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Externalisation

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(10/07/2007 10:02:47)

Les syndicats pétitionnent contre les projets de relocalisation d'Atos Origin

L'inquiétude concernant l'avenir de 988 salariés situés en Ile-de-France ne fait que se confirmer chez Atos Origin. Trois syndicats (la CGT, FO et la CFDT) viennent de lancer une pétition contre les baisses de salaires annoncées par la SSII. D'après eux, sous couvert d'une proposition de « départs par volontariat » et de « redéploiement stratégique », cette restructuration présente trois risques : la dévalorisation des rémunérations en région parisienne, l'éviction des « gros salaires » et, au final, la délocalisation progressive des activités de la société. La pétition rédigée par les trois syndicats exige le retrait du plan, ainsi que la création d'un véritable programme de formation. Les signatures ont commencé à affluer sur le Web. L'annonce du plan de restructuration d'Atos Origin date du mois d'avril dernier. La société emploie 7200 personnes dans le monde, dont 3800 en France. (...)

(02/07/2007 16:56:59)

Les centres de services partagés génèrent des économies, confirme Deloitte

Le cabinet Deloitte Conseil vient de publier les résultats de sa quatrième étude internationale sur les Centres de services partagés (CSP). Menée auprès de 130 organisations (entreprises réalisant plus de 4 MdE de chiffre d'affaires), ce qui représente 332 CS, cette étude montre que, dans 58% des cas, la création de CSP a permis de générer des économies importantes en terme de personnel (ETP, Equivalents Temps Plein). Pour les sociétés cotées aux Etats-Unis, 53% des répondants considèrent en outre que les CSP ont financièrement allégé leurs efforts en matière de mise en conformité avec la loi Sarbanes-Oxley. « La tendance pour dégager des économies passe aujourd'hui par des processus d'amélioration continus, planifiés et pilotés par des groupes de travail structurés », conclut Jean-Michel Demaison, senior manager chez Deloitte Conseil. La compétence linguistique devient un critère de choix Autre enseignement de cette étude, il y a un changement dans les critères de choix de la localisation d'un CSP. Longtemps guidées par des problématiques d'économie, les entreprises tiennent désormais compte de la qualité de la main d'oeuvre (41% des répondants) ainsi que de sa disponibilité (38%). Le coût arrive seulement en cinquième position, avec 24% des répondants. La compétence linguistique, longtemps ignorée, est citée comme critique par 33% des sociétés interrogées. Contrairement aux idées reçues, beaucoup d'entreprises se déclarent réticentes à l'idée de créer des CSP globaux. Seuls 22% des répondants envisagent une concentration de leurs Centres. Autre surprise, les groupes ne souhaitent pas élargir leur couverture géographique. 34% des CSP de l'enquête se cantonnent à fournir des services à un seul pays. Sur un plan fonctionnel en revanche, ils sont prêts à intégrer de nouvelles activités, notamment dans des départements clés, comme le système informatique ou les ressources humaines. (...)

(28/06/2007 16:32:28)

Euriware inaugure un pôle sécurité

Avec la création de son « centre de gestion opérationnel », Euriware espère renforcer son offre globale de sécurité. Conforme au standard ISO 27001 (une norme certifiant que la société a mis en place des procédures de gestion de la sécurité), le nouveau groupe de travail rassemblera divers experts (analystes, pilotes, administrateurs...). L'offre du pôle constitué couvrira divers secteurs : conception technique et organisationnelle d'audits, élaboration de systèmes de management de la sécurité de l'information, ainsi que mise en place de plans de reprise d'activité (PRA). Avec la création de ce département, Euriware confirme la tendance du marché, qui veut que les SSII concentrent leurs activités et se spécialisent au sein de pôles dédiés (sécurité, stockage, ERP, décisionnel...). Expert dans le conseil, l'intégration, ainsi que l'infogérance sécurisée des systèmes d'information, Euriware a réalisé un chiffre d'affaires de 254 millions d'euros en 2006. La SSII emploie 2100 personnes en France, et constitue une filiale d'Areva à 100%. (...)

(26/06/2007 17:28:54)

