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Externalisation

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(24/03/2009 17:36:28)

Les tarifs de l'outsourcing vont sérieusement flancher, prédit Gartner

Selon le cabinet d'études Gartner, les tarifs de l'outsourcing vont sérieusement flancher en 2009 et 2010. Gartner a mesuré la baisse sur quatre métiers : services datacenter (-5 à -10%), services de desktop et de help desk (-5 à -10%), services réseaux (-10 à -15%), applications externalisées (-10 à -20%). Le cabinet attribue cette baisse des prix à la concurrence entre anciens acteurs de l'outsourcing et nouveaux entrants. La crise a eu pour effet de reporter un certain nombre de décisions, observe le cabinet. Mais les clients sont bien décidés à entrer dans d'intenses discussions et à renégocier les termes et conditions des contrats, les niveaux de services, les volumes de l'outsourcing. Un exemple est donné avec le marché indien : Gartner explique que les SSII ont dû baisser leurs prix, leurs clients se plaignant des attaques terroristes de Bombay, du scandale Satyam, des fluctuations du cours de la roupie, etc. (...)

(26/02/2009 13:39:37)

L'offshore est de mieux en mieux accepté par les clients de Logica France (interview)

En France, l'activité de la SSII Logica est restée soutenue en 2008. Elle représente 20% de l'activité globale du groupe. Pour le président de Logica France, Patrick Guimbal, la croissance du chiffre d'affaires de la filiale (+5%, à 721 M£, sur un CA total de 3,588 Md£) résulte de la nouvelle stratégie engagée depuis le changement de direction. D'autres facteurs ont également pesé dans la balance, en particulier la forte représentation de la SSII dans le secteur public, sa focalisation sur une quinzaine de grands domaines de croissance, le ralentissement de ses recrutements sur l'Hexagone et la hausse de ses activités offshore. En 2009, Logica continuera à se focaliser sur des projets à retour sur investissement rapide et générant une réduction de coûts. « Le recours à l'offshore est de mieux en mieux accepté par nos clients », affirme Patrick Guimbal. Lire l'entretien de Patrick Guimbal, président de Logica France. (...)

(24/02/2009 08:21:52)

IBM ouvre un centre de services dans l'Iowa où les salaires sont moins élevés

IBM construit un centre informatique dans la ville de Dubuque, dans l'Iowa, avec le soutien financier de l'état qui apporte 12 M$. Big Blue a indiqué qu'à terme, 1 300 personnes seraient employées sur ce nouveau site pour assurer le support de ses clients américains utilisant ses services d'externalisation. Outre l'aide de l'état d'Iowa, l'intérêt de s'installer dans une ville telle que Dubuque (un peu moins de 60 000 habitants) pourrait résider dans le fait que le niveau de rémunération y est moins élevé comparé au reste des Etats-Unis. Dans cette région, le Midwest, les salaires de la filière IT sont de 20% à près de 50% inférieurs à ceux versés sur les côtes Est et Ouest du pays. IBM devra toutefois respecter certains engagements. Selon l'association de développement The Greater Dubuque qui a pris part aux discussions autour du projet, l'entreprise doit proposer des salaires annuels situés entre 30 000 et 70 000 dollars, avec un salaire moyen se situant aux alentours de 40 000 dollars. 10% des personnes employées par IBM à Dubuque seront issues des effectifs actuels de l'entreprise. Les autres salariés seront recrutés localement auprès d'établissements d'études supérieures situés dans un rayon d'une soixantaine de kilomètres autour de la ville. Le constructeur aurait déjà reçu quelque 3 000 demandes pour des postes à ce jour et les embauches devraient pouvoir débuter dès le printemps. Il y a une semaine, IBM, qui n'a toujours pas levé le voile sur son projet de restructuration, proposait aux salariés concernés par des suppressions de postes de sauver leur emploi en acceptant d'aller travailler dans des divisions de l'entreprise situées dans des zones à bas coût. (...)

(12/01/2009 18:09:30)

