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(23/02/2007 17:04:31)

La CCIP met l'accent sur les technologies

La CCIP (Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris) organise plusieurs journées où les technologies seront mises à l'honneur. La première se déroulera le 6 mars sur le thème : « le pôle de compétitivité System@tic Paris-Région : mode d'emploi pour les PME ». Pour mémoire, ce pôle de compétitivité mondial fédère 200 acteurs industriels, académiques et institutionnels franciliens autour de projets R&D coopératifs et développe la maîtrise de trois technologies (optique, électronique et logicielle) sur quatre marchés porteurs : automobile et transports ; outils de conception et de développement de systèmes ; sécurité et défense ; télécoms. La CCIP organise également le 9 mars un colloque qui abordera une question d'actualité : « Droit d'auteur et numérique : quelles réponses de la Dadvsi ? » En effet, la loi relative au droit d'auteur et aux droits voisins dans la société de l'information (Dadvsi), adoptée le 1er août 2006, avait initialement pour objectif de « trouver les voies permettant de favoriser une diffusion plus large de la culture tout en préservant les droits des créateurs ». L'idée de cette rencontre est de savoir si ce texte controversé, ayant fait l'objet d'un des plus longs débats parlementaires de la législature, a atteint son but de départ. Elle permettra peut-être aussi de déterminer les perspectives pour les différents acteurs de ce marché certes récent, mais qui drainent un fort chiffre d'affaires. (...)

(22/02/2007 12:56:17)

Colloque : l'entrepreneuriat en Europe sous le scalpel d'experts

Sur le radar d'Oseo, structure nationale d'accompagnement des PME, le suivi de la création d'entreprises, de la création d'emplois et de l'innovation en France contraste avec «le contexte économique en demi-teinte» (selon le rapport annuel 2006). Avec 14% de PME en plus en cinq ans, le tissu national de petites structures emploie 55% de la population active. Et plus d'une PME de plus de dix salariés sur deux développent des nouveaux produits ou des processus innovants. Sans pour autant se tourner assez vers l'exportation (qui concerne moins de 100 000 PME). A l'échelle européenne, l'observation de ces tendances, concernant l'entrepreneuriat dans son environnement national et régional, a suscité, depuis quatre ans, une mise en commun des études et recherches en science de gestion, à laquelle contribue notamment le Cerom (Centre d'études et de recherche sur les organisations et le management) de l'école de management de Montpellier. C'est ainsi que la semaine prochaine, du 27 février au 2 mars, la communauté européenne de ces chercheurs en gestion regroupés sous la bannière de l'IECR (Interdisciplinary European Conference on Entrepreneurship Research), se donne rendez vous à Montpellier pour échanger au sujet des divers types et processus d'entrepreneuriat, du financement, de la mise en réseau, des politiques publiques, en axant leur réflexion sur une comparaison inter-régionale. Le comité scientifique de la conférence a sélectionné une quarantaine de communications, représentant plus de 15 nationalités. Avec, en clôture de la conférence, une table ronde sur le thème « Entrepreneurship Research in Europe ». (...)

(20/02/2007 17:09:31)

