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Externalisation

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(24/02/2006 16:52:03)

SAP : "le développement en Inde devient coûteux"

Selon Henning Kagermann, le CEO de SAP, les coûts de développement en Inde commencent à devenir élevés du fait de l'augmentation des coûts de main d'oeuvre locaux, un phénomène qui pousse SAP a chercher de nouvelles sources de main d'oeuvre encore moins chères... C'est ce qu'à confié Kagermann dans une interview avec nos confrères du Financial Times. Les propos du patron de SAP ont été confirmés par Frank Hartman, un porte-parole de la firme. Selon Kagermann le turn-over rapide des personnels en Inde a un impact direct sur les coûts de développement, alors que ces coûts "sont un facteur clé pour l'industrie du logiciel"... SAP pourrait donc accroître à terme son développement en Chine ou en Europe de l'Est. En fait, SAP n'a pour l'instant pas investi massivement dans le développement en Chine du fait des carences du pays en terme de protection de la propriété intellectuelle. A ce jour, SAP emploie environ 1000 personnes en Chine essentiellement dans les domaines des ventes et du Marketing... Adapté d'un article en anglais de John Blau, notre correspondant d'IDG News Service à Düsseldorf (...)

(27/02/2006 12:27:21)

Le Syntec minimise les risques de l'Offshore pour la France

Selon Syntec Informatique, le syndicat patronal des SSII françaises, les risques que fait peser l'Offshore sur l'emploi du secteur en France sont faibles. Pour Jean-François Rambicur, le Président de la commission Économie et Marchés de la chambre professionnelle des SSII, l'Offshore a représenté moins de 2% du chiffre d'affaires des SSII en 2005 (NDLR : hors centres d'appels et BPO, deux des secteurs très concernés par l'Offshore). A ce jour moins de 5000 informaticiens étrangers travailleraient offshore pour des clients français, principalement dans des pays européens proches. Leur nombre devrait toutefois progresser dans les années à venir selon Syntec, qui estime que 4 à 6 % du marché sera réalisé avec l'Offshore d'ici 2009. Dans la pratique, cela veut tout de même dire que l'Offshore progressera 7 à 8 fois plus vites que le marché français des services informatiques au cours des 4 prochaines années. La chambre syndicale cite notamment trois grands facteurs à ce développement : l'accroissement de la concurrence des acteurs internationaux, notamment indiens, la recherche de réduction de coûts des grands comptes et la démographie, en particulier le Papy-boom. Cette croissance galopante ne semble pourtant pas inquiéter Syntec qui évalue à 15 % du marché la "limite théorique" de l'Offshore. Certaines tâches seraient en effet difficilement réalisables à distance, notamment pendant les phases de conception et d'analyse mais aussi pendant les phases de déploiement. Prudent le syndicat estime qu'il ne faut ni sous-estimer l'importance du phénomène Offshore ni le surévaluer. Dans la pratique, le développement de l'Offshore devrait avoir un impact sur l'emploi en France. Selon le Syntec, il n'y aura pas de réduction du nombre d'emplois dans le secteur (sans préciser si l'on se base sur l'emploi 2005 ou s'un l'emploi 2001) mais l'offshore pèsera sur la création d'emploi nouveau. une façon pudique de dire que le potentiel de création d'emploi des SSII en France devrait sérieusement être impacté par l'Offshore. Les métiers devraient aussi évoluer avec une plus forte concentration sur la valeur ajoutée et sur les activités d'études, de conception, d'architecture, de pilotage de projets. L'analyse du marché de l'offshore est aussi l'occasion pour Syntec de ressortir des tiroirs ses marottes habituelles, à savoir, par exemple, la demande d'une baisse des charges, l'accroissement de la Flexibilité des conditions d'emploi, la demande d'un plus grand soutien à la recherche et à l'innovation et l'adaptation de l'enseignement supérieur au besoins de l'industrie... tout un programme (...)

(26/01/2006 10:44:49)