Sword délaisse l'Inde pour se concentrer sur la France

La SSII lyonnaise Sword a décidé de réduire les effectifs et les activités de sa filiale indienne, créée il y a à peine quatre ans. Les raisons de ce retour en arrière sont simples : « un directeur technique nous coûte 300 euros par jour en France, contre 216 euros en Inde. Cet écart est insuffisant pour justifier la délocalisation de nos salariés, d'autant plus que les coûts de management entraînés par l'éloignement de nos équipes est rédhibitoire », explique Jacques Mottard, PDG de Sword. La SSII prévoie l'embauche de 150 ingénieurs au sein de son siège lyonnais, ainsi que la création d'un centre de recherche et de développement en Grande-Bretagne. La filiale indienne restera, pour sa part, dédiée à des tâches répétitives et à faible valeur ajoutée, comme le contrôle à distance pour les compagnies d'assurance. Les effectifs seront progressivement réduits dans les mois à venir. Ce revirement d'orientation est à l'opposé de la stratégie adoptée par la plupart des autres grandes SSII, comme Atos Origin ou Cap Gemini, qui délocalisent volontiers vers les pays à moindre coût. Cap Gemini a, par exemple, récemment doublé ses effectifs en Inde (13.000 salariés à ce jour), grâce au rachat de diverses SSII de taille moyenne. Sword, spécialisée dans la GED (gestion électronique des documents) a réalisé un chiffre d'affaires de 142 millions d'euros en 2006, et prévoie 190 millions pour cette année. (...)

(15/06/2007 16:04:54)

Une entreprise sur deux externalise ses applications et processus RH

La tendance à l'externalisation des fonctions d'entreprise, et plus particulièrement celles qui sont fortement répétitives et gourmandes en ressources, s'accélère. D'après une enquête menée par le société d'études Markess International auprès de 400 entreprises privées et publiques, la moitié d'entre elles déclare avoir déjà eu recours en 2006, ou envisage de recourir d'ici 2008, à une forme ou une autre d'externalisation de leurs applications et processus de ressources humaines (RH). Et ce de manière partielle ou totale, en recourant à des solutions RH en mode ASP, en externalisant une fonction RH complète dans le cadre de contrat de type BPO - Business Process Outsourcing - ou en s'orientant vers des services de traitement (infogérance d'application ou l'hébergement d'application RH). La réduction et la maîtrise des coûts restent les principales motivations poussant les entreprises à faire ce choix Parmi les deux autres apports majeurs cités figurent le recentrage sur le coeur de métier ou sur des tâches à valeur ajoutée (pour 42% des entreprises) et l'optimisation du « budget temps » (pour 16% des entreprises). Forte dynamique sur la paie, la formation et l'administration du personnel Tâche complexe, répétitive et à faible valeur ajoutée, le traitement de la paie est le premier domaine que les entreprises externalisent. Ainsi, 62% d'entre elles l'ont confié à un prestataire externe en 2006. Cette tendance va se poursuivre, pour concerner 68% des entreprises en 2008. Le deuxième domaine est celui de la formation et du développement des compétences (36% en 2008, contre 24% en 2006). Les évolutions légales et réglementaires, comme le DIF (droit individuel à la formation), constituant l'un des facteurs explicatifs de cette montée en charge. Enfin, l'administration du personnel, externalisée par 22% des entreprises interrogées en 2006, s'octroie la troisième position. Top 6 des applications et processus RH concernés par l'externalisation entre 2006 et 2008

Domaine applicatifTaux en 2006Taux en 2008
Paie 62%68%
Formation et développement 24%36%
Administration du personnel22%32%
Gestion du temps et des activités24%28%
Recrutement21%26%
Tableau de bord social et indicateurs15%19%
Source: Markess International (...)

(12/06/2007 16:51:31)

L'Inde contrainte d'externaliser selon Gartner

A l'heure où la tendance chez les grands acteurs IT est à l'externalisation vers les pays émergents - Inde en tête -, Gartner estime que les entreprises du sous-continent vont, à leur tour, devoir céder aux sirènes de l'offshore. Les DSI de Bangalore ou de Delhi vont, en effet, devoir considérer cette éventualité en raison de la pénurie de main d'oeuvre IT et de l'inadéquation de la qualité des services fournis par les prestataires locaux. De fait, selon Gartner, les industries IT indiennes vont devoir regarder au-delà de leurs propres frontières et envisager de recourir aux compétences présentes à Singapour, Hong-Kong et même aux Etats-Unis. Même si, dans ces pays, les prix des prestations sont incomparablement plus élevés que ceux constatés en Inde, leur qualité s'avère également supérieure, explique le cabinet d'études. Le principal problème auquel doivent faire face les DSI indiens touche au recrutement de main d'oeuvre qualifiée. Qu'elle émane de projets gouvernementaux (programme e-gouvernance par exemple) ou de spécialistes de l'externalisation (Tata, Wipro, Infosys, etc.), la demande en personnel IT augmente à un rythme effréné. « L'Inde enregistre un manque sévère de personnel à tous les niveaux de la chaîne IT », confirme Linda Cohen, vice-présidente du Gartner. Une carence encore accentuée par la croissance économique que connaît le pays : en 2006, le PIB a bondi de 9,2 % - un taux seulement battu par la Chine. Mieux : en voyant les budgets IT de ses entreprises locales progresser de 16%, contre 3% en moyenne dans le monde, l'Inde signe un record. Les principales victimes du manque de main d'oeuvre risquent d'être les entreprises les plus focalisées sur le marché intérieur. Les grands groupes comme Tata ou Wipro se concentrent sur les contrats avec des partenaires occidentaux - les plus générateurs de marge - et y affectent la majorité des ressources. Leur puissance les autorise à recruter sans trop de difficultés. C'est ce qu'expliquait Dominique Raviart au Mondeinformatique.fr au mois de mars : en dépit des 10 à 12% de turnover, « les gros acteurs déjà implantés ont la capacité de recruter. Le problème se pose essentiellement pour les groupes indiens de taille plus restreinte ou pour les étrangers récemment installés. » (...)