La greffe du DIF sur le plan de formation peine à prendre auprès des salariés

Un début timide pour une loi appliquée a minima: tel est l'impact actuel de l'entrée en vigueur du droit individuel à la formation (DIF) selon l'étude Demos effectuée à l'automne 2006 auprès de 250 entreprises. Et pourtant : trois entreprises sur quatre disent avoir pris leurs dispositions pour informer les salariés à ce sujet entre 2005 et le premier semestre 2006. Mais, a minima, là encore, en insérant cette information dans le dispositif habituel de prise en compte des besoins de formation (entretiens managers-salariés, etc.), avec une mention sur le bulletin de salaire du compte DIF (vingt heures par an). Elles ont, dans une même proportion (74%), précisé la procédure à suivre par les salariés et leur hiérarchie pour faire remonter les demandes. La plupart des DRH mise sur la complémentarité des moyens de faire valoir ces attentes, sans cloisonner les formations relevant du plan annuel et celles relevant du droit individuel. En gardant, de plus, ouverte la possibilité de se former (sous couvert du DIF) pendant ou hors temps de travail, selon le cas. Ainsi, un tiers des entreprises estime avoir adopté une démarche proactive et incitative dans la mise en place de cet accès à la formation censé répondre à des besoins personnels de maintien ou d'évolution des compétences. En fait foi, chez les plus grandes, la mise en place d'un catalogue des formations éligibles au DIF (16% des entreprises). Mais, peine perdue ? Ou dispositif trop contraignant ou trop flou ? L'information diffusée par l'entreprise n'a suscité que peu de questions de la part des salariés (dans 80% des cas, les remontées sont rares ou nulles). Tout juste constate-t-on un début de sensibilisation des salariés qui, jusque là, se montraient peu motivés à se former (dans 25% des entreprises interrogées). Selon le principe fondateur de la réforme qui prône la formation tout au long de la vie, "c'est l'un des objectifs liés à l'introduction du DIF", notent les analystes de Démos ; "et même s'il n'apparaît pas dans la majorité des entreprises, il n'en constitue pas moins l'effet attendu du DIF". Des formations métiers ou transverses Autre signe encourageant : les demandes de formation enregistrées dans le cadre du DIF font preuve d'un certain réalisme. Loin de la caricature d'une montée des demandes de formation gadget, pour convenance personnelle, selon l'étude Démos, les formations sans aucun lien avec l'activité de l'entreprise apparaissent très minoritaires dans les attentes des salariés. Celles-ci s'orientent principalement vers des formations métiers, dans des domaines techniques liés au métier exercé (12%), ou des domaines non liés au métier exercé mais correspondant à des activités de l'entreprise (14%), avec une montée des besoins de perfectionnement en langues (10%), en bureautique (10%), en informatique (12%) et une attente de développement personnel (12%). Ce bilan et les perspectives de montée en charge du DIF (60% des entreprises pensent avoir à y faire face dès 2007), ainsi que les bonnes pratiques, en termes de financement, d'organisation, d'implication du management de relations avec les partenaires sociaux, font l'objet d'une journée de réflexion, le 15 mars à Paris, organisée par l'institut Demos. (...)

(19/02/2007 17:42:11)

Portage salarial : une piste à explorer pour les seniors

Selon l'Insee, seuls 37% des 50-64 ans sont encore en poste en France et le taux d'emploi des plus de 50 ans est inférieur à la moyenne de la zone Euro, elle-même très éloignée des performances des Etats-Unis et du Japon. En octobre dernier, le ministère de l'Emploi et de la Cohésion sociale avait lancé une campagne d'information dont le but avoué était de sensibiliser les entreprises aux problèmes de discrimination envers les seniors. De son côté, la société de portage Ad'Missions compte 65% de salariés de plus de 40 ans auxquels elle offre la possibilité de faire valoir leur expérience en tant que consultant et de dépasser les difficultés de recrutement dues à l'âge : bénéficier d'un statut de salarié tout en étant autonome et donner une nouvelle orientation à leur fin de carrière. Présente à Paris et en régions (Lille, Lyon, Rennes, Nantes, Toulouse, Strasbourg et Marseille), cette entreprise est composée de 25% de « consultants salariés » dans le domaine informatique, soit 150 personnes environ. Postuler dans les SSII comme consultant DRH d'Ad'Missions, Sabrina Cohen souligne que, contrairement aux idées reçues, la plupart des salariés que la société de portage rémunère travaillent dans des SSII même s'ils n'apparaissent pas dans les organigrammes. « Les plus de 40 ans ne doivent pas démarcher les SSII en indiquant qu'ils recherchent un CDI, mais ils doivent transformer leur CV en offre de mission ». Pour ce faire, Ad'Missions conseille et aide les informaticiens adhérents, grâce notamment à une formation gratuite qui permet d'évaluer un tarif et de « vendre » à prix très correct sa mission. « 70% de nos consultants travaillent en mission avec les SSII. Elles ont conscience de l'atout majeur des seniors qui est l'expérience et les consultants qui ont admis ce modèle économique gagnent très bien leur vie », poursuit Sabrina Cohen. A l'heure où le « papy-boom » s'amplifie et que le double problème des retraites et du chômage n'a jamais été aussi actuel, la réponse d'Ad'Missions est une très intéressante alternative pour les seniors... et ceux qui le deviendront. (...)