FM Logistic demande à son donneur d'ordre HP de financer son plan social

HP acceptera-t-il de prendre en charge le plan social engagé par son sous-traitant FM Logistic (14 000 personnes dans le monde, dont 4 500 en France) et les 489 suppressions de postes qui en découleront d'ici au printemps 2010 ? En tout état de cause, FM Logistic estime avoir été contraint de prendre cette décision après que son principal client, HP, a décidé de délocaliser en Malaisie. Depuis 1993, la société sous-traite au géant californien, sur sa base logistique de Woippy (Moselle), le conditionnement d'imprimantes laser et à jet d'encre destinées au marché européen sur une plateforme de 60 000 m2. Mais le 19 décembre dernier, les salariés ont appris que HP attribuait ce marché au néerlandais Flextronics, condamnant la totalité de l'effectif mosellan d'ici à 2010. Pour Ralph Blindauer, avocat du CE représentant les salariés du groupe FM Logistic à Woippy, et cité sur le blog de la CFTC. « HP annonce 9 000 suppressions d'emploi en Europe dont 580 en France, mais ne tient pas compte des suppressions d'emplois à Woippy Si le groupe ne prend pas en charge l'intégralité du plan social auquel il contraint son sous-traitant, nous n'excluons pas de l'assigner pour usage de main d'oeuvre illicite ». La CFTC, bien que non représentée chez FM Logistic, invite solidairement les salariés de FM Logistic et ceux de HP à s'exprimer et à réagir sur ce sujet. Les 4 500 salariés des sites français du groupe Faure et Machet ont été appelés par les syndicats à débrayer aujourd'hui lundi 12 janvier entre 14H30 et 15H30 en solidarité avec leur site mosellan. Pendant ces débrayages, une délégation a été reçue à la préfecture de Metz afin d'interpeller les autorités sur les licenciements prévus à Woippy. De son côté, HP estime avoir donné un préavis suffisant. (...)

(09/01/2009 16:38:13)

Syntec Informatique prévoit toujours 2 à 4% de croissance au 1er semestre 2009

En France, le marché des logiciels et des services informatiques devrait enregistrer une croissance comprise entre 2% et 4% au cours du premier semestre 2009, contre 6% au quatrième trimestre de 2008. En dépit de la crise économique, et malgré les plans sociaux qui se succèdent actuellement dans le secteur de l'industrie IT, le syndicat professionnel Syntec informatique a confirmé pratiquement mot pour mot, les prévisions annoncées lors de son bilan semestriel de novembre dernier. Son président, Jean Mounet, a rappelé les trois tendances qui définiront le paysage des logiciels et des services informatiques en 2009 : manque de visibilité, résistance des entreprises du secteur et résultats contrastés selon les différents pays d'Europe ou les secteurs d'activité. La fédération table sur l'accélération de certains projets Paradoxalement, la crise devrait profiter au développement de l'outsourcing. Syntec Informatique considère également qu'en 2009, l'intégration des systèmes d'information, suite aux opérations de fusions, notamment dans la banque, créera de nouvelles opportunités pour les SSII. Le syndicat professionnel table aussi sur l'accélération de nouveaux projets relatifs à la dématérialisation, au commerce électronique, à l'informatique embarquée et aux outils décisionnels (Business Intelligence). Il compte aussi sur les initiatives gouvernementales, comme le plan Numérique 2012, le plan de soutien au financement des PME, ou encore le projet de Xavier Darcos sur l'usage du numérique dans le primaire, pour inciter les entreprises à investir davantage dans les nouvelles technologies. Le Green IT figure parmi les priorités Néanmoins, Syntec affirme ne pas disposer d'une bonne visibilité sur l'ensemble de l'année 2009. La seconde partie de l'année reste incertaine du fait de réductions budgétaires supplémentaires chez certains clients issus de l'automobile ou de la grande distribution. Le syndicat professionnel a conclu en annonçant ses priorités pour l'année 2009 : soutenir et assurer la défense de ses adhérents, continuer à promouvoir les métiers des logiciels et services informatiques, accompagner la mise en oeuvre du plan Numérique 2012 et s'engager à fond dans la Green IT, une démarche que le syndicat juge importante et sur laquelle les entreprises devront impérativement investir. (...)

(07/01/2009 12:57:17)

