée par Active Sourcing auprès de 100 établissements à l'occasion du Finance Forum 2011. Leurs dépenses d'outsourcing les plus importantes concernent la maintenance applicative, l'opération des applications et du centre de données, et les services d'impression.
Réduction des risques, mais retard technologiqueDeux tiers des banques indiquent que la réduction des risques - en particulier l'optimisation de la business continuity - est la première raison qui les incite à sous-traiter. Suivent la focalisation sur leur coeur de métier (58%), la capacité d'innovation (42%), et une solution à la pénurie de spécialistes (33%).
Mais l'oursourcing a aussi ses travers. La moitié des banques interrogées par Active Sourcing reprochent par exemple aux contrats de longue durée d'être un obstacle à l'introduction de nouvelles technologies.
Selon Active Sourcing, les banques suisses peinent d'autre part à obtenir les réductions de coût espérées. Pour preuve, 42% des établissements bancaires signalent ne pas avoir réduit la facture au moment de la signature d'un nouveau contrat.
ICTJournal.ch (...)(19/10/2011 09:58:20)Vision IT étend sa présence en France pour développer le nearshore
Et de quatre agences en France pour Vision IT Group. Déjà présent à Paris, son siège dans l'Hexagone, et à Toulouse, le groupe de services Informatique belge a ouvert en mars dernier deux nouvelles structures en région, l'une à Lille, l'autre à Lyon. Dans la capitale des Gaules, l'effectif de la société se compose d'une dizaine de personnes. Outre la couverture de Rhône-Alpes, l'agence lyonnaise doit également assurer celle de la Suisse Romande et devrait voir son activité étendue au reste du sud de la France. L'effectif Lillois de 14 personnes devra quant à lui prendre en charge le Nord-Pas-de-Calais ainsi que le reste des territoires situés au dessus de la Loire en association avec le siège parisien. Les deux agences mettront en oeuvre le catalogue de services du groupe, à savoir, le conseil métier et la qualification logicielle, le développement d'application métier et la gestion des centres informatiques.
Une année 2012 remplie d'incertitudes
« Ces nouvelles implantations vont nous permettre de fidéliser nos clients existants [...] mais aussi de cibler de nouvelles industrie telles que celles de la pharmacie et de la chimie à Lyon. En outre, la proximité géographique avec les entreprises est un atout dans nos métiers », explique Philippe Bellet, le directeur général de Vision IT Group en France. Ce dernier ne cache pas que la société de services doit également trouver d'autres sources de croissance. Selon lui, les perspectives du marché pour 2012 seraient en effet moins bonnes que pour cette année. « Les clients craignent les incertitudes qui planent sur l'an prochain. De fait, ils remettent en cause certains projets pour privilégier ceux qui vont leur apporter plus de compétitivité », témoigne Philippe Bellet.
Dans cette situation, autant choyer les entreprises et répondre aux mieux à leurs besoins. C'est d'ailleurs en suivant cette logique que Vision IT Group veut aussi faire de son agence de Lille un centre de développement nearshore en France. Jusqu'ici, le groupe disposait d'une plate-forme équivalente en Espagne. Mais EDF et la Société Générale, deux importants clients du prestataire, ne souhaitaient pas que leurs applications critiques soient développées à l'étranger. « Nous parviendront à faire du low-cost à Lille car le taux journaliser moyen d'un développeur y est de 40% moins important qu'à Paris », explique Philippe Bellet. Il reste en revanche supérieur de 39% avec l'Espagne. D'où la volonté de Vision IT Group de mutualiser l'ensemble de ses projets nearshore à Lille pour réaliser des économies en optimisant le taux d'occupation de ses équipes de développeurs locales.
Les 10 documents suivants > |