(16/02/2007 17:16:29)

La Navale assure ses arrières et forme les futurs ingénieurs

A Toulon, la politique d'innovation de la DCN (Direction des constructions navales) inclut, depuis début février, un partenariat formel avec l'école d'ingénieurs ISITV (Institut des sciences de l'ingénieur de Toulon et du Var). Objectif pour le constructeur de systèmes navals: formaliser la participation à la formation de futurs spécialistes des diverses ingénieries intervenant dans la chaîne de valeur de ces systèmes (mécanique, matériaux, calcul scientifique, systèmes embarqués, réseaux et télécoms, traitement du signal). Un partenariat qui couvre des interventions directes dans l'enseignement, des projets d'études, des essais sur des thématiques ciblées, une coopération R&D ouverte aux enseignants-chercheurs. Mais aussi, pour le groupe DCN qui figure au premier rang des industriels varois (3000 salariés à Toulon et à Saint-Tropez), un engagement à simplifier les démarches de recrutement des diplômés de l'école. Cet accord vient compléter une série d'initiatives de coopération, également formalisées depuis l'été 2006 par des accords de partenariat, avec des écoles, viviers naturels de futures recrues. Dont l'Ecole Navale, l'Ensieta de Brest (un tiers d'élèves militaires, deux-tiers de civils), l'université de Poitiers et l'ENSMA (ingénieur des industries du transport, à Poitiers), l'ECN (Centrale Nantes), l'ENSTA (Techniques avancées, école d'application de l'X). A noter, à l'Ensieta de Brest, l'ouverture à la rentrée 2006 d'une filière de formation d'ingénieurs par alternance, ouverte aux bac+2, destinée aux débouchés dans le domaine des systèmes mobiles et des technologies embarquées, avec en particulier, du fait de la collaboration avec la DCN (contrat d'apprentissage pour trois ans), des profils de spécialisation en plate-forme navale et systèmes embarqués. (...)

(13/02/2007 11:18:38)

IDS Scheer propose 4 séminaires sur le BPM

Le BPM (Business Processus Management) est destiné à optimiser les métiers d'une entreprise, d'un point de vue opérationnel et financier. En mai dernier, IDS Scheer, éditeur spécialisé dans ces questions (notamment avec les produits Aris), présentait les résultats d'une enquête menée en collaboration avec l'Afai (Association Française de l'Audit et du conseil Informatiques), le Cigref (Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises) et la DFCG (Association des Directeurs Financiers et Contrôleurs de Gestion). Cette étude indiquait à la fois que les directions générales des entreprises semblaient avoir pris la mesure des apports potentiels du BPM, mais aussi que les démarches n'en étaient qu'à leurs balbutiements ; si plus d'un tiers des entreprises considéraient que ces démarches s'intégraient dans le fonctionnement de l'entreprise, un tiers notait le conflit avec le système de management en vigueur. Plus de 50 % des changements induits par les démarches processus concernent l'organisation au sens large L'étude montrait aussi que les projets étaient centrés pour moitié sur les processus de production et de services, et pour un tiers seulement sur les processus de management. Elle mettait en valeur le fait que plus de 50 % des changements induits par les démarches processus concernent l'organisation au sens large. Enfin, les projets concernaient relativement peu la « relation clients », alors que la satisfaction de ces derniers est l'un des principaux gains attendus suite à ce type de démarche. Pour donner des réponses aux dysfonctionnements constatés entre théorie et pratique, quatre séminaires sont organisés une fois par mois par IDS Scheer sur des thématiques précises : « accroître votre performance opérationnelle par la mise sous contrôle des processus clés » (15 février) ; « dynamiser et pérenniser votre dispositif de contrôle interne par une démarche de processus outillée » (20 mars) ; « renforcer l'orientation métier et le pilotage de vos projets informatiques via la démarche processus (MOA/MOE)» (22 mai) ; « concevoir votre architecture d'entreprise (EA) par l'approche processus orientée services » (5 juin). Une trentaine d'entreprises assisteront à ces rendez-vous qui devraient les éclairer sur le BPM appliqué à leur situation particulière afin de réaliser de meilleures performances. (...)