Témoignage : Districhrono externalise la gestion de son informatique

Maintenir son parc de machines, mettre à jour un logiciel, sauvegarder des données... Depuis un an, Districhrono n'a plus à se préoccuper de toutes ces questions. En effet, cette entreprise travaillant dans le secteur du transport a choisi en 2004 d'externaliser la gestion de son système d'information : serveurs, postes de travail, applications, sauvegardes et sécurité ont été confiés à Global SP, prestataire spécialisé dans les services d'infogérance. Auparavant, le bon fonctionnement de l'informatique reposait sur un seul collaborateur, chargé de l'ensemble des tâches d'administration et de maintenance. Conscient du rôle stratégique de l'informatique pour la société, le directeur général, Richard Rivaud, a souhaité « trouver une solution plus pérenne. » Après avoir étudié les offres d'externalisation, l'entreprise retient la solution de Global SP. En quelques semaines, applications et serveurs sont transférés chez le prestataire pour être hébergés dans son centre de données. Des technologies de client léger reposant sur Microsoft TSE et Metaframe de Citrix permettent aux utilisateurs d'accéder aux applications distantes depuis un terminal sans disque dur, connecté à un réseau. Les salariés de Districhrono utilisent des terminaux Wyse, les commerciaux travaillant également avec des équipements nomades. Une trentaine de postes de travail ont ainsi été remplacés. En dehors de ces terminaux, seules quelques imprimantes subsistent dans les locaux de l'entreprise, ainsi qu'un routeur pour gérer les connexions entre Districhrono et le site du prestataire. La PME a profité de cette externalisation pour se doter d'un accès à Internet et d'une messagerie externe sous Microsoft Exchange : auparavant, ces options étaient évitées à cause des nombreux paramètres de sécurité à prendre en compte. Avec des outils de travail accessibles à distance, les collaborateurs ont pu introduire plus de souplesse dans la gestion de leur emploi du temps, certains d'entre eux optant même pour le télétravail. La directrice administrative et financière a gagné ainsi près de trois heures de transport par jour. Grâce à une formation financée par l'entreprise, l'ancien responsable de l'informatique s'est reconverti, devenant contrôleur de gestion de Districhrono. Enfin, l'entreprise bénéficie désormais de services informatiques équivalents à ceux fournis par une équipe de quinze personnes, pour un coût proche du salaire d'un informaticien à temps plein. L'entreprise en bref Activité : transport de marchandises par route et par rail. Effectif : 60 salariés. Chiffre d'affaires : 18 millions d'euros. (...)

(27/02/2006 17:40:48)

2005 : année record pour l'externalisation aux Etats-Unis

Le nombre de contrats d'externalisation signés par des entreprises américaines a atteint un record en 2005. En progression de 9 % par rapport à l'année 2004, ce sont 293 contrats d'externalisation qui ont vu le jour l'an passé d'après un rapport Technology Partners International. Si le nombre de contrats augmente, les dépenses liées à l'externalisation ne suivent cependant pas une progression comparable et affichent une tendance à la baisse. Le nombre croissant d'externalisations à destination de l'Inde ou d'autres pays où le coût du travail est peu dispendieux explique cette tendance. L'Inde a concentré 6 % de l'ensemble des contrats d'externalisation américains en 2005, pour une valeur supérieure à 50 M$, contre 2 % en 2004. L'ensemble des contrats américains d'externalisation n'est toutefois pas dirigé vers l'étranger. La grande majorité reste en effet à l'intérieur du territoire : selon le ministère du travail, ces services ont généré 32 000 embauches en 2005, soit une progression de 2,7 % en un an. (...)

(27/02/2006 17:46:48)

Oracle porte à 10 000 le nombre de ses employés en Inde

Oracle va porter à 10 000 le nombre de ses employés en Inde au cours des huit prochains mois, contre 8 600 actuellement. Les recrues grossiront les rangs des services ventes et marketing, développement, conseil, support et services, comme l'a précisé le président du groupe, Charles Phillips. L'Inde abrite le principal centre de R&D d'Oracle hors des Etats-Unis. Le groupe californien a effectué sa première implantation dans le Sous-continent il y a 19 ans et y a dépensé depuis près de 2 Md$ dans des centres de développement et en investissements dans des sociétés locales. L'Inde est l'un des deux principaux pôles de croissance pour Oracle dans la région Asie-Pacifique, explique Derek Williams, vice-président du groupe dans cette zone. La prochaine grande opportunité de l'éditeur en Inde consistera à cibler davantage les PME situées hors des grands centres urbains, des entreprises disposant, selon Derek Williams, d'un fort pouvoir d'achat. Oracle compte 6 000 clients indiens pour ses bases de données et 400 pour ses autres applications. (...)

(23/12/2005 16:38:11)

L'indien Wipro poursuit ses emplettes occidentales

Le troisième principal spécialiste indien de l'externalisation vient de signer l'acquisition, pour 28 M$, de l'américain mPower Software Services. Quelques jours seulement après le rachat de NewLogic, il s'empare également de MPACT Technology Services, fruit d'une coentreprise avec MasterCard, confirmant l'excellente santé de l'industrie IT indienne. Mpower et MPACT développent des applications et ont en charge la maintenance de MasterCard. Le groupe de paiement est le principal client de Wipro. L'Indien prévoit maintenant de vendre d'autres service à ce dernier, comme l'externalisation du processus métier. (...)

(13/12/2005 17:50:44)

Externalisation : +25 % par an en Inde jusqu'en 2010

L'industrie IT indienne et l'externalisation du processus métier à destination du sous-continent devraient générer des revenus en augmentation de 25 % par an, atteignant 60 Md$ en 2010, selon la National Association of Software and Service Companies (Nasscom) et le cabinet McKinsey. Entre 2004 et 2005 la valeur des exportations indiennes de logiciels et services a augmenté de 34,5 %, pour atteindre 12,2 Md$. De plus en plus de multinationales spécialisées dans l'IT procèdent à des externalisations en Inde. Microsoft a ainsi annoncé la semaine dernière qu'il y porterait le nombre de ses salariés de 4000 à 7000 au cours des trois prochaines années. Dell indiquait en avril qu'il recruterait 10 000 nouveaux employés indiens en 2005. En 2010, l'industrie IT et de l'externalisation du processus métier pourrait faire travailler 2,6 millions de personnes - contre un million cette année -, et les emplois indirects liés à ces activités avoisineraient 6,5 millions - 2,5 millions en 2005. Le principal défi concernera alors le recrutement de ces nouveaux salariés. Les compétences des employés indiens devront en effet être améliorées : seuls 25 % des diplômés issus de l'enseignement technique, et 10 à 15 % de ceux venant de l'enseignement général, sont en effet susceptibles d'être embauchés dans l'industrie IT. (...)

(13/10/2005 17:59:08)

Externalisation : Infosys et Tata au zénith

Les deux premiers groupes mondiaux spécialistes de l'externalisation, Tata Consultancy Services et Infosys Technologies, ont réalisé de bonnes performances au cours du trimestre et ont recruté plus de 10 000 personnes. Les groupes, tous deux indiens et basés à Bangalore, voient leurs indicateurs progresser et procèdent à des recrutements massifs. A l'image d'Infosys et de Tata, les entreprises spécialisées dans l'externalisation ont su faire évoluer leur coeur de métier, le développement logiciel, pour offrir davantage de services à leurs clients comme le conseil IT, la délégation d'activité métier, l'intégration de système, la gestion d'infrastructure, etc.

Infosys a réalisé un chiffre d'affaires de 524 M$, en hausse de 38,8 % sur un an. Le bénéfice net bondit de 42,3 %, à 138 M$. Tata, de son côté, enregistre des revenus atteignant 670 M$, en progression de 21,4 % et un bénéfice net en croissance de 15,5 %, à 152,2 M$. Les deux groupes ont largement augmenté le nombre de leurs salariés pour répondre à une forte demande, essentiellement en provenance d'Europe et d'Amérique du Nord. Tata a ainsi procédé au recrutement de 4224 personnes supplémentaires, portant le total de ses employés à 53 329. Quant à Infosys, ce sont 6390 personnes qui sont venues grossir les rangs, le groupe compte désormais 46 196 salariés. (...)

(13/10/2005 17:52:28)

ST Micro accentue son implantation en Inde

ST Microelectronics, le fabricant franco-italien de semi-conducteurs, prévoit de construire une usine en Inde, près de New Delhi, selon le journal local The Economics Times. Non commentée par le groupe, l'information indique que ST Micro a acquis un terrain d'environ 100 000 m² et embauchera des centaines de salariés. Selon des sources proches du fabricant : « ST Micro veut construire une usine afin de répondre à la croissance rapide de la demande de puces par l'industrie indienne, dont celle du téléphone mobile, l'électronique grand public et l'automobile ».
ST Micro est implanté dans le Sous-continent depuis plus d'une dizaine d'année et emploie 1500 ingénieurs à Bangalore et Noida. Dans les trois prochaines années, ce chiffre devrait atteindre 5000. (...)

(04/10/2005 17:29:25)

Un code éthique de l'externalisation

L'Association internationale des professionnels de l'externalisation (IAOP) vient de publier un code d'éthique et de pratiques commerciales afin d'aider les entreprises à améliorer leurs démarches et leur gestion de l'externalisation.

Impliquée dans la mise en place des normes présentées par l'IAOP, Cynthia Kearney est vice-présidente du R&D dans le groupe pharmaceutique Johnson & Johnson. Elle estime que les standards proposés par son association offriront aux protagonistes d'un contrat d'externalisation une trame commune sur laquelle ils pourront s'appuyer. « Je pense que ça apporte une valeur ajoutée si des mesures de gouvernance ont été mises en place. Au centre de notre démarche, il y a la notion d'efficacité : on évite le morcellement, les interruptions d'activité car il y a toujours des principes établis qui indiquent comment vous comporter dans vos relations aux tiers. »

Les principes posés par le code de l'IAOP sont généraux, mettant l'accent sur la franchise, la transparence et l'existence de références communes dans le développement et la gestion d'une relation d'externalisation. Citons, par exemple, la nécessité de définir des principes objectifs et standardisés destinés à être employés dans les accords d'externalisation ou la mise en place d'un programme de formation des salariés pendant au moins quarante heures par an.

L'IAOP prévoit de développer un programme de certification. En attendant, Cynthia Kearney souhaite créer une commission au sein de Johnson & Johnson afin d'y étudier les pratiques d'externalisation et de mettre en place celles qui ne le seraient pas encore. (...)

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