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Externalisation

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(15/07/2010 09:47:59)

Off-shore : Après l'Inde, direction les provinces françaises

A priori, ce n'est qu'une question de vocabulaire. L'expression « off-shore » désigne ainsi la délocalisation des services informatiques vers des pays lointains, tels que l'Inde ou la Chine. Présenté comme une menace depuis deux décennies, cet « off-shore » a été médiatisé au-delà de son poids réel dans la filière informatique hexagonale, que ce soit au niveau des entreprises utilisatrices ou des grands prestataires. La formule ne pèse toujours qu'environ 5% de l'activité. Pourquoi pas davantage ? Principalement parce l'expérience des précurseurs a démontré que les économies évidentes en termes de masse salariale sont contrebalancés par d'importants surcoûts dus au contrôle de la qualité, au management, aux décalages horaires, etc. 

Ces difficultés ont fait le lit dans les années 2000 de ce que l'on a baptisé le « near-shore ». Dans le cas des entreprises françaises, l'appellation recouvre des délocalisations plus proches, essentiellement vers l'Afrique du nord ou les pays de l'Europe de l'est. Lui aussi présenté comme une vague déferlante en devenir, le « near-shore » a présenté d'autres inconvénients, principalement liés à la qualité aléatoire des réseaux de télécommunication et d'électricité. Dans les deux cas, il apparaît que le jeu n'en vaut pas la chandelle.

Délocalisation franco-française ?

Et si la forme de délocalisation la plus efficace consistait tout simplement à implanter en province ce qui existe en Ile-de-France ? Tel quel, le propos peut paraître provocateur, mais la dernière étude du cabinet Pierre Audouin Consultants (PAC) sur l'activité IT en province montre que l'idée n'est pas si saugrenue que cela.
En effet, malgré les efforts annoncés ou réellement déployés au cours de ces dernières années, la région-capitale accapare à elle seule 74% du business de la filière. Les six grands territoires considérés par PAC (nord, est, ouest, sud-ouest, région lyonnaise et arc méditerranéen) en sont donc toujours réduits à se partager les miettes.

Dans sa dernière étude sur les régions (la précédente date de 2008), PAC fait apparaître trois groupes de deux régions : les vainqueurs (l'ouest et Lyon), les perdants (le nord et l'est) et les « moyens » (le sud-ouest et le sud-est). Mais au-delà de cette compétition, l'étude montre que la tendance vers une délocalisation vers la province (d'où l'expression « province-shore ») est autant motivée par des impératifs de réduction de coûts que par la saturation du potentiel francilien. « Si l'Ile-de-France semble surreprésentée au niveau des chiffres, c'est principalement parce que les prestations de conseils sont facturées aux sièges sociaux, quasiment tous implantés à Paris, même si la prestation concerne la province. La situation évolue notamment dans le domaine des datacenters, dans la mesure où les régions françaises bénéficient à la fois d'un réseau électrique et télécoms de bonne qualité et d'un potentiel immobilier énorme », conclut MatThias Accadia, responsable de cette étude chez PAC.
(...)

(28/06/2010 15:40:04)

RH, parent pauvre de l'externalisation

Plusieurs domaines sont concernés par l'externalisation dans les RH, mais un seul d'entre eux externalise à 51% : la paie. Six autres fonctions restent loin derrière : la gestion des temps et des activités (26% d'externalisation), le recrutement (23%), la gestion de la formation (20%), l'administration du personnel (16%), la gestion des frais (16% également), la gestion des emplois et des compétences (7%).

Sur ces mêmes fonctions, Markess a également mesuré les projets d'externalisation à court terme, d'ici 2012, les chiffres tournent aux alentours de 10% : 13% pour la paie, 11% pour la gestion des temps et des activités, 11% pour le recrutement, 16% pour la gestion de la formation, 13% pour l'administration du personnel, 8% pour la gestion des frais professionnels, 7% pour la gestion des emplois et des compétences.

L'externalisation reste faible en RH

Première surprise donc, l'externalisation est assez faiblement présente dans la fonction RH.  Un désagrément conforté par un autre critère de l'étude. Markess a  demandé quelle est la contribution de l'externalisation à la performance de la fonction RH.  Les réponses positives sont en minorité. 32% des répondants estiment que cette externalisation améliore moyennement la fonction RH, 5% qu'elle l'améliore fortement. Total : 37% d'avis positifs. En regard, 42% assurent que l'externalisation a maintenu la performance de la fonction RH, 21% qu'elle l'a moyennement détériorée.