La SSII Proservia crée une filiale dédiée au développement

Proservia, SSII spécialisée dans la gestion des infrastructures, lance une filiale pour une deuxième activité : le développement logiciels. « La société dans son ensemble est très marquée par la culture de gestion d'infrastructures, note le Pdg Thierry Congard, le développement était noyé dans la masse et deux cultures différentes cohabitaient ». Sur 800 collaborateurs chez Proservia, 60 sont aujourd'hui chargés du développement. En créant sa filiale Ovialis, Proservia veut mettre en valeur ses compétences en la matière et les vendre plus aisément. Ovialis compte une soixantaine de collaborateurs, ceux issus de l'interne, 5 ingénieurs nouvellement recrutés, une commerciale et une administrative sous la houlette d'un directeur général, Xavier Clery, venu de l'extérieur. Mission : dans un premier temps prospecter le grand ouest et la clientèle des banques et des assurances sur la compétence développement, ensuite vendre sur toute la France en liaison avec l'ensemble du groupe. L'activité a déjà donné naissance à deux produits qui rejoindront la nouvelle entité. QuAC qui mesure la qualité des projets informatiques et SVC pour l'analyse MPEG-4. QuAC s'appuie sur les technologies open source et J2EE. Toujours prudent, Thierry Congard se refuse à indiquer des prévisions chiffrées pour l'activité de la filiale en 2009. Malgré la morosité ambiante, le patron de Proservia garde le cap. « Nous existons depuis quinze ans. Tous les cinq ans, nous essuyons une crise. Mais Proservia a toujours traversé ces épreuves, en affichant un chiffre d'affaires et une marge opérationnelle positifs et supérieurs aux moyennes du Syntec Informatique.» Un 'non' ferme au offshore Une activité de développement signifie souvent le passage en offshore dans les SSII. Mais, pas chez Proservia. « L'offshore, beaucoup en reviennent » lance même Thierry Congard, visiblement choqué quand on lui pose la question. « Les coûts salariaux sont évidemment inférieurs quand on se livre à l'offshore, mais je me méfie des coûts cachés : le temps passé en déplacements, les horaires décalés, avec l'Inde par exemple, le turn over local, ou la difficulté pour encadrer ». A l'inverse de la plupart de ses confrères, Thierry Congard estime qu'on trouve des compétences en France, « je ne vois pas l'intérêt de s'en passer ni de les déplacer. On a créé un centre de services et de téléservices à Niort, avec des effectifs qui ne demandent pas à déménager, par exemple en Ile-de-France. On peut parfaitement créer de l'emploi informatique en France ». (...)

(19/12/2008 18:08:25)

+2,5% sur les budgets IT du secteur public en 2009, selon Markess

En 2009, les budgets informatiques des administrations françaises ne devraient augmenter que de 2,5%, en moyenne, alors qu'ils ont progressé de +6,5% entre 2007 et 2008 pour l'ensemble du secteur public. Ce sont les prévisions qu'établit Markess International dans son étude « Bilan et perspectives TIC dans l'administration française, 2008-2010 » en s'appuyant sur une centaine d'interviews réalisées avec des responsables de l'administration centrale, d'organismes sous tutelle et de collectivités locales (*). La situation, toutefois, ne sera pas homogène pour l'ensemble des acteurs publics. Pour les ministères, par exemple, le taux prévisionnel de croissance du budget informatique se maintient à +6% par rapport à 2008 (au même niveau que l'an dernier), alors que le budget IT des organismes sous tutelle devrait stagner en 2009 ou même se réduire, notamment en raison de baisses de subventions. Quant à celui des collectivités locales, il ne devrait pas progresser de plus de 3%, non seulement en raison de la conjoncture économique difficile, mais aussi à la suite de la mutualisation de certains projets. Pour ces collectivités, les perspectives sont donc moins enthousiasmantes qu'en 2008, année au cours de laquelle la croissance de leur budget informatique a atteint 8%. La part consacrée à l'externalisation devrait progresser Au sein de ces budgets, la part consacrée à l'externalisation devrait globalement progresser pour plus de la moitié (54%) des administrations centrales et locales interrogées par Markess International. Cette évolution résulte en partie de la révision générale des politiques publiques (RGPP). Une progression contrastée toutefois puisqu'elle oscillera, selon les cas, entre +1% et +10%. Un cinquième des administrations concernées prévoit une hausse supérieure à 10%, un peu moins de 2/5e la situent entre +5 et +10% et les autres prévoient +1 à +5%. Dans l'externalisation, le cabinet d'études classe tout autant l'hébergement d'infrastructures IT ou d'applications, que le recours à l'infogérance, ou encore l'accès à des logiciels utilisés en ligne comme un service, sous forme d'abonnement. L'hébergement et l'infogérance devraient surtout être choisis par les organismes sous tutelle et les intercommunalités. Markess note que les ministères et les conseils généraux évoquent également le recours à l'infogérance. En revanche, 39% des acteurs du secteur public indiquent que la part de l'externalisation stagnera dans leur budget IT. Pour les 7% restants, elle sera même réduite. (*) Pour compléter son étude, le cabinet a également interrogé une soixantaine de prestataires informatiques. (...)

(05/12/2008 10:20:36)

En France, la dépense informatique offshore pourrait atteindre 1,7 Md d'euros en 2009