(07/06/2007 16:10:51)

Hausse de l'externalisation des services paie, comptabilité et RH

Dans un système où le coût représente l'argument majeur, confier des tâches à l'extérieur en vue d'économiser sur certains postes peut être un critère vital pour survivre. C'est le sens des réponses données par les dirigeants pour la quatrième édition de l'enquête de Grant Thornton (audit et conseil), réalisée avec Ipsos en avril dernier. Elle concerne les fonctions comptable et financière, paie et ressources humaines. 75 % des responsables interrogés indiquent que l'externalisation constitue une tendance de fond dans le mode d'organisation des entreprises, amenée à s'amplifier dans les années à venir. Déléguer la responsabilité de tout ou partie de ces fonctions à un professionnel spécialisé constitue pour la majorité des entreprises utilisatrices une solution durable et souple. L'étude montre des nuances selon la taille des entreprises : 85% des responsables de structures de 1 000 salariés ou plus sont convaincus de la nécessité d'externaliser, 78% dans celles de 250 à 999 salariés et 72% dans celles de moins de 250 salariés. Une progression de l'externalisation des fonctions RH L'étude montre aussi que l'externalisation de certaines fonctions comptables et financières est pratiquée par 16% des entreprises de 100 à 2 000 salariés, un taux qui demeure stable par rapport aux années précédentes. En revanche, l'externalisation des fonctions paie et ressources humaines est plus fréquente (27% des chefs d'entreprise indiquent avoir externalisé ces fonctions ou être en cours d'externalisation). Le chiffre est en nette progression, puisqu'il était de 22% en 2006, et 19% en 2005. L'intrusion de l'externalisation dans des secteurs aussi sensibles que la paie ou les ressources humaines montre une évolution des mentalités des dirigeants. Selon l'enquête Ipsos/ Grant Thornton, « 90% des dirigeants jugent favorablement les prestations externalisées, 27% s'estimant même très satisfaits. » L'externalisation de ces services n'est toutefois pas synonyme de délocalisation : les contraintes culturelles et réglementaires sont telles qu'elles obligent à une sous-traitance française, à 85% pour les fonctions « comptables et financières » et à 96% pour les fonctions « paie et ressources humaines ». Pourtant, il existe aussi des réfractaires. Les principaux arguments qu'ils avancent sont la perte de maîtrise de l'information et le coût de la prestation (respectivement 45% et 36%). Les autres motifs qui leur font refuser toute délégation extérieure : la volonté de gérer les aspects ressources humaines (31%), des craintes sur la confidentialité (29%), la baisse de la qualité de service (28%) et la contrainte de s'engager durablement avec un prestataire (19%). Même si la tendance est à la montée en puissance de l'externalisation, les spécialistes doivent s'interroger sur les gages réclamés par les chefs d'entreprise les plus suspicieux en faisant évoluer leur service : l'enquête révèle également que 7% des dirigeants ont choisi de réinternaliser leurs activités. (...)

(30/03/2007 17:54:40)

Red Hat dit conserver la clientèle de Yahoo! malgré Oracle Unbreakable Linux

C'est la parole de Matthew Szulik, PDG de Red Hat, contre celle de Larry Ellison, le patron d'Oracle. Non, affirme le premier, Yahoo! ne l'a pas quitté pour le second, qui propose depuis peu une offre alléchante de support aux utilisateurs de Linux Red Hat. C'est à l'occasion de la présentation de résultats guère encourageants (des bénéfices au quatrième trimestre de 20,5 M$ contre 27,3 M$ pour la même période l'année précédente) que Matthew Szulik a tenu à apporter ce démenti aux affirmations d'Oracle, qui citait il y a quelques jours des noms prestigieux de clients pour son offre de support Linux « incassable ». « J'ai parlé avec Yahoo! hier et ils ont rapidement dit qu'ils ont eu et continuent d'avoir une relation très réussie avec Red Hat », a insisté Matthew Szulik lors d'une conférence de presse téléphonique. Il a même laissé entendre que le groupe de médias Web pourrait augmenter son utilisation de Linux Red Hat. Yahoo! a de son côté publié un communiqué, indiquant qu'il utilise à la fois des produits Red Hat et Oracle dans son infrastructure. (...)

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