(12/02/2007 14:08:54)

Séminaires sur la protection des données personnelles au carrefour de la technique et du juridique

Biométrie, cryptologie et autres dispositifs (logiciels) exigés par la protection des données à caractère personnel, dont le droit à l'oubli, suscitent abondance de débats inter-disciplines, à la jonction de la technique et du juridique. Le Forum Atena, association de professionnels qui se veut située «à la convergence de l'industrie télécom et de l'enseignement supérieur», en fait l'objet de son premier séminaire gratuit, ce jeudi 15 février, à l'INT d'Evry. Au programme de cet après-midi (de 14h à 17h30), l'état de l'art en cryptographie (vers une 3G de la «crypto»), les limitations de la «crypto» embarquée dans les composants mobiles (à l'heure de la mise en cause de la RFID), et les avancées des techniques de biométrie, dont la multimodalité. Mais aussi, en seconde partie du séminaire, le point de vue du juriste sur les enjeux et la réglementation liés à ces technologies, et celui des fournisseurs de solutions, avec priorité accordée au débat avec les participants et non à une présentation de leurs produits. Une semaine plus tard, durant la matinée du 22 février à Paris (cercle d'affaires Kadrance), la société Princeton Softech propose un point sur l'obligation faite aux entreprises de protection et de sécurisation de l'accès aux données à caractère personnel (CNIL, directives européennes, Payment Card Industry Data Secure Standard). A l'intervention de l'avocate Marie-Laure Laffaire (du cabinet Lexvia), auteur d'un guide sur la question, fait écho, selon l'éditeur de logiciels organisateur de ce séminaire, l'exigence de proactivité des entreprises. Et cela, dès les phases de test des applications (possibilités de masquage, d'anonymisation, d'échantillonnage, dispositif de purge nécessité par le droit à l'oubli, etc). Une exigence qui fait par ailleurs l'objet d'un livre blanc des experts de Princeton Softech. (...)

(09/02/2007 18:05:47)

Le Fafiec finance le certificat de qualification

En novembre dernier, GTM'Ingénierie et le Syntec avaient convié petites, moyennes et grandes entreprises pour leur expliquer les atouts de la Vae (Validation des acquis de l'expérience). Plusieurs raisons avaient été évoquées pour tenter d'expliquer une réalité : la Vae était un dispositif peu utilisé dans l'informatique. Le 8 mars 2007, GTM'Ingénierie poursuit son action en invitant à nouveau les DRH et dirigeants d'entreprises à une rencontre : désormais, le dispositif du CQP-Are (Certificat de qualification professionnelle, administration de réseaux d'entreprises) préparé par Vae, est entièrement pris en charge par le Fafiec (Fonds d'assurance de la formation ingénierie, études et conseil) pour accompagnement à la Vae et la formation complémentaire si nécessaire. C'est un argument non négligeable pour les entreprises, théoriquement prêtes à accepter que leurs employés se forment, mais bien souvent réticentes au moment de sortir le chéquier. Un dispositif en continu sur un an Le CQP est une avancée pour les salariés : c'est un mode de reconnaissance de leurs capacités à exercer des activités, de leur maitrise des savoirs et savoir-faire dans un domaine donné, en l'occurrence l'administration des réseaux d'entreprises. Directeur de GTM'Ingénierie, Eddy Gaciot est parvenu à imposer aux yeux du Syntec Informatique et du Fafiec un programme pour valoriser ce CQP-Are. Ainsi, entre le 26 mars et le 30 novembre, plusieurs étapes seront nécessaires au candidat pour mettre en oeuvre sa Vae afin d'obtenir le sésame. « Ce dispositif concerne toutes les entreprises et tous les informaticiens qui s'occupent d'administration réseau sans en avoir le diplôme », indique Eddy Gaciot. « Le financement a été voté début janvier et maintenant, nous espérons que le bouche-à-oreille fonctionnera. » (...)

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