En 2008, la dépense informatique en offshore des entreprises françaises s'est montée à 1,2 Md d'euros, en croissance de 40%. Elle devrait atteindre 1,740 Md d'euros en 2009, soit une hausse de 45%. La tendance est forte, mais cette démarche s'est profondément modifiée. Au lieu de la simple réduction de coûts salariaux envisagée il y a quelques années, on se retrouve avec des démarches plus matures. « Le côté économique je n'y crois pas trop, même si on ne peut l'oublier, c'est la flexibilité qui amène à l offshore, plaide Jérôme Hérard, directeur général de l'Ile des Média qui fait développer en Tunisie (*). « Il ne faut plus se focaliser sur les seuls coûts salariaux ». La démarche offshore oblige également les entreprises à être plus rigoureuses. « Avec le nearshore, nos cahiers des charges sont beaucoup plus carrés et gagnent en qualité, poursuit Jérôme Hérard». « Il nous faut par exemple bien séparer le cahier des charges fonctionnel du cahier des charges technique ». Les premières expériences en offshore et les premières déceptions ont en fait amené les entreprises à mieux contrôler ces démarches et d'abord à mieux les définir. « La démarche offshore révèle les défauts de méthodologie d'une entreprise » souligne Eric O'Neil, consultant. Plus facile de recruter en Tunisie qu'en France [[page]]L'offshore et le nearshore amènent pourtant des avantages inattendus, comme la possibilité de trouver plus facilement es compétences pointues, contrairement aux idées reçues qui associent offshore et recherche de ressources de premier niveau. « Ma société de 15 personnes cherchait des développeurs JEE, c'est très difficile à trouver à Bordeaux notre siège, impossible sur Paris, j'ai rencontré GetIT sur un salon, ils m'ont soumis quatre dossiers. J'ai fait affaire avec la société tunisienne Discovery » témoigne Jean-Charles Duplaa, gérant de Afib et président du Syrpin. Même démarche de L'Ile des Médias qui avait besoin de développeurs Dot Net en Saas et n'a trouvé qu'en Tunisie. Après une sélection des CV soumis par Get IT, les premiers entretiens ont eu lieu sur Skype, avant des entretiens approfondis sur place. La Tunisie est à 2h30 de Paris ce qui facilite les relations. Sur place, les ressources sont importantes, avec 6 000 ingénieurs informatiques en Tunisie, 10 000 dans deux ans. Les ingénieurs sont de qualité et apportent les compétences qui peuvent faire défaut en France, mais l'encadrement n'est pas forcément au rendez-vous. « Le gros problème de l'offshore ce n'est pas les compétences mais l'encadrement de ces compétences », témoigne Jérôme Hérard (20 développeurs à Paris, 10 en Tunisie). (*) Les informations de cet article sont issues d'un petit déjeuner organisé par Get IT, un GIE formé par 11 entreprises tunisiennes il y a trois ans pour proposer en nearshore des prestations informatiques. (...)

(28/10/2008 09:25:03)

L'Egypte, destination idéale pour l'externalisation, selon la NOA

La National outsourcing association (NOA) vient de décerner à l'Egypte le prix de la « destination de l'année en matière d'externalisation », devant les Philippines (lauréat l'an dernier) et la Roumanie. Jeudi dernier, 23 octobre, les membres du jury ont salué « les capacités linguistiques, la jeunesse de la population », ainsi que les « investissements de plus en plus nombreux que le gouvernement égyptien consacre aux activités de sous-traitance IT ». L'Egypte a récemment investi 2 Md$ pour améliorer ses infrastructures de télécommunications et a créé l'Itida (agence pour le développement de l'industrie IT) pour accompagner la croissance de l'outsourcing. Selon le Gartner, le secteur IT égyptien connaît une progression annuelle de l'ordre de 20%. La pénétration d'Internet avoisine les 11% et celle de la mobilité atteint les 38%, toujours selon le Gartner. « Lentement mais sûrement, le pays impose sa marque sur la carte des localisations les plus appréciées des services internationaux », a déclaré Hazem Abdelazim, directeur général de l'Itida. Une main d'oeuvre jeune, multilingue, pas chère, mais des lourdeurs administratives L'Egypte - dont on parle encore peu en matière d'externalisation - dispose de plusieurs atouts (...)[[page]] L'Egypte - dont on parle encore peu en matière d'externalisation - dispose de plusieurs atouts. Le Gartner souligne par exemple que plus de 50% de la population est âgée de moins de 25 ans. 100 000 universitaires sont formés chaque année dans le secteur du BPO et des centres d'appel, et ils sont souvent multilingues. L'anglais est enseigné dès l'âge de neuf ans et une deuxième langue est obligatoire pendant les études supérieures. Les étudiants égyptiens optent en général pour le français ou l'allemand en raison de la réputation touristique de l'Egypte auprès de ces deux pays. Le coût de la main d'oeuvre est également un atout de taille pour l'Egypte - comme dans la plupart des destinations offshore. Alors que les SSII indiennes doivent affronter une hausse générale des salaires, l'Egypte propose des tarifs attrayants pour les sociétés européennes qui souhaitent externaliser une partie de leur système d'information : entre 6 000 et 11 000 $ par an pour un programmeur, 13 000 $ pour un consultant, 20 000 $ pour un chef de projet... On est loin du salaire annuel moyen de 34 000 € affichés en France à l'embauche. Le Gartner note toutefois deux bémols : la corruption est encore importante en Egypte et les démarches administratives sont lourdes. (...)

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