Par fonction externalisée, Markess donne des indicateurs de performances. Le nombre de dossiers de paie  traités par gestionnaire et par cycle de paie est ainsi jugé plus que « positif », la qualité de la paye juste « positif », deux critères (coûts par bulletin de paie et productivité de la fonction RH) sont en dessous de « positif ». Enfin, le délai moyen de réponse à des requêtes et demandes s'avère proche du qualificatif « négatif ».

(*) Etude menée aux mois de mai et juin dernier à partir d'une centaine d'interviews de décideurs RH et de 23 interviews de prestataires.

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(08/06/2010 15:38:30)

Conférence LMI/CIO: Les bonnes pratiques du sourcing

Avec la situation économique actuelle, les entreprises doivent plus que jamais optimiser leurs budgets IT tout en préparant la sortie de crise. Sous pression, les décideurs IT disposent de nouveaux leviers d'action. Il s'agit notamment d'un recours plus pertinent aux prestataires extérieurs.

Dans ce cadre, l'externalisation d'infrastructures monte en puissance qu'elle concerne les serveurs, le réseau ou les postes de travail. Une DSI interne n'apporte en effet pas de réelle valeur ajoutée en ce qui concerne la bonne marche d'une salle machines ou sur ce type de prestations qui sont de plus en plus industrialisables à l'ère de la virtualisation et du Cloud Computing.

Mais l'infrastructure au sens strict n'est pas la seule fonction pouvant faire l'objet d'une externalisation selon un modèle traditionnel ou novateur. Les applications peuvent être classiquement maintenues par un prestataire (principe de la TMA) mais on peut aussi lui confier l'exploitation complète (modèle du fournisseur d'applications hébergées) voire, ce qui reste encore novateur, adopter une application par nature industrialisée et fournie sous forme de service (Saas - Software as a service). Chaque processus externalisé peut être lui-même optimisé pour mieux servir les intérêts à court, moyen et long terme de l'entreprise.

A l'heure de la mondialisation, l'optimisation pourra également passer par des centres de services, en optimisant les coûts grâce au Nearshore ou à l'Offshore tout en accédant à une expertise technologique et à de nouvelles compétences. Une attention particulière devra être portée sur les contrats d'infogérance.

Tous ces thèmes seront abordés lors de notre conférence * "les bonnes pratiques du sourcing", le 10 juin 2010 à l'Etoile Saint Honoré.

Pour vous inscrire à cette journée événement cliquer sur ce lien

* Cette conférence gratuite est réservée aux décideurs IT (DSI, responsable informatique, chef de projets, directeur des études) des entreprises utilisatrices impliqués dans l'exploitation, l'évolution et la fourniture de services aux utilisateurs.


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(11/05/2010 09:47:12)

L'off-shore reste mal-aimé en France

« La défiance des dirigeants des plus grandes entreprises françaises vis-à-vis de l'externalisation de leurs services informatiques en Inde est davantage liée à la crainte d'une complexification de leur gestion qu'à des réserves sur les compétences et les capacités professionnelles des prestataires indiens », indique Frédéric Micheau, Directeur Adjoint du Département Opinion et Stratégie d'Entreprise de l'Ifop pour commenter l'étude que cet institut a réalisé sur la perception de l'off-shore pour le compte de la SSII indienne HCL. L'externalisation étant vue comme un moyen de baisser les coûts (74% des répondants) et de se simplifier la vie, c'est tout de même un commentaire très acide pour HCL.

Selon l'Ifop, seulement 37% des moyennes et grandes entreprises françaises (plus de 200 salariés) délèguent leur informatique à un prestataire extérieur au moins. 21% seulement ont recours à l'off-shore, en général en ayant un prestataire français en intermédiaire. Les réticences sont encore vives, même si l'externalisation est vue pour un moyen d'accroître la rentabilité pour 52% des répondants.

Les compétences des ingénieurs indiens sont reconnues comme un atout pouvant inciter à externaliser en Inde pour 19% des répondants, 40% jugeant que l'abondance de ressources humaines est aussi un grand avantage. Le bon rapport qualité/prix des prestataires indiens est reconnu par 77% des entreprises, la qualité intrinsèque par 68% et les compétences comme équivalente aux infénieurs français par 84%. Mais 72% des répondants considèrent qu'il existe des freins importants à l'externalisation en Inde. 49% mettent ainsi en avant la complexité de gérer une relation à distance et 31% la barrière de la langue.

Illustration : Crédits D.R. (...)

(10/05/2010 14:49:19)

Trimestriels Capgemini : Deux-tiers des embauches faites en offshore

La SSII Capgemini a confirmé des signes de reprise lors de la publication de ses résultats trimestriels, malgré un recul de son chiffre d'affaires trimestriels de 6,9%, à 2,049 Md€, par rapport à l'an dernier. Le groupe compte en particulier poursuivre la stratégie de recrutement qu'il a relancée entre fin décembre 2009 et fin mars 2010,  et qui a fait progresser ses effectifs mondiaux de 1,4%, à 91 792 collaborateurs. Il a concentré ses recrutements principalement en Inde, et dans d'autres zones situées en offshore. Ainsi, sur un volume de 5 274 nouvelles embauches sur le trimestre, les 2/3 ont été localisées dans les pays dits à bas coûts, soit 2 686 postes créés en Inde et 661 dans d'autres centres situés à l'étranger.

Capgemini a, en outre, intégré 268 employés supplémentaires au travers d'acquisitions et de contrats d'externalisation. La SSII a indiqué qu'elle avait également lancé des campagnes de recrutement en Europe, notamment en France, aux Pays-Bas et en Allemagne.

Plus de 4 800 embauches prévues au 2e trimestre

En termes de secteurs, le nombre d'employés a progressé essentiellement au sein de la division Capgemini Outsourcing, soit  +6,6% comparé au premier trimestre 2009 et + 2,3% par rapport à décembre 2009.  Pour sa part, l'activité Technologies Services a vu ses effectifs augmenter de 1,8 % sur une base trimestrielle. Ce n'est toutefois pas le cas de l'entité Conseil qui a vu ses effectifs chuter de 2% comparé au premier trimestre de l'année dernière, et reculer de 11,7% par rapport à mars 2009.
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De manière globale, sur le trimestre, Capgemini a également enregistré 4 266 départs (par démissions, licenciements ou en raison de cessions). Le groupe  prévoit de poursuivre ses embauches  au cours du second trimestre 2010, pour faire progresser ses effectifs de  5,3 %,  ce qui correspond à un volume de 4 863 nouveaux employés. Selon Anthony Miller, directeur du cabinet de conseil TechMarketView, interrogé par nos confrères de Computerworld UK, 3 500 de ces nouvelles embauches seront réalisées en Inde. La majorité de ces collaborateurs travaillera dans le domaine des services financiers, principalement pour des entreprises américaines.

Capgemini Effectif Q1 2010
Cliquer sur l'image pour l'ouvrir

Sur son premier trimestre fiscal, la SSII a enregistré une hausse de 3,3% sur son activité de conseil, mais un recul de 3,3% sur ses services d'infogérance. Les services de proximité (Sogeti) baissent légèrement, de -0,9%.
Le ratio « prises de commandes sur chiffre d'affaires », qui s'établit à 1,06 de façon globale, est plus encourageant sur l'Amérique du Nord, région sur laquelle il monte à 1,30.

(...)

(27/04/2010 08:19:44)

IBM sous-traite la logistique de son centre de formation français à Arrow ECS

Le constructeur a confié à Arrow ECS la gestion logistique de son centre de formation en France. Devenant ainsi Lead Authorized Training Provider d'IBM, le grossiste devra assurer quatre principales missions : recruter et gérer les formateurs, fournir et gérer les salles de formation, gérer le matériel et le support technique associé et, enfin, assurer le suivi de la qualité. Toutes ces prestations pourront être réalisées en vue de former des clients finaux comme des revendeurs. La signature de contrats avec ces derniers restent du ressort d'IBM.

En Europe, Arrow ECS dispose de 14 centres de formation. Sa filiale britannique avait déjà signé avec IBM un contrat identique à celui qui vient d'être conclu en France. S'il s'agit du premier contrat de ce type signé par Arrow ECS France, de nouveaux accords pourraient être prochainement mis sur pied avec des fournisseurs différents, selon Daniel Mathien, le directeur général adjoint du grossiste. (...)

(16/04/2010 15:48:07)

Interview : Laurent Gautier, directeur commercial chez HP ES

SL : Quelle est aujourd'hui le chiffre d'affaires de la division ES chez HP ?

LG : Pour faire simple, en 2009 l'activité Services représente environ 30% du chiffre d'affaires de  HP et 65% du chiffre d'affaires  de l'entité HP EB (Entreprise Business) .

SL : Combien de personnes travaillent dans la division services de HP en France ?

LG : Un millier de personnes environ avec 500 salariés supplémentaires sur des projets d'infogérance dépendant de contrats européens.

SL : Comment distinguer les services proposés par ES par rapport à ses concurrents ?

LG : Nous avons plusieurs offres dans notre catalogue, qui est un condensé de notre offre mondiale car nous ne voulions pas tout proposer en France. 60% de notre CA en France provient de l'activité datacenter services, le métier traditionnel d'outsourcing qu'avait EDS mais on y a aussi rajouté des services qui viennent de HP comme Adaptative Infrastructure Services (AIS), une offre de cloud privé. AIS va d'ailleurs bientôt changer de nom et devenir Enterprise Utilities Services. La grande différence de modes, c'est d'un côté une infogérance classique de parcs de serveurs qui s'appuie sur des centres mondiaux mais on a aussi spécialisé un certain nombre de centres pour adresser l'infogérance de serveurs dans un mode cloud privé beaucoup plus packagé. Dans un cas, on construit un catalogue de services dédiés avec le client; une convention particulière est alors définie avec l'entreprise. Dans l'autre cas, on est plus proche du mode opératoire des télécoms avec un catalogue de service, les produits maison packagés. L'entreprise doit donc accepter de rentrer dans un modèle. On s'engage sur un certain nombre de points comme des pénalités, la réversibilité et la restitution des données à la fin du contrat.

Pour la suite de l'interview, rendez-vous dans notre rubrique Entretien. (...)

(15/04/2010 15:35:56)

HP étoffe son service de conseil

Pour Alan Wilson, vice-président des infrastructures et des services en matière de technologie chez HP, « aujourd'hui, l'expérience utilisateur est en train de changer radicalement et l'ensemble des terminaux évolue » citant notamment parmi ces nouveaux matériels l'iPad d'Apple, les netbooks et les bureaux virtuels. « Il y a quelques années, ces dispositifs n'existaient pas » a fait remarquer le dirigeant, ajoutant que les grandes entreprises devraient faire face à un autre enjeu, à savoir la migration vers Windows 7. « Le  HP Client Infrastructure Services comprend une offre de conseil et de management conçue pour aider les entreprises à intégrer de nouveaux dispositifs dans leur organisation, et de les aider à effectuer la migration vers le dernier OS de Microsoft » a-t-il déclaré.

Selon Tom Norton, un responsable de HP, « ces services sont particulièrement adaptés pour des entreprises utilisant un large éventail de matériels et de logiciels différents, et qui rencontrent des difficultés à gérer ces actifs ». HP pourra en effectuer un inventaire, afin de déterminer ce qui doit être mis à jour et établir un plan de rationalisation de l'infrastructure.

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HP a mis en place des services de conseil en stratégie de manière à aider les entreprises à accorder leur stratégie informatique et commerciale. Ils permettent aussi la mise en place d'une feuille de route pour rénover leurs infrastructures client. Elle propose aussi des solutions globales, conseillant sur les packs d'applications à mettre en oeuvre pour la virtualisation et comment les sécuriser.

Un marché à fort potentiel


Cette démarche d'HP n'est pas solitaire, car d'autres sociétés ont senti ces mutations, aussi bien sur l'adaptation des terminaux que sur la migration vers Windows 7. Ainsi Sogeti propose une offre baptisée Radium facilitant cette évolution. L'objectif est de recenser les applications métiers, qui fonctionnent sur des OS plus anciens et de réaliser des tests, voire des modifications pour assurer une bonne transition vers Windows 7.Econocom, spécialiste de la gestion des infrastructures informatique a de son côté lancé l'offre « 7 Remote Service » pour accompagner les entreprises dans cette transformation. L'offre Everest de la SSII Osiatis répond aussi à cette même problématique.

Récemment, Microsoft est revenu sur des cas utilisateurs d'entreprises qui sont en phase de déploiement du nouvel OS de Microsoft. Si ce dernier est bien accueilli, le processus de changement s'annonce complexe.

 

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(10/03/2010 12:35:00)

Adecco externalise la maintenance de son parc informatique

Adecco France dispose de 2000 sites et son système d'information dispose de 11 500 utilisateurs dans l'ensemble des sites. Pour accroître la flexibilité et l'adaptation de la maintenance de son parc informatique distribué (essentiellement les postes de travail), le groupe a cherché à externaliser la prestation. Au final, il a choisi la SSII APX et vient donc de conclure avec elle un contrat d'une durée de cinq ans. La SSII a été choisie pour ses capacités à, à la fois, intégrer des évolutions du SI et entretenir un parc très distribué. es principaux services intégrés concernent le support téléphonique, les gestes de proximité, la maintenance matérielle, la supervision des serveurs et réseaux locaux, la télédistribution et les déploiements et la gestion des contrats tiers, ainsi que l'évolution des infrastructures. L'équipe interne d'Adecco comportant 16 salariés a été transférée à APX. Elle sera fusionnée à l'ensemble des salariés d'APX afin que les personnels les plus adéquats en quantité et en qualifications soient rendus disponibles au meilleur coût pour Adecco. Le coût du contrat n'a pas été communiqué. Il est basé sur un modèle au prix par poste avec des engagements de niveaux de service. (